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Full text of "Le Monde Diplomatique, 1975, France, French"

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TRENTE-DEUXIÈME ANNÉE — N" 9557 


Le juge Pascal 
va être inculpé 
de violation 
Ck! secret 


38 pages 


— MARDI 14 OCTOBRE 1975 


LISE PAGE St 




Fondateur ; Hubert Beuve-Méry 


Directeur : Jacques’ Fauvet 


WO F 


JUcfirle, 1 DA; Hene, Ijn tir. ; msh, _ i qa.au 
JUIpmgH, 1 DH ; Autriche, «set L; IW. 
11 fr. ; ÇMMla, 80 c. cts; Duesark, 2.73 kr. ; 
Espagne, 22 pn. ; Snade-Brctiin, isp-i w» 
18 flr^ lin, 45 riks Italie, 250 L; UblUSH 
LmeaiMffg, 11 fr.; HWftfB. 2,75 WWW, 
Ota fl.-, Partant. 11 ose.; Snèdt, 2 fer MRS, 
1 ff.; D.S.JL, 65 cts; YBapslote, 7B B. tifb 
ram «a aoowMnum* m» ZZ 
- V KUE DES ITALIENS 
75427 PARIS - CEDES » - 
C XJ. 4207-23 Paris 
XSex F*sis a? toosrs 
TéL s 770-91-29 




ouf é re n ce No rd-Su d 

principales . difficultés paraissent 


"ondamnés 




. -Jondamnéa à réussir.» C’est 
me Fou dtt nu peu partout 
4jk déléga t ions qui ont 

- - ■riencé, ce Iimdi, avenue 
‘ une nouvelle, «réunion 

aratoire» au dialogue . Nord- 
. r On disait h. mémo chose en 
*. -.'-avant la première rencontre 
•• ~ >fx# ajoutant qu'anemt d’en- 
sx n’irait Jusqu’à prendre la 
* nsabffité d’un échec. Cette 
: r . on s'est pourtant terminée 
m fiasco. 

fonrd*hni, dit-on de nouveau, 
,(r S: ru. tecès est en guetoue' sorte 
“■ Mli La principale raison èvo- 
j r est qn*un second échec 

isit cette fois mortel pour ridée 
o du «dialogue», à laquelle 

■ eux camps — pays indus- 
sés et pays, .en voie de diéve- 

- : ment — paraissent tenir. 

• . e une garantie suffisante? 

-‘■tes, la «réunion prépara- 
• est cette fois soignenae- 
préparée. Sur les questions 
mcEdnre, les Dix sont en 

■ dpe déjà d'accord et n’auront 
• ' - |tfi entériner coDective- 

- iheqo’fls ont admis Jndtvi- 
Ùândi M cours des précé- 
s_ÇQHtecte diplomatiques. Ce 
Nttni'iltt Considérablement 
fljë. -ggr . révolution de la 
dm «att-TJnls, qui, au 
m «tr,W püta- formel, se sont 
preebér ie* -thèses: soutenues 
le fier*4ôwidB. Sur le fond, 
n'est rétK ;nuds “ n’est 
l . :’i la xfamkn- dp Tàvenue 
■ déttfrfM^è-ce propos; 

. liera Alt. d m rntnrft confé- 
: . wJnlstériene qfc’ëae est 
i . te de mettre sur pied. 

s4-fl tdtemeni 



- -{L depuis avril qu’on dia- 
"îâitre pays riches et pays 
tsïrâfene aujourd'hui parai- 
êtes difficile qu’a y a six 
-JN& quel miracle les esprits 
( |-fceeuïs auraient-ils été 
» flpiÈstt . convertis ? Du 
H*' économique, une 
“tShnsê. a, changé : la reprise 
"activité industrielle et 
t -rpm late du monde occidental 
" (moins Incertaine, , mais 
de dégénérer rapidé- 
”i inflation encore phu 
■celle dn « Cycle » 
précédait. * 

cadre de chaque nation 
début des périodes de 
"tee » que les salarié se 
*ent en position de foree 
utéger leur pouvoir d’achat, 
ché du travail se tendant 
reau ; à ce moment, . les 
oemenl* parient des vertus 
(Ofitique des revenus, et les 
i se montrant mieux dfc- 
à. l’accepter . Un phéno- 
analogue h’est-H pus en 
le se produire sur le plan 
Atonal?. La nouvelle omis-, 
va provoquer une flambée 
x des matières premières, 
olente encore que celle des 
1972-1973. 

m international est toute- 
» complexe que celui des 
i l’intérieur des frontières 
des. Les pays riches sont 
V eux aussi, producteurs 
lères premières. Les Etato- 
rar exemple, occupent une 
l dominante sur les mar- 
' nÜaDen ; ils tiennent ainsi 
mttiwii le sert de pha- 
foatfons affamées. Aecepte- 
dç, mettre cette puissance 
ide là communauté in- 
? Demanderont-Ils, 

'trépans*, aux outres paya 
«fs de « rentes » dans 
. r domaines d’en *üre au- 
' >9n pense, ici, évidemment, 
ys pétroliers, mais ils ne 
.is les seuls & disposer de 
fmtages grâce à la nature 
tùstolre- 

une socialisation inter- 
[je de la rente, de tontes 
qull faudrait aboutir. 
Rogne qui commence per» 
1 d’acheminer i’hnma- 
unë telle révolution ? 


Lisez 


Monde 

plomatique 


surmontées. 


La -deuxième phase de la 
réunion préparatoire de la 
conférence Nord-Sud Test ow- 
vérte . lundi matin 13 octobre 
avenue Kléber, à Paris. Y 
participent les ' hauts, jonc- 
tUrrmatres de dix pays oit 
groupes de pays : .les Etats- 
Unis, Te Japon et la CJBJS. 
pour le monde industrialisé ; 
quatre producteurs de pitrtOe 
— Venezuela. Iran. Algérie. 
Arabie Saoudite — e£ trois 
non producteurs — Brésil. 
Inde, Zaïre 1 — pour les pays 

en voie de dêo&ap -*• " 

En. aura dernier, les pays 
en .. voie de développement 
entendaient. Ver les problèmes 
- des matières premières et du 
dévMoppemènt à ceux de 
Tènergie, et V. de Gutrin- 
' gaud '(France), qui assure la 
présidence « technique », s'est 
félicité dam son allocution 
Couverture de la 
évolution des esprits 
nue récemment. 

Alan que les Etats-Unis ne 
voulaient traiter que de Véner- 
gie, maintenant les dix parti- 
cipants semblent d’accord sur 
la procédure. 

Quant à Y épineuse question de 
la représentation de Londres, 
on ^interroge sûr le sens à 
donner à la présence dans la 
délégation" de la C&JZ. de 
deux hauts loncttonruOres 
br it a nn iques. 

A son arrivée avenue Kléber, 
M. D a v igno n, président de 
VAS K. (Agence internationale 
de l'énergie ), qui représente 
VOXLDJB. avec le statut d'ob- 
servateur, a dédoré aux jour- 
nalistes présents que, en ce qui 
le concerne, Ü était très opti- 
miste sur le - résultat de Ta 
r é u nio n préparatoire ? «Cette 
■ réunion: a-t-il âttrive devrait 
- pas durer -plus de trois Jours. - ' 

‘ fer ‘ effet, 4L; - n’y* <a -pas de 
divergences entre Us 
pants, qui se sont i . 
d’accord sur le document 
appelé consensus. - » 

Les organisateur» do la céankxi 
préparatoire devraient sa féflcRer du 
coup de tête do ML Callaghan. Sans 
le « suspense » que . la Grande- 
Bretagne fait peser depuis une 
semaine, tout lie serait-il pas. déjà 
Joué, puisqu'on nous assura que les 
dix délégations sont déjà parvenues 
à un consensus? Qui .albis s'inté- 
resserait aux discussions de revenue 
Kléber ? 

Ou cflté français^ H est vrai, on 
ne montre pas envers la dernière 
ruade du vieux non britannique 
beaucoup plus d'humour que n'en 
témoignaient n o e partenaires en 
février 1873 envers M. Job art, cou- 
pable de Jouer cavalier eeul face A 
la proposition américaine de confé- 
rence énergétique. Les argumenta 
sont les mêmes : l'obstination hier 
de Parle, aujourd'hui de Londres, va 
faire éclater la CJüLE 

PHILIPPE SIMON NOT. 

(Lire la suite page 35 J. 


GISCARD D'EST AING A MOSCOU 

Des divergences subsistent sur les prolongements 
de la conférence d'Helsinki 


M. Giscard c£Esta2n0 est atlondu à Moscou 
mardi 14 octobre à 15 heures- locales (13 hemres 
à Parie) pour une -visite officielle qui durera 
jusqu'en 18. Dans use déclaration remise à 
-la ■ Pravda ». Ü rappelle - que «-lu coopération 
franco-soviétique est un élément fondamental de 
la politique extérieure français* ». « L'histoire des 
relations fn nrfr-f yUMm y f, démontre 

qne de -lais contacta < au sommet» jouent un rfile 
dé tecm inanl 1» développe ment d p notre 

coopération. » - De -son côté, le bureau politique 
■ d u parti "* T, p 1 * t p fwwipii f e publié un comunu- 

Moscou. — A vingt-quatre heu- 
res de l’arrivée de M. Giscard 
(TKstaing à Moscou, Français et 
Soviétiques ignorent encore exac- 
tement quête textes politiques 
signeront jkL Brejnev et le prési- 
dent de la. République. Les négo- 
ciations, qui durent depuis 
plusieurs jours au ministère so- 
viétique des affaires étrangères, 
sa poursuivent encore . ce lundi 
13 octobre sous 1a direction, du 
côté français, de ML Andr«mi le 
directeur d’Europe au Quai 
d’Orsay. Qn aurait tort d’en 
conclure que les relations franco- 
soviétiques traversent une passe 
délicate : H se trouve simplement 
que, étant déjà bonnes, 11 est dif- 
ficile de les rendre meilleures, 
chaque partie cherchant hfnn 


aiqaâ galon laquai £1 ne saurait an aucun eau 
m considérer la comdstene» pacifique comme le 
maintien dn «statn quo* social et politique» ni 
■ abandonner cru même affaiblir h lutte pour 
substituer le plus tût possible an pouvoir actuel 
de la grande bourgeoisie un g ou vernement d'union 
démocratique' », 

A Moscou, les experte ont quelque peina à 
mettre au point le -document politique qui devrait 
être signé pendant la visite, las deux gouverne- 
ments s'appréciant pas de la même manière les 
suites à donner à la conférence d'Helsinki. 


De notre correspondant 

entendu à tes hTflfehlr rfnnc la 

sens de p*** désirs. 

M. Giscard (TEstalng est le pre- 
mier chef d'Etat occidental à se 
rendre à Moscou depuis le a som- 
met » d Helsinki. Les relations 
franco-soviétiques ayant souvent 
été qualifiées d’exemplaires, 11 est 
normal qu'on songe, d’un côté 
comme de l’autre, à en amtilorer 
encore la qualité. Malheureuse- 
ment, les négociateurs n'ont dels 
les mêmes 


L’idéal pour les dirigeants so- 
viétiques serait, bien sûr, que la 
France ' acceptât de signer un 
traité d’amitié en bonne et due 
forme. L'idée n’est pas nouvelle. 


Elle fut naguère présentée à 
Georges Pompidou, qui l'écarta 
poliment; elle l’a été de nouveau 
à M. Giscard dEstalng, mais sans 
grande conviction, dit-on du côté 
français. On se contenterait donc 
à Moscou d’une déclaration de 
principe, «Ton pacte ou (Ton pro- 
tocole par lequel tes deux parties, 
après référence explicite à Hel- 
sinki, s'engageraient à coordon- 
ner encore plus leur action, 
notamment en ce qui fo n of 7 ™ 
la sécurité en Europe. Les Sovié- 
tiques désirer aient a ussi que la 
France accepte de réviser cer- 
taines de ses vues en matière de 
sécurité militaire et de désarme- 
ment. . 

JACQUES AMALRIC. 

(Lire la suite page 4j 


LU.R.S.S. J5E LA MATURITÉ 

/. - Un soir à Samarcande 

par ANDRÉ FONTAINE 


Samarcande. — Magie . <Tnn 
nom- chargé de- tous tes parfums 
d ed ïtüze et Une Nuits, i&intain 
écho des' chevauchées de Gengte 
Khan «t de Tamerian. mystère 
<Pun Orient antre, 1 musulman 
sans être Proche, rouge sans 
retro u ver, un soir, à Samar- 
cande-? 

Lénine ayant écrit que les che- 
minées d’usine nanties minarets 
dn socialisme, tri pays socialiste 
de notre oonnalsamce avadt entre- 
pris sans trop te’cttre, aux beaux 
Jours de Staline, d’épotater ses 
minarets pour tes. rendre dignes 
de figurer dans les édifiants 
Chromos alors de rigueur: En Asie 
centrale, soviétique, on n’est 
Jamais tombé dans cette aber- 
ration : toutes les pierres de 


CINQUANTE CAMBODGIENS 
EN EXH. A PEKIN 
DECIDENT 

DE NE PAS REGAGNER 
LEUR PAYS 

(Libre page ZJ 


Samarcande 7 «t de Boukhara 
chantent 'la grandeur et la poésie 
de rislam- - Des trésors d’argent, 
de goût et de patience ont été 
engloutis pouf rendre aux meder- 
sas, aux mausolées, aux mosquées, 
aux dômes d’émeraude leur splen- 
deur 'passée. 

Au fronton dtene medersa, tme 
mosaïque aux couleurs vives 
attire l'attentlah. : .elle figure des 
fauves, alors que le Coran pros- 
crit 2a représentation (Tétras 
vivants. II laid y voir la marque 
de 1 Indépendance ff esprit -drun 
émir , ouzbek du dlx-septltene tiè- 
de, digne continuateur cTÜlugh 
Beg, ce füs de Tamerian, memar- 
que ôûveft : aux sciences . dont 
Laplace a pu dire qu’il avait été 
< le plus grand observateur de 
rhtstoie de Vadtronomis a 

Les adeptes dn matérifllteme 
scientifique qui gouvernent 
aujourd’hui rOusbéMstan tirent 
grande fierté de ces ascendantB 


' être elle n’est plus spectaculaire 
que dans cette région vouée, 11 
y à cinquante ans encœe^AU 
sous-déveteppement,. oxxx épidé- 
mies, à l'analphabétisme. - 

Un tour an marché de Samar- 
cande;' qui croulé sôus rabon- 
dance (tes fruits de . toutes 
couleurs, ou dans l’un de ces 
kolkhoses qui irait de rousbê- 
klstan. h lui seul, grâce à la 
mécanisation, le second produc- 
teur de coton du monde, après 
les Etats-Unis, en convainc le 
visiteur, tout autant que les sta- 
tistiques dont an le régale 

fifre ta suite page Sj 


L'élection 
de h Vienne 
et le 

«rééquilibrage > 


M. Michel Poniatowski 
ayant affirmé, Jeudi 9 octobre, 
que les républicains Indépen- 
dants constituent le « premier 
parti de la majorité et ayant 
clairement exprimé (espoir 
que les prochaines élections 
législatives permettent un 
« équilibrage nouveau » de 
cette majorité, la riposte est 
venue dés le week-end sui- 
vant Devant re comité centra/ 
de rUJOJL, MM. Bord. Debré, 
Sanguinetti et Chirac ont 
proclamé à qui mieux mieux, 
samedi et dimanche, que leur 
parti est et demeure « le plus 
Important et le mieux organisé 
de la majorité ». 

La fameuse -émulation- que le 
ministre d’Etat avait Jugée - nor- 
male- A maintes reprises, et notam- 
ment en lévrier 1975, continue donc 
d'aller bon train. On a cependant 
quelques raisons de douter qu'elle 
profite vraiment à la majorité consi- 
dérée dans son ensemble, et U ne 
semble pas que celle-ci puisse se 
targuer de la - sérénité des torts - 
dont M. Chirac crédite la formation 
gaulliste. 

L’élection législative partielle qui 
s’est déroulée dimanche 12 octobre 
dans la seconde circonscription de 
la Vienne (Châtellerault-Loudun) 
constitue, en effet, un avertissement 
pour M. Giscard (TEstalng et ceux 
qui le soutiennent. M. Abetln. mi- 
nistre de la coopération, a, certes, 
failli retrouver et m siège dès le pre- 
mier tour. 'mats, il 'est bien -foin de 
faire le plein des voix de la majorité, 
ne recueillant que 49,41 */■' des suf- 
frages exprimés, aiore que lui-même 
et son adversaire U.D.R. an avalent 
totalisé 61,18 V». le 4 mars 1973. La 
progression considérable dn absten- 
tions. et • l’accession aux urnes de 
nombreux électeurs nouveaux Incitent 
à beaucoup de prudence dans l'ap- 
préciation des transferts de voix, 
mais la déperdition est assez nette 
pour que l'on puisse avancer uns 
conclusion. 

R. B. 

(lire la suite page U J 


PRIX NOBEL 
DE LA PAIX 1975 


ANDREl D. 

SAKHAROV 

La liberté 
intellectuelle 
en URSS et 
la coexistence 

idées/gallimard j 


voués au culte des lumières, à 
une époque où la Russie propre- 
ment dite s’enchantait, au fond 
de ses ténè b res, (Traie autre 
lumière, otite dont la fol chré- 
tien» faisait resplendir ses 
Icônes. Mais 11 va de aol qu'ils 
s'enorgueillissent plus encore de 
rceuvre accomplie députe la révo- 
lution CfOctobre. Nulle part peut- 


AU JOUR LE JOUR 


LA BOITE 

Le dernier exploit du jeune 
Jean-Pierre va évidemment 
apporter de Veau au moulin 
des partisans dune justice 
exemplaire. , 

Même ri Von récuse la vin- 
dicte pubUgue, ü faut bien 
reconnaître que Von doit 
faire quelque chose des aso- 
ciaux irrécupérables. Et cela, 
même si ce n'est pas leur 
faute Mds sont asoci a ux, 
même si cfest la société qui 
est incapable de les récupérer. 

La scAuMan. comme le di- 
sait récemment un magistrat, 
■est de les enfermer dam une 
boite. Mieux vaut évidem- 
ment que la boite soit une 
cédule plutôt qu'un cercueü. 

Céda dit, on notera que les 
complicès de Jean-Pierre sont 
d’anciens compagnons de dé- 
tention. Et tout le monde 
sera d’accord pour penser 
qu’il est absurde d'enfermer 
les délinquants, en fait de 
botte, dans taie couveuse à 
criminels. 

ROBERT ESCARPIT. 


LÉS SOUVENIRS DE M. OTAB AN-DELMAS 


£’ « andewt» et Aea Limite» 


A maintes reprises, au cours de 
son septennat tragiquement écourté, 
Georges .. Pompidou avait évoqué 
devant ses hôtes une matinée qui 
l'avait fortement marqué, celle du 
29 mal 1968, Avant de dtoparSftre 
pendant plusieurs heures ft destination 1 
de Colombêy-les-Deux-Egrîeea, vie 
Bedan-Baden, Charles de Gaulle 
avait eu, ce Jour-là, avec son premier 
ministre une lapidaire conversation 
téléphonique dont la tendre conclu- 
sloi. — - je vous ombrasse - — avait 
vivement surpris le destinataire. Dans 
r Ardeur (1), premier livre de 
M. Jacques Chaban-Oelmas, cet épi- 
sode de la V* République, qui n’est 
point essentiel, mais n’esl pas négli- 
geable, est relaté de façon bien dif- 
férente : - Georges Pompidou nous 
révéla qu'ayant demandé un entretien 
au général de Qaulte sur ce sujet 
[l’opportunité de dissoudre l’Assem- 
blée nationale] 0 avait eu beaucoup 
de peine A r obtenir, et, reçu briève- ■ 
ment, n'étalt parvenu A aucune 
conclusion. Il ajouta que, eu moment 
où II prenait congé, le général lui 
avait dormi f accolade en disant : 

- Je vous aime bien. » Cette attitude 
Insolite Bvïüt Intrigué et troublé 
Georges Pompidou. - 

Compte tenu du très grand dé- 
sordre où les - événements - de mai 
1868 avalent plongé les esprits — et 
pas seulement au sain de la majorité 

— ou ne saurait faire grief à 
M. Cha ban-Delmas d’avoir, sur ce 
point, une mémoire infidèle. Ce qui 
gflne. plue généralement, à tira ses 
souvenirs, c’est que cette mémoire 
soit i la fols Insuffisamment et exces- 
sivement sélective. C’est aussi qu'il 
ae soit limité à un seul livre pour 
y condenser péle-méle ses souvenirs 
de résistant, de parlementaire, de 
maire de Bordeaux, de premier mi- 
nistre et . de candidat malheureux à 


fl) L'Ardeur, par Jacques Cùaban- 
Polmao. Bdlttoite Stock, Farts, 433 p* 
4S 7. 


la présidence de la République. Dans 
la mesure où II est toujours difficile 
de se raconter sol-môme, sans rien 
omettre, peut être chacune de cas 
expériences eût-elle mérité un vo- 
lume. A partir .du moment où le 
risque était assumé de ne consacrer 
qu’un seul ouvrage à trente années 
de vie publique, riches et diverses, 
on ne pouvait tout exiger de l’auteur. 
Or attendait cependant de lui un peu 
plus d’inédit 

Nous contant sa * longue histoire 
d’amour avec la France » et se mon- 
trant décidé ft demeurer * cet homme 
en mission qui ne se retire pas du 
leu de la France -, l’auteur de 
r Ardeur nous émeut, assurément, 
dans plus d’un chapitre de son livre, 
mais il nous laissa trop souvent 
l’Impression qu’il ne s’explique pas 
vraiment ft fond et se présente sous 
des traits trop flatteurs. Lorsque, par 
exemple, !] évoque les onze années 
qu’il passa au - perchoir - du Palais- 
Bourbon, Il ne manque Jamais de 
se décrire comme un ardent défen- 
seur du Parlement II semble 
oublier, en revanche, que lorsque, 
le 17 mars I960, de Gaulle avait 
refusé la convocation de r Assem- 
blée nationale en session extraordi- 
naire (alors que l’article- 29 de le 
Constitution l’y contraignait), le 
président de l’Assemblée national a 
n’avalt rien trouvé ft redire au 
« non » du fondateur de la IP Répu- 
blique ni A [Interprétation très fibre 
des textes sur laquai l s U avait fondé 
sa tin de non-racevolr. On s’éton- 
nera aussi que notre auteur sa dé- 
tende d’avoir Inventé la théorie du 
- domaine réservé » du chef de 
l’Etat — « // est, écrit-il, des mythes 
qu'il faut tuer plusieurs fols.* — 
alors qu'il avait bel et bien défendu 
cette thèse devant les premières et 
très houleuses assises de. l’UJLR., 
en novembre 1859. 

RAYMOND BARRJLLON. 

(Lire la suite page MJ 








Page 2 — LE MONDE — 14 octobre 1975 


ASIE 


Cambodge 


Laos 


déçus par ue nouveau régime dh PHNOM-PENH Les fête s du trentième anniversaire de l f indépendant • 

Quelque cinquante Khmers vivant à Pékin ont consacré la prise du pouvoir par les révolutionnais 


ont refusé de rentrer dans leur pays 


Quelque cinquante Cambodgiens 
qui, depuis uns, faisaient par- 
tie de la suite du prince Slhanouk, 
à Pékin, ont refusé de regagner 
leur pays, rapporte l’AJFJ?. Us 
ont quitté Pékin pour la France, 
où Us ont reçu un permis de rési- 
dence permanente. Parmi eux 
figurent le major Buor HuoI, 
ancien commissaire principal & 
Fhnom-Fenh, et ancien aide de 
camp du chef de l’Etat, le colonel 
Oum Mannorine, beau-frère du 
prince et »nrf«n ministre de la 
sécurité, et la belle-fille du prince, 
la princesse Turaneath. 


tation et n'ont pu se déplacer que 
dans les environs immédiats du 
palais royal, toujours en compa- 
gnie d*un « guide ». 

Tous les magasins sont fermés, 
le nombre des bonzes & forte- 
ment diminué dans les pagodes de 
la capitale^ celles qui restent 
ouvertes n’en comptant chacune 
que cinq ou six contre parfois 
trois cents auparavant. 


Des usines dirigées 
par des techniciens chinois 


Se réclamant du programme du 
Front national uni du Cambodge, 
ces personnalités écrivent, dans 
un document remis à l'A.FP-, 
qu'elles ne sont pas opposées au 
gouvernement, maïs veulent 
a voir son -programme politique 
demeurer pour toujours la- base 
essentielle de notre politique, pour 
la reconstruction nationale ». Elles 
estiment que « la situation actuelle 
au Cambodge n'est absolument 
pas conforme n & la ligne du pro- 
gramme qui garantit les libertés 
démocratiques. Plusieurs collabo- 
rateurs du prince Slhanouk 
avaient accompagné en septem- 
bre le chef de l’Etat à Fhnom- 
Fenh, mais ils sont tous revenus 
en Chine ensuite, à l’exception du 
premier ministre, M. penn Nouth. 

n convient de signaler que les 
Cambodgiens faisant partie de 
l’aile révolutionnaire du Front 
uni et qui se trouvaient à Pékin 
sont rentrés au Cambodge, ou le 
représentent & l’extérieur (àl’ONU 
en particulier). Le prince Slh&- 
nouk a, de son côté, choisi de se 
placer au service du nouveau 
régime. Les membres de sa suite 
qui ont choisi l’exil en France ne 
pouvaient, & l’évidence, s’adapter 
aux dures conditions du Cam- 
bodge révolutionnaire ; le passé 
de certains d'entre eux est fort 
lourd, plusieurs de ces personna- 
lités ayant eu, avant 1970, la haute 
m H-in sur les circuits de la cor- 
ruption. 


Tous les habitants 
auraient changé de nom 


Certains Cambodgiens qui .ont 
récemment accompagné le prince 
Slhanouk & Fhnom-Fenh ont, 
d’autre part, apporté quelques 
précisions sur les événements 
intervenus en avril dans la capi- 
tale et sur la situation actuelle 
Hans le roya ume ; 


Us ont Indiqué à l'AJF-P. que le 
général Lan Non, frère du maré- 
chal Lan Nol a été lynché par te 
foule, tandis que MM. long Boret, 
premier minis tre, et Siris 
Natak, ministre de te défense — 
ce dernier un moment réfugié a 
l'ambassade de France — étalent 
passés par les armes en meme 
temps que plusieurs généraux et 
officiers supérieurs. 


Ces de la situation à 

Phnom-Penh ont aussi rapporté 
que tous les Cambodgiens, à 
l'exception des hauts dirigeants, 
ont dû. abandonner leur identité 
pour adopter un nouveau nom 
choisi par les autorités. Cette 
mesure a même frappé l’un des i 
lis du prince Slhanouk, le prince 
Slhamoni, qui a perdu Bon nom 
et s’est vu attribuer celui de 
Camarade Pom. 

Cette décision serait principale- 
ment destinée à empêcher les 
opposants au régime d’établir des 
contacts entre eux. Un mem bre 
de l'entourage du prince, qui se 
trouvait encore récemment & 
Pékin et a quitté la Chine pour 
Paris, a commenté ainsi ses réti- 
cences a retourner dans son pays : 

€ Pourquoi rentrer au Cambodge ? 
Je ne pourrai jamais retrouver 
mes douze enfants qui ne portent 
même plus mon nom. » 

Une autre mesure de sécurité 
consiste à implanter dans les 
zones frontalières des partisans 
inconditionnels du nouveau 
régime, les éléments aux positions 
e douteuses a, peu sûrs Idéologi- 
quement, devant s'établir dans tes 
réglons centrales. 

Les Cambodgiens rentrés de 
Phnom-Penh a la fin de sep- 
tembre ont déclaré ne pas avoir 
tembre ont déclaré ne pas avoir 
reconnu leur capitale qu’ils ont 
qualifiée de « vüle morte ». Sa 
population actuelle, estiment-ils, 


atteint tout au plus cinquante 
mine personnes. Elle est composée 
de membres des forces armées, 
dont chacun, ont-ils noté, doit 
arborer un Insigne spécial pour 
pouvoir circuler. 

Les membres de l'entourage de 
Norodom. Slhanouk ont été sou- 
mis, eux aussi, & cette réglemep- 


• Le prince Sthanouk a re- 
gagné Pékin dimanche 12 octobre 
a la suite de son voyage à New- 
York et à Farts. H se rend mardi 

à Pyongyang. I 


• Motion de réfugiés khmers. ■ 
— Le général Sosthène Fernandez, 
ancien ministre de la défense du 
régime a républicain » au Cam- 
bodge, réfugié à Paris, a diffusé 
le texte d’une motion adoptée par 
un groupe de réfugiés khzners à 
Bangkok, qui accusent les Khmers 
rouges de « génocide » à l’encon- 
tre des partisans du maréchal 
Lan Nol et du chef de rextrâme 
droite, M. Son Ngoc Thành, et de 
partisans du prince Sthanouk. 


Certaines usines qu’lis ont visi- 
tées dans les alentours de Phnom- 
Penh fonctionnaient grâce au 
concours de soldats cambodgiens 
et d Ingénieurs chinois. Les 
témoins ont signalé l'existence de 
certaines rreinpa entièrement mon- 
tées par la Chine et dirigées par 
des techniciens chinois. 


de chaque personne sont déli- 
vrés par ces comités. 

' Au cours de son voyage, le 
prince Slhanouk a visité des ri- 
zières à wp* dfaatoft de kilomètres 
de la capitale et une usine de 
tissage située & même distance. ; 
Il a fait une brève croisière sur , 
le Mékong, au cours de laquelle 
lui ont été montrés les dégâts 
causés par la guerre. Le prince 
n'a pas pu se rendre, nomma a 
en avait l'Intention, au temple 
tTAngkor-Vat, dans le Nord du 
pays, pour y déposer tes cendres 
de sa mère, te reine Sisowath 
Kossamafc. décédée & Pékin en 
avrlL 


Vlentiane. — Depuis Je 12 octo- 
bre, un nouveau drapeau — trois 
bandes horizontales, rouge, bleu, 
rouge, avec au centre un rond 
blanc — flatte sur le Laos. Il fut 
pendant longtemps l'emblème du 
Front patriotique (le Pathet Lao). 
L'ancien drapeau rouge frappé 
de l'erawa n blanc — éléphant 
tricéphale surmonté d’un parasol 
bouddhiste & sept étages — a pra- 


De notre envoyé spéciol 


quartiers. Mais plus importants 
ont été tes séminaires préparant 
les Laotiens aux changements 
politiques qui seront accélérés au 
cours des derniers jours : annonce 
de nouvelles élections pour avril 


tiquement disparu de te capitale. 
Dimanche, lors des fêtes organi- 
sées & l'occasion du trentième an- 
niversaire de lin dépendance, 11 
flottait seulement sur la tribune 
officielle. « Pour faire plaisir au 
roi ; Vautre, c'est le drapeau du 
peuple ». dit 1e président de l’As- 
sociation des enseignants. 

Le principal événement a été 
le dénié 'organisé sur l’immense 
esplanade du - That-Luang. Com- 
mencé le matin à 6 h. 30, alors 
que 1a pluie cessait & peine de 
tomber, il a réuni plus de cent 
mille personnes pataugeant dans 
1a boue rougeâtre, chantant, bran- 
dissant le poing, criant des slo- 
gans. Des chars décorés 
représentaient les différentes ad- 
ministrations. L’atmosphère était 
calme, sérieuse, toute différente 
de celle de la soirée : une foule 
encore plus nombreuse est alors 
venue assister au feu d'artifice 
offert par les Chinois et à de 
nombreux speotacles. 

Cette fête avait été répétée 
pendant longtemps dans toutes 
les administrations, dans tous les 


1976, qui seraient suivies d’une 
révision de te Constitution, 


Us ont aussi rapporté que la 
population est organisée m « co- 
mités » dont les dirigeante sont 
nommés par tes autorités. Ces 
comités sont responsables de la 
distribution de la nourriture, qui, 
en l'absence de mHgtudnw et de 
toute circulation monétaire, est 
attribuée aux habitants en fonc- 
tion de leurs a mérites ». 

Des laissez-passer requis pour 
le déplacement & travers le pays 


[En Afrique noire, plusieurs gon- | 
reniements ont contraint 2e* habi- 
tent» & abandonner lents prénom» 
Chrétien», et, dans «■***»<"« cas, lent» 
noms patronymiques, lorsqu’il» 
étalent d’odglna étrangère. C’est 
pour lutter contre r aliénation cultu- 
relle, et an nom du ret our «« 
s o urce» de l’africanlté, qne le gou- 
vernement dn général Mobutu Sexe 
Seko (anciennement Josepb-Déslré 
Mobutu}, an Zaïre, dn défont pré- 
sident Ngarte (Kt-François) Tombal- 
baye dn Tchad, et dn général 
Gnasslngbe (ez-Etienne) Byadema 
dn Togo ont demandé & leur» 
compatriotes d'imiter leur exemple, 
en cbd «lasant des prénom» e au- 
thentiquement » africains.] 


révision de te Constitution, 
suppression de te police mixte, 
qui devient « police de protection 
de te préfecture de Vlentiane », 
changement de drapeau, tandis 
que l’expression « royaume du 
Laos ». est de pllus en plus sou- 


Phomvihane ont pris la pana 
dernier a rappelé les t- 
années de lutte du peuple là 
sous 1a direction du meuve 
révolutionnaire issu du parti 
munis te Indochinois. lia h 
sur 1 a solidarité des trois pe 
Indochinois et estimé que la 
toirc du peuple laotien est 
te victoire du Vietnam e 
Cambodge, ainsi que celle 


socialistes des cinq contins 
du monde épris de paix, 
remercié l’Union soviétique 
Chine, avant de lanoer an 
k Washington : « Nous aum 
bonnes relations avec Je SK 
nement américain s'ü re. 
notre indépendance et notre 
grité territoriale et s’ü 
d'aider les réactionnaires a 
filtrer chez nous et à se 
de nos affaires intérieures ». 
déclaré. 

Toute autre a été l’attitw 
dirigeante laotiens à l'égard 
Thaïlande voisine. A viee 
dans son discours pronon b 
vant le corps diplôme 
M. Meune Somvichith. pré 
du comité d'insurrection 
prisé du pouvoir de la préf 
et de te province de Vier 
partent aussi au nom du c 
révolutionnaire, a déclaré ' 
qu’à présent. Je poucera- 
thaïlandais n'a rien cbangt 
sa politique. Il continue i 
tenir et aider les réaction 
laotiens par tous les n 
créant et provoquant des 
blés et l'insécurité à la fro. 
exerçant des pressions éco 


vent remplacée 
Enfin, tout au 


le mot Laos, 
des discours 


des communiqués, le caractère 


révolutionnaire du peuple laotien 
et de son principal responsable, 
M. Kaisone Phomvihane, ont été 
soulignés. 


Vives attaques 

contre la politique thaïlandaise 


A Vlengsay. prés de Sam-Neua 

— la « capitale » du Pathet -Lao, 

— où se déroulaient les principa- 
les cérémonies, en présence des 
dirigeants révolutionnaires et de 
délégations de pays frères, on 
notait la présence du vice- 
premier ministre cambodgien. 
M. Ieng Sarv, premier dirigeant 
cambodgien a se rendre àu Laos 
depuis 1a victoire. Le prince Sou- 
phanouvong et M. Kaissone 



eues et commerciales (-). C 
des actes de complicité avet 
périalisme américain 
avons le droit sacré de not 
tendre pleinement. » 

L'ambassadeur thnTtftriHat 
avait reçu son Invitation la 
seulement, n’avait pas 
content. Mois une délcgatli 
cialiste est venue de Bang 
l’occasion des fêtes. Un c 
membres, député du Front 
Ciste uni qui s’est batte 
côtés des Laotiens conta 
Fronçais avant de vivre a 
en Indochine et en Chine, 
a affirmé que la rfivolutior 
tienne avait un certain t 
sur l’autre rive dn Mékong, 
population écoute, selon lui 
sympathie Radio- Vlentiane. 

La révolution graduelle e 


ciflque qui se déroule au 1 
atteint, le 12 octobre, un tou 
décisif. Cette date est imper 
car elle commémore l'ind 
dance proclamée en 1945 con 
Fïançaïs par les Laotiens t 
1 indépendance octroyée par 
le 19 juillet 1949, qui étali 
Qu’à présent commémoré 
i ancien régime. La prise 
voir par tes révolutionnai!* 1 ■ ■ ■■ 

désormais consommée « 
bain de sang ». a tenu à pi 
M. Kaisone Phomvihane — i 
la bannière du parti révolrtfta Cft *-mï 
naire , « qui a eu une ligne bi i L' ; j 
que clairvoyante et fusU, « 
est toujours fidèle à luf-mê», « 
fidèle aux intérêts du potpl, vSQTPl P Pt 
PATRICE DE BE 


ivrmf 

“ ■ t ir± « 1 


Ï f* r î 1 1 

ili -lill 


Corée du Siif 


Huit mois, c'est une carrière courte pour 
une voiture. I^pemièresdéfeillances sont encore loin. 

Mais si nous attendions la première 
d éfa i ll a n ce pour mettre nos voitures à la retraite, 
nous prendrions un risque considérable : celui 
qu'elle se produise avec vous. 

Cardans c^cas, vous nous en voudrez 
beaucoup et vous irez chez notre. concurrent à la 
première occasion. .... 

En disant beaucoup de mal.de nous 
entre temps. 

Au contraire, en refusant de vous fournir 
autre chose qu’une belle voiture impeccable 
et en pleine jeu ne sse, nous sommes sûrs de notre 
petit effet : vous aurez un pincement de regret 
en venant nous la rendre: • . 

Et la prochaine fois, c’est chez nous 
que votis retiendrez. 

Finalement nous sommes des gens très intéressés. 

Avis loue des Simca-Ghryskr et d’autres 
grandes marques. _ * 

Avis. 

Profitez de nous. 


■ LE SORT DIT POÎIE ■ 
KIM Cfll HA INSPIRÉ 
DE GRANDES INQUIÉTlfl 


. ^Inquiétude grandit au 
du sort réservé par le régis 
Séoul au grand poète snd-o 
Kim Chi Ha. L’écrivain 'é 
Uqu* qui est né en TMV* 
été arrêté en 1964 pan?--. . 
dirigé une manifestation: 4 m 
di an te» Nouvelle incarcératio - 


. W70, puis en 1972. En JuiHl» 
Kim Chi Ha est condamné à - 
(U avait été torturé pour . 
dén oncé dans un poème te*ti 
ture du président Park> ; la i 
sera commuée en prison & y 
bénéficie d’une gr&ca en ». 
1975, est une fols encore es 
sonné en mars pour six ,! 
Théoriquement du moins,- <s ' 
se trouve toujours en prison 

La commission française 3à 
et Faix (71, rue Notre-Dame' 
Champs, Paris -6») lance ufl 
a alarme et publie mm I' 
adressée par gim Chi Ha à T 
«dation nationale des pn 
pour la justice, dont font P' 
quelque trois cents prêtres, 
six cent trente-neuf quft .cat 
le clergé sud-coréen. 

I* poète écrit’ : « Je sut* 
secret, enfermé dhns un on 


obscur {—). Non, je ne «ri»; 
un communiste. Mon omm 
à V oppression et à l’oxfioitat 
mes espoirs dans te révoUitâT, 
sont nullement dus au fait 
je serais «n communiste. Us t 
dus au fait que je strie vn cat 
Uque radical (-). vous, prit 
vous portes une grande respot 
büüé. Naturellement, ctest su 
une piste pleine de dangers, 
de vouloir travailler à la roa 
ration de la démocratie dt- 
bien-être matériel du 
Le seul moyen de constnarej 
nation tarie, c'est ffobager: , 
régime à reconnaître setrf *& | 
sabmtés dans le désastre jW 
ü conduit fi* pays et de Ptwdr 
à s’en aller. » 


LE JAPON A OUVERT ® 
AMBASSADE À SAN. 1 . 

samedi 11 octobre. . 1 *^ 
jour. Hanoï et Tokyo ont sj.. 
un accord sur HoctMl J* 
aide d’enviitm H mllUoB*’ 
francs du Japon *** 



y 

s' 

* 













LE MONDE .— 14 octobre 1975 — Page 3 


EUROPE 


d e 

p0 ' '« 2S 

■ tv 0/w: 


Espagne 



procédure « expéditive > ne sera pas appliquée 
aux terroristes actuellement détenus 


• Portugal 

Les < commissions » populaires rassemblent désormais 
r essentiel de l'opposition d’extrême gauche 


- Irld tASJP n — Au- 

■■■ es militants de J 'ETA on du 

‘ détenus actuellement dans 
. .. iaons espagnoles ne sera 
; Suivant la procédure sttma- 
(expéditive), apprenait- 
: , samedi il octobre a Madrid 
turce officielle. Cette procé» 
:■ ne sera pas appliquée no- 
ect pour le Basque Pedro 
■to Ferez Beotegui, arrêté & 
* loue, et pour José Ignacio 
Arregui, arreté A Madrid. 

- <nt, l'un et l’autre, accusés 
yr participé à l'attentat qui, 
y rerabre 1978, a coûté la vie A 
'/si Luis Carrero Blknctx. Us 


passeront en Jugement selon la 
procédure ordinaire tribunaux 

TTHIIfarfr-^ 

- i*a procédure « expéditive », in- 
«fiqnc-fr-on de même source, pour- 
lalt ètre rétamé, par contre, en 
cas de nouvelles ar re s t ati ons : si 
la ponce parvenait A retrouver les 
auteurs des assassinats ou atten- 
tats qui, depuis le. 27 septembre. 
Ont COÛté la Vie A rfnn pnUrj pr ^ a 
B arcelone et A Madrid, et A trois 
gardes clvüs A Ouata. au Pays 
basque. 

D’autre twt*. onze m tiBlii ea de 
l’ETA, arrêter comme Ferez Beo- 
tegui et MugLca Anegui, les 17 et 


18 septembre, ont été la fegé s t*r\ 
liberté provisoire en 
d'être traduits devant dfis jtrridto- 
tiora civiles, ce qui. selon les mi- 
lieu x Ju diciaires madrOénes, 
■confirme un. soud de modération 
de la part des autorités espa- 
gnoles. 

L/Espagne a, ' par auteurs, ' 
célébré;, le dimanrihe 13 octobre, 
l’anniversaire de l'entrée en 
guerre en 1942, aux côtés des 
forces de . l’Axe sur le . front de 
Russie, de la division Ami. La 
presse a rappelé l’événement, 
mais aucune cérémonie -officielle 
n'a eu lieu. 


Maison Blanche redoute une intervention du Congrès 
dans les relations américano-espagnoles 


Vàiington. — Les événements 
‘ ■■ ■ igné sont euivîs de très prés 
■ -Jas milieux proches du dépar- 
i d’Etat, qui craignent malnte- 
' [jue « le cycle de violence », 
-.-■r express ton du président Ford, 
-lissa par remettre en question 
■ • jvel accord- quinquennal négocié 

- '-'le gouvernement de Madrid au 

des bases. 

- .fait, avec quelque retard, Topt- 
-. commence A réagir aux Avé» 

iis d’Espagne, comme en témoi- 
''-i nombre grandissant de lettres 
cteura aux Journaux, les uns 
.j’ iblBS, les autres — apparem- 
. . une majorité — défavorables au 
'ilsme- De même au Capitole, 
; urs parlementaires ont . pris po- 
, comme ie sénateur Stevenson, 
jnseillent à M. Kissinger de 
fldia la négociation de raccord 
m de ne pas compromettre la 
Mité de s’entendra ultérieure- 
. avec fa gouvernement qui suo- 
• n à fa - dictature actuelle ». 

ur ie département d’Etat cepen- 
, Tudllsabon dès bases espa- 
èsr conridéréee comme indispen- 
jw ni systàme de défense occi- 
tal, conserva la' priorité, et ce 
nt de vue, dH-on, est partagé par 
autres dirigeants de - l’alliance. 
Iles que «oient leurs réactions 
. mouvements et aux pressions de 
optofons publlquat respectives. 


De notre correspondant 

Mais les milieux officiels s'inquiètent 
des réactions du Congrès si la situa- 
tion Intérieure s'aggravait brutale- 
ment Jusqu'à présent, en effet, le 
contrôla du Congrès ne s'est pas 
exercé sur -les relations américano- 
espagnoles. Le premier accord de 
.1953 sur les bases ainsi que celui 
de 1870 ne lui ont pas été soumis 
pour. ratHIcaGon par ta Maison Blan- 
che. qui .a.. toujours fait valoir qu’il 
s'agissait d' « executive egreemanta » 
(conventions Intergouvemementales), 
échappant & la compétence du légis- 
laüT. Mais, déjà à cette époque, cer- 
tains membres du Congrès estimaient 
que r arrangement sur les relations 
de défense entre les deux gouver- 
nements était assez Important pour 
être assimilé à un traité et, comme 
tel, exiger l'approbation du Congrès. 

Dans ce oon texte, on craint que 
1e congrès démocrate, enclin A 
réaffirmer soc rôle et ees respon- 
sabilités concernant les grandes 
options de la politique étrangère, A 
demander que le nouvel accord 
quinquennal lui soit déféré- sous uns 
forme . ou sous une autre Pour pré^ 
venir l'initiative du Capitole, le 
gouvernement envisagerait dé pré- 
senter au Congrès l'accord -sous 
forme d'une résolution conjointe, 
dont l'adoption, à ce Stade, ne 
sembla pas- foire de. douta/ D 


affirme toujours que les dispositions 
de raccord n 'Impliquent aucune obli- 
gation des Etats-Unis de défendre 
l'Espagne, co n trairement à ce que 
soutiennent les critiques du régime 
franquiste et le gouvernement de 
Madrid lui-même. D’autre part. D 
déplairait au gouvernement de Wash- 
ington d'avoir & faire état publique- 
ment d'étroites relations ds coopé- 
ration avec r Espagne et . A - affi- 
cher» ainsi son appui A un régime 
décalé par la majorité de ees parte- 
naires européens. 

HENRI PIERRE. 


• Le torero Manuel Sentiez 
s El Cordâtes » a été blessé aux 
jambes par une vachette le diman- 
che 12 octobre, n s'entraînait en 
prévision dîme corrida qu’il vou- 
lait offrir Jeudi prochain, . dans 
les arènes ds Madrid, an bénéfice I 
des familles des policiers tués 
récemment par ■ Mtrtmîntei 
anti-franquistes. Ses médecins loi 
ont ordonné de garder le lit pen- 
dant un mois. — (A.F.P-) 

• L’Association des rescapés de 
Buchenwald-Dom, réunie en 
congrès Tm.ttnwa.1 à Dijon, a .voté 
une motion .de « solidarité au 
peuple espagnol », dans laquelle 
elle demande ait président de la 
République, et an gouvernement 
« -dé rompre toutes relations avec 
VBspagne de Franco ». ’ 


Ligue arabe se réunifiât le 15 octobre aa Caire 
pour examiner la situation aa Liban 


-ttafze par» (la Ma uritani e, la Tanin». Qatar 
ïgypfta) avalant accepté, lundi 13 octobre. !* 
nfion koweïti e n n e de convoquer usa session 
de la Ligne arabe au niveau des 
des affairai étrangères pour examiner 
. r n»Han au T.üi»n. La réunion* pour laquelle 
■ ‘ jnth i donné son acc or d, doit avoir lieu mor- 
au Caire. 

S ‘ ' Beyrouth, le quotidien «AI Chark » (jwo- 
. -, -fl a que ML Arafat assisterait ce 

J «de fagon exceptionnelle» à la sixième 


.réunion du « comité na ti o n al poux le., dialogue» 
st lm remettrait un m é m ora ndum exposant 
« objectivement le point de vue de TOiLP. sur 
les relations llbano- p al esti n ie nne* de façon à éHr 
wh'im 1 dans ravenïr .toute tentative d'exploi- 
tation 

Dans une interview au magasin» a méri c ai n 
■ Newsweek». M. Tgal AUon. ministre israélien 
des affaires étrangères, a déclaré que son pays 
n’excluait pas une intervention, militaire sa Liban 
en cas d/Suvasiou de ce pays par la Syrie. 


routh. — Uhanimes A soûs- 
&u cessez-le-feu. les Uba- 
» montrent sceptiques quant 
lances réelles dîme narma- 
n qui leur permettrait de 
*r après la demi ère flam- 
; violences. 

- accalmie est certes stena- 
xüs samedi après midi dand 
es points chauds, A Bey- 
comme A Tripoli. Mais ân- 
es problèmes soulevés par 
•lncipaux antagonistes n’a 
glé. le fait que les Syriens 
accepté de parrainer une 
ton « sauve-ifut-peut a de 
x civile ne semble pas de- 
ufflre pour convaincre les 
i concernées de renoncer A 
amhat. 

Tait remarquer A ce propos 
tm. RachM Kit ramé, chef 
tvemement libanais, et Yas- 
râfat ne pouvaient pas, A 
uls, répondre du comporte- 
de tous les combattants. 

; Us l'ont fait Jeudi dernier 
arm-t Quand le leader de aans et 
*, ajoute- t-on. prend sur que les 
> garantir l'application du Kansso, 
-Ie-feu rio-Tia le camp pro- parti B 
te, H. cautionne, en fait, la 
des adversaires de la gau- 
lai ont constamment sou- 
lue le conflit oppœc, en. 
es T.ihanRis aux Pal csta- 
et porte plus particulière- 
sur le droit de l'Etat de 
rer son autorité sur tout le 
ire libanais. Cette analyse 
stée par lé Front des forces 
Son chef, M. Katmai 
lafet, a toujours insisté sur 
ictère proprement libanais 
ufcte tpn, selon lui, met aux 
la classe politique au pou- 
ratesiue par les troupœ de 
les Kataëb (phalangistes) 
partisans du changement 
ai tés par la gauche, 
ébat fondamental est coin*- 
par les riTcggngions A lin- 
de la résistance et par 
i des adversaires du presj- 
e I'OJjJP., regroupés dans le 
arabe du refus, et qui se 
lllés à certaines formations 
jes de gauche, 
divisions expliquent aussi 


De notre correspondant 

les discussions concernant une 
éventuelle participation de l'OJLP. 
A la conférence de la lègue arabe, 
qui doit se tenir, en principe, au 
Caire mercredi 15 octobre. Selon 
r agence d’information palesti- 
nienne Wafa, l'organisation dé 
M. Arafat n’a pas encore arrêté 
sa position A ce sujet. M. Kamal 
Joumblatt, de son coté, s’est Inter- 
rogé, dons une déclaration A la 
presse, -sur l'opportunité dîme 
participation palesti n i e n n e A un 
débat de la Ligue arabe, cà moins 
que celui-ci ne porte exclusive- 
ment sur la crise intérieure liba- 
naise et qtfü n'aborde surtout pas 
les relations Ubano - patesttrciBn-, 
nés », comme le souhaitent les 
KataSb. C’est aussi Pqphnou. I du 
mufti de J& République, le cheikh 
TTajamn Kbaled, qui a soutenu 
dans 6on prêche, a l’occasion de 
la fête du Htr, que « fa* ValesU- 
mens ne sont pas partie prenante 
dans ce conflit, qui ne concerne 
que les Libanais ». M. Assem 
KansBO. secrétaire géné rai du 
parti Base libanais (pro-syrien), 
estime, quant A lui, que .«personne 
ne doit s’immiscer dans les affai- 
res intérieures libanaises et dans 
tes relations Ubano-palesOnietmes, 
à l’exception des Syriens dont 
les intérêts et la sécurité sont 
indissolublement liés à ceux des 
Libanais, et inversement». . . 

Beyrouth offre aux quelques 
automobilistes qui osent s’y aven- 
turer le spectacle de la plus 
grande désolation. Le centre 

comm ercial est A mc^tié Incendié: 
Tjr forces de sécurité intérieures 
— gendarmerie et .police — ten- 
tent de démanteler les barricades 
« échang eant * la démolition d’un 
barrage -de sacs de sable « musul- 
man » contre celle d'un autre 
riarw ie quartier chrétien voisin. 
Elles n’utilisent leurs bulldozers 
qu’après l’accord des combattants 
de chaque bord. Dimanche, il leur 
a fallu parlementer pendant trois 
heures pour c convaincre » les 
responsables de l'un et l’antro 
«w»p* Rumedi la .léconcDJatian 
populaire darut le secteur de 


Chlah ATn si Remmaneh avait 
été nar r assassinat dlm 

chef mülclea totaëb, M. Mazranl, 
membre de la délégation chré- 
tienne. qui venait de fraterniser 
avec un groupe de c ombattants 
musulmans. Le parti de M Ge- 
mayel avait réagi aussitôt en 
kidnappant wia rilwainw d’otages, 
et avait refusé dé les libérer tant 
que l’assassin du TF lfl<fft ‘ l>n phalan- 
giste ne sa serait pas livré A la 
Justice. ’ Si 'de fais Incidents 
devaient *se répéter, on se 
demande si les dirigeants politi- 
ques dan* les deux camps 
seraient encore capables de maî- 
triser leurs partisans. 

ÉDOUARD SAAB. 


Alors que manifestations d'extrême gauche et 
cfmtze-xuazdfestations se multiplient A travers le 
pays, le gouvarn e msnt portugais parait de plus 
eu plus incapable de rétablir r « ordre » et la 
« discipline », que souhaite r amiral Plnbeizo de 
Awvedo dans un» interview & « Time s. Dans une 
communication au pays, le premier ministre de- 
vait annoncer ce lundi soir des « mesures impor- 
tantes ». B pourrai! no tammen t prqÿoaer que lé 
président Costa G cm es abandonne la cBxection 
des forces armées au profit du général Manuel 
Franco Charnu, commandant de la réffîon mili- 
taire de Coünbra, et qui a la réputation d'être un 
« homme d'ordre » favorable aux « modérés ». La 
nomination d'un chef d'état-major énergique a 
d'ailleurs été réclamée une nouvelle fodi diman- 


che par M. Sa Cameiro. dirigeant du parti popu- 
laire démocratique. 

- Sortant pour sa part du silence qaH avait 
observé depuis sa démission, le général Gonçal- 
Tu, ancien premier ministre, a déclaré au journal 
belge « Hebdo 75 ■ z « SU n'y a pas un combat 
décidé ds là pari des ouvriers, mus évoluerons 
vers. la droite et peut-être le f ascisme . Peur nous 
il n'y a pas 'd'alternative. Ou noue a v ançons tbxs 
le socialisme ou c'est la fascisme. » A Porto, où 
te calme est r uvenu après les violente incidente 
du 10 octobre, les militaires d'extrême gauche 
occupent to uj o u r s , depuis une semaine mainte- 
nant, les b&timents du RASP (régime ni 
d'artillerie lourde). 


Lisbonne. — lies 

se succèdent désonnais A un 
rythme Jamais connu. Samedi 
11 octobre, des milliers de mani- 
festants ont exigé la fin des 
« épurations à gauche », la réin- 
tégration des « officiers progres- 
sistes » an sein du Conseil de la 
révolution et l'expulsion hors des 
casernes des c mmabes réaction- 
naires ». Cela s’est passé A Tor- 
res-Vedras, vüJe agricole située A 
40 Küomètres au nord de Lis- 
bonne, mais aussi A Covanie- 
Ptodade et A B&rrelro, importants 
rp n i i -pM industriels de la banlieue 
« rouge » de la capitale. 

Dans tons les cas, ces manifes- 
tations s unitaires » ont été 
convoquées par les « organe* du 
pouvoir populaire » r les commis- 
si ans Ce quartiers et les co mm ia- 
i siens de travaDlems. Prévues 
dans le e docsment-guMe de Val- 
Uance parple-MJ'JL », approuvées 
au cours- de rassemblée du MJPVA, 
le B JufDêt 1975, ces structures ont 
connu un succès considérable. 
Elles sont devenues des lieux de 
rencontre pour un grand nombre 
de militants de gauche, ' après le 
nçpli amorcé par certains partis 
— notamment le parti commu- 
niste — pgndanfr l'offensive « mo- 
dérée » du mois d’août 

Actuellement les commissions 
de quar tier s et les wimniinriiww de 
travailleurs rassemblent l’essentiel 
dîme opposition qui ne- veut pas 
s’enfermer derrière des étiquettes 
partisanes trop restrictives. Cette 
stratégie est .visitée dans lé mani- 
festation contre le sixième gou- 
vernement présidé par JL’amlrai 
Pinheiro de Azevedo.s Id, fl n’y a 
pas de partis », entend-on très 
souvent Des drapeaux 'rouges, 
sans aucun sigie, sont tenus par 


De notre correspondant 

las « ouvriers, paysans, soldats et 
marins », nouvelle définition 
dîme « avant-garde » élargie. 

Ce sont ég a lem e nt les c com- 
missions » qui appellent A une 
manifestation ce lundi 13 octobre 
devant la mairie .de T4«hnwnft 
Objectif énoncé par les organisa- 
teurs : une plus large participa- 
tion populaire dans les décisions 
winwlriplf s. Mêla lft réactiOQ ÜB 
s’est pas faite attendre. « On 
s’apprête à livrer la mairie au 
peuple », a proclamé, A CoXmbm, 
M. Sa Carnelro dans un meeting 

Et teïSr^^'gfai^Sduf^pS 
a ajouté : « L’invasion de la mai- 
rie qui se prépare est le premier 
pas vers la reddition de Lisbonne 
au prétendu pouvoir populaire, 
qui est en fait dominé par les 
communistes. » 

Revenu à La tête de son parti 
après quelques mois de maladie, 
M. Cameiro est devenu rapide- 
ment un des « leaders » politiques 
les plus controversés. Dans une 
conférence de presse II s’est dé- 
claré favorable a la déclaration de 
l’état - d’exception. Reçu par le 
président de la République, il a 
proposé la nomination immédiate 
d'un chef d’état-major général 
des farces armées, poste occupé 
par le général Costa Gomes. Selon 
lui, c’est la seule manière de ré- 
tablir là* rtted|afwft au sein dés 
forces armées. 

En moins dîme semaine, le diri- 
geant centriste a entre p ris une 
véritable croisade anticommu- 
niste, qui Ta amené A Porto, A 
Lisbonne et finalement A CoSm- 
bra. id, il dénonce les organes 
d’information, responsables de . 


« saper le moral de Ta nation », 
dans le but d’ c a t t aq u e r le sixième 
go uv e rn ement, donner VAngola au 
» P t » (Mouvement populaire de 
libération de l’Angola), p et mettre 
aux communistes d obtenir par la 
violence ce qiVüs niant pu obtenir 
par les élections et rendre possi- 
ble le retour au pouvoir de Vasco 
Gonçalves et de toute sa clique ». 
Pour empêcher les manifestations 
devant la mairie de Lisbonne. U 
demande l’intervention des com- 
mandants des réglons militolT»* 

Ce ton « belliciste » ne pouvait 
pas passer inaperçu. A plusieurs 
reprises pendant la nuit de diman- 
che A lundi, Radio-Club transmet 
des extraits du discours de Colm- 
bra, suivis dlm commentaire iro- 
nique : « Sa Cameiro. Charais et 
Pires Veloso (1) marchent sur 
Lisbonne, étendards déployé*, pour 
écraser Za comm un e. » 

Une autre manifestation devait 
se dérouler, ce lundi, A moins de 
20 kilomètres de t asbonn e lm 
moradores de Oeiras protestent 
contre la mesure d’éloignement 
qui risque de frapper le comman- 
dant c progressiste » de la caserne 
située dans cette ville de la ban- 
lieue. 

JOSÉ REBELO. 

(1) On deux derniers ecmt les 
” w "TUiTirtantn des réglons militaires 
respectivement du centre et du nord 
du pays. 


PROCHE-ORIENT 


WASHINGTON AURAIT DEMANDÉ A ISRAËL DE LUI SOUMETTRE 
UN PROJET D'ACCORD INIÉRIMAIRE AVEC LA SYRIE 


Le gouvernement américain 
aurait demandé A Israël de lui 
soumettre, d’ici . A novembre, un 
projet détaillé ■ d’accord intéri- 
maire avec la Syrie, a rapporté, 
dimanche 12 octobre, de corres- 
pondant politique A Jérusalem 
du Journal Haaretz. L’administra- 
tion américaine Insisterait sur 
ruzgsnce d’un tel projet, afin de 
prévenir l’éventuel refus par le 
président Assad du renouvelle- 
ment du mandat de la farce des 
Nations sur le Golan, qui 

expire 1 b B0 novembre. 

Toujours selon Haaretz, ce pro- 
jet pourrait servir de base & une 
négociation, no tammen t sur le 
retrait qu’envisagent les israéliens 
dans le Golan, et sur les demandes 
de l’Etat Juif en contrepartie. 

De son côté, M. Rabin a affirmé 
dlmapc.be soir, au cours d’une 
r Ar m irm A- JÊTUSSlem, que la 
Syrie, l’OJLP. et « peut-être aussi 
VUJLSJ5.» essayeront de saboter 
l’accord Intérimaire Israélo-égyp- 
tien. 

D’autre part, selon TA-FJ?., les 
plus Impartants notables chré- 
tiens de Jérusalem-Est, de Beth- 
léem, de Beït-Djala et de Beït- 
Salur, localités ds jordaniennes r 
-situées au sud de Jérusalem, 
étudient la possibilité de deman- 


La psychanalyse 
peut-elle enrichir la 
connaissance 
historique? 


SAUL 

FRIEDLANDER 

HISTOIRE 
ET PSYCHANALYSE 


?rs H r>:or ■c.iue 


der la création dlm e canton 
chrétien » en Cisjordanie. Cette 
r ég i on, d’une siiperficiB de quel- 
ques centaines de kilomètres car- 1 
rés, est peuplée de quatre-vingt | 
mille' chr ét iens. Ce. projet est la 
conséquence directe de la situation 
au Liban, les notables craignant 
pour la sécurité des chrétiens en 
cas de rétrocession de la Cisjor- 
danie A la Jordanie; — * (ASJP^ 
uæi„ AJ>, Reuter.) 


• L’association En marche vers i 
l’harmonie lance un appel aux 
chrétiens. Juifs et musulmans du 
monde entier. « Les appela à la 
guerre sainte, d’où qu’Os vien- 
nent, doivent être à jamais ban- 
nis. Les principes de non-violence 
sont inscrits dans les doctrines 
fondamentales de chacune des 
réligtcm », dit M. Guis, fondateur 
de cette association, et le rôle du 
chef religieux, prêtre, pasteur, 
Tirm.n , est d’enseigner le principe 
de toute religion : « Tu ne tueras 
point. » 

★ Association En murcJui vers 
TUumoale, KL, passage Jonfiroy, 
75009 Palis, ta. : 824-S6-73. ' 


Dans une infemew à «Time» 

« NOUS DEVONS TENIR 
UN MOIS DE PLUS » 
déclare 

Tamiral Pinheîro de Azevedo 

New-York Reuter). — « Le 
rétablissement de la discipline 
müttatre est d'unie importance 
fondamentale pour le, Portugal, 
rü ■ veut avoir une . Quelconque 
autorité et un gouv e r n e m e nt », 
a déclaré ie président du conseil 
portugais, 1’amiral José Pinheîro 
de Azevedo, dwrw nne int erview 
accordée à l’hebdomadaire amé- 
ricain Time. 

Dans cette déclaration faite la 
semat ne dernière A Lisbonne, le 
président du conseil portugais 
affirme notamment quH est 
encore trop tôt pour prédire com- 
bien de temps son gouvernement 
durera, bien que, selon lui. 11 soit 
engagé dans la bonne direction. 

- « Si nous attendons plus d’une 
semaine, la discipline müttatre 
peut S’effondrer tout à coup, 
ajoute- t-i! Si notre armée 
s’effondre, nous tramons pha 
d’armée, et ensuite nous n’aurons 
pha de force, et après ü n’y 
aura plus d’autorité rd de gou- 
vernement.» 

L’amiral Azevedo affirme ne 
pas être sûr que les dirigeants 
communistes soutiennent ferme- 
ment son gouvernement, en dépit 
des nombreuses conversations qu’il 
a eues avec eux. H ajoute : « Si 
je peux gouverner mon pays un 
mois de plus dans ces conditions, 
je sms pratiquement certain que 
les relations entre nous et les 
Etats-Unis, ainsi que PEurope, 
s’amélioreront Mais nous devons 
tenir un mois de plus. » 


A TRAVERS LE MORDE 


Chili 


240 D.ji';o? 35 f 


i WASHINGTON ET LE RES- 
PECT DES DROITS DE 
L’HOMME. — Les Etats-Unis 
ont fait savoir au gouverne- 
ment cfrfUen, affirme le New 
York Times dans son numéro 
dn 13 octobre, qu'ils n'assiste- 
raient pas A une éventuelle 
assembles général de i*rvn a 
A Santiago dnrChüi si la Junte 
refusait de coopérer A une 
enquête Internationale sur le 
' respect des droits de l’homme 
an Chili. — (AJ? JP J . 

Kenya 

* _ . 

.LIBERATION DE L’EX- 
MDUISTBB DE L’INFORMA- 
TION. M. Richard Achleng 
Onefco, ancien, secrétaire du 
président Jomo.- Keoyatta et 
ministre de l’information, lors 
de l’accession & l'indépendance 

du Kenya, a été libéré après 

six années de détention. 

Mozambique 

DETENTION ABUSIVE î — 
Un journaliste sud-africain 
résidant à Lonrenco-Maraues 
depuis 1974, M. Christian Van 
Der Merwe, est détenu depuis 


quarante-quatre jours dans la 
capitale du Mozambique bmm 
qu’aucune action Judiciaire ait 
été engagée contre lui. révèle 
le dimanche a octobre le Sun- 
day Times de Johannesburg. 

Rhodésie 

QUI EST RESPONSABLE DE 
L'ECHEC DES NEGOCIA- 
TIONS ? M. lan Smith, pre- 
mier ministre rhodésie n. a for- 
mellement accusé, dans une 
interview accordée A une chaîne 
privée de télévision britanni- 
que, M. Vorster. premier mi- 
nistre.su d- africain, d'être 
responsable de l’échec des né- 
gociations engagées aux chutes 
Victoria, en août dernier, pour 

régler l’avenir canstitntiannel 
de la Rtaxiésie. 

Selon M. Smith, un accord 
était en vue entre le gouver- 
nement de Sallsbury et l'évê- 
que Mnzorewa, leader du 
Conseil national africain 
(AN.C.), lorsque l^nburentlon 
de M. Vorster a tout remis en 
cause. De son côté, M. Vorster 
a réagi, dès dimanche, en dé- 
clarant QU’A avait du mal A 
croire que son homologue rbo- 
désien puisse lancer de teJTes 
accusations contre IuL — 

AJ>J 


f 



Page 4 — L£ MONDE — 14 octobre 1975 • • • 


EUROPE 



Turquie 

AUX ÉLECTIONS SÉNATORIALES 

Le parti de VL Ecevit 
marque une progression spectaculaire 

Lh élection» pour le xenoirrallain«at d'tm tiers du sièges de 
' sénateur*, qtri n «xnl déroulées dimanche 12 octobre en Turquie, 
sont nnn victoire pour le Parti républicain du peuple CPJLP.), le 
grand parti d'opposition. Des heurts violents se sont encore produits 
dimanche, & Ankara, à la sortie d'une ré unie» par le chef du 

PJLP. Du groupes de snentiestants se sont heurtés à la police qui 
a tiré. On compte un mort et trente-deux blessés, dont douze parmi 
lu forces de l'ordre. 

De notre correspondant 


AVANT LE VOYAGE DE M. filsrARD D'EST A ING EN_U.R.S 


Le P.C.F. souligne qu’il défini 
sa politique en toute mdépendan 


DES DIVERGENCES SUBSISTENT 


Ankara. — Ea la 

publication des résultats défini- 
tifs, le Parti républicain du 
peuple parait sortir vainqueur 
des élections sénatoriales partiel- 
les du dimanche 12 octobre. 11 a 
été nettement soate n n par Télec- 
torat des grands centres urbains : 
T<ifa»whHT t Ankara, et Adaxta. Le 
parti de M. Ecevit, non se u l em en t 
améliore sa moyenne 
(entre 40 et 45 %) contre 3%3 % 
aux élections législatives d’octobre 
1973, et II verra passer de 7 & 
75 au nw<nii le no mb re de 
sièges sénatoriaux quH détenait 
Selon le Journal Tereuman, sur 
54 sièges sénatoriaux à pourvoir, 
le Parti de la justice obtiendrait 
27 sièges, le Parti républicain 25, 
et le Parti du salut national 2, 
Les antres Journaux sont, eux, 
moins catégoriques. Ds estiment 
que les deux formations sont & 


Belgique 


M. HENRI SJMONET, vlce- 
ident de la communauté 
européenne, aban- 
donnera ses fonctions au 
Marché c ommun en février 
1976 pour redevenir bourg- 
mestre <T An derlecht, n*i« des 
principales c omngn es de l'ag- 
glomération bruxelloise. H 
fera aussi sa rentrée h la 
Chambr e des représentants. — 
(CorrespJ 


égalité, 25 sièges & chacnnp, et 
1 au Parti du salut national. Le 
dépouillement n’est pas achevé 
dans trois circonscriptions. 

I Parti de la justice de 
M. Demirel, qui avait 33 séna- 
teurs sortants, a limité les 
dégâts. Les petits partis de 
droite saut les grands perdants. 

c C’est le 1 retour au bipar- 
tisme », notent les observateurs, 
pour lesquels la consultation 
révèle avant tout un besoin de 
stabilité. 

D'autre paît, la forte poussée 
du Parti républicain ne s’est pas 
tellement traduite dans la distri- 
bution des stèras sénatoriaux, 
puisque dans la majorité des 
départements où les deux prota- 
gonistes étalent en lice U n’y avait 
que 2 sièges sénatoriaux à 
pourvoir. Ainsi le système pro- 
portionnel en vigueur devait logi- 
quement favoriser aussi le deu- 
xième grand parti. 

Le chef du Parti, républicain. 
M. Ecevit, a déclaré dimimn>tt> 


soir aux journalistes que c le paye 
a démontré qu’il souhaitait voir 
le parti républicain an pouvoir ». 
Dans son entourage, an remarque 
que le FAP. rymfrh’iqft sa p er cée 
électorale, ce qui prouve que le 
résultat des élections législatives 
de 1973 n’était pas « accidentel ». 
« Notre avance ne peut plus être 
imputée à V éparpmêment des voix 
de la droite : if. Demirei en a 
retrouvé, or nous menons tou- 
jours », a f fir me- t-on. 

ARTUN UNSAL. 




Tchad 


Les premiers éléments français repliés 
arrivent à Hyères 


L’évacuation des forces françai- 
ses an Tchad a commencé diman- 
che 12 octobre. Les premières 
unités de l’« escale française 
t f Afrique centrale » basées a 
ND j amena et leurs fairrfflRs arri- 
vent ce lundi à la base de Hyères, 
d'où elles seront acheminées 'vers 
la caserne Qrigoan de Toulon. 
L’évacuation devrait, conformé- 
ment aux exigences tchadiennes, 
être achevée Du octobre. 

La radio tchadienne a poursuivi 
pendant le week-end ses attaques 
contre la France, accusée de s’etre 
livrée à une «manoeuvre» en 
demandant à la Croix- Bouge 
internationale d’intervenir. Celle- 
ci a été officiellement informée 
samedi soir du refus de NDJa- 
mena d'accepter cette proposition. 

M. Julien Maraby, porte- 
parole du Mouvement démocra- 
tique de rénovation tchadienne 
(11D2.T.), nous* a fait parvenir 
les précisions suivantes & pro- 

S a de l'affaire Claustre : « Le 
JDJ5LT. respecte le choix de la 
lutte armée fait par les patriotes 
tcltadiens _ L’affaire Claustre n’en 
est pas moins utilisée actuelle- 
ment pour camoufler le mécon- 
tentement populaire à Tégard de 
la politique du gouvernement mOir 
taire tehadien. » 

Un article de « l'Express » 

L’hebdomadaire fSzoras. dama 
son édition datée du lundi 13 octo- 


bre. publie un article 
l’affaire Claustre et un 
selon lequel 44% des personnes 
interrogées « désapprouvent la 
manière dont le gouvernement 
f ranç ais a mené son action ». 51 % 
estiment que la France une doit 
pas céder au chantages. L’hebdo- 
madaire publie la leste du maté- 
riel livré par Paris aux rebelles, 
ainsi que rtw armes qu'ils 
ont en vain demandé. H fait état, 
d’autre mit, d'un certain nombre 
de s révélations s. 

Ainsi, le gouvernement 
se serait opposé aux lnitl 
privées visant à faire livrer des 
armes à M. Hlssène Habré. Fin 
août, le photographe de l’agence 
Gamma, Raymond Deparùon, 
mandaté par Pierre Claustre, 
détenu par le chef rebelle, n’au- 
rait pu obtenir une entrevue avec 
U. Giscard d’Estalug. Le 26 sep- 
tembre, « les amis de Pierre 
Claustre» et son frère, pharma- 
cien & Libourne, qui avaient 
affrété un DC-3, auraient « trouvé 
un cordon de CJRJ3. autour de 
l’appareil» prêt & décoller de l'aé- 
roport de Toulouse. 

L’Express décrit également en 
détail la manière dont M. Pierre 
Claustre aurait été abusé, en juin, 
par deux «marchands d’armes » 
de Bordeaux dont l’hebdomadaire 
donne les noms. 


(State de la première page) 

Les Soviétiques ne se font 
nas ceoendant beaucoup dTHu- 
sians & ce sujet, et se contente- 
. raient sans doute (Tune appro- 
bation officielle de la proposition 
soviétique in Téunion 

d’une conférence mondiale sur le 
désarmem ent. 

La jvydMmr frfmgntw est quel- 
que peu différente. Soit, dit-on en 
substance à Paris, tirons les 
conclusions d'Helsinki, mais 
thuns-les toutes et n'oubBans pas 
d’étudier les questions qui relè- 
vent de la « troisième corbeille », 
c’est-à-dire le libre-échange des 
idées et des hommes. C'est là où 
le bât blesse les Soviétiques. H 

est eTHyif ft 1i» jin grih?A de riir i» Jus— 

qu'où Ils accepteront d’aller dans 
ce domaine. 

Ces problèmes, en tout cas, ont 
le dnn de les 1 » Hiyr considérable- 
ment. VBe crispés. Os pratiquent 
une stratégie offensive. C’est ainsi 
que la France est accusée, dans 
les concertations «pmf - nffiMsiTgg , 
de n’avoir pas rempli le premier 
des engagements contractés à 
™*inH £ savoir la publication 
intégrale du texte des accords 
dans la presse. Vient en général 
use attaque es règle centre la 
presse française^ alors accusée 

rinnn Je moTTIorrr des d’être 

« négative » et, dans le pire, de 
sombrer dans 1*« antisoviétisme ». 
Enfin, le troisième volet du trip- 
tyque co mp o rte un rappel des 
déclarations antte am mura n tes et 
antisoviétiques de M. Ponia- 
towski. 

Ces préoccupations se retrou- 
vent en fiii grw.no rimn les articles 
publiés avant la visite de M. Gis- 
card d’Estaing. Es volume. Us 
saDDartent parfaitement la com- 
paraison avec ceux qui avaient 
précédé les- autres sommet» 
franco-soviétiques. Le ton, 
cependant, est beaucoup plus 
réservé. L’amitié et la coopéra- 
tion franco-soviétiques sont cer- 
tes célébrées comme un •Htnoi, 
mais mention est faite mainte- 
nant des voix discordantes qui 
s’élèvent en France, « des appels 
criards », qui s'élèveraient main- 
tenant c pour imposer à rUnion 
soviétique une sorte d’examen de 
passage ». Cette dernière expres- 
sion est d’un diplomate soviéti- 
que, spécialiste des affaires fran- 
çaises, M. Vladimir Kellne, qui a 
consacré un long article à la 
visite de M. Giscard dTSStalng 
rfpng je .dernier numéro de la 
IÀteratoumaya Qazeta. La nos- 
talgie avec laquelle M. ' Keline 
évoque le souvenir du général de 
Gaulle est tout & fait agnlfica- 


a Hache toujours une grande im- 
portance à la consolidation et au 
développement des relations 
franco-soviétiques ». Le même 
ar t i cle comporte une 

citation- dû sénateur c ommuniste 
M. Georges Cognlot, qui s’en 
prend & s notre presse bourgeoise, 
qui vta mime pas publié le docu- 
ment àTHelstnkt, Ta caché à ses 
lecteurs et qui, maintenant, sème 
le pessimisme et le scepticisme 
quant aux principes enregistrés 
à Helsinki ». 

Des liens privilégiés 

H y & eu, de la part de la 
Pravda, une entorse évidente à 
la pratique soviétique qui consiste 
A ne pas confondre les relations 
d’Etat à Etat, celles de peuple 
à peuple et celles de parti commu- 
niste à parti communiste. Cer- 
tains officiels soviétiques ne nient 
pas, cm privé, la réalité de cette 

entorse. r&BoeHexït cnit ce 

sont les Français qui ont les 
premiers violé r « obligation de 
réserves . On se souvient encore, 

Id, Hpw rifelaiwMmw BnHwiirmn . 

nistes qu'avait faites M. Chirac, 
lors de sa visite officielle en 
Union soviétique an mois de mua 
dernier— 

Ces Ombres et ces r feHwinatlnnii 
ne signifient pas, répétons-le, que 
les relations franco-soviétiques 
traversent une crise. la France 
et l’Union soviétique ont toujours 
intérêt à- préserver ces liens pri- 
vilégiés forgés depuis une dizaine 
d’années. Mnis les formules incan- 
tatoires n’ont pas de pouvoir 
magique. C’est peut-être ce dont 
on va se rendre compte au cours 
des Jours prochains & Moscou. 

JACQUES AMALR1C. 


Le bureau politique du P-C-F- 
a le 10 octobre une décla- 

SaoT- publiée lundi 13 par 
VHitmanité — à propos du voyage 
de M- Giscard d'Bstalng en Union 

SK ï- §S£^ 

livré à « «ne grossière provoca- 
tion » en annonçant publique- 
ment son intention de demander 
à M. Brejnev de faire pression 
sur les communistes français pour 
quUs modifient leur politique. Le 
premier ministre, ajoute le P.C* 
« avait ensuite confirmé avoir 
effectué cette démarche sans Que 
ses propos soient l’objet (Toucans 
réprobation publique du côté so- 
viétique » (1). Pour le bureau 
politique, « cette manœuvre de 
politique intérieure réalisée à 
partir (Tune capitale étrangère 
■sOustre la volonté des dirigeants 
français d’utiliser la détente et 
la coexistence pacifique pour ten- 
ter de consolider le pouvoir du 
grand capital dans notre pays a 

Le P.C. tient & préciser sa 
position sur la coexistence paci- 
fique : « Le parti communiste 
français ne saurait en aucun cas 
considérer la coexistence pacifique 

comme le maintien du statu quo 
social et politique. Il ne saurait 
en aucun cas abandonner ou 
même affaiblir sa lutte pour 
substituer le plus tôt possible au 
pouvoir actuel de la grande bour- 
geoisie un gouvernement d’union 
démocratique, mettant en œuvre 
la poli tique nouvelle définie par 
le programme commun de la 
gauche. » 

t j* parti communiste conclut r 
« La lutte contre le pouvoir de 
Giscard d’Estaing est d’autant 


plus né ces saire que le» 
dominants de sa poUUque 
Heure sont : Ttntégraüo s d 

en plus poussé: de notre 
dans le bloc politique et vd 
ouest-européen et atbmttqu 
miné par les Etats-Unis, 
Obstine du désarmement, b 
pérofion étroite avec tout < 
le monde compte encore de 
mes fascistes et rodâtes. » 

Le P.C. conclut : « Les 
ils des grands pays c 
y compris 2e pouvot 
cardien. prétendent ouvert 
s'arroger te droit Watt 
directement dans les affab 
peuples, de leur dicter leur 
politique. Ils exercent des 
stims inadmissibles, coau 
montre leur attitude cas 
Portugal. Le parti cornu 
français s'élève avec force 
de telles prétentions, n 
lui-même sa politique ea 
indépend ance, s 

(1) AU COU» dfl K» 707 
U.RA.3.. M. Chine avait a 
aux Journaliste* qui rie 
gnaieat qu‘ 11 avait l'Intention 
quer avec U. Brejnev la « . 
diction » existant entra l’Scoi 
par les communiât»» sur la q 
d’une défense indépendante 
orrenalve en vue de « saper la 
de cette défense », notamnu 
leur action au sain de I 
M. Marchais avait répliqué : 
manque à la foli d» dignttl 
sérieux ». M. Chine avait 
ofClcieUemeat démenti avals % 
l'Intention qu’on lui prêtait 
après son entretien svee M.Î 
tout en refusant d’en oen 
publiquement le contenu, 1 
confirmé, par la même * 
« confidences » aux Jour! 
avoir abordé la question 
versée (« le Monde » daté S 
des 23 et 28 mars). 


tive de l'état d'esprit qui régne 
parmi le» dirigeants soviétiques. 

Mention éiogieose du P.CF. 

De même, alors qu’il était 
d'usage par les commentateurs 
soviétiques d’oublier, & l’appro- 
che des «sommets», Inexistence 
du P.GF., tous les articles publiés 
ces Jonre-ci comportent au moins 
use mention étegleuse de ses 
activités e t parf ois même un 
rappel du programme commun. 
Prenons l'exemple de la Pravda 
du 10 octobre dernier. Da-n^ un 
long article, destiné théorique- 
ment à célébrer les relations 
franco-soviétiques, Il est annoncé 


que « la lutte de classes s’mten- 
sifie en Fronces, où «des grives 
et des manifestaions ont Heu tous 
les jourss. Hommage est ensuite 
rendu au parti communiste. « qui 
a toujours défendu Vidée de 
l'amitié du peuple français et du 
peuple soviétique qui a attaché et 


L’augmentation du déficit commercial à l’égc 
de la France préoccupe les dirigeants soriétigi 


La visite de M. Giscard dTslaing à Moscou 
devrait erm-nmr lies à use mise an point das rela- 
tions économiques franco-soviétiques. Deux 
accords-cadres de coopération an contenu rela- 
tivement vague doivent être signés, l'nn portant 
sur l'énergie, l'autre sur la construction aéronau- 


tique et l'aviation civile. LTJJL&S. souhs 
è ce sujet que soit envisagée la concept! 
commun d'un avion civil de l’avenir, ce « 
parait guère susciter J W1 iw»iImim du 
responsables français.' 


■ Le t*mp* d a s proclamations 
triomphales parait; en tout cas, 
révolu. Le montant global des 
-commandes soviétiques à la 
France aurait dû, selon les offi- 
ciels français lors du voyage, à la 
fin. de mars, en UJRJ5JS. de 
M. Chirac, a t t eindr e 13 milliards 
de francs. Or, pour les neuf pre- 
miers mois de cette année, le 
chiffre n’est que de 1,8 mlWatfl 

de franr-w. 

Certes, rien n’est enedro joué. 
H reste encore trois mois pour 
améliorer ce résultat, d’affienrs 
non négligeable, et on sait que les 
visites officielles donnent en gé- 
néral naissance & des contrats 
arrivés à maturité. Après une pé- 
riode de ralentissement très net 
au cours du premier s emestre de 
1975 des affaires conclues n'ont 
représenté qu’environ 65 millions 
de' francs) deux contrats 
tanta ont 


Spelchim a conclu, le 10 octobre 
à Moscou, un accord de 280 mil- 
lions pour la construction, d'ici 
cinq ans, d’une usine d’alcools 
gras & Oufa dans l’OuraL Par 
ailleurs, la firme Entrepose de- 
vrait s igner, oette un 

contrat d'environ 1 milliard de 
francs pour la fourniture de tubes 
et des équipements annexes des- 
tinés à la conduite d'ammoniac 
qui. sur plus de 2000 kilomè- 
tres» doit relier Togliatti et 
Odessa. E nfin , deux autres af- 
faires semblent arrivées & terme : 
l’une concerne la CJJ. pour la 
réalisation d’une usine de cir- 
cuits Imprimés (350 à 400 mil- 
lions), l’autre Intéresse Vallon- 
née pour la livraison de tubes 
(400 a 500 mimons). En revan- 
che, la- construction 


à ’ Moscou 

d’un hôtel de luxe (700 mfiHp pw , 

> deux contrats Impor- ^ S*. tijrayl- 

été signés, run en JuS- 80 

Kshnlp, pour la désuLfn- beurt^alt àdes dlfflôiltés liées 


le*, par Techulp, pour la désulfu- 

ration du gas d^Orenbourg «e 


(960 millions de francs), l’autre 
en septembre par Creusot-Loire, 
pour le séchage du gaz (560 mil- 
lions). 

Avant Taxrlvée de M. Giscard 
d’Etaing, la. société française 


«Nous aurions aimé que les partis communistes 
européens examinent ensemble la crise 
des pays capitalistes», dédare m. tuai» 


L’Humanité publie. lundi 13 octo- 
bre, une interview' de M.. Jean 
Kanapa, qui dirigeait, à Berlin, la 
délégation française à la réunion 
préparatoire à uns conférence des 



40.000 exemplaires en 15 jours. 
NOUS SOMMES VOS FILS 

Michaël et Robert partent- 
a Avec plus rte cent lettres inédites dû Julius 
etEtheL 

1 voL 43^F 


Morton SOBELL 

ON CONDAMNE BIEN LES INNOCENTS 

lettre préface de Robert Merie. 

18 ans de prison pour avoir été l’ami dé Julius 

etEthel. 

1 VOl. 39.-F 


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et kiosques <fo gares 


partis communistes - européens. 
M. Kanâpa estime que 1a conférence 
devrait pouvoir «a tenir •dons un 
délai très rapproché». Il rapparia 
que- le contenu de la conférence 
eara limité aux problèmes de la 
paix et de la coopération. II ajoute : 
* Pour ce qui est. an tout csa, de 
notre parti, nous ne saurions accep- 
ter de laisser entendra que notre 
lotte es réduit désormals k faction 
en faveur de le - coexistenca paef- 
fique, en faveur de la misa an 
ouvre des décisions ’ dVfeisInld. 

» La- coexistence pacIBque ne 
saurait Impliquer le maintien du 
statu quo socal et politique, c'est- 
à-dire très concràtemeqt le maintien 
du régime du grand capital dans 
cette partie du monde, avec la crise 
où II Jette toute Ta société, avec sa 
politique antisociale et antidémocra- 
tique. C’est pourquoi [ nous aurions 
aimé que nos partis procèdent aussi 
ensemble è une analyse sérieuse et 
approfondie de /a situation ■ en 
Europe, de la crise grave ■ qui 
affecte les pays capitalistes, des 
hâtas des travailleurs pour Ja démo- 
cratie et fa socialisme , das possi- 
bilités de large union 'des forces 
démocratiques. Car nous mutons la 
paix, mais noua voulons aussi le 
socialisme, avec les caractères spé- 
cifiques qu’il revêtira chez nous.» 

« Les choses étant - ce . qtf atlas 
sont, dit encore M. Kanapa, voua 
prenons naturellement acta du désir 
de nombreux autres partie quo le 
document préparatoire de la confé- 
rence ee limite plutôt, aux objectifs 
que fai évoqués. • 


contrat en litige, on aboutirait 
ainsi, si tout marche bien, à un 
montant de commandes, depuis le 
début de 1975, de quelque 4 mil- 
liards de francs, à comparer aux 
6A milliards de 1974, aux 2 mn - 
lurtis de 1973 et aux '2^ milliards 
de 1972. 

Ctest loin d’être négligeable. 
Ces prévisions Inquiètent d’ail- 
leurs ■ les Soviétiques, dan s te 
mesure où l’exécution de ces 
oontiala d'éq uip e men ts et d'en- 
sembles industriels creuse leur 
déficit commer cial. & l’égard de 
PaxfctFour les huit premiers mois 
ae cette année, les exportations 
«uncalæs ont atteint environ 
3 mUüaiüs de francs, en progres- 
aton de 68 % par rapports lâ 
nMbne_ période dei974, et les Im- 
portations 2 milliards, en ha n« » 
se-ufement de 12 %. Le déficit 
s’élève A environ 1 ' milliard et, 
PS 01 l’année, atteindrait 

L5 milliard ; il avait atteint 340 
militons, en 1974 et 620 miiUftrwi 
en 1973. 


aurait pour effet de rédu 
façon substantielle — de ; 
dit-on à Paris — le défi 
l*P AS ,a. U ne faut pas ne 
oublier qu'à la suite des o 
signés récemment par 0 
France les livraisons d 
soviétique s’élèverait en 
4 min lards de mètres eut 
an (2Æ mi l itan te de 1976 . 
plus 1,5 m i lliar d ensuite). 

Une autre façon de zésa 
déficit soviétique serait de 
ter une partie de la prod 
d'usines construites en O 
pa r la F ranc». Ce système 
< compensation » — tant 
deme du troc — forïcüonn 
pour certains produits cœr 
cellulose, le styrène et le.-- 
tyrène. Les Soviétiques sot 
demandeurs, et l'affaire e 
centre des délicates négod 
menées actuellement eut 
société Pechlney- U^ne- 
nn»ti gÿ Moscou pour la 
traction du complexe géant 
mine et d'aluminium d’une ^ 
d’environ 12. milliards ét i 

Au départ, les 
posaient le rachat par 
lingots d'aluminium brut, 
montant aurait correspanebL 
annuités de reznbouxsemen y 1 31 
crédits consentis par 7 la-^^ «».* 
pour la conttruction de 
L’opération serait en effet 
cée par 1 les banques frai . . 
raison de 85 à 90 %, à W\. 
crédits accordés au taux de 
7,5 % sur huit ans et-.dem 
fait, 11 serait impossible date 
sur le marché français la ou 
d’aluminium «.inid cachetée.. 

Dans ce genre d*opératioç 
correspond au caractère pu 
de l’économie soviétique, U 
trouve l’Intérêt d’obtenir 
garantie d’écoulement dtel 
le réseau «wiTriA»T»j% i des fl 
françaises et d’éoononjiss 
devises. Four la France, les » 
tages sont moins évident 
court tjwmw. q s’agit bleu (fi 
cher des contrats rians ns 
où les c o nc urre nts ocddec 
sont coriaces et ont déjà u 
le s^tème de la compriMStic 

est clair que la ccsielusiar 
contrats Impartants permet • 
de faire tourner les 

d’éviter une aggravation an 
mage. Toutetfols à long 
tels engagements peuvent e 


L’objectif du doublement des 
Jktone» û^co-sottêtiqttes pen- 
P&iode quinquennale 
1970-1971 a bien — en partie du 

dépassé ; 2,5 milliards 
«i 1970, b mil liar d s l’an dernier. 

ju est maintenant question de L r 

tripler les échanges' entre 1975 et ,snr Ie marché national, s 
1979 — les exportations de Parte rachat de quantités trop »n 
^Moscou n-cuit toutefois re- 
en 1974 que 1,4 % du 
total des vente» françaises, et 
tes importations de produits so- 
% "diT* total d£ 

S&fa pour atteindre cet 
a laudratt rééquilibrer 
ies raatioms commerciales entre 

ies ceux pays. • 


de t 


^aït r «Mer dans une augmen- 
.{?PortatlonB fran- 
pétnne. Après avoir 
atteint 3Æ m OUo n a de tonnes en 
ceHesrd sont tômhfes. en 


tentes est garanti. 

H est, 

nlr des formules plus 
rachat n’étant pas t--r .. 

effectué sur les xsodxou 
l'objet du contrat, comme «J 
fait avec d’autres pays, 
par eranple la Bulgarie o* 
d’ammoniac contre chano» 
valeurs). Mais, fauta de 8“ 
fou, les cçératlons dû «J 

peuvent, si elles se muWPg • - 
être dangereuses, les iflrtn? \ 
se liant en quelque. \ 
mains, n s'agit donc de 
ner un seuil, le rachat 


8004 -tombées, «* u« m 

raison au niveau des prix sovié- représenter entre 80 % et 
e^^uS 0000 tonnes en 1974, du montant du contrat. 

V mmï™ 1 _ rein oiïter à environ les Soviétiques voudraient 

tonnes en' 1975. des accords Hés, W 
J5J 8 * 11 serait question — et do racheter les produites^*? 

mbnSÎÎ ^toWent do la Ré- les Français souhaiteraient te^ 

SfSSi 68 Panait abou- en œuvre d’une formule b» 


tonnes, ce qui 


MICHEL BOTE* * 




r 


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t 

s’- 


il 

y 





LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 5 


EUROPE 


"'""U,. S 


L'U.R.S.S. DE LA MATURITÉ 


«id, 


de 2a première pagej 


:oîrîmercialjj 

dirigeants ' 


:,'n. n moins significative est la 
' J v îstmction de Tachkent» capl- 
d e la république. durement 
. ■‘ ■ 'jvée en 1964 par un tremble- 

■. de terre qui ne fît, paraît-il, 
: . ^‘ > .. 2 neiQU£s dizaines dé victimes 
‘•V détruisit des milliers CTha- 
‘ r- >1 qzu> Prise en main par l’Etat 
v ':tiqne, avec la détermination 
.. sait affecter aux projets 
C'italres, elle a été menée tam- 
’ ,V. battant dans un esprit de 

; nationale. 

te ses avenues plus larges que 
' >• ■'.} de" New-York, avec ses bâti- 
es publics dont le sage moder- 
8 -s’accommode & l’occasion de 

- mtelle de béton des écrans - 
*■ -tionnels . — les panfaras — 

■ :'nés à protéger les façades de 
. . ÿ-isante chaleur, sans guère de 

"’-ü de l'esthétique- stalinienne 
-. J:/ ; je pompeux ennui accable 
7 de nobles cités, avec une pro- 
h de v e rd ur e qui justifie, au 
de la steppe, une consom- 
. . 7 ."" pn d’eau atteignant 500 litres 
. ; habitant et par jour, Tach- 
: a vraiment belle allure dans 

-J; amble, même si l’allocation 
• ^agemfmt — 0 mètres carrés 
' 'Vpersonne — y est particuliè- 
7 1 -nt sévère, si la circulation 
. .‘.-mobile est encore dans ren- 
. », et si les restaurants, en 
de celui d’un palace déjà 
U par les touristes» parais- 
en nombre outrageusement ■ 
é. La propreté des rues, quie 
pourrait itd envier, leur 

- rité, la disparition à peu près 
: jjète des .gourbis traditlon- 

l’absence de mendicité, sont 
xaits trop exceptionnels dans 
* i partie du monde pour qu’on 
ss relève pas. Mais il en est 
qui ne sont pas moins 
jriants pour la eompxëben- 
Os lTTJtaS. d'hier, tfau- 
[tod et de demain. . 
y a ifabord la distance. 

' ' iojomÆbai, il faut encore trois 
~'’rs de train pour aller de la 
’ soviétique à celle- de 

uzbebdstan. Le bon vieux Byou- 
■ r 'me 18 , à trabopropulseuis, qui 
te l’un des appareils les plus 
Usés, met fadlmant cinq heu- 
pour joindre les deux villes, 
.iais-si, vue- de Paris, l’Asie 
J/a Je est un peu au bout du 
. jde, éüe est presque dans la 

— .eue de Moscou au regard de 
-^tance plus de deux fois supé- 
'B qui la sépare des rives tant 

- - rques que pacifiques de la 

■ rie. B y a trois géants sur 

terre, c’est une affaire en- 
;ia ; mais le Gulliver sovlétl- 
'estpius grand que ses ri- 
' américain et chinois, réunis, 
•".les territoires ont une super- 
. vqirine. Ce n’est plus un 


pays, c'est un mcmda. Ce qtfeUe 
y gagne en sécurité, puisque l’es- 
pace en est, à notre époque ato- 
mique phÉ qu’à toute, antre; un 
constituant fn fuiMnw^i, iTJnlon 
soviétique- doit le payer en équi- 
pements : la fréquence du pas- 
sage des trains,, les théories ûè 
poids lourds qm encombrent des 
routes aux gabarits encore Insuf- 
fisants, l'amoncellement des 
avions de toutes tailles sur le 
moindre aéroport» en disent long 
sur ce que représente le problème 

des eomrriTir rt^nWfiTHi rtarm cepajS. 

qui doit en outre braver, à plus 
de 100 degrés centigrades de dif- 
férence; tous les extrêmes de la 
météorologie. 

Les dimensions topographiques 
ne sont pas seules à faire -de 
1TULSJ3. un monde en soi : il 
y a l'extrême diversité des popu- 
lations, dont on prend déjà va- 
guement conscience à Moscou en 
regardant la queue interminable ■ 
.qui se presse depuis des décennies 
pour défiler devant le mausolée 
de Lénine, aujourd'hui vidé de la 
dépouille de son successeur. 

A part les Noirs, toutes les races 
se croisent dans les rues de 
Tachkent :.ces hommes aux faces 
rectangulaires surmontées d'une 
petite .calotte noire et blanche à 
quatre . pans, ces . femmes . aux 
longs cheveux noirs tressés et aux 
robes de sole à ramages, ce sont 
des Ouzbèks, en principe les maî- 
tres des lieux. Mais au milieu 
d’eux, combien d’antres Turcs ou 
Iraniens de diverses souches, 
gmafths, ura-ghi*, Turkmènes, 
combien de blondes chevelures 
Jfenues d'Europe, de visages basa- 
nés qui attestent la présence du 
sang arabe, arménien ou sépha- 
rade, de faces , rondes aux yeux 
bridés, léguées, par les envahis- 
seurs tartares ou mongols de 
jadis, ou apportées plus récem- 
ment par les Coréens, réfugiés en 
grand nombre en ces heux. y 
apportent leur discipline et leur 
ardeur su travail, après Poccupar- 
tton pas le ' Japon de la mère 
patrie. - ■ 


Kxsn.de Salomon ; les 

devaient «ind, en venant faire 
leurs dévotions, fouler 'ffu * pieds, 
sous le regard triste de la mère 
de Dieu, les symboles sacrés d» 
deux races réputées mécréantes. 

Aujourd’hui, HJIU3Æ. reconnaît 
officiellement F existence de plus 
de cent nationalités, minorités 
dont les ressortissants, compte • 
tain de la différent»* des taux 
de n a ta lit é, seront bientôt plus 
nombreux que les Busses. Les 
plus, importantes disposent en 
propre (Tune assise territoriale : 
république fédérée, république, 
région ou territoire antamomes. 

Les Juifs, au nombre de deux 
militons environ, sont seuls à faire 
exception : s’ils constituait mut 


la situation prévalant bu lende- 
main de la révolution. 

D'où la fascination que conti- 
nue d’exercer Israël sur «ne partie 
au moins du judaïsme soviétique 
et les réactions souvent brutales 
et toujours embarrassées que la 
survivance de là question juive 
entraîne «»- hTO rfpg rtir< géants peu 
habitués aux attitudes de refus 
global. Encore faub-11 constater 
que, du fait surtout des pressions 
de l'e xtéri e ur , mais «mai parce 
quHs sont, beaucoup plus que 
d’autres, considérés comme un 
coups étranger, des de 

miniers de Juifs imt -pu quitter 
1TT-R-S-S- au coure de ces der- 
nières armées. On ne peut en dire 
autant d’aucun autre peuple so- 
viétique. 


des Jeunes Turcs, avait cm 
pouvoir susciter, après l'écroule- 
ment de l'empire ottoman, m * 
Turquie de rechange, «pantou- 
ranlenne*. Ces temps-là sont ou- 
bliés. SI les puissances 
avaient su faire à temps aux 
représentants des populations 
vivant sous leur protection la 
place que Moscou leur a accordée 
dans les institutions fédérales et 
fédérées, bien des drames n’au- 
raient-üs pas été évités ? Noos 
entendons encore, pour notre part, 
M. Sergnei Vlnogradov, alors am- 
bassadeur dTTJt -S-S. à Paris, nous 
dire,' en 1956. dans l’avion qui 
nous ramenait d’Erevan : * Vous 
avez vu ce que nous avons fait 
en Arménie ? Pourquoi n’en faites- 



R.SJPA. : République socialiste fédérative des soviets. — RAS. : République socialiste soviétique. 


Les nationalités 

- C’est dire qu’au problème des 
distances s’ajoute celui des natio- 
nalités. On «ait comment ravalent 
résolu les tsars. Malgré les efforts 
-de qudques-tms d'entre eux, l'em- 
pire ne justifiait que trop le sur- 
nom que Lénine lui avait donné 
de «prison des peuples». On en 
volt un dur souvenir dans l’anti- 
que cathédrale Sainte-Sophie de 
Kiev. Le sol de la nef est formé 
de lourdes dalles de fonte ornées 
les unes du croissant et de l'étoile 
des musulmans, les autres du 


nationalité, iTwriti» ramm« ton* 
sur loir passeport. Os n’ont d’au- 
tre territoire à eux que la modeste 
région du Birobidjan, 

près de la frontière mandchoue, 
et leur vie culturelle propre est 
réduite- à presque rien. L’expé- 
rience tentée dans ces lointains 
parages, à l’époque stalinienne, 
n’est pas de celles dont les Sovié- 
tiques tirent le plus de gloire : 
quinze Tnfflw Juifs seulement y 
vivent à présent. SI l’on rencontre 
dans rtJ-RjSJS. d'aujourd'hui- des 
juifb qui occupent des postes émi- 
nents dan* le monde intellectuel, 
artistique, frynflrniq n* et même 
politique, il ne viendrait à l’Idée 
de personne de prétendre que le 
Birobidjan apporte une réponse, à 
ceux de leurs coreligionnaires qui 
refusent FassimUation et ce qui 
à toutes les allures d’un numerus 
clauses, sortent en contraste avec 


FIRST IN THE WORLD 

ROTH MANS 

INTERNATIONAL 



Au filtre exclusif damasquiné d'or 

Une Rothman» Inte rna tiona! vous fait, 
savourtflertabacsleaptos parfaits que 
l'homme pui*» connaître. Cet» presirgfiwM . . 

. *lDairyleflgth‘VaufBimasiuflIfdamasqriRéde^ 
refafe d'or, a cet» exquise richesse, ce subtil velouté que 

seule uns très grande tigrotteesten mewredevrosoffrir. 


ROTHMANS OF F A IiIi M Alili- 

BEENDERS OF FINE CIGARETTES THROUGH SIX BEIGNS' 


Les Juifs ne constituent pas la 
seule nationalité qui fait pro- 
blème ; la presse dénonce; de 
temps à autre, les « natio naliste» 
bourgeois» d”Ukraine ou des ré- 
publiques baltes, nostalgiques de 
l’époque de l'indépendance totale. 
Si, en effet, la Constitution re- 
connaît théoriquement aux répu- 
bliques fédérées le droit de séces- 
sion, le pouvoir soviétique; depuis 
un demi-siècle; n'a Jamais laissé 
quiconque l’exercer ni même le 
revendiquer. La Géorgie, entre 
antres, en a fait F expérience- Sta- 
line n’a pas hésité pendant la 
guerre à faire déporter des popu- 
lations entières parce qu’il doutait 
de leur loyalisme. Et fi y a eu, 
beaucoup plus récemment, la 
Tchécoslovaquie, qui pourtant ne 
fait pas partie da TOJcLSJS. Grâce 
à quoi celle-ci est le seul pays au 
monde qui a su, à l'époque de la 
décolonisation générale; conserver 
des possessions acquises à l'épo- 
que coloniale selon les wWIvkIwi 
et en vue des objectifs les plus 
c l a s si ques de l’impérialisme 

Elle a bien dû faire face, jadis, 
à des soulèvements, tant en 
Tra n s c a uc asi e qu’en Asie centrale, 
où Enver Pacha, l'ancien leader 


vous pas autant en Algérie? s II 
était déjà certainement trop tard. 

En Ouzbékistan, les Ouzbèks 
eux - mêmes, q u i représentent 
65 % de la population, détiennent 
85 % des postes au gouvernement 
et 75 % au Soviet de la Républi- 
que. Le chef du gouvernement et 
le premier secrétaire du parti 
sont des autochtones, flanqués, il 
est vrai, d’adjoints en provenance 
de Moscou. Imagine-t-on une 
Algérie française où les Arabes 
auraient occupé une telle propor- 
tion de sièges gouvernementaux ? 
ffn Ouzbékistan, comme tou- 
tes les républiques fédérées, 11 
existe deux catégories d’écoles : 
celles, les plus nombreuses, où 
l’enseignement est donné dans la 


langue nationale; et celles où fl 
est rirmn^ en russe. Dans les tf«iz 
catégories, renseignement de l’au- 
tre langue est obligatoire, c’est-à- 
dire que tous les petits Russes 
qui vivent à Tachkent ou à 
Samarcande ddlvent apprendre un 
minimum d’Ouzbèk en même 
temps que les petits Ouzbèks 
apprennent le russe. Ima- 
gine-t-on une Algérie française 
non seulement totalement scola- 
risée, mais où les enfants des 
« pieds-noirs » auraient tous 
appris l'arabe ? 

Est-ce assez pour prévenir tous 
les heurts entre les innombrables 
« nationalités » qui cohabitent en 
Asie centrale ? N’en avoir 
constaté aucun au cours d'un 
séjour de quelques jours, avoir été 
l’hôte du mufti d'Asie centrale, 
visiblement satisfait des égards 
dont Q est entouré, avoir eu 
affaire à un médecin (une dame) 
ouzbek. dont les assistants, un 
Russe et une Mongole, paraissaient 
accepter de bonne grâce l'autorité, 
ne permet certainement pas de 
porter un témoignage valable. Ce 
qui parait assez évident, c’est que 
ces divers groupes ethniques se 
m é l ang ent peu. ai dehors du tra- 
vail professionnel et politique, et 
qu'ils sont attachés à leurs cou- 
tumes propres. Les Ouzbèks ne se 
marient pas miw» les Coréens 
ni les Russes comme les Tadjlks. 
L’islam conserve une vitalité que 
souligne l’affluence, le vendredi, 
dans les mosquées. 

H est difficile de croire que les 
choses se passeraient aussi cal- 
mement si le régime politique 
n’était pas fondé sur la préémi- 
nence d’un parti unique, bien 
déterminé à ne pas laisser se 
développer le moindre facteur de 
désordre. « Un grand empire, 
disait Montesquieu, suppose une 
autorité despotique. » A l’heure 
où. du Liban aux grandes villes 
américaines; les hommes de races 
ou de religions différentes parais- 
sent avoir tant de peine à vivre en 
paix, à quel degré de balkanisa- 
tion l’Asie centrale ne serait-elle 
pas parvenue, de quelles luttes ne 
serait-elle pas l’enjeu si la paix 
n’y était assurée par l’hégémonie 
d’un pouvoir indiscuté? 

ANDRÉ FONTAINE. 


Prochain article : 


LE DROIT CHEMIN 


CORRESPONDANCE 


U.R.S.S. et Rassie 

M. wtrsta, président de^V Asso- 
ciation académique ukrainienne 
à Paris, nous écrit : 

Nous venons de constater 
qu’une fois de plus cm do nn e le 
nom de ■ Russie » à l’Union 
soviétique (voir l'article dans 
le Monde Ou mercredi 8 octobre 
Intitulé « France-Russie ». par 
M. Michel Debré). 

H s’agit d’un a.rnwF i Tr rr'i Rmp 
évident car o fficiellemen t la 
Russie tsariste est devenue depuis 
1922 « Union des Républiques 
socialistes soviétiques ». 


Il existe une République 
(RBJFAR.). au meme titre que 

ilw - • Rénublinu es nkra.tnIftnTi* . 

biélorosse, géorgienne, etc. 

★ 1. rue Albert-Csmu*. Bourg-la- 
Rclne. 


• M. Francis Palmero, séna- 
teur des Alpes-Maritimes (Union 
centriste), rient d’adresser une 
lettre à M. Giscard «TEstalng, 
rtanc laquelle il l’invite à renou- 
veler auprès des autorités soviéti- 
ques la demande de rembourse- 
ment de l' em prunt russe formulée 
déjà par plusieurs gouv ernem e nt s 
français. M. Palmero souligne que 
c rtJJLSJS. n’est plus insolva- 
ble » e& que « si elle refusait de 

régler en or ses dettes contrac- 
téês entre 1863 et 1914, qui s’élè- 
vent maintenant à quelque 
30 milliards de francs, sans comp- 
ter les intérêts, die pourrait faci- 
lement Z xorer d la France les 
de pétrole correspon- 
des ». 

L’Association des porteurs de 
titres russes, f carte d'un c engage- 
ment ferme et résolu » de 
U. Giscard d’Estalng de ne pas 
laisser fermer ce dossier, avait ap- 
pelé à voter pour lui à l’élection 
présidentielle Ge Monde du 
Il mal 1974). 



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Page 6 — LE MONDE — 14 octobre 1975 

DIPLOMATIE 


W$- 

'kwï-'w? 




LE < QUAI » DAIMS LES 


fana les précédente articles. 
Maurice Delarue a exposé ce 
qu'est l'administrât! on des 
affaires étrangères et les condi- 
tions matérielles et profession- 
nelles de* diplomates- (« Le 
Monde » des 10. II et 12-13 oc- 
tobre.) Ce deiqler article est 
consacré au malaise du Quai 
d'Orsay et aux réformes actuel- 
lement projetées. 

* Je crains fart un effondre- 
ment du moral » dit l’an dernier 
M. Marette en présentant & l’As- 
semblée nationale le rapport de 
la commission des finances sur 
le budget des affaires étrangères. 
Ce n’était pas de l’alarmisme gra- 
tuit Certes, la crise du Quai 
d’Orsay ne se traduira pas par 
des mouvements de »"«««». Le 
personnel des affaires étrangères 
a trop peu de contacts avec le 
public, il est trop peu nombreux, 
trop dispersé, de conditions trop 
diverses et surtout trop attaché 
A la discrétion professionnelle pour 
que son mécontentement se tra- 
duise en manifestations violentes. 

Main la mauvaise humeur est 
de plus en plus apparente et le 
syndicalisme diplomatique renaît 
de ses cendres ; des tracts appe- 
lant à la «lutta contre l'arbi- 
traire» se mêlent aux onctueuses 
circulaires maison. 

Après la guerre, les diplomates, 
adhéraient en masse à la C.G.T. 
Cette belle unanimité vola en 
éclats avec la guerre froide et la 
scission du syndicalisme français. 
Rester à la C.G.T. devint un choix 
peu compatible avec la politique 
étrangère du gouvernement. 
Pourtant, des fonctionnaires du 
cadre A lui restèrent fidèles jus- 


IV. — Feu vert pour les réformes 


que vers 7es années 60 : M. Gil- 
bert de Chambrun, ancien député 
progressiste, dirigea la section 
C.G.T. jusqu’à ce que. devenu 
ministre plénipotentiaire hors 
classe et directeur des conven- 
tions administratives et affaires 
consulaires. U atteigne l’âge de la 
retraite, l'an dernier. 

L’activité de la C.G.T. était 
cependant devenue symbolique, et 
le syndicalisme diplomatique 
s'était réfugié dans les se cMgro» 
plus sages de F.O, de la C. F.T.C. 
Mais depuis 1973. la C.G.T. re- 
prend du poil de la béte. Elle a 
lancé une campagne de recrute- 
ment et revendique actuellement 
150 adhérents appartenant sur- 
tout au petit personnel. Bien 
qu’un titulaire du cadre A en soit, 
un militant actif, la C.G.T. a une 
coloration politique trop marquée 
pour qu’elle puisse s’étendre dans 
le personnel diplomatique pro- 
prement dit. 

R n’en va pas de même de la 
section C-RD.T-. qui, créée en 
1974, a fait une percée rapide à 
tous les échelons et dans toutes 
les catégories, raflant d’emblée à 
l'élection de la commission pari- 
taire des conseillées et secrétaires 
des affaires étrangères. le 24 avril 
dernier, 39 % des voix et la moi- 
tié des sièges. Ce résultat, obtenu 
en quelques mois par une organi- 
sation frondeuse, qui ne recule pas 
devant l’action commune avec la 
C.G.T. en faveur du petit person- 
nel, a fait passer sur la vieille 
maison si convenable le délicieux 
frisson de la subversion. 


par MAURICE DELARUE 


U «mal do Quai 


Le « mal du Quai » a des ori- 
gines multiples et d’abord, comme 
toujours, financières. On a déjà 
évoqué la peau de chagrin du 
budget des affaires étrangères, 
dont la revalorisation en 1975 a 
été de cinq points inférieure à 
celle du budget de l'Etat. Certains 
postes budgétaires importants 
(rémunérations du personnel, 
contributions obligatoires aux or- 
ganisations internationales) étant 
automatiquement revalorisés, les 
autres supportent tout le poids 
des prnnrrmiPR De 1974 & 1975, 
les autorisations de programme 
ont été réduites de moitié. Un 
Twiiiinn de francs seulement ont été 
consacrés cette année à l’entretien 
des immeubles de l'administra- 
tion centrale. Le budget du ser- 
vice de presse n'a été majoré que 
de 5 %. Le petit personnel étran- 
ger sans défense a été sacrifié aux 
tribulations des changes. Les 
contributions dites bénévoles aux 
organisations internationales ont 
été « gelées » en dollars incons- 
tants, ce qui se traduit par une 
réduction réelle de l’influence de 
la France, etc. 

Les restrictions budgétaires 
atteignent bien entendu le moral 
des troupes. Sans doute la désaf- 
fection des énarques pour la di- 
plomatie est-elle apparemment 
enrayée. Une offensive de séduc- 
tion du c Quai s. pr omet t ant de 
bons postes aux jeunes recrue, a 
fait remonter les rangs des élèves 
qui le choisissent à la sortie de 
l’école. Us s'échelonnent, cette 
année, du 14* au 36- rang, alors 
qu’ils allaient du 40* au 88' en 
1972. Plus significatif est aujour- 
d’hui le peu d’intérêt des Jeunes 
diplomates pour les postes à l'ex- 
térieur. 

L’invitation au voyage est 
devenue trop banale pour com- 
penser les tracas et les risques 
de la vie à l'étranger. Or les 
avantages fin a n ciers des «pos- 
tes a ont subi des coupes 
sombres. L'imposition partielle 
de l’Indemnité de résidence et 
sa rédaction radicale pendant 
les congés s’ajoutent à l'insécu- 
rité monétaire. Dans de nombreux 
cas, selon des spécialistes impar- 
tiaux, les agents du Quai d’Orsay 
à l'étranger sont aujourd'hui pu- 
rement et simplement pénalisés 
par rapport à leurs collègues mé- 
tropolitains. Ils le sont aussi vis- 
à-vis de leurs collègues d'autres 
origines ministérielles qui sont 
mieux rémunérés (conseillers 
commerciaux) ou qui bénéficient 
d’autres avantages (logement de 
fonction et indexation automati- 
que des rétributions sur le coût de 


la vie dans le pays de résidence 
pour les agents du ministère de 
la coopération). 

Enfin, l'évolution familiale ne 
favorise pas les expatriations. Les 
femmes veulent de plus en plus 
travailler, et les épouses des Jeu- 
nes diplo mat es ayant, elles aussi, 
très souvent, des diplômes, cher- 
chent à employer leurs capacités. 
C'est d’autant plus difficile à 
l'étranger que le « Quai » consi- 
dère traditionnellement les épou- 
ses comme des auxiliaires gra- 
tuites de leurs maris, vouées à les 
seconder dans les tâches fasti- 
dieuses de représentation. 

Le « mal du Quai » est enfin 


fonctionnel. Le ministère n’est 
plus adapté à sa tâche, ni à 
l’évolution du monde, ni à celle 
du système politique français. 

L'engorgement des cadres au 
sommet de la pyramide adminis- 
trative n'engendre pas seulement 

le m ^pfa'w I-, main le 

vieillissement et la sclérose. 

Un mouvement diplomatique en 
cours doit abaisser de quelques 
années l’âge moyen des ambassa- 
deurs, qui approche aujourd’hui 
de la soixantaine. Il est décidé — 
bien que ce ne puisse être codifié 
— que. sauf exception, les ambas- 
sadeurs ne pourront rester pins 
de quatre ans au même poste. De 
« jeunes loups » se demandent 
d’atlleuzs s'il est indispensable de 
les recruter seulement parmi les 
ministres plénipotentiaires ou, 
exceptionnellement, les conseillers 
de première h ma» Après un mini- 
mum d’une dizaine d’années d’ex- 
périence. ne pourrait-on (tonner 
leurs rhànpflg à des fonctionnaires 
plus jeunes ? Ne devrait-on pas 
aussi Inciter les diplomates à 
moins se complaire dans ia poli- 
tique « pure » et à se trotter aux 
réalités en valorisant les postes 
techniques? 

Cette plus grande mobilité inté- 
rieure n’est cependant possible 
que si elle se conjugue avec une 
plus grande mobilité extérieure, 
jusqu’ici les demandes de déta- 
chement étaient froidement re- 
çues. Le c Quai » n'aimait pas que 
ses jeunes agents aillent s’enca- 
nailler Hans les autres adminis- 
trations- La carrière des diploma- 
tes volages s’en ressentait. Es ne 
semblaient attirés que par feu 
rO-R-T-F. et le pétrole. Désormais, 
ceux qui voudront « prendre l'air » 
y seront encouragés sans que leur 
carrière en pâtisse. Mais la rèd-, 
proque serait logique et le « tour 
extérieur » répondrait à sa voca- 
tion s’il permettait, comme c’est 
l’usage dans d'autres pays, de re- 
cruter des spécialistes de toutes 
origines, des ingénieurs, des cher- 
cheurs, des industriels, etc, pour 
remplir des missions diplomati- 
ques déterminées. 

La structure du minis- 

tère n’est plus adaptée à sa fonc- 
tion. et le président de la Répu- 
blique a donné le c feu vert » à 


M. Sauvagnargues pour que des 
réformes soient entreprises. 

Au lendemain de la Révolution. 
TaQeyr&nd créa deux « divisions a 
répondant à la géo-politique du 
temps : le Nmd. qui groupait tes 
grandes puissances européennes ; 
le Midi qui rassemblait le reste. 
En 1907, Philippe Berthélot. secré- 
taire général, répartit les servi- 
ces en « directions » géographi- 
ques fondées sur les continents. 
Avec quelques remaniements, elles 
subsistent aujourd’hui. En 1945. 
cependant, le vent étant — déjà I 
— aux réformes, trois grandes 
directions furent superpesées à 
ce découpage : celle des - affaires 
politiques (qui englobe les direc- 
tions géographiques), la direction 
des affaires économiques et la di- 
rection des affaires culturelles. 

Cette nouvelle structure tenait 
compte de l’importance prise par 
l’économie et les techniques dans 
les relations extérieures et per- 
mettait au. gouvernement de 
mieux diversifier son action. Mais 


elle avait 1 Inconvénient de frac- 
tionner les relations bilatérales. 
L'Algérie, par exemple, e st tra itée 
par des directions différentes se- 
lon que sont en cause les rela- 
tions politiques, le. pétrole et le 
vin oui les enseignants français. 

Aussi est-fl envisagé de redon- 
ner aux directions géographiques 
compétence pour traiter les re- 
lations bilaterales sous tous leurs 
aspects : politiques. . économiques 
et culturels. Simultanément. le dé- 
co u page actuel est remis, à l’étude. 
Plutôt que des groupes continen- 
taux. ne ser&it-fl pas plus ration- 
nel de -considérer trois grands 
ensembles : le monde industria- 
lisé. le monde communiste et le 
tiers -monde ? La question est 
posée. Enfin, la carte du corps 
diplomatique sera actualisée. Les 
postes techniques (économiques, 
scientifiques, etc.) des ambassa- 
des en Europe seront renforcés ; 
les ambassades Ha.n«e certains 
pays en expansion rapide, tels 
que l’Australie et le Brésil, seront 
étoffées, aux dépens de pays où 
la présence de la France est plus 
traditionnelle qu’active. 






Pour une structure nouvelle 


- Les directions économique et 
culturelle ne seraient pas suppri- 
mées pour autant, mais leur tra- 
vail se concentrerait sur des pro- 
blèmes multilatéraux tels que 
l’énergie. les matières premières, 
les affaires nucléaires, la franco- 
phonie, etc. 

Cependant, ce qui trouble et 
décourage le plus aujourd’hui le 
corps diplomatique français, c'est 
la confusion des responsabilités. 
Un décret de messidor an VU, 
souvent cité dans les couloirs du 
Quai d'Orsay, dispose que le mi- 
nistère des affaires étrangères a 
le monopole des contacts directs 
avec les représentante diplomati- 
ques étrangers. U est évident que 
ce monopole ne lui est plus re- 
connu aujourd’hui par les plus 
hautes autorités de l’Etat. 

Depuis la V* République, cha- 
cun. sait que la politique étran- 
gère française est ' conçue â 
l’Elysée. Du racine le général 
de Gaulle en réservait- Il la mise 
en œuvre au Quai d'Orsay, au 
point qu’il n'allait jamais à 
l'étranger sans le porte-parole 
des affaires étrangères, seul « au- 


torisé » à exprimer et expliquer 
le point de vue officiel Aujour- 
d’hui, non seulement le prési- 
dent de la République et le pre- 
mier ministre multiplient les 
contacts avec l’étranger, conjoin- 
tement avec M. Sauvagnargues, 
mais M- Poniatowski, ministre 
d’Etat, et une foule de mi- 
nistres techniques -et ■ de secré- 
taires d’Etat en font autant. 
Un ministère à part entière est 
responsable du ctmimerce exté- 
rieur. un autre est responsable de 
la coopération, bien que ce dé- 
partement ministériel, jusqu'alors 
confié & un secrétaire d’Etat, ait 
été supprimé — Intentionnelle- 
ment, explique-t-on. — lois de la 
formation au dernier gpuveme- 
menfc Messmer. 

Sans doute peut-on admettre 
que cette apparente dispersion 
correspond à une division des tâ- 
ches et que l’unité de conception 
et de direction est maintenue 
bous l’autorité , du président de là 
République. Encore le ministère 
des affaires étrangères devrait- 
il être — sinon qui le sera? — 
]' instrument technique de cette 


— r-i 


traité , chargée de coordonner, à 
Paris, les actions des divers ml- Jbgv 
nistères et d’assurer, fi rextérf(nu\ 
la cohésion de l’exécution. Or 1 
ambassadeurs . n’ont pas autari 
sur - tous les seraiôes rattacb 
aux oT»iimiaagrt»>g. Les techniciens* 
détachés aup rès de l ui ~ par j 68 : j K îS 
autres administrations conc^ondy^' 
dent directement avec leur 
nistre — les conseillers commer- 
ciaux avec la Rue de Rivoli et l 
Quai Rranly, les attachés m 
tnfrég , qui ont d’ailleurs i 
propre chiffre et souvent le 
radio, avec la rue Saint-Doc 
nique et aussi le E5JXE.CJ3. A 
différence des préfets, qui signe a 
tout le courrier de service de 1 en- 
préfecture, les ambassadeurs n'oa ■ 
pas la signature de . tous les se]? 
vices français & l'étranger, d'- 
beaucoup d’ailleurs ne sont > 

Installés à l’ambassade. L’, 
d’intégrer purement et sim 
nient les conseillers commercé 
dans les services des -a/T, 
étrangères, tout en leur résec 
une formation spéciale, fàitj 
chemin. " ; 

Ainsi la représentation dj 
France & l'étranger pose à la 
un problème d'argent et de sc 
ture. Le problème d'argent 
porte en tout état' de cause 
sur des sommes réduites. D 
vrait être facile à résoudre 
budget des affaires étranger- 
résultait d’un' règlemer 
comptes annuel entre le; 
d’Orsay et la Rue de Rivoli \ 
éternel combat de rues, sr 
peut dire. Les réformes de f 
tore sont plus délicates, car*» 
touchent aux personnes, a au? 
blindes et aux traditions. M. \ 

Joxe, ambassadeur de Franck 
puté. qui fat secrétaire gtf 
du « Quai », tout- en s'&fflf 
de la « modestie » du budget 
exhorta pas moins, devant 
semblée nationale, ses ar 
collègues à s'engager dans 
voie, invoquant Racine, ü 
dara : « Tout Part - consû 
faire quelque chose avec ri i 
La difficulté vient de ce qi 
jourd’hui la diplomatie' est 

venue Ùne' srtpnra» Mifami 
art. Nous n’en sommes pl 
temps, quelque pet 
OÙ un Vieil «nilàw 
en soupirant à un candidat 1 
plomàte, qui lui vantait les 
rites de la p rofession : « Et 
cela vatU tout de même 
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ART. &- Les réponses au Jeu sondage BRAUN 
‘devront être déposées dans les umes au plua 
..wrdl*3i.l.7ft. 

ART.#- Les gagnants du jeu sondage BRAUN 
. . seront désignés par le sort et prévenus indivi- 
du efl amen t de leur gain. 

ART. 7 -Le tirage au sort sera etledué en pré- 
sence de Maître Cabour, huissier de Justice a 
PWU-. 

ART. 8 -Le règlement officiel déposé chezMaî- 
tre Cabour. huissier de Justice à Paris peut être 
obtenu sur simple demanda en écrivant i 
SONDAGE BRAUN UNIPRO, 12 bis. rue Jean- 
Jaurés -02807 PUTEAUX, 

ART. 9 - Les sociétés organisatrices se réser- 
vent le droit de publier les noms et Images des 
gagnants. 

ART, 10 - La simple participation implique l'ac- 
ceptation Intégrale du réglement et la renon- 
ciation & toute réclama lion. 


POUR JOUER 
ET GAGNER 

Remplissez ce questionnaire et 
déposez-le chez l’un des spêcïa~ 
listes haute fidélité Braun :îl vous 
permettra de participer au tirage 
au sort. Chaque semainelegrand 
gagnant recevra une discothè- 
que de 50 diéqiies Deutsche 
Grammophon elles autres ga- 
gnante Concerto pourguïtares 
et mandolines cfAntônîo Vivaldi 
p ar Na rcisso Yepes. ■' 
ATTENTION : Si certaines ques- 
tions vous pâraîsséntun peu trop 
techniques, n'hésitez pas à faire 
appel à votre spécialiste haute 
fidélité Braun : il vous donnera 
les explications qurvous semble- 
ront nécessaires pour vous faire 
une opinion. Pour répondre au 
Sondage, inscrivez une croix par 
question dans lacâsécorrespon- 
dant à votre opinion. 


SONDAGE HAUTE FIDÉLITÉ BRAUN 


f, Estimez-vous que l’esthéti- 
que ‘ait son -mot À dire” dans 
le royaume de la haute fidélité? . 


□ 

oui 

□ 

fiOM 

□ 

.OUI 

□ 

.NON 

□ 

OUI 

□ 

NON 

□ ; 

OUI 

□ 

NON 

5. L’Audio 308 BRAUN est équipée 
entre autre d’une touche 


2, Pensez-vous obtenir un meil- 
leur résultat en composant vous- 
même votre chaîne avec diffé- 
rents éléments reliés entre eux 
par de longs câbles? 

3, Trouvézvous normal de dé- .. 
penser environ 5.000 F pour 
satisfaire une passion? 01 y a 
des passions plus coûteuses). 


4bEst-il Intéressant de possé- 
der un tuneréqulpé pour rece- 
voir égalementles grandes on- 
des (et vous permettre ainsi d’é- 
couter Europe 1 - RTL -RM.G). 


Stéréo Fem (A) 

R umpe Ififter RauschfHter (B) 

- En vous- servant des lettres désignant 
ces touches, indiquez quelle est leur 
utilité. : 

• Réduit ou éliminé le souffle 
gênant lors de la réception des 
stations stéréophoniques re- 
çues faiblement 

• Réduit les bruits parasites 
par limitation de la bande pas- 

• -santé (ex. : le bruit de l'aiguille 
. - des disques anciens). 


6. Avec quel genre de musique esti- 
mez-vous qu’il soit préférable de f es- 
ter ('Audio 308: 

• Orchestre Symphonique. 

• Instrument Solo - - - 


i Groupe Pop. 


Orchestre Jazz. 


i Toutes musiques. 


Braun est distribuée par Major Electronic* une des sociétés dû -Groupe Major. 
Quand on est exigeant, on choisit bien son partenaire. •M*brBocirQnfc7Bro 


BRflUII 


Gracieusement sur simple demande, vous 
recevrez "Uve* luxueuse brochure cou- 
leur sur la haute fidélité ainsi que la liste 
complète des concessionnaires Braun, 
en écrivant à ISP/ UNIPRO, 12 bfs, rue 
Jean-Jaurès - 92807 PUTEAUX. 


Nom. 


Prénom. 


Adresse; Rue 


Ville. 


.Code postai. 


CACHET 

DU SPÉCIALISTE HAUTE FIDÉLITÉ BRAUN 


•Soit 50 disques gagnants par semaine pen- 
dant 20 semaines ' * * 



ictyloS 

usures 


S SPÉCIALISTES 
lUTE-ITOÉIJTÊ BRAUN : 

, FNAC C3ÜtdcL&,bouicvartSiha*lopoL 
du disque, 222. nie de KivolL 
rr éra. 10, nre des Pyramides. 

ux.29.nw des Pyramides: 

M, Ounirctair. H», rue de Saint-Denis, 
j ledudL«quc,49,Ti» Vivienne. 
j ^el, 5tV62, galerie Mnntpcnsfat. 

' “ «,176, rua Montmartre. 

24,rue des Petits-Champs, 
sr Sébastopol, 89, bd SebsstqpoL 
„ IV, 62/64, me do RhoB. 

■■ - , en ftifl- . SS - hfwdcrord séhGKtopoL . 



C Wagrâm, 22 . avenue de Wagram. 

,25/27, rue du Rocher. 

fc bnerimtioualo du disque, 3, modo Vienne. 

up, 77, boulevard Molesherbex. 

«net technique. SI, rue du Roches; 
ndb commerdaJ. 27, rnc de Rome. 

Musjc.S4.rec de Rome. 

vpsiUas MidelûiofrTraidicL 

rt, Hifl Femca, 10, rue do Châtesudua. 

138. nie Laftrçtto, 

e lafcfna&onalB du dîsqiifla 1S2* nu en fs swjqbsl 
eUa Efcartmlc,220,roe Laûyoüa, 

Radio. 139. rue Lalhyetta. 
rt, D3ity.35.nw de BeUcrilTo. 
onique.54. ns de MonireuiL 
:mer«U3. boulevard Voltaire. 

Son. H. boulevard Beaumarchais. 

Tt CSbol Slëréo Chib. 12,nw de 
Sl&éo Club. 136, boule vont Diderot. 

0,24 bis, ptaeo de h Nation, 
service, 33. avenue D aunuan t L 
lub Tirai, 53, nie Trawiiëre. 
rt, Dany, 168, avenue do Ch oiff. 
musque, 207, avenue do CbaSsf. 
tfalch, 50, «venue dltafie. 

■rt HtuM/.amnttt du Maine. 

. 204, tue de Vaunlraid. 

)6. boulevard Brune. 
r.24.ruedeSanwic. 

OS. 24, avenue du CênéreLLacfers. 
-it!lifiroadoon,2,nigduCénëraKB*lioMe. ■ 
ipe, 113/117. nie de Cambronna. 


R klb Wï cerner, 106, avenue Péttt-Ftnro. 
IUel, 143, avenue Faix-Faine. 
tXfioTOX,272,mcdc VaugbanL 
Télé Paris. 336. tue de h Convention. - 
Daily , 68, mm» du Md». 

Arrt, Guilde intetmtionate do disque, 
28, avenue Mozart. 

T7» Ant, D.MJS-,49. «rca» dOVilSca. 
Maison de kMl,36.boii]oMiriP£iiiîrs. ' 
» Ant Dariy,28. xveooe de Samt-OixsL 
iCG ftiiî Smsar, 4S, boakwtcd Barbés. 
Inter soa^3,A»Lûnbozt. 


ABtmMnriBNiop,48, rno Angnstc-Mminjô. 

Sud tÜMirfn*scr, 91, Bvenoe de Ja DMriaû-Loderc. 
AigaateaO, Cbampjtïnx stéréo, 78, avenne Gabrîel-PéiL 
Cliainptoux stéréo, 207, aronuc JeanJitutès- 
AJMs-MoaStSndtâU-ménagsr. 

42, rente de FonutinetteaiL 

^^ajiûinn hetneose. 

Centre Commeicfal Padnoe.' 

Antfta, Dut?, CentrcCamnKarial Csnuiom . 
v- <w, nmv. Centre commemul, 4fl r ttrcnap QaDïénL 
îboto hall. Centre Cocnncrcbldo'BdMEijy 2. 
&mOj, Danar, P3/I33.avenno GénéCtH3âlSàn. 
Bmea-ser-Y refle, La L i beg, 

rymm ww igj tegimin T 

Odrâvor. Centra CananeimllBsUins 2. . 

fboto bafl. Came CecmziKeiallM Dffis 2. 

C^efaaë^Leo Eboto, aven» do la DMriooJjedeai. 
OBŒ^P«1^9,Danr» 

rVnm t r/tmmerrial des Tmâ FontaTPfls. 
fl, iMflfu T . EPM. <?7 t nvecao do la RémihÜgnc. 

Daity.12. aveano RogefSalensniL 
(liiOfamwreBairaeoc.Dartr, 
15L«v«nraMarcnK!achln(Nkifcrofa306). 
r jtmmr, t07, arrntm Maroel-Cac^gi. 

Q wMM i ai t A LAiiBgqniaaraiüc, 

Centre ComnaatidOxiÜnfimCHnEts-VenÔ. 
tagseiy 00. Phot o p MiJ-, 

OxAb cobboocbl do Ktdf2: 

0*BrLCDS,^avoiffiûV«*jraica. 

Calawbcs, L’32idltarfDtD,4,aTeQiJcMcjKlollc. 

CeBaÜfiWi Lwdet,^ 30 bfc,^ roo SaïnifrConieffle. 

Çjrt rfl, i>arty. Centre Commerelal RAtiopnl 
Drancy, RNfirêtnLPtoco do la Mai*. 

'Enxhltn^es-Rskn, Kiosque à tnteâqut,C, me do Mena. . 

rnefa rt idéal, W, avenue MarfeiiaUrÆc- 
Cirthee, Heupd. 9i boulevard Raymoûd-Poincaié. 

lssy-ks-îloa£ocxoS,llia zoom dnb,US, boulevard Robin. 


Jnn^sm-Oise,Fonasân,16. Grande Roc. 
Levxbfc. Radio Wall, S3,xuo Louise -Miche L 
Uta Oea), lilas clecrte service, 129, rue de Paris. 
ManteHe-JoEa. CGniqne nuunnmiale, 
,15,boulevaitl MantcfaaWuin. 

JWontrraîL Photo haD (Chasseur (fîmaccsL 
Centre Commercial Croix de Ctewaux. 

Léo photo ,£, place Jean-Jaurâ. 
Nanterre, La maisca hemcasc, 

. lSfi,xvnnue Geot^S-Ckméncean. 
NevQy.HiQZLfhl.niBdeSablpnnlle. . 

. Quarte biÈ, 70, aramo CbadesdoGaaDe. 


7. CBX.É3 Falaises, RJS. 13. 
■Perffliata^tatB-Be h r Ra di n Gflqpn, <(l ■ arc. WtwnJT^pn 
Mafaeau, Sud tfliBroteBBtlai, rue de Saris. 

Xlraxe&tbi Dariy, KC/l&L anamo Lé&îne (N^kmato 1 ). 
^asqv OSferati Contre CanmwrcliadoRoarv 2. 

. Btath, Parÿ, Centre Qi mn x icî al de peBeÆpine. 

S&rres,Ls maison hemensi, 

4fy44. Grando Rne (Route Nafimak XJ). 

ShUhOm^ Henni mnskalo, . . 

S0, bonlevanl de b Répobfique. 

Sahd-DenS», Asnade.19, ghee JeanOamés. 
Saiat-Gensaia, LVntfltnrinm.75, ru A o- Pain. 

Photo haH.4, me do Patiq. 

■ jg«ai*Jaa»gA f'htmnt T7 rnç d" H R^mhlÿîllft 

Salat-Mnz, La nuûsnn heorca»J37/141,bd Cbsmpignf. 
. Sennes, Totfnnj. 7.pbee da GênéraWieclere. 

VSixr, Odkmx, Cerôre Commarçîal do VéHzy 2. 

^*‘* 1 ** 00, AnÆfi Jlîllfll floh lfi j tro A g MarfrfwUPwrh. 

Ymaffle», L‘i mdltmftmt ;4,nB AndtfcChfaier. 
GJboui7,24, rno Canna. 

Vgt-GalaHt(te),VerfrGaI ai itiisénager > 4,rrengoPasteini 

VKi*dC DeWoy,22,rno JeanJamis. 

WU jm ânae au >Cnn5nl rtHmSniwar 

342,100» de OotboD. 

Vai a e iw aKhftSlld IStoDitutptA nrtdoMdna. 


PROVINCE 

AUwtflA RaB 6 dtt CBntre.32/34, dmussÉe dnBofa. 
AisvB-Prêrawe.-RanD UH, 34, roc Bédadde. 
ÀBgPi Vs n " . M a rimnm nr oaax^37, ton daSanvapt. 
Anecy, Ba-sï^^ n» Y qg e tg. 

Ssbo&a, 8, maso ffèîx. 

* i.n inf^ *Tr<l i,n; ni i «tn P un- 


AnembMtsh:BenfoDjfi.qnti do laRfpdbfiqne. 

AvËuen, Gfflrah, 2Û,i*&iK-ÂSffloL 

Bayent, MqnatcJ9,HB FWdànc-EtsSa ctT.rueThïeES. 

Bdfar^Laboiadîot/lé,4S,mrauBJeaihIaméx. 

Besanp^Diu^iM%ÏS,nwdoIaBïMio*hègue» 

BndeBËqGBÂM, dearAyres. 

Tâ6Bsqec,6C, couratTAIbrct. 

Brest, 3EteninhBdlkni,P0rt de Commerce. 

Télfros. 25,1118 de Siam. 

Cae«,StiitBnaaer(FhaioCSoO,14,p3aceSBÏntJefliL 


He0en,S7. roe de Bemîère. 

Leroux. 35. avenue du 6 Juin. 
f «*■«, Inuon. KB>, boulevard Jacquard. 

CanbrâL Studio madone, 4. rue Caniimpré. 

Cateautle), Studio madone, 22. Grande Place. 

Caadmo, Lescnra. Wl. avenue d'AiK - - 

Chalm^nr-Saône, Auditorium. 14/16, rue Pasteur. 
(Turnwacc. Piccolo, 2S, avenue de ta Gare. 

Cfensoat -Ferrand. Cadec.y.^dace de UTreiUe. 

Conocn. 2, pUce de Jaude. 

Setemec Laaoix, 10, place de la Ràâsfflnct. 

DSen, Radio télé Ctemenceaui, 4, boulevard Gkmenttm 
Studio 16, 16, nie do Chapeau-Rouge. 

Diaard, Studio 2, J I, rue Le va va sso ut 
Dotal, Gallons, 17, ruo de BeDain. 

Dtmktra'K, Rouvroy , 11/13 . bo uleranl Afcxan drc-ln. 
Bticbs, Dopnsy, 8, n» Ountraine. 

Grenoble, FNAC. 3, Gnnde-Placc. 

1 fifi Maorin, 2, me d’Alsace. 

Harre (le). Auditorium Detard, 78, nie Lcnrâ-Brmdean. 
Sonodâ, 74 bis, rue Victor-Hugo. 

Langres. Toulouse U ugo, à Langres. 
LaraLHifTtb6ïue.3,rue de Bretutsnc. 

Studio Alix, quai Béairix-de-Gravc. 

Laos, Cnvefier,24/2â.i-oo de Paris. 

LJboanie, Rémond, 39. nie Gambetta. - 
UBe, lEnnnerin), Boulanger, L rue Auguste-Potier. 
Cénmor, 3; rue du Blco-Moutoa 
Coopteox MatefiUe, 53 , roe Eaquenn oôc. 

Pigactae, 12, n» dn Ptü^RBxHs. 

Sooosa, 2, n» des Genêts. 

UwA Auditorium Saint Maflëd. 

12. ruu des FiUoï4ColiB-Damc. 

Swhod nmahrte,55,rao F^Chenïeux. 

Lorient. Crt mfog , Tÿ er zon 1 b mcntcc. Kerbeban \Hiagq 
Ly», Bot eurovisioa, 7, eoua de h LHwiÉ. 

(Ltanonest), Dmy.roale a» 6, fieu dit TEpoux. 

FNAC, 62; me do h RépoMque. 

GùBde intematiniiale.dn disque, 27, rue Femncfière. 
Tabey ebctronk,l&,rae Chûdebcn- 
Vxsiomûpic,19. me de k CJxarité. 

La boutique bifi Denys, 71, passage de PAxgoe. 
Lym,Derty, Centre Oommerdal ta FnUJieu. 

M«« Ik), Hüî 2000, 74, avenue Gcoéral-Jb^îaullc. . 
TôUib, 40, ruo Gasibetu. 

Marseille, Adress hîC, 147.ID8 de BreteoiL 
Guilde intentalkiTale du disque, 26. rue d a PAcarffaia. 
TÜébdson, 10, n* des TroivMaEM. 
M anbenpB. H i BR a le strie,36,ng Frankün-RooaevelL 
Mécène, Axta photo.5,sous h Patinoire. 

Met^ lfftr, 30, nié Pasteut 
Prime, 23, rué Lalâyttte. 

Monaco, Lanoine radio. 5, boulevard des Moulins. 

Tdé CMtdamIpe.2. me Princesse Caroline. 

MeotaijdSi Mabon de ta. radio, 19, tue DoreL 
MootéJhnar, lürtez, 11 , rue Samte-Qnoi v. 

ManüBffln, Lnwa, 32. avenue Max-Donmy. 

M au p e Bk r, M£ga radk». M, rm de rLfnlvcahâ. 


Té vdec,3L boulevard dn Jeu-d&Panrae: . 

Morlaix; Josder;7,pb» des Otages. 

MnBwrea; Pboto radio dub, 1/3, |dace Fraoklia. 

. Nmicv, Noovcfcc, Tl, avenue do U Libération. 

Nantes, BcUoeO. place Grasbn. 

Landais, 66. rue Jean-XVUL - • 

Martinez. 1, rue de Verdun. 

Métro MTL Centre Beaulieu. 

Télé Pars, 19, rue do Stnnbooig. 

Nno* Gxnlhler, 38, avenue GénéraMe^faulIe. 
MusitiJO, rue du Commerce. 

NtaeSfcAmaL 8. ruo Rqpde. 

Dseoiélé, 15, ruo Henri IV. 

Lavraut, B, me de Prestno. 

Nice, AJJ*^ Place Max-BonrL 
GflïldF ïn tBiiHlto rei l ^dn rijtqiw.T?, rpw 

Hffl Provana.2, rue Provana. 

Tflfi Paris, Rue NotitrOame. 

Vba, 52. trame JjMÉdefân. 

- Zueârelfl, Rno de France. 

Mou, Paît, 24, n» Porte-Saint-Jean. 

Nogcat-snr-Sdae. Station 2001, 5, rue des FortiGcBÜDaa. 
Odêans, Lebrun, 66, ruo des Cannes, 

JCimiog mdk>, 9, rue leanne-d'Are. 

Pat, Laon, l.avenue Uon-Btam et Pilais des pyrenÉet. 

Pnplgnn,Fldélio,15,nic de b Clocbe-d'Or. 

Poitie», Télé Mag, 187, Grande Rue. 

QaâajMr, Martin S^L,4, route de Brest. 
Kefns.MiKicolar.26, rue de Vesle. 

Radio téléioa« l 193,rce do Vesle. 

Rames; And tt est,7.rce Saint-H cSrr. 

Rodhe-onp-VM Oaî, HHi 85,43, boulevanl LotnsBhné, 
Rocbetie (ta), SMR Tamîsier,Z2. ma du Pataia. 

Roobsic, Discocave, 1 bis, rue Pfcnr-Motle. 

Roms, Darfy, U, rue Tfaéophile-Gaulbier. 
CLN.CL.78.n» Préskkmt-Kcnncdy. 

NoUet&A^T.rue Dumont-dTImOe. 

Phoïo Lut, G alerie du Gras Horloge. 

Saines, AtuSo élee, 17. avenue Gambetta. 

Sakt-Briene, AB6 DrTéS, S, rue de Gouédîe. 

A Sainte Cécile, 24, rue du GénÉnd-Ledere. 
Saint-Etieme, Hïfi Ravan,S, nie Dorroov. 
Sabn-qaenCn, Benhold,47, rue (FUle. 

SbashHqb Musique A Tecbtüquc, 

3, houlcvani de la ûmsionJ>dErc. 

Radto Bnchert, Rua du VIenxMardiéalSfrPôrtsoiB; 
Studio Sesam. 1, rue da la Grange. 

UA.T.,47, me Flntwincr. 

WotC 24, rue dn la Mésange. 

Tahnaat-sarGiraiide, Audaoritnu 7 t 7,XUe du FM. 
■JTotdoB, Uin êfc«lronie,30 1 ruo ilenrlSeabn. 

Photo L3tcrtÉ,3, pian delà Liberté. 

Toalonse. 1 1 ifi Languedoc; 15 bis, nie du Languedoc. 
Htfltechnfc.il. place de b Trinité. 

Toaroofog, Uiseeehib,9,nn de 13 I&- 
Tbbts, Vaugeois électronic, 35. rue Glraudcau. 

Troyn, Nuulelec. Ü4. me du GcnéraJ-Saussieiv 
ValBodeoms, Ménéicc, ni, place d'Ormc*. 

Vkfcr. Beauehnn.22, me rbiwnw 1 1L 


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Page 8 — LE MONDE — T4 octobre 1975 • • • 


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Bourse: 

quelles seront les nouvelles valeurs 
de croissance en 1976? 
Aujourd’hui, dans la\ie française. 


La Vie Française présente cette semaine 
un dossier sur les nouvelles valeurs de crois- 
sauce. 

Des analyses et des informations sur les 
activités et les entreprises de demain, celles 
sur lesquelles il faudra miser pour toucher 
les dividendes de la nouvelle croissance éco- 
nomique. Un dossier à détacher, à conserver, 
A partir de cette semaine, la Vie Fran- 
çaise publie une cote des valeurs mobilières 
que seul permet l’usage de l’ordinateur : elle 


LaMe Erançaise. 

L’information économique, mais surtout 
les moyens d’en tirer profit. 


POLITIQUE / 

A LA COMMISSION DES FINANCES DE L'ASSEMBLÉE NATIONALE . |? t** 

4 V't * 

Selon H. Fourcade, la modulation conjoncturelle ‘ v 
des impôts directs pourrait foire l’objet d’un projet spécu 


H ürmi» vendredi après - midi 
10 octobre, la commission des 
flnBTviM[ (Jg l’Assemblée na ^nnall» 
a poursuivi l'examen des articles 
du projet de Loi de finances pour 
1376 (le Monde daté 12-13 octo- 
bre}. Les dépotés ont tout d’abord 
étudié trais de ces articles :‘l*on 
tmodnTattnu conjoncturelle dea 
impôts directs), qui a fait l’objet 
d’une audition de M. Jean-Pierre 
Fourcade, ministre de l’économie 
et des finances ; les deux antres 
— le premier concernant la mo- 
dification de la taxe Intérieure et 
de la redevance perçue an profit 
du fonds de soutien aux Hydro- 
carbures applicables & l’essence 
et an super-carburant; le s ec o nd , 
relatif A i ^iw<n«gwn«nt du régime 
fi-w»i des sociétés Dé troll ères 
ont fait l’objet d’une audition 
de M. Michel d’Ornano, 
ministre de l'industrie et de 2a 
recherche. 

M. Maurice Papou, rapporteur 
général du budget, député UJD.R. 
du Cher, & rec onn u, en présence 
de M. Fourcade, l’intérêt que 
présenterait un nouvel Instrument 
d’action conjoncturelle permettant 
an gouvernement de faire face à 
utia «ifcnaMon économique fluc- 
tuante. H a relevé que le dispositif 
prévu va dans le sens d’une direc- 
tive de la Communauté écono- 
mique européenne air l’opportu- 
nité de rffc frâer d’un moyen d’ac- 
tion conjoncturelle semblable à 
celui dont le gou v e r n ement ouest- 
allemand vient de se doter. Tou- 
tefois, M. Papan a fait part de 
ses doutes sur la constitution- 
nalité d’une telle disposition, et 
indiqué que le vote d’une loi 
d’habilitation en appli cation de 
l’article 38 de la Constitution (qui 
permet an go u vernement de 
demander au Parlement l’auto- 
risation de prendre par ordon- 
nances des mesures qui sont nor- 
malement du ressort de la loi) 
ifetft nécessaire. 

M. Fourcade, après avoir confir- 
mé que le gouvernement souhaite, 
par cet article, pouvoir soit re- 
porter le versement du premier 
tiers de l’impôt sur le revenu, 
soit relever le minimum d’impo- 
sition donnant heu au versement 
d’acomptes provisionnels, a précisé 
que -le Conseil d’Etat avait émis 
un avis favorable sur la régula- 
rité juridique de cet article. Il a 
toutefois annoncé son intention 
de demander au gouvernement. 


lors du prochain conseil des nü- 
3rtr«s, la possibilité^ recourir 
à la procédure des ordonnances , 
l’article 16 du projet de loi de 
flnan,* s ferait alors 1 objet d’un 
projet spécial qui serait examiné 
Hune le cadre de la d i s c uss ion 
budgétaire. Après que M. Henri 
Gtaoux ixéf-, Hauta-de-Spine) eut 
suggéré un relèvement immédiat 
duseua d’imposition donnant lieu 
& versement d’acomptes. M. André 
Boulloche CP-S„ Doubs) a noté 
oue ses amis politiques resteraient 
trts vigilants & propos d’un texte 
allant: flans le sens d’un -dessai- 
sissement du Parlement, il a 
estimé, cependant, que la procé- 
dure des ordonnances paraissait 
quell que soit « sa lourdeur ». la 
seule s admissible ». 

Au cours de l’audition de 
M. d’Ornano, M. Papon a souli- 
gné que la ponction fiscale des 
articles modifiant la fiscalité pé- 
trolière était de l’ordre de L2 mil- 
liard de francs et représentait la 
plus g rande partie des ressources 
nouvelles dégagées par le bud- 
get 1976. En réponse aux questions 
Hoc commissaires formulées par 
M. Papou, le ministre de l’indus- 
trie et de la recherche a rappelé 
les orientations prises par le gou- 
vernement en matière d’énergie 
qui doivent permettre d’avoir, en 
1985, un volume dTimportatianss 
de pétrole égal à. celui de 1975 
(Soit 100 millions de tonnes pour 
les besoins énergétiques. 20 mil- 
lions destinées à satisfaire les au- 
tres besoins) et aux sociétés pé- 
trolières dont l’Etat est action- 
naire de contrôler de manière 
sûre en 1985 des réserves pétro- 
lières d’un montant égal aux be- 
soins français. En ce qui concerne 
la modulation de la provision pour 
la constitution de gisements en 
fonction des zones géographiques, 
le ministre a souligné qu’elle per- 
mettra d’orlneter les recherches 
Hune les secteurs conformes à 
l’Intérêt national. Estimant 
souhaitable l’augmentation à e 
100 millions des ressources du 
fonds de soutien aux hydrocarbu- 
res, le ministre a noté que ces 
crédits ne représentent que 5 7» 
du total des dépenses de recher- 
che mais qu’ils permettront des 
Incitations plus fartes dans cer- 
taines réglons. 

A propos de la provision pour 
fluctuation des cours. M. d’Or- 
nano a affirmé qu’il n’existait 


aucune perspective de bob 
prix à moyen terme, les 
values enregistrées sur les 
de pétrole brut par les e 
gnles acquérant de ce f 
caractère de plus-values i 
terme. Selon le ministre, les 
t&ts financiers des ctanc 

Ç étrolières en 1975 sont c 
endettement du secteur 
de 14 & 27 milliards envii 
1975. 

En réponse notaœm 
MM. Boulloche et Robert- 
Vivien (UJXR. Val-de-Mai 
ministre a admis que la s 
absolue des apprortstann 
était un objectif imposs 
atteindre, mais que le fai 
les compagnies fftuicaÈ 
contrôler une prodoct 
pétrole au moins égal 
consommation nationale 
courait avec les autres £} 
de notre politique c» mat 
diversification des sources 
gte et des approvisionnons 

La T.V.À. sur !v publii 
pornographiques 

D’autre port, la commb 
adopté l’article 8 du pre 
loi de finances relatif aux 
sur les alcools qui a pour < 
le financement partiel du 
vement sur les recettes d t 
prévu au profit du régime 
de la Sécurité sociale. M. 
et M. Pierre Cornet (apj 
Ardèche) - ont souligné • 
niveau des droits appliq 
France dépasse nettemon 
appliqués dans les paja 
C.ER. 

Les modalités envisagée 
l’article 10. qui prévoit 17a 
tlon du taux majoré de la 
aux films interdits aux s 
ont été critiqués par MM 
Olnoux. Marette (UJXR, 
Josselin (PJSh Côtes-du 
Vivien, Pons (UJDiU Lot) 
briason (P.O, Essonne). U 
mission a adopté un amem 
de M. Marette, & runanlm 
tend A appliquer le taux 
de la ' T.VJL aux pubil 
pornographiques et pervers 
créations de droits porta 
les spectacles pornograp 
et pervers, ainsi qu’aux 
d’entrée dans les dnén: 
théâtres où ces spectacle 
donnés. 


Les souvenirs de M. Chaban-Deltnas 


donne pour chaque valeur -cotée en France, 
des renseignements exclusifs (volume de 
transaction, rendement-.). C’est la première 
cote complète, lisible et sans erreùi: Et cette 
semaine, comme toutes les semaines dans 
la Vie Française, des spécialistes analysent 
concrètement Facta alité économique, «ans 
verbiage et sans complaisance, parce que c’est 
la meilleure façon de Tons donner les moyens 
d’agîn 

En kiosque aujourd'hui. 


(Suite de la première pagcJ 

On aurait aimé que ce « baron » 
du gaullisme nous livrât la vraie 
substance des Innombrables et Impor- 
tants conciliabules qull eut, . des 
années durant avec ses pairs, entre 
autres Michel Debré, Roger Frey, 
Jacques Foccart, Olivier GuIchaFd. 
On eût apprécié quelques portraits 
vivants de ces personnages, et l’on 
regretta qu’ils n’apparaissent que 
bien fugitivement à travers les quatre 
cent cinquante-deux pages du livre. 
Il y aurait aussi lieu de déplorer la 
précipitation avec laquelle M_ Cha- 
ban-Delmas évoque sa traversée de 
la IV* République. On était en droit 
d’escompter des développements 
Inédits et dee confidences person- 
nelles sur le passage du RFF. de 
l' opposition Intransigeante de 1947 
au « soutien vigilant » da 1953. 

Une victime non consentante 

Cette espérance n’est pas comblée, 
encore que l’on puisse glaner, de-d 
de-là. quelque Indications Intéres- 
santes sur cette période et les 
années qui suivirent Ainsi appre- 
nons-nous que « Chaban » était en 
total désaccord avec de Gaulle sur 
les apparentements électoraux 
da 1951 i qu'il préconisait lut tandis, 
que le chef -du RFF. J es condam- 
nait comme une-bassé combinaison 
des • politiciens ». Ainsi nous est-il 
révélé que. dés .1958, René Coty. 
président de . la République, avait 
chargé Jacques Cha ban-Delmas de 
transmettre à de GauHe-un «• mes- 
sage capital »: » Ditee-Jul . que si 
une crise se présente, et qu'elle soft 
assez grave pour que je puisse tirer 
au maximum sur le crédit que la 
Constitution octroie au président do 
la République, le ne manquerai pas 
de m'engager i fond en faisant 
appel à lui pour former 1e gouver- 
nement dans le cadre' de nos insti- 
tutions afin, précisément, de chan- 
ger celles-ci. » 


• M. Michel Jobert. a déclaré, : 
samedi il octobre, à Béthune : j 
« rouf serait plus simple si Von. I 
faisait confiance aux Français et \ 
si Von rejetait cette politique du 
chien crevé au fil de Veau, qui a 
été celle tTun certain radica- 
lisme -. Mais & parait que le grand 
espoir est maintenant le radica- 
lisme I Sur le. plan extérieur, Vat - 
tttude ciaire de la France est 
devenue me image brouillée. 
Depuis cinq cents Jours, le gou- 
vernement test constamment 
trompé. Je rVai vraiment aucun 
titre à commémorer cet amvoer- 
eaire au moment où Von en sup- 
prime d'autres, s 


Publiant en octobre 1875, l’auteur 
de VArdeur ne pouvait méconnaître 
que ses lecteurs seraient surtout 
'attentifs & la relation da l'expérience 
et des épreuves qu’il connut entre 
6on Installation h l’hôtel Matignon, le 
22 juin 1969, et son échec au pre- 
mier tour de l'élection présidentielle, 
. le S mal 1974. Les cent pages consa- 
crées à cette période se terminent 
eur une proclamation de détermi- 
nation absolue et de parfaite sérénité 
que tout ce qui précéda ne rend 
guère convaincante. Jacques Chaban- 
D aimas n’apparaît plus, en effet, 
comme la victime qui. en Juillet 1972, 
avait consenti sans dire un mob et 
au nom du respect des grands prin- 
cipes da la V* République, à être 
écarté de l’hôtel ■ Matignon par 
Georges Pompidou sans avoir droit 
aux égards dont M. Michel Debré 
.puis • Georges Pompidou lui-même 
avalent' bénéficié, en pareilles- cir- 
constances. de la -part do da Gaulle. 
Ce tournant de la V* République — 
on n’avalr encore jamais vu- sf public 
.et si aigre affrontement entre le chef 
de l'Etat et son premier ministre — 
inspire aujourd'hui A notre auteur 
d'amàrea doléances. 

Le temps n'est plus de celer les 
. variations d'humeur d'un patron qui, 
après -avoir pris ombrage du succès 
remporté par le grand dessein 
e-po*é le 16 septembre ' 1969 
(« Laissez donc tranquille votre nou- 
velle société, personne n’y croit, 
vous rasez tout te monde -), aurait 
dit, en 1973, à son ancien premier 
ministre : «Ad tait, la nouvelle 
société, ne t’abandonnez pas. Elle 
vous appartient, et ce sera très 
Important. » Des propos aussi contra- 
dictoires durant sonner rudement aux 
oreilles d’un homme que de Gaulle 
et Pompidou. dlMi, avalent promis 

au plus haut destin — l'Elysée — 

ri -do-itt le conviction demeure 
intacte : « St Georges Pompidou 
avait adhéré à la nouvelle société, 
apporté i la soutenir la poids de 
son influence et de la confiance 
que lui taisaient tas Français, toutes 
choses eussent été différentes par /a 
suite . ■ 

U temps est venu, semble+ît. de 
dénoncer publiquement - une obstruc- 
tion dont lé noyau acttl était ù rEly- 
dans Tentourage de Georges 
Pompidou Hommage étant rendu 
•au. parfait loyalisme de deux mem- 
bres de cet entourage, MM. Michel 
Jobert et. Edouard Balladur, en 
conclu ra-t-on que tous les autres 
étaient des- adversaires du maire de 
Bordeaux ? Seul M. Pierre Juillet 
est nommément mis on cause, étant 
bfer précisé qu’il avait eu le rare 
courage de venir dire ses doutes et 
sa [défiance i un premier ministre 
dans lequel il voyait, paraît-il. 


« r homme qui amène le so 
en France ». 

SI (Ardeur n’apporte guôr 
-monts nouveaux, nous semble 
I'- affaire Dega », encore que 
carc cfEstaing soit mis an 
sans être cité nommément; 
celle de la feuille dlmpflfe P 
ban-Delmas Inscrit da bonnt 
à son passif sa pénible Int* 
télévisée du 15 février 1972)* 
tend & démontrer qu’il exista* 
de continuité entre les 
et les « coups bas » de 
l'Issue décevante de l'équij 
1974. L'ancien candidat- 4 
convient, certes, qu'il coma 
erreur en changeant de vis. y.. 
beau milieu de *ton parcoun 
se présentant non plus cou 
sémillant conquérant mais cor 
postulant « marchant è pas coC 
pourtant ce n'est pas à luf-ro* 
s’en prend avec le plus d»> 

En 1972, M. Pompidou avait; 
pour remplacer M. Chaban- 
i Matignon, M. Messmar/J 
M Olivier Gulcha.-d, alors-; 
successeur ne .pouvait être, t 
damier. « Nous en étions co 
depuis plus de deux ans , G 
Pompidou et mol ». êcrfML.M 
choisissant M. Messmer, G 
Pompidou et l'entourage n'avs 
pas pour lointain dessein dis 
au maire de Bordeaux Phcc 
« sommet » que lui aurait 
M. Olivier Guichard. D'où des 
dations dépourvues da toute a 
sur fe rôle de M. Messmer. O' 
rudes propos de M. Powpldc 
M Giscard d’Estàlng -.que. 
fauteur : « Un homme qui 6t* 
antipodes du gauHIsmè of ■ 

cessé de le manifesta' ” 1191^ 
enfin l'affirmation d'une totale J 
patibilité : « La France de G 

tfEstalng ne saurait être le’ * 
de Gftobe'n. », -. } 

SI vraiment un ai long oô'j . 
a ôté fomenté contre lui, on s'érf u 
en définitive que l'adversaire- Mirk 
heureux de M. Valéry Giscard - . t 
talng ne se montre pas plus 
catif encore. Ne . ncus’auraiw! 
tout dit y Taos -compte# fefis, f 

Jacques ». comme rappela» ma 
quea Soustelle du temps où U# H 

pliaient fraternellement dat» •«; 

petite équipe de® J 

aoclaux, Issue dû H.P.F.. noua ^ *! * 
sur. notre faim. L’Ardeur #?, m 
parmi les Innombrables ifloViBf»; '■ 


parmi les innomurmjw A", : «. * 

prouvent qu’il n’est pas >0“; * y 3 f r 
pouiibh. d'Ôtre jeafrJaequ» Vj ' '4.^ 
Jacques qui écrivait dans ls , vJtl» 
semant des.-Confess/oo* : ‘'.,1. 
le seul r portrait tThonima. I f £ 

exactement d’après sa T - 

dans toute sa vérité, qui 
ojri probablement exista** Je®®”» 


Plî*9f 

M-v* 


jouis sa wmi*— ««T- V va*. , 

probablement existera Jam«^b 

RAYMOND EARIUU0 ' V --/7rp^ 






r 





LE MONDE — 74 octobre 7975 — Page 9 


POLITIQUE 


POUR MARQUER SON ORIGINALITÉ DANS LA MAJORITÉ 

1/U. D. R» veut relancer la « participation » 


W lï! 


, ~ xttaque oblique mate évidente, menée 
\/o<« dé p tes contre H7-DJ2. par M. JH- 
‘ Poniatowski ifle Monde du 10 octobre) 
' ' -‘ ■"‘'TOiKJafÉ rester longtemps sans riposte. 
V? - ’ j-ci est wm samedi 11 et dimanche 
'i Octobre, au cours du comité centrât que 
formation gaulliste réunissait pour la 
~ ,'iière fois depuis avril dernier. 

"\W le couvert de proclamations de 
ttê, de fidélité et tVuniiê, lès cadres de 
"l-R. ont tenu, à marquer d la fois leur 
. .. ; ■■irtance, leur originalité et leur uotonté 

:.<*«■■ . 

- * iffirmation de M. Poniatowski selon la- 

las républicains indépendants ccmsü - 
\ ■: prient, d’ores et déjà. « le premier parti 
. v majorité » a été évidemment contes- 
..J::‘.har tous les membres du comité cen- 
■ Af. Jacques Chirac hti-méme a posé 

•. .“ - ne une évidence que l’UdDÆ. est « le 
-.ventent le pins lxrqxtttant de la znajo- 
. .•■>, mais aussi « le mieux organisé ». 
\tidri Bord a renchéri en présentant le 
( dont O est le secrétaire jfènéral comme 
K t; grand mouvement politique, de loin le 

j> i r • - 

S André Bord, secrétaire çôné- 
- 4 - de TO-D-R-. a déclare en 
lut les travaux : « (~J Nous 
■ ï.ries aujounThai un grand 
>- yement politique, de loin -le 
\ - important de la majorité et à 
dUe de devenir le premier de 
■ . -.ce. Notre implantation pvpu- 
ne cesse de se développer 
: Ir-’f ci à la lin de Tannée, nous 
_ ns atteint le plus haut niveau 
-..‘.lésions depuis 1968. (—) Nous 
'jus reprendre Toffenstve eh ce' 

'- concerne la participation : 

- notre seule chance de rap- 
. . ier les partenaires sociaux et 
. T l’auto-gestion utopique et 
: rigisme bureaucratique. Vunê 
'.. ‘"ne Vautre me pouvant con- 
-*ï qu'au désordre ou & l'ex- 

- on /J. 

-1 nous faut penser aux' 

. ianc es Rectorales : eues 
«client. Bientôt, les élections 
■ on aies : la loyauté est. notre 
î, BO«s souhaitons qu’eue soit 
’-.t-cRle des autres formations 

- .-. la - majorité. : L’ UDJL saura 
.. •Agitante : elle n’admettra 

. aucun' cas que Von présente 
. candidats contre ses sortants, 

• : s quAquaprétexte que ce soit. 
ne suis cependant pas opposé 
rééqutUbruge en tant que tel : 

- / a tant de sièges à reprendre 
'opposition I 

Ensuite, les élections mmtfci- 
3 . Les partis de la majorité 
aient, ensemble, constituer les 
• de candidats. 

Mi ch el Debré, après avoir 
ê mie les {amitiés étaient 
■remieres victimes do l’înfla- 
puisque a la naissance d’un 
i"îi entraîne une baisse du 
Dfr dachat », a poursuivi : 

_ Jacques Chirac n'était pas 
ier ministre, combien de 
agnoiur hésiteraient à se 


pins Impartant de la majorité et à la veille 
de devenir le premier de France ». Envisa- 
geant bd aussi le « rééquilibrage » de la ma- 
jorité; M. Bord a invité lès alliés de sa for- 
mation à prendre des sièges à t opposition 
et ü a annoncé que VÜJO&. rf « admettra 
■pa$ » contre- ses .sortants des concurrents 
venant des autres partis de la majartti. 

Alexandre Sangufnettt, qui depuis un an 
n’axait pas parlé devant le comité central, 
s^n-est pris directement et fort, vivement 
à la politique de M. Giscard d'Bstatng. Tl a 
certes reconnu la légalité du chef de V Etat; 
mais a douté de. sa légitimité; le pouvoir 
n’ayant jamais, selon lui , été aussi a soli- 
taire ». ü a invité. ses amis à plus de discer- 
nement en les enjoignant à refuser de 
confondre .le libéralisme, «qui permet tous 
les laxismes», et la liberté. 

M. Michel Debré, pour sa part, a assuré : 
« SI .'Jacques Chirac -nfétait pas premier 
ministre, combien de nos compagnons hési- 
teraient A se .reconnaître dans toutes les 
orientations de la majorité!» Contraire- 
ment à ce~quc feignait de croire M. Chirac, 
ce n’était pas là simple «boutade» du 'député 


de là Réunion. Mais os dernier nfa pas voulu 
prévoir où se retrouveraient les gahUistes 
si M. Chirac cessait d’être premier ministre. 

Pour mieux souligner leur originalité. dans 
le majorité , tenter d'y conserver leur place 
prééminente et, selon Vexpressiqn de 
ï£. Chirac, crdorger leur image de marque », 
les membres du comité central ont décidé 
de procéder à un «gauchissement» de leurs 
positions. 

Us . vont donc relancer Vidée de partici- 
pation, présenter des propositions , annoncées 
comme progressistes ; pour la réforme de Ven- 
treprise , développer une politique' familiale 
active et encourager la promotion des jeunes. 
Ile vont enfin multiplier les sections Z7JX8. 
d’entreprise en vetâant, comme le leur a 
recommandé M . Chirac, à ne pas empiéter 
sur la compétence des syndicats. 

Ces .actions devraient leur permettre de 
croire en Vafflmatlon que M. Chirac a 
énoncée devant eux: «Nous avons la séré- 
nité des torts», alors que leur confiance en 
eux-mêmes et datis leur avenir semblait 
bien ébranlée. 

ANDRÉ PAS5ERON. 


tr pas- nous faire 
fois pour toutes 


majorité ne doit 

considérer t aie fois pour 

les oppositions comme des adver- 
saires irréductibles et nos alliés 
comme des amis indéfectibles. 
Nous sommes ensemble certes, 
mais pas pour n’importe quoi et 
réimporte comment. » 

L'ancien ministre a ajouté 

» (-J Nous ne sommes pas des, 
libéraux. Nous croyons à la devise 
de la Révolution française. Le 
libéralisme n’est Jjos la liberté. 
B eut celle des forts, des habiles, 
des nantis, des heureux. Il ne 
permet pas V exercice de l’égalité 
réelle, qui n’a rien à voir avec 
régalité formelle. 71 permet toits 
les laxismes, par l’exaltation des 
seuls . droits de l'individu. 

» Nous récusons la société sans 
freins et la lutte dés classes, parce 
que nous voulons, par la partici- 
pation. approcher toujours plus 
la société sans classes et restaurer 
la communauté. -L’idée de ras- 
semblement^ doit nous être pré- 
éminente à la notion de majorité, 
parce que celle-ci implique la 
constitution de clientèles élec- 
torales. » . 

M. Jacques- Chirac, flan* le dis- 
cours de cléture, a notamment 
déclaré : « Nous avons la sérénité 
des forts. Nous sommes le mouve-- 
ment le plus nombreux et le 
mieux organisé de la majorité. 
Nous avons ftdt la preuve que 
nous étions capables de soutenir 
et de défendre les institutions. 
Nous . ne devons avoir aucun 
complexe. Nous avons été, nous 
sommes et nous serons des par- 


tenaires loyaux, intégrés dans une 
majorité et dont tinfhumee de- 
vrait découler de notre exemt 

rité et de nos capacités. Les 

tours nous ont fait confiance. Us 
ont la certitude de pouvoir nous 
faire confiance encore. Nous arri- 
verons à reforger notre image de 
marque et à redéfinir les positions 
gaullistes. » 

M. Chirac a assig né les objectifs 
suivants ; 

.« L’évolution doit se faire dans 
un ordre respectueux du prochain 
sensible à la sécurité des citoyens 
et dans le maintien de la liberté. 
Les réformes se gagnent par V ef- 
fort. Les plus importantes ont été 
faites par de Gaulle et par les 
gaullistes. Il ne faut donc pas 
hésiter à aller de Vacant. Il faut 
réformer V entreprise. Il y a dans 
le système actuel une certaine 
aliénation des travailleurs. Il faut 
■nuAtriser les yrtoüèges qui sont le 
soubassement de Vanctenne so- 
ciété. Dans la société industriali- 
sée, nous ne devons pas être 
absents des entreprises. 71 n'est 
pas question de créer un quelcon- 
que syndicat « jaune », mais de 
permettre aux gens qui pensent 
de la même façon de se re- 
trouver. » 

A l'issue du comité central. 
VUSUEL. a décidé : d’éditer un petit 
livre sur de Gaulle, destiné a la 
Jeunesse; de créer un supplément 
mensuel à la Lettre de la nation ; 
de constituer un groupe de tra- 
vail sur la réforme de l'entreprise, 
qui devra remettre ses conclusions 


-naître dans toutes les orien- 
: «s de la majorité ! 

•i serait préférable de ne pas 
Are d certaines prises de 
km parce que nous ne som- 
pu Sur le même plan. La 
que gauBIste se définit par 
vt à Ta France et non par 
vt aux combinaisons des 
i politiques. Ce ne sont pas 
ropos dès autres qui modi- 
it 7103 attitudes. » 

race solitaire du pouvoir 

'Alexandre Sangulnetti, an- 
secrétaire général de 
a déclaré notamment : 
certaine Idée de la France 
isormais en cause Jamais 
ice du pouvoir n’a été aussi 
re et jamais la tendance 
résidentiaUsme, source de 
choses, aussi accentuée, 
’ette attitude est . pourtant 
•ire à la lettre et a l’esprit 
i stitutions et aux intérêts 
comportement du peuple 
■is. Cont rai r e ment à ce que 
n attend, elle ne renforce 
' pouvoir central^ on ne le 
ue trop tous les jours. 
ous soutenons Valéry Gis- 
d’Estaing parce qu’il est 
le la nation et notre élu. 
nous ne devons d’incoruU- 
lité à personne. L’élection 
légal, elle n’accorde pas 
aiiquement la légitimité, 
ci est bien autre chose que 
xttté. H y faut rhistaire et 
don populaire au-delà des 
ss politiques. 

a commémoration avant 
s n’y suffit pas. 
a notion nécessaire de 


fpùbuettél 


Un cercle réservé 
aux amis 
des grands vins 

TJne idée sympathique! 
Qui séduira tous les ama- 
teurs de bons vins : pourquoi 
ne pas se grouper? Pour être 
régulièrement informés de 
la production présente et 
de l'année à venir de tous 
les vignobles .de France? 
Connaître les grands millé- 
simes et, pourquoi pas, en. 
commander de bonnes bout-’ 
.teilles? Etre immédiate?- . 
ment au courant dé toutes 
les bonnes affaires conéer- 
nantles vins et les alcools de 
n'importe quelle région? Et 
profiter des prix exception- 
nels accordés aux achats de 
groupe? 

En résumé, pourquoi ne 
pas se constituer, entre 

amis, une très grande cave à 
de très bons prix? 

Vous pouvez être tout de 
fuite l’un de ces amis. 
Contactez pour les informa- 
tions supplémentaires : 

Michel. Laroche 
Cercle Brennus 
24,rue Anxerroise 
69800 Chablis 



DROIT DE VIVRE — - 

nie de Paradis - 75010 PARIS — Directeur : : PIERRE-BLOCH 
LE DROIT VIVRE nouvelle formule 
vient, de paraître 

mnmeOro : 

JEAN FERNIOT • PIERRE- BLOCH 
Un article de Maître J.-M.-VARRAUT 
sur les Juifs dli.R*S.S. 

EN EXCLUSIVITÉ : 
interview de SAHA HASSAN, 
umaffsfe égyptienne 

et les chroniques habituelles sur fa» livras «* ">*». 

note dans 1« dru Stores, gszes, aéroporfa de la région parlitenne. 
US numéro :3 F. 


• M. Michel Poniatowski a reçu 
vendredi 10 octobre une déléga- 
tion du Mouvement wLWnna .1 des 
élus locaux et du Comité de liai- 
son des élus (ce dernier sa réclame 
w ni ih te rnit de la majorité Pré- 
sidentielle)- Le ministre de l'Inté- 
rieur, précise la déclaration 
publiée par les deux mouvements 
A l’Issue de l'entretien, « a féli- 
cité ses interlocuteurs pour leur 
effort de coordination et souligné 
combien il apprécie la qualité de 
leur contribution à une véritable 
réforme des finances locale» ». 

• M. Jacques Dominati,. secré- 
taire général des républicains 
indépendants, a déclaré dimanche 


12 octobre A Lyon, au coms d'une 
journée organisée par la fêdéra- 
ration de son parti et celle du 
CJTXP. ; « Nous voulons une 
véritable organisation pour 
défendre la société libérale. Tous 
les libéraux peuvent se retrouver 
dans une confédération pour cette 
bitte. Nous voulons être les 
commandos du président pour la 
réforme. » 


if 


J farte , 

deféducalioq | 

Au sommaire 
do numéro d’octobre 


• CROQUIS : « Meissiai Mode tt 
sa araire ». 

• ETUDE : tes tejBtiess de fie- 
teffigeoceL. 

• REPORTAGE ta Cene et sn 
éeate. 

• OPttitOU î reaéEMér b to- 

nifia canfiuue? 

• ENSDETE : b tfiftrisïn sobre 
a Cfite-fivoire. 

• NOUVELLES DE L’ETRANGER : 
ratrfa de crise a EareaL 

• 0001 DE BEDE POUR LA REN- 
TREE BNIVERSiïAKE? 

• «FORMATIONS PRATIQUES : 

. — L’ergasafiBB de fessé 

gsesest seceedaf re. 

— Les pregiamnas des éos- 
. siens édecafives de b 
radb-tftorlshB. 

- Les sétrers de PmaM. 

Le numéro: » F. 

AOcoeement (11 numéro* p*r 

sa) : France, 50 F. 

Etranger (TOI» normal») : 68 F. 


avant la fin de l’année au comité 
central ; de réunir un c forum > 
avec des enseignants, des écri- 
vains, des artistes et des journa- 
listes. pour définir une politique 
culturelle; de réunir, les 6 et 7 
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Cette œ u v re étrange et 
grandiose, peu comme 
en -profondeur, hormis 
dfs gpn* de haute cultu- 
re, n’a rien perdu de 
son charme, de son ac-* 
tuafité émouvante. C'est 
l 'œuvre clé pour com- 
prendre le "Moyen Age 
et la Renaissance dont 
cet' ouvrage poétique 
contient les idées maî- 
tresses. 

C’est ce grand texte, 
presque introuvable, si- 
non eu fragments épars, 
que j’ai voulu restituer 
intégralement dans sa 
chair et dans son habit 
d’époque. 

Voici donc intact lè pins 
grand texte de no tre lit- 
térature du XUP 'siècle, 
le siècle des signes et 
des mystères, où. Ton 
parcourt tout le Moyeu 
Age. 


Jf 

t 

lié 

Roman de k. 

Rose 


•Imprimée en 1538 par Jehan Longis 
avee 50 merveilleuses illustrations 
gravées sur bois par un artiste 
anonyme dn XV e siècle. 


Notre texte est la reproduction exacte «Tune 
impression introuvable de Tau 1538. Ses 
840 pages in-octavo (14 X 21 cm) sont 
serties Hans une magnifique reliure du 
XV* siècle, travaillée 'en pleine peau de 
mouton de pays. 840 pages dans un seul 
livre, et quel livre Le papier est un 
merveilleux papier chiffon' incorruptible et 
fabriqué comme autrefois à la forme ronde, 
très fin et aussi résistant qu’un papier mon- 
f naie. H est fait pour dorer des siècles. La 
tranche de tête el le dos sont dorés à For 
fin véritable titrant 22 carats. 


Je pourrais donner mil- 
le détails encore, mais 
il font regarder le livre 
lui-même, le caresser, 
pour en éprouver toute 
la perfection et cette 
sensation étrange de 
plénitude qui rayonne 
des objets prédeux, soi- 
gnés en profondeur, et 
qui fait dire qu’ils ont 
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10 joncs chez vous 
sans rien payer ! 

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vous en éprouviez la 
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de réservation et examinez d’abord l’exem- 
plaire que je vous, envoie en vision. S’il ne 
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10 jours et nous ne parlerons plus de rien. 
Si' vous avez envie de le garder, et seule- 
ment dans ce cas, vous m’en réglerez le 
montant. 

Quelle meOleure garantie puis-je vous 
offrir? 

Votre très dévoué. 




Jean de Bonnot, 
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Nota ' Pré n om 

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Page 10 — LE MONDE — 14 octobre 1975 



DIRECTEUR COMMERCIAL 


140.000 F 


Biens! de consommation durable — Une société française spécialisée dans Ta 
fabrication eTIc commercialisation de biens de consommai ion durables de marque, 
r ech erche 'pour siège situé à Paris un. Directeur Commercial. Membre du comité de 
dir ect ion, II sera responsable devant le Directeur Général de la politique produits et du 
développement des ventes auprès des différents canaux de distribution (grossistes, dé- 
taillants, grandes surfaces, installateurs). U animera différents services : ventes et après- 
vente. promotion et éludes commerciales, export, distribution. Ce poste convient à un 
cadre confirmé de formation supérieure commerciale ou de niveau équivalent âgé de 
35 ans au moins. Sa carrière antérieure lui aura permis d’acquérir une solide expérience 
de la vente et de l’animation d’une équipe commerciale, des problèmes de marketing, de 
publicité et de distribution, de préférence, dans le domaine des biens de consommation 
durables ou d’équipement. Des qualités d’animateur et de gestionnaire sont nécessaires. 
La pratique de l’anglais est indispensable. La rémunération annuelle sera de l’ordre de 
140.000 francs. Ecrire à Paris. Réf. A/2254 BM 


CHARGÉS D’AFFAIRES 


90.000 F 


Second-Œuvre Bâtiment — Une importante société française spécialisée dans les 
installations de second-ceuvre — chauffage, climatisation, sanitaire, électricité — recherche 
sur la région parisienne plusieurs Chargés d'Affalres (un poste de même nature est à créer 
dans le Sud-Ouesi). Sous l’aulorité du Directeur Régional qui assurera la coordination 
et l'orientation- de leur action, ils auront la mission de promouvoir les services et l’image 
de marque de l’entreprise auprès des prescripteurs. Ce sont donc des hommes de contact 
qui interviendront auprès des architectes, des bureaux d’études et des administrations d’une 
manière constante et suivie. Mais ce sont surtout des techniciens aptes à Identifier et à 
sélectionner les projets en fonction des possibilités techniques de la société et des chaaces 
d’aboutir, à remettre des propositions avec l’appui du bureau d’études et à les défendre 
ouprès des organismes décideurs. Ces postes conviendraient à des. cadres expérimentés, 
âgés d’au moins 32 ans, deformation supérieure (TP, ENSA1S.-) ayant ou moins dnq ans 
d’expérience dans le bâtiment, acquise dans les bureaux d’études et sur les chantiers. 
Des aptitudes commerciales, le sens du contact et de la négociation sont indispensables. 
La rémunération annuelle de départ sera liée aux compétences du candidat et pourra être 
de l’ordre de 90.000 francs. Ecrire à Paris. Réf. A/2338M 


INGÉNIEUR COMMERCIAL EXPORT 


Paris 


Produits Industriels — Une très Importante société industrielle française, leader 
sur son marché, recherche un Ingénieur Commercial pour l’une' de ses divisions. Basé à 
Paris, et sous l'autorité du Directeur, il aura pour mission principale de représenter les 
intérêts techniques et économiques de l’entité concernée auprès de services commerciaux 
internes et externes. D’autre part, il devra participer à la recherche de débouchés nou- 
veaux à l’étranger et à la mise en place, le cas échéant, de supports locaux. Enfin, il devra 
suivre la gestion des (Efférents chantiers pour pouvoir en rendre compte â tout moment. 
Ce poste conviendrait à un candidat, âgé d’au moins 27 ans, de formation supérieure 
commerciale ou technique, ayant une expérience d’environ trois ans acquise dans la 
Commercialisation de produits Industriels. Celte fonction nécessite une grande disponibilité 
et la pratique courante de l’anglais. Une bonne connaissance des pays arabes ou africains 
est souhaitable. La rémunération sera importante et tiendra compte de l’expérience 
antérieure. Ecrire à Paris. Réf. A/2336M 


RESPONSABLE ÉTUDES ET DÉVELOPPEMENT 


90.000 F 


Rhône-Alpes — .Une société française occupant une place privilégiée dans le domaine 
de la fabrication et de la commercialisation d’appareils de chauffage (chiffre d’affaires : 
60 millions de francs), recherche dans le cadre de son expansion, le responsable des 
Etudes et du Développement. Rattaché au Directeur Technique, il supervisera le bureau, 
d’études et râtelier des protolypes (10 personnes). Pfirfïdpanf & l’élaboration du cahier 
dés charges, il aura pour mission de concevoir les produits nouveaux jusqu'au stade de 
leur industrialisation en tenant compte dés contraintes techniques et esthétiques pour des 
produits fabriqués en moyenne série. Ce poste, devant évoluer vers des responsabilités 
plus importants, conviendrait à un ingénieur d’études (diplômé ECP, AM, ECAM ou 
similaire), âgé d’au moins 32 ans. Il possédera une expérience minimum de quatre pns 
lui ayant permis d’acquérir de solides connaissances en matière de tôlerie, ainsi qu'une 
grande habitude des problèmes énergétiques, en particulier gaz, électricité. La connais- 
sance de la langue allemande ou anglaise est souhaitable. La rémunération annuelle de 
départ, de l’ordre de 90.000 francs, sera liée à l'expérience acquise. Ecrire à Lyon. 

Réf. A/3348M 


DIRECTEUR COMMERCIAL ADJOINT 


90.000 F 


Une société française fabriquant et distribuant des produits alimentaires, très bien placée 
sur le marché, national (chiffre d'affaires.: 100 millions de francs), recherche l’Adjoint 
du Directeur Commercial. Sous (a conduite de ce dernier, U partagera son travail à égalité 
de temps entre deux missions. Tout d’abord, II aura une mission d’assistance auprès des 
différents chefs de région dans tous les problèmes rencontrés sur le terrain.- D’autre part, 
il sera chargé de la mise en place, du suivi et du contrôle des - budgets ainsi que de la gestion- 
dynamique des ventes (études de marché, statistiques, définition des objectifs...) visant à 
déterminer la politique commerciale. Ce poste convient à imcândîdat âgé- d'au moins 
30 ans, diplômé d'une école supérieure de commerce, et possédant une bonne expérience 
dans la distribution de produits de grande consommation. Il nécessite de réelles qualités 
de dynamisme et la volonté de travailler en équipe. Il fa’ut prévoir de nombreux dépla- 
cements. Ce poste, à pourvoir dans une vllîe proche du Nord de Paris, doit Intéresser un 
candidat sérieux désireux de relier un travail d’étude et de gestion à une action concrète 
sur le terrain. Ecrire à Croix. Réf. A/4247M 

RESPONSABLE MAINTENANCE PÉRIPHÉRIQUES 85.000 F 

Un groupe international fortement implanté dans le domaine des équipements destinés 
au commerce de détail, recherche un responsable maintenance. Basé en banlieue Ouest 
eî répondant à la direction commerciale, il sera, en liaison avec les. services techniques 
pour l’Europe, chargé du démarrage du département assurant l'installation et la mainte- 
nance d'équipements de péri -Informatique en clientèle, il devra également être capable 
de fournir un sùpporttechniqae au niveau des ventes et de-la fabrication. Ce poste intéresse 
un candidat d'au moins 28 ans, disposant d’au moins dnq années d’expérience de la’ 
maintenance d’équipements Informatiques (périphériques, calculateurs, modems_). Une 
familiarisation avec les matériels de tests récents est nécessaire. Le poste exige une pratique 
de l'anglais ainsi qu'une grande mobilité sur l'ensemble de la mince. Là rémunération 
annuelle sera de l’ordre de 85.000 francs. Ecrire à Paris. - • Réf. A/233IM 


JURISTE D’ENTREPRISE 


75.000 F 


Un important groupe Industriel français renforçant son service juridique, recherche pour 
Paris un juriste chargé des problèmes de contentieux général. Ses responsabilités s’exerce- 
ront au sein .d’unê équipe jeune et expérimentée et couvriront des Interventions dans .les 
domaines les plus variés : droit immobilier, droit des contrats et des affaires. Il conseillera 
et assistera, sur le plan juridique, les directions et.les filiales de ce groupe en situation de 
litige ou de prélitige. Ce poste conviendrait à un candidat, homme bü femme, âgé d'au 
moins 30 ans, diplômé d'enseignement supérieur juridique (option Droit des affaires ou 
Droit privé) et possédant une expérience pratique confirmée acquise soif- en entreprise; 
soit en Cabinet de conseil juridique.’ Ce poste nécessite une grande disponibilité psycholo- 
gique et de réelles qualités humaines ef morales. Une bonne connaissance de l'anglais 
serait appréciée. La rémunération annuelle de départ, de l'ordre de 75.000 francs, sera 
fonction du niveau d’expérience acquis. Ecrire à Paris, Réf. A/2325M 


Aucun renscsgncmcat ne sera transmis sans V accord préalable des candidats. 
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POLITIQUE 


Témoignage ~~j La latte des classes et la violem 


M. Henri De Carmlho, ou- 
vrier en chômage à Toulouse* 
membre du parti socialiste, 
sous écrit . au sujet de la 
• Libre opinion » de ML Ber- 
trand Motte : * Lu lutte des 
classes, source de la viole ne a ». 
parue dans « le Monde • du 
7 octobre. 

Je viens de lire cet article, et une 
nausée m’a bloquée tout jugement 
pendant quelques Instants dans la 
mesure où - des personnes Ignorent, 
encore, toutes les difficultés d'une 
classe pauvre' qui lutte pour se 
défendre et pour changer sa situa- 
tion d'exploités en homme libres, 
et. d’après l'article en question tout 
ceci c’est la faute aux éducateurs. 

Puis, petit & petit, le souvenir de 
tant d'injustices dont J’ai été victime, 
dans mon travail, dans mon environ- 
nement social, puis l’Image, toujours 
répétée de tant d’ouvriers, d’autant 
de pauvres qui ont laissé leur sang 
su. le sol des champs, des rues et 
des usines, sans parler des souf- 
frances pendant des vies entières, 
du tait de réclamer du travail, de 
la Juste rémunération de son effort, 
ou tout simplement de quoi manger. 

Combien de licenciements, avec 
tous les problèmes de subsistance 
que cela comporte, d’emprisonne- 
ments. de tortures, tout simplement 
parce qu'à un tournant de leur 
mfsdre, des hommes et des femmes 
ont constaté que les profiteurs de 
cette situation créaient et Installaient 
un pouvoir à tous les niveaux, 
leur détriment le plus humiliant et 
que la seule récompense était la 
méfiance, l'accablement et le mépris. 

Combien de policiers dans l'his- 
toire du monde ouvrier sa sont 
abattus, bourrés d’armes et de léga- 
lité, sur des hommes et des femmes 
qui ne demandaient qu'un peu de 
décence et de justice ? Et qui a donc 
appelé ces policiers? Et quel pou- 
voir était donc en place ? Qui déte- 
nait donc ce pouvoir ? Etait-ce Marx. 
Marchais, Mitterrand ou Fabre? Ou 
était-ce plutôt la *> nôtre société 
comme le dit M. Notre. 

On peut interpréter le mot violence 
de plusieurs façons; une fols que 
Ton aura dit qu’l] y a la violence 
par coupa et blessures et violence 
par la manière dont on traite les 
plus faibles, c'est-à-dire ceux qui 
«ont complètement démunis de tout 
moyen de défense, par des menaces, 
chantage, conditionnement, misère. 
Ignorance, solitude, on peut dire 
aussi qu'il y a la violence de ceux 
qui demandent un peu plus de 
décence basé eur la dignité et la 
justice, et puis la violence de ceux 
qui ont le pouvoir per l'argent, qui 
sont à l’origine de la situation même 
de classes et qui ne veulent pas s'en 
séparer. 

Que M. Motte cite un cas des 
avantages acquis par la. ctassa 
ouvrière vis-à-vis de (a classe domi- 


nante qui ait été réussi par le «Impie 
jeu du dialogue en paix et tranquil- 
lité. Non, bien au contraire, U a tou- 
jours fallu d’immenses luttas do 
femmes, hommes et enfants déchirés 
par les sacrifices que la répression 
et le chantage du travail imposaient 
au sain des foyers les plus pauvres. 

, Est-ce donc la lutte des classes 
qÇl a engendré ta violence, ou. ou 
contraire, ta violence du privilège 
fanatique et cynique do I’ « intérêt 
générai ■ dont M. Motte parie qui 
a engendré (a lutte des classes ? 

Est-ce donc les éducateurs qui 
veulent que la liberté d'un cadre 
supérieur soit plus importante dans 
l'ordre eoclal que la vie d'un 
ouvrier ? Qu’un monsieur soit 
exempté de détention provisoire 
alors que quatorze mille d'autres 
concitoyens en bénéficient ? Et tous 
les gens qui ont travaillé dur pen- 
dant toute leur vie et qui ont aujour- 
d’hui des 'retraites mi érables, qui 


vivant avec deux ou trots dtt 
de troncs par jour, ot tout ceci 
porior du problème cnjctoj 
jeunes sans emploi, bloqués de 
confinement social, à la morg 
tout pouvoir, môme de celui de 
des projetais pour leur propn 
Est-ce tout cela la faute de la 
des classas, des éducateurs 
plutôt d'uno seule classe, la 
nantis, qui no peut exister qu 
lo bâti Ion nom ont, le conditiom 
et la misère de l’autre ? 

Mois là où M. Motte se b 
encore davantage, c’est qua 
considère, on car b. que tes pi 
«ont manipulés par des » frt 
roots et esthètes vautrés ». n< 
pauvre ne lutte que parce qu 
pas d 'outra moyen pour p 
envisager un jour, pour lui 
famille, un bonheur, un épanc 
ment de sos possibilités, 
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humain est en droit d'avoir c 
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• • • LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 11 


* r| üss l M ■ 


POLITIQUE 


L'É-ECTION LÉGISLATIVE DE LA VIENNE 


me Iresson (P.S.) affrontera M. Abelin lors du second tour 

î candidat présenté par M. Jobert ne recueille que 4,5 °Jo des suffrages 




ltiera. — La campagne élec- 

• je pour le scrutin, législatif ren- 
nécessaire dans la deuxième 
1 1 nscription de la Vienne par 
- écès de Robert Gouralut, 
iéant de M. Pierre Abelin, ' 

.-Etre de la coopération, a été 

Î " née. dans la nuit du ven- 
10 au samedi il octobre, 

- divers incidents. Les vitres 
t permanence du Mouvement 
.. démocrates de M. Jobert ont 
. brisées et le parti socialiste 
ffotesté contre l’action de 




De notre correspondant 


mur* de graffiti injurieux 
vis-à-vis de M. AbiÛri. volant les 

affiches socialistes pour les col- 
ler if importe où, veulent créer tôt 

climat de violence.». H . était tempe 
que s'achève une iwwp « gi;ft d'une 
-vivacité exceptionnel] 0 pour là 
région. 

Le scrutin, qui s* est déroulé 
dimanche 12 octobre par une 


les élections législatives partielles, 
il- a- pu' se trouver acce nt ué par 
les électeurs ga^nist ^ qui ne 
souhaitaient pas se prononcer au 
premier tour en faveur de 
M. Abelin et- ne twmipwt pas pour 
autant & appuyer M. Roussel, 
candidat de NL Jobert. 

Ce courant d'abstentions a 
contribué à eu ballottage 


sympathies acquis an cours des 
années. M. Proinan teil entendait 
ainsi se démarquer des socialistes 
et apparaître comme le seul rival 
sérieux du ministre de la coopé- 
ration. H pouvait compter dan* 
cette tactique sur la comp licité 
de M. Abelin, qui cherchait, lui 
aussi, à présenter le scrutin 
comme un -combat entre la majo- 
rité et le P.C.F. Ce calcul a été 
insuffisant pour ralentir la pro- 
gression socialiste. 

Le candidat de Lutte ouvrière. 


(Dessin de PLAMTVJ 


Le « rééquilibrage > 


CANDIDATS 

ET 

PASTIS 


(12 OCTOBRE 2975] 11 W»«S 1973 


ffi-V»" tt.T&M&’aiÿ- SÎM-ESsÂTr S?»:?- 


4 MARS 1973 
Inscrits : 64-408 


30 JUIN 2968 


23 JUIN 1968 


12 MARS 1967 


5 MARS 1967 


Inscrits: 63115 llnscrlta : 63 996 inscrits: 63 006 


^^ywSLIN (Centre dém.) 

« . -CRESSON (PÂj 

Sl> 2 J|(J ntOMONTKII. CPU-] 

-n ■ r ^ s USSHX. 

^ (Moav. des démj 

, l ^USXBR (L. OJ 

•‘*.11*111 j> 

' f ü mîrn 


— 7559(1) 


^RILiU 


a 

^‘^3. U. 


12 516 (2) 


15 289 {2} 


14179 (2) 


vL Henri Charrlean ; (2) MM. Michel Montenxy, .UJLP.-UJD.IL en 1973; Victor Rochenblr. UJ3JL en 1968; oh ■»■!«>« Oombault, TT N R - V Rér. 
Jfi7 ; (3) M. André Chthim. - ^ 

-ovocateurs » qui, « arrachant température très fraîche, a été le ministre de la coopération, & qui enfin, est loin de récupérer les 

affiches des candidats de la marqué par un fort pourcentage U a manqué deux cent cinquante- quelque 3 % de voix trotskistes 

'Jlr, matraquant leurs colleurs, d'abstentions (38,23 %). Si ce ‘cinq voix pour être réélu dès qui, lois de l’élection préslden- 

BRt leurs voitures, couvrant phénomène est propre à toutes le premier tour. H n'en reste pas tieiie. s’étalent portées sur 


d'abstentions (3&28 %). Bi ce 
phénomène est propre à toutes 


-, Les premières réactions 

:• . . —————— 

^ 1 ABEHl : l'action du gou-i M. EÏÏIER 


reniement ^appréciée. 

,ir pierre Abelin. ministre de la 
opération, a déclaré dimanche 
octobre ; 

t II me manque deux cent cm- 
m mte voix. La tradition est res- 
tée, car je n’ai jamais été élu 
- p r emier tour. J’ai été attaqué 
Lme trois adversaires, notam- 
wht par le parti socialiste qui a 
mtags critiqué qtfü n’a ensd- 
II a montré tout ce qui va 
en France. Par contre, le 
f communiste, qui, lui-aussL\ 
pas manqué de m’attaquer, à \ 
tri que lui, Ü avait un pro- j 
. me. 

-Ce résultat prouve que mon 
.m régionale a été comprise et 
. - celle du gouvernement est 
m&éciéc. Il faut également 
ter que le temps froid — la 
~ basse température enregis- 
— , d ChAteUerault un 12 octo - 
depuis 1874 — a incité beau- 
1 d’électeurs à rester chez 


’ MïïERRAND : pourquoi 
réformiste à quinze 
fonalisations et révolution- 
■^re à seize ? 

v" François Mitterrand, pie- I 
> secrétaire du P.&, qui par- 
ât dimanche 13 octobre à 
- y k une réunion de rafll- 
de son parti, & invité les 
istes à ^poursuivre leurs 
's en vue de définir leur 
lté» sans avoir «mauoaise 
ience » par rapport aux 
mnistes. M. Mitterrand s’est 
contre ceux qui présente n t 
5. comme le partisan «d’un 
^/mntsme un peu plus pâle ou 
r sodal-démocratie un peu 
forte», s Pourquoi, a-t-il 
Jidé, serait-on réformiste à 
nationalisation et révolu- 
aire à seize? Pourquoi, y 
t-ü collaboration de classe 
i la FEN signe un accord 
Sol, et non pas quand Ta 
\ conclut les accords de 
Ole? Le parti communiste 


M. ESTIER : une surprise. 

M. Claude Estier, membre du 
secrétariat du parti socialiste, a 
déclaré dimanche 12 octobre au 
micro de Francé-Inter : 

« C’est une surprise, mais nous 
avons tout fait pour cela. Nous 
avons voulu démontrer que le 
parti socialiste et la candidate 
socialiste étaient les mieux placés 
dans cette circonscription pour 
battre le ministre Pierre Abelin. 
Je ' crois que les électeurs de 
gauche, en portant Edith Cres- 
son à la seconde place ; cfest-àr- 
dtre en lui permettant d’&tre 
radversaire au second tour de 
M. Abelin, ont montré qv’efjecti- 
vement le parti socialiste était le 
mieux placé pour tenter de bat- 
tre le ministre. » 


UNE ÉLECTION CANTONALE... 

HAUTES-PYRENEES ; c a n ton de 
la Bm±he-de-N«rte (2* tour). 

Tngr-r -, 3 651; voL 2 759; SUffir. 
expn, 273L MM. Louis Fonrquet, 
maj. prés, 1 497 voix, élu ; André 
Claverie, rad. de gauche, 1234 

[p s'agissait de pourvoir an rem- 
placement d'Antoine Cortège, rad. de 
gauche, qui avait été réélu an pre- 
mier tour des élections ca nt o n a les 
de mars 1979 avec 1282 voix contre 
682 A M. Jean-Pierre Lebrotu aet. 
locale, et 369 à BL Albert Aeale, 
P. CL, sur 3 £94 Inscrits, 2 393 -Votants 
et 2333 suffrages exprimés. 

Les résultats du pre m i er tour, qui 
a eu Heu le 5 octobre, ont été les 
suivants : lnacr-, 3 652 ; vot-, 2 769 ; 
e uffr expr^ 2729. MM. Louis Fo or- 
que t, rép. IntL, 1 290 vota ; André 
Claverie, rad. de gauehe, 722 ; Albert 
Escale, P. C., 466 ; Claude Zajan, 
D.D.R, 25L. Le candidat radical de 
gauche . avait enregistré an premier 
tour une perte très sensible des 
suffrages par rapport au score réa- 
lisé en mars 1979 par le conseiller 
général sortant (plus de 28 points 
en pourcentage). A l’issue de ce 
. second tour, M Claverie, en revan- 
che, totalise plus de voix, pour un' 
nombre sensiblement égal de suf- 


. conclut les accoras ae exprimés, que les candidats 

e&«7 Le parti communiste de gauche an premier tour (45,18 % 
ne qu’ü ne s'inspire pas des coa tr« 43,53 %>. Toutefois, a perd le. 
lances communistes de ïEu- Bn pro nt du candidat de a 

de l'Est et qv’ü n’a pas de majorité présidentielle.] 


Je. On nous met en accu- 
^ 1 , mais on ne précise pas 
•apport à quels critères.» 

) altières, selon le premier 
affaire du P.&, sont proches 
i schéma soviétique», eta 
ition c Vvn modèle socialiste 
ue nous l’avons fait depuis 
a grès d’Eptnay de 1371, dans 
programme de gouveme- 
. dans le programme com- 
à partir de la définition de 
, 1 Mon de front de classes et 
..i. les thèses adoptées sur 
gestion, a-t-il conclu, est in- 
ent plus claire que celle que 
«e le parti communiste.» 
Humanité répond lundi 
iobre aux propos de M. Mlt- 
(Szû. en n’y a pire sourd que 
qui ne veut pas entendre.^ 
JîTti communiste rejette caté- 
^ ventent toute théorie des 
les. Nos documents, depuis 
mnées, exposent la concep- 
i’un socialisme aux couleurs 
■ France. On peut discuter 
conception, qui n’a évidem- 
rien à voir avec celles de 
idt ou de Soares. On n’a pas 
■oit de l’ignorer. Finirons- 
par nous faire entendre ? » 


...ET UNE MUNICIPAlf 

CORSE: Afa (l^tonr). 

Inscr, 696 ; vot, 499 ; suffi, 
expr.. 496. MM. François Mu- 
fraggi. racL, 277 voix, Su : César 
Mufraggi, intérêts locaux, 219. 

(Ü s'agissait de compléter le 
conseil municipal A la suite de la 
démission, pour raisons de santé, dit 
maire, M. François Mufraggi, nuL, 
dont le fils, AL François Mufraggi, 
directeur du centra hospitalier de 
Bennes, était candidat. Sur les 
499 votants. □ n’y avait que so votes 
par correspondance, alors qu’on en 
comptait M lors des élections canto- 
nales de 1973. Le premier adjoint au 
nudre d’Afa, AL Mattéi; sôuUgnait 
après la. proclamation des résultats : 
u Nous ayons voulu ce scrutin exem- 
plaire. Seules ont été admises à voter 
par correspondance les personnes 
infirmes vivant dans le village. Pour 
nous, c’est clair, il s'agit d’une 
condamnation sans équivoque du 
vote par correspondance- Nous espé- 
rons que notre exemple sera suivi 
pat beaucoup d'autres en Corse. »] 


‘ cinq voix pour étire réélu dès 
le premier mur. 11 n'en reste pas 
moins que. compte tenu de 
- l’abaissement à dix-huit ■ su» de 
Tâge de la majorité civique, qui 
a entraîné l'inscr i p t i o n de quatre 
mille cinq cents électeurs nou- 
veaux, la gauche retrouve sensi- 
blement ses voix du 4 mars 1973, 
alors qu'il en manque dix min» 
h la nouvelle majorité présiden- 
tielle. 

M. Aheiin est nettement 

contré & Chilien erault, ville dont 
il est maire, et où il n’obtient que 
4452 % des suffrages. Déjà lors 
de l’élection présidentielle..- 
M. François Mitterrand avait | 
devancé M. Giscard dEttalng 
dans cette ville. Les élections 
municipales de 1977 sont hypo- 
théquées par ces résultats, d’au- 
tant que M. Abelin devra ouvrir 
sa liste à TCTJDJEL, alors que son 
conseil municipal était jusqu’à 
présent composé de centristes et 
de divas gauche, y compris cinq 
socialistes exclus du P&. en 1974 

Bn revanche, à Loudun, le 
ministre de la coopération obtient 
de peu la majorité absolue, n est 
vrai que son suppléant, M. Jean- 
Jacques Fonqueteau, c onseiller 
municipal de la ville, y est 
confortablement élu. C’est d’ail- 
leurs pour cette raison que 
M. René Monory, sénateur centre 
démocrate, maire- de Loudun, 
avait conseillé ce • coéquipier à 
M. Abelin. 

SI la majorité doit s’interroger 
sur le tassement de son influence, 
M. 'Min.hfti Jobert a pu mesurer 
l’audience de son « ailleurs >. 
Alors qu’il bénéficiait de la 
complicité active d'une fraction 
notable de la fédération dépar- 
tementale de ITT. D. IL, quH 
affrontait un anti-gaulliste connu 
qui plus est partisan convaincu 
de l’alliance atlantique, le Mou- 
vement des démocrates recueille 
rwaiwg de 5 % des voix, ce qui 
constitue pour ses dirigeants une 
sévère désillusion. M. Andr é 
Roussel s'est borné à exprimer, 
riimandie soir, « le VCBU que le 
deuxième tour assure, le 1 9 oc- 
tobre, pour la circonscription de 
ChûiélÙTault-Loudun, une repré- 
sentation neuve ». 

A gauche, le parti soci al i s t e a 
réussi son pari et refait son 
retard sur le parti communiste. 
Bn prenant la tête de la gauche 
da™ un département oà il est peu 
implanté et dans une 'circonscrip- 
tion où il a longtemps coopéré 
avec M. Abelin. le P3. confirme 
la progression déjà révélée par les 
élections législatives des 29 sep- 
tembre et 6 octobre 1974 11 est 
vrai que les dirigeants du parti 
socialiste n’oht pas ménagé leurs 
efforts pour atteindre cet objectif. 
La plupart de ses porte-pa r o l e ont 
fait le voyage de la ‘Vlenncr et 
M. Mitterr and est venu à deux 
reprises appuyer personnellement 
Mm*» Edith Cresson, elle-même 
membre du secrétariat national 
du P.S. La candidate socialiste, 
en revanche, devait compter avec 
le handicap du c para c hu t age », 
puisqu'elle n’a pas d'attaches per- 
sonnelles dans la circonscription. 

Ml Pierre Abelin avait tPaifleurs 

ahnriHammwnt utilisé Cet axgu- 

mat an cours de sa campagne, 
apparemment succès. 

Le candidat communiste, 

M. Paul Promonteil. membre du 
comité central du P.CJP n enre- 
gistre lui aussi un tassement sen- 
sible de ses voix Adversaire 
régulièrement malheureux de 
M. Pierre Abelin dans chaque 
élection législative, ca n tonal e ou 
municipale, ü avait préféré aux 
grandes réunions publiques 
(MM. Georges Marchais et Robert 
BaÜenger ont envoyé des mes- 
sages, seul M. Paul Laurent s’est 
déplacé) vivre sur le capital de 


enfin, est loin de récupérer les 
quelque 3 % de voix trotskistes 
qui, lozs de l’élection présiden- 
tielle, s’étalent portées sur 
Mlle LagulHer et M. Krivlne. H 
a co mmenté dimanche soir le 
scrutin en soulignant que c le 
parti socialiste est le principal 


{Suxte de la première pagej 

II est, en effet, une fols de plus 
prouvé que lorsqu’un centriste rallie 
la majorité une fraction non négli- 
geable de son électorat, qui est bien 
souvent de l'ordre du tiers, ne 
«au/f* pas. 

Ce refus de suivre explique sans 
doute pour partie la très forte pous- 
sée du P.S. qui progresse non seu- 
lement en pourcentage (22,50 % au 
lieu de 15,02 °/a) mais aussi en nom- 
bre de voix (9 775 au lieu de 7559), 
résultat remarquable compte tenu 
de la très sensible augmentation des 
abstentions. C'est là un net avertisse- 
ment pour le P.C.F., qui n’a point 
encore commenté le scrutin, mais ne 
peut fermer les yeux devant une 
évidence : si l'opposition considérée 
dans son ensemble (P.C. -f- P.S. 
+ LO.) ne souffre apparemment pae 
des rudes querellas qui l’agitent 
depuis un an et renforce, au 
contraire, ses positions (de 38,21 Va 
à 45,57 Ve des suffrages exprimés), 
le candidat communiste enregistre 
une perte de près de deux points 
(21,48 B /o au lieu de 23.19 %). Le 
* rééquilibrage - souhaité de longue 
date par M. Mitterrand prend de 
plus en plus de consistance d'une 
consultation à l’autre, ea formation 
devient de plus en plus ■ crédible ", 
pour employer le Jargon de l'époque, 
et l’on se prend à penser que l'élec-* 
torat de gauche, y compris une partie 
de celui du P.C.F., est plus * uni- 
taire • que « partisan ». A- quatre 


dépourvues de toute Justification 7 

Dans l'actuel système de bipola- 
risation, tes deux blocs attirent de 
plus en plus de voix et les consul- 
tations renforcent, au sein de chaque 
camp, celle des composantes de 
ce camp qui apparaît comme domi- 
nante. Le phénomène valant pour la 
majorité comme pour l'opposition. 
M. Jobert n'avait guère d'illusions 
à se faire, et on ne s’étonnera pas 
qu'en dépit du lancement récent de 
son « petit livre bleu -, le mouve- 
ment des démocrates qu'il avait créé 
en mars 1975 doive se contenter de 
moins de 2 000 voix et de 4,58 */■ 
des suffrages exprimés. La preuve 
étant bien faits qu'il est impossible 
de sa situer - aülaura ». la seule 
consolation de l'ancien ministre des 
affaires étrangères, si c’en est uns. 
sera d'arbitrer au second tour antre 
Mme Cresson, qui bénéficie du 
désistement de Lutta ouvrière et peut 
logiquement escompter celui du 
P.C.F.. et M. Abelin. Il ne manque 
que peu de chose & ce damier pour 
l'emporter, mais II ne semble pas 
pouvoir compter sur la totalité des 
électeurs du Mouvement des démo- 
crates. puisque M. Roussel appelle 
de ses vœux « une représentation 
neuve • pour la deuxième circons- 
criptio : de la Vienne. R. B. 

• M. Georges Sarre, membre 
du bureau exécutif du P-S- a es- 
timé, dimanche 12 octobre à 
Paris, que des Sections législati- 


partt socialiste est le principal K ' Paris, que des Sections législati- 

benéficiaire de la jpohtlque f ? \ q J A qu **T B ves pourraient avoir lieu plus tôt 

(T union de la gauche telle qu’elle ra0,# du vingt-deuxième congrès que prévu. « M. Valéry Giscard 
est pratiquée par le parti commu- communiste, convoqué pour le début fCEstaing, a-t-il dit, veut mettre 


est pratiquée par le parti commu- 
niste et le parti socialiste ». 
M. Cerisier a ajouté que, pour le 
second tour, ü appelle ses électeurs 
à reporter «sons illusion » leurs 
voix s sur le candidat de Turdon 
de la gauche ». 


communiste, convoqué pour le début iCEstaing, a-t-il dit, veut mettre 
de février, la stratégie du parti n'est- à profit une éclaircie et tenter 
elle pas remise en cause et les Inces- d’enlever les prochaines législatt- 
santes attaques de cette formation ves \ diverses formations de la 
contt, I. j*,, «dite no tlntettrt- 1 

elles pas par lasser, même si cen- laisser surpre Ti- 

tanes d'entre elles ne sont pas dre. » 


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CULTURE 

A LA FOIRE DU LIVRE DE FRANCFORT 

La remise à Alfred Grosser du Prix de la pt 
est l’occasion d’une réflexion sans complaisais 
sur les relations franco-allemandes 

De notre envoyé spécial 


Francfort. — Dans Je cadre de la Foire du 
livra de Francfort. l'Association des libraires alle- 
mands décerne chaque année, depuis 1951. son 
Prix de la paix à. une personnalité dont « l'acti- 
vité dans les domaines de la littérature, de la 
science et de l'art, a contribué à mettre en prati- 
que l'idée de la paix ». Les titulaires de co prix 
en ont, depuis vingt-cinq ans. marqué tout le 
prestige r Albert Scbweîtxer et Gabriel Marcel, 
poux la France, Hermann Hesse et. Karl Jespexs 
poux l'Allemagne, la narHiwai Baa ou la président 
Léopold Sedaz Sangliez, entre bien d'autres. 

Le Prix de la paix 1375 a été attribué à 
notre collaborateur Alfred Grosser. directeur des 
études et recherches à l'Institut d'études politi- 
ques. Zl lui a été remis le 12 octobre dans l'église 
Saint-Paul de Francfort, haut lieu traditionnel do 
la démocratie en Allemagne. Le président de la 
République fédérale. M. Walter Scbell, était 
présent. Au-delà du d'usage, l'événe- 

ment a au une portée politique. 

Deux discours an effet ont été prononcés : l'un 


par M. Paul Frank, actuel secrétaire d'Etat 
République fédérale, détaché auprès du pré 
ScholL l'autre par Alfred Grosser. Secréta 
l’ambassade d'Allemagne à Paris de 1950 à 
secrétaire d’Etat aux a ffair a» étrangères dt 
à 1974. ML Frank a négocié les accords avec F- 
soviétique et la RJ) JL Alfred Grosser, né à 1 
fort en 1925. réfugié en France à l'Âge de di 
ans, devenu citoyen français en 1937, t 'en- 
dos 1947, avec Emmanuel Meunier et J 
Rovaxt. à l'élaboration do rapports franc 
manda d'un nouveau type, au sein du C 
d'échanges avec l'Allemagne nouvelle. 

MM. Paul Frank et Alfred Grosser, ru 
avec les lois du genre, ont procédé à une en- 
serrée des relations franco-allemandes, alla - 
libérémezrt à contre-courant des confo nuira 
maints égards, ils étaient seuls & pouvoi: 
certaines vérités amères, sans tomber sous 
sation de polémique ou d’amertume gratuite 

J. 


Nous n'en .sommes qu'au début d'une enter 

DÉCLARE LE SECRÉTAIRE D'ÉTAT PAUL FRANK 


k La médiation dans la fran- 
chise critique présentant à chacun 
Za part de vérité ou la vision de 
la réalité de Vautre camp », telle 
est, selon M. Pial Frank, la pré- 
occupation qui a conduit cons- 
tamment l’action d’Alfred Gros- 
ser. s Le s gouvernements, a-t-il 
poursuivi, se sont peu souciés 
de la façon dont Grosser 
abordait les rapports franco- 
allemands. Comme pour 
construire la tour de Babel, ils 
ont entassé plan sur plan, com- 
mun auti sur communauté. Ils ont 
eu un mépris souverain pour ce 
qui est fondamental dans 
les Etats démocratiques : le peu- 
ple, ou les peuples. 

» _ Je me demande si nous 
avons porté une attention, suffi- 
samment critique et sceptique à 
la fois, aux sentiments du peuple 
français, si nous avons pris la 
peine d’entendre les voix de la 
contestation ou même celles qui 
refusaient Vt unification euro- 
péenne, si nous avons bien exa- 
miné leurs pensées ou suivi leur 
raisonnement. 

«L’âme blessée 
de la France.»» 

» U était si facile, si commode, 
de partager les Français en Euro- 
péens et anti-Europeens. Si facile, 
si commode, d’ignorer un bloc 
de 20 % à 25 % de communistes , 
dans leur isolement politique ; 
ce Vêtait plus que de comprendre 
que L'unification européenne était 
aussi une tâche liée à un projet 
de société. H était si facile de 
gloser sur le « nationalisme fran- 
çais périmé », quand la France ne 
parvenait pas à clarifier ses rap- 
ports à son passé. 

» Or, en ces années autour de 
1950, aucun peuple n’a autant 
que la France, publié une littéra- 
ture politique où l’autocritique 
fût. aussi corrosive, aussi lucide 
sur sot. Nous n'avons pas voulu la 
recoimaitre, qu’a se soit agi des 
« Taxis de la Marne » ou de « la 
Question ». L’âme blessée de la 
France s'offrait au mande, mais 
Vuntvers des hommes politiques 
'émit fabriquer des commurU- 


brer le vingtième anniversaire du 
retour de la Store. Nous le ferons, 
j’en suis sûr, dans un esprit euro- 
péen. Mais nous ne devrions pas 
oublier que l’homme qui a insisté, 
' du côté français, pour que le droit 
d'autodétermination figure dans 
les accords, ce gui rendit possible 
la décision du peuple corroie , s’ap- 
pelait Pierre Mendès France. Un 
homme que beaucoup d'entre nous 
qualifient (Fanti-europée n, ou pire 
encore, parce que son gouverne- 
ment rejeta le traité d'armée 
européenne. N'était-ce donc pas de 
bonne politique européenne que 
d'insister sur le droit à l'autodé- 
termination? » 

An début d’une entente 

Et M, Paul Frank conclut cet 
examen dans les termes suivants : 
a France et AUemgane, nous n’en 
sommes qu’au début d'une entente. 
Voilà la vérité-. Une infinité de 
choses nous séparent encore. Zl y 
a des échecs. A qui puis-je le faire 
comprendre, si. comme on le 
proclame partout, nous sommes 
déjà amis, déjà réconciliés ? Que 


demeure-t 
été atteint? 


faire, si tout a déjà 


» Les grands mots vides. Y a-t-ü 
un seul communiqué qui ne dise 
pas qu’on s’est mis d’accord sur 
l'essentiel? Ce qui signifie qu’on 
n’a pas pu s'entendre sur Za plu- 


part des choses. 

- » Pourquoi la politique parle- 
t-elle un langage tnauthentique ? 
Croit-on que la vérité soit déran- 
geante? Bien sûr, elle dérange, 
ell e agace, mais eüe libère aussi, 
elle unie Eüe unit là précisément 
oà subsistent les différences. 

«Pour se retrouver réellement. 
Français et Allemands doivent 
peut-être passer par une a résis- 
tance » commune. Résistance A 
quai ? fis doivent se défendre en 
commun contre la menace de des- 
truction que Ta dynamique incon- 
trôlée de la société industrielle 
fait peser sur nos formes de vie 
européenne.» 

Après avoir, évoqué comment. 
« faisant de nécessité vertu », l’Al- 
lemagne a <t renoncé à l'usage de 
la force», ce qui sn’dttait pas 
nécessairement de soi». Alfred 
Grosser a déclaré de son côté : 

»Nous nous préparons à céU- « Personne à V étranger ne devrait 


(PUBLICITE) 


; liftons prises J> our en cornaensar 
inflige de omciics et 


c L’inflation, nonobstant toutes 
Vu effets, entrait te d'intolérables Iniquités. Eüe inflige de 

toy«a eoitofce* de popuiatfem, et Tait d’elle* 
flflrréoDnca^tej adversaires de l’ordre social. Plus sûrement attela 
doctrine marxiste, elle provoque la lutte des classes. » y 

Jacques BUEPP, 1958. 1971. 

^*J^gcna>ern*ment empêchera ^économie de plisser sur la pente Oe 
.. . . Valéry. GISCARD XTBSTÀZNG, 1971. 

L’INFLATION EST UN ÉCHEC 

Afin de casser de Justifier la lutte des classes. U faut commencer par 

SORTIR DE L’INFLATION 

La Comptabilité actuellement mondialement Légale, dite «à nartio 
double. . est basée sur l’absurde Postulat suivant : . i Poïolà d 'SÏ 
des Monnaies sont invariables. - Après les degrés actuels d'Inflaüo? 
de nombreuses Entreprises, dans de nombreux pays, sorrten DéficKÏX 
^ Comptabilité Légale, elteTpàSt dwlSÆ 
des bénéfices taux el qui augmentent d’année en année. Et qWaiXî 
que des Entreprises Légalement prospères partent leu? ïi&aK 0 ? n 2 

cessent leurs paiements. n «J ai 

Catts situation CATASTROPHIQUE ne pourra cesser aue si mn««L 
vement, hw Cfiefe d'entreprise de tous Iss pays «dgerït la * ' m8ssl “ 

RESTITUTION PAR LES FISCS 

des . impôts 1 Indûment recouvrés. Mon . ouvrage intitulé « sortir hb 
L’INFLATION - ansajgnb rammant «.calculer 1» montant Jel? dteWbïe 
moyennant une participation facultative de 20, 50, 100. 200 an(rnn„ 
sans Copyright, detelte manière que chacun puisse ie faire reproX 
et vendra ô son . profit H 

Emile Krieg, 7, rua d'Anjou, 75008 Paria 
Chèque postal Paris 1030-71 

NOTA. — Grèce aux conseils reço», A titre privé, «l'âne uiun.. 
ce la Général JSleetrfe Company, les «tarages d’octobre l^TSet 
bénéficient .do. sérieux perfectionnements de dëtalL ' solvants 


sous-estimer la contrtbuttoi 
loureuse à la pair que VAlIe 
fédérale a fournie Pouru 
ne faudrait pas qu'au y sa 
fier d'avoir une telle votai 
paix. Les sacrifices censé* 
et en grande partie tmpo 
ont correspondu aussi à dsi 
avantages. La curieuse paix 
a appelée guerre froide 
ouvert à la République fédé 
vole de l’égalité et procure à 
bre de ses citoyens le sen. 
agréable de pouvoir quitter 
d’accusés pour celui d’accusi 

» A force de penser tntens 
à l’injustice en Europe, or. 
trouvé empêché de penser à 
très injustices*. Même 
constatation qu'on n'est plu 
grande puissance est jvu 
bonne, V abdication, la fuite a 
les responsabilités, seraient 
blâmables pour l’une des gi 
puissances éc anomiques mot 
qui dirait simplernent : « 
sommes si petits I Laisse: 
limiter & l’Europe notre cor 
Mon à la paix et pratlqi 
commerce fructueux. Que 
risque mène le jeu J » Ces 
y a là une merveilleuse 
pour Vàbstention : pendant 
grande partie du monde oc 
dieu Marx, la République fê 
fait partie des adorateurs d 
Marché.» 

E xamina nt la politique 
rleure, Alfred Grosser 
« qu’en République fédéral 
pense de plus en plus d la 
tection de l’ordre fond em ent 
FEtat et de moins en mata 
protection des libertés fondt 
taies contre l’Etat (car) la * 
de sécurité veut prendre la 
mière place dans les préoe 
fions internes». 


Ordre politique 
et ordre social 

Cette « sécurité » prédomir 
Alfred Grosser en relève la 
que dans les a jugements, lés 
damnations basés sur FO» 
sur l’aisance avec laqueDb 
République fédérale a pu se 
mettre de confier d'impart 
fonctions à des hommti 
avalent totalement faSH ce 
défenseurs de l’Etat de dr 
par exemple les commenta 
de la législation sociale, 0 
justificateurs de la Gestapv^ 

« Qu'est-ce donc que T 
ral et démocratique? Ici .1 
une étonnante confusion. On 
comme si l’ordre politique 
identique d Vendre social-. Fc 
en déduire que l'ordre social 
la République fédérale doit 
considéré comme aussi exemp 
et digne dfètre préservé q* 
pluralisme politique et les d 
fondamentaux? 

s En période de crise, 

dire : servir la paix Un*— — 
C'est précisément en périodi 
crise économique qu'il est jx 

culièrement dangereux 

faibles que les conflits 

se trouvent escamotés - Coq* 
précisément des faibles 
de crise 


set 


exige en période 

tiennent tranquilles, 

(frient paisiblement. . — - _ 
paix intérieure juste, c’es t d a l 
ne pas exploiter en période 
crise la faiblesse des fatales* 
serait-ce qu’en laissant se aa 
1er le prétendu jeu des fore 

. Et Alfred Grosser conclût air 

<H reste indiscutable, ■pwj 
tout, que la République fedff 
a beaucoup fait pour la pê&J* 
la justice et V égalité, tant à * 
térieur qu'au dehors, m*®* 
surtout si on compare* Ma» 
convient de relever avec exige 
ce qui n’a pas été attetinou 
qui recommence à FéloWner 
point atteint. La République /* 
raie n'a-t-elle pas m chance t 
(figue d’avoir été contrcunte, l 
la nécessité de s’opposer à 0 
main régime hitlérien, à foi» 
sort système politique sur v 
éthique?» 







SOCÉÊTË 


• LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 13 


on san s 
inca 


PROPOS P' < HISTOIRE D'Q > 

e sexisme est-il du racisme ? 

Ginud paraît effecttroneat com- 
mettre err eur. 

En effet, la loi da il jumet 1975 
consütne une ext entarm . ÛC e* 
du 1" Juillet 1972 intitulée « toi 
relative à la lutte contre le ra- 
cisme». - - 

Cette nouvelle loi rentre drtnç 
incontestablement dans le cadre 
plus général de la première. • • 

Or, les statuts du 1CBJLP. assi- 
gnent & notre association de lut- 
ter contre le racisme sons toutes 
ses formes. 

H me paraît doue indéniable 
que le MJLA.P.- (ainsi d'aîHents 
que d’autres ' associations avant 
des buts analogues}' serait sece- 
vaWe dé® à présent dans sa eons- 
utuuon de partie civile si les ar- 
ti^es 2 et 8 de la Toi du Jnfflet 
avaient été étendus 4 1* nou- 
velle loi. 

Contrairement à ce que pense 
Mme Françoise Gtroud. fl parait 
donc bien y avoir du tpwm 
peroiL- - • 


[vis la publication d'un orfe- 
Jean-JacQues Dupeyroux 
me et sexisme, en marge 
rfjoire d’O » /Te Monde du 

. tembrej, nous avons publié 

\ réponse de Mme Françoise 
ud fie Monde du 10 septem- 
M* Manfred ImergUk , avo- 
i la où ur de Paria , a relevé 
te texte du secrétaire d’Etat 
l| ;> condition féminine Ta phrase 
laquelle « aucune associa- 
'** ne répond déjà aux condi- 
• 1 4 • *<; exigées par 1e code de pro- 
penale pour engager des 
' irrites » en vertu de la loi du 
1975 sur la lutte contre 
prisme. M* ImergUk nous écrit 
à ce propos : 

‘Eu tant que responsable du 
■" ; i té Juridique du Mouvement 
‘ A Ve le racisme, l'antisémitisme 
r - -Ame la p aix ( MJ6.A.F.), Je me 
têts de. vous faire observes 
' > gnr ce point Mme Françoise 


début 


f 


:r ÿ> FRANÇOIS GIROÜD 
ses fantasmes. 

• - .. Verrogée par PExpress car là 
' -"■^•station de dix organisations 
nines (le Monde du 3 octobre) 
ce la publication d 'Histoire 

d ’ qualifiée d’ « agression pu- 

ll*. te contre toutes les femmes », 
t Françoise Glxoud, secrétaire 
rp lé à la condition féminine) 


rtann le nU- 


-iK'.ire notamment 
' > du 13 octobre 
* 7e comprends cette réaction. 
■ . : qui ne la comprennent pas 
' sans doute qu’ils ont tu B3s- 
■ d’O avec des .yeux de 1950-. 

■ 1 cette époque, c’est vrai qu'a 
ssatt d’un texte extraordtnai- 
mt libératoire, eut ce sens que, 

■ • ta première fois, une femme 

raconter ses fantasmes - (~) 

' Avec cette superbe écriture 
. le que saluait François Mau- 
-, Histoire d’O a donc été une 
table bombe. La première 
dse de parole » d'une femme 
un sujet, encore une fois, dont 
hommes avaient le monopole, 
tt à cet égard quTi l s’agissait 
« Bure libre et prémonitoire. 

Devais, téngtrdnq ans ont 
ssé f-J. Alors, Histoire d*0, au- 
' fourdlud privé de son contexte 
historique », lu avec des yeux 
197 S, c'est ires sorte d'hymne 
TesOttoage, vécu comme le su- 
inte accomplissement d’une pas- 
n amoureuse. Chacun ses tou- 
rnes (—). 

~ Dans le climat de lutte où se 
vent aufourd’hm tes femmes 
- - arracher de leur visage le 
' pus de servante sournoise que 
-lèctes ont plaqué sur elles, où 
veulent aussi essayer d'y voir 
- eu plus clair en elles-mêmes, 
-rieurs relations avec les ham- 

■ et avec leur propre sexua - 
i- on doit comprendre que la 

J caü on du texte de_ conîi- 
s à rappeler Pauline Réage, 
frisse beaucoup. 

. ? allais dire : « Mettez-vous à 
.r place-. » Mais vous a-t-on 
* refusé un emploi, une 
Bon dans la société, une 
lue de confiance, pour la rat- 
eties uj 


que vous 


un homme ? » 


s Un enfant va neutre». — 
ïe thème, l'Ecole des parents 
les éducateurs propose des 
s de réflexion et de forma- 
s’étendant sur un mois & 
.3 de deux weeks-ends et qua- 
éances. Un cycle aura lieu 
. 1e 15 novembre et le il 
: ibre, un autre entre le 7 
r 1976 et le 11 mars. Parmi 
gestions abordées : rôles 
olins et féminins au cours de 
ossesse, grossesse et sexua- 
l’ enfant dans le désir de 
te, etc. 

iexutelgnenieata : EJi anlma- 
armatfon, 4, rua Brunei. 75017 
tél. 754-29-00. 


Mme Françoise Giraud, dans 
sa réponse à M* ImergUk. 
annonce qu’elle . est- favorable 
. — afin de réparer e une omis- 
sion » — à une modification de 
la toi du 11 fumet 197S.EUe éf^a 
notamment: 

H est & mon sens fflffiMte de 
soutenir qu’une association qui a, 
statutairement, pour mission de 
lutter contre la racisme a, par 
là-môme, mission de lutter contre 
toute discrimination en raison du 
sexe. 

U serait intéressant de connaî- 
tre la réponse de la jurisprudence 
sur ce point, Celle-ci est parti- 
culièrement restrictive, lorsqu'il 
s’agit . de déclarer recevable 
1 action civile d’une association 
devant les ttilnmanx et exige que 
l’objet de celle-ci deme u ra dans 
les limites étroites fixées par ces 
statuts. 

Pour ma part. Je considère que 
seule une modification de Xa loi 
dtiU Juillet - 1975 permettant 
d’exercer l'action civile devant la 
juridiction pénale saisie d’une 
infraction aux articles 187-1 et 
416 du code pénal aux associa- 
tions qui, régulièrement déclarées 
depuis au moins cinq ans & la 
date des faits, se proposent de lut- 
ter contre lea. discriminations en 
raison du sexe apporterait une 
solution à la fols équitable et 
Juridique à la difficulté relevée 
par Jean-Jacques Dupeyronx. 

Et, comme je l’ai indiqué, il 
n’y a pas de temps perdu: 
aucune association - de ce 
n’étant actuellement 
depuis au cinq aiyc . 


JEUNESSE 


A Lyon 

Un centre de foraratfon d'éducateurs spécialisés 
est menacé d'asphyxie financière 

De notre correspondant régional 


Lyon. — e Nous disons non aux 
licenciements car ce serait faire 
le jeu. du gouvernement.» La po- 
sition. cuire, déterminée, de 
M. Jeaa-NoH Henri, un des res- 
ponsables du centre de formation 
d’éducateurs de * Recherches et 
Promotion » est partagée à l’évi- 
dence par les stagiaires — une 
trentaine — réunis autour de lui. 
Ces éducateurs spécialisés exer- 
çant déjà leur activité profes- 
sionnelle dans un établissement 
de ■ . la tépoa - miftny.*ip<w - — 
foyers, instituts, . maisons d'en- 
fants — - OU dn^plwniwt Hbtm la 
rue; préparent en quatre ans leur 

diplôme d’Etat. Pourrontr-ils -re- 
cevoir jusqu'à son tenue la forma- 
tion dont ils sont eux-mêmes, par 
la. confrontation de leur expé- 
rience et l’analyse de leurs pra- 
tiques,, les artisans? Bien n’est 
moins sur : le centre cannait, en 
effet, des difficultés financières 
sérieuses ; U manque près de 
400000 francs pour c boucler » 
Tannée 1975. 

iraatxB part, le gouvernement 
ayant modifié la période d'exer- 
cice budgétaire, faisant passer 
celle-ci Se Farinée scalaire à 
r année civile, les crédits 1974- 
1975 doivent cou v r ir seize mois 
d’a ctivi té. 

Pour atténuer les protestations 
qui se sont élevées an cours de 
ces derniers mois, le ministère de 
la santé a annoncé iwi» «rallon- 
ge» de. 100000 francs, soit un 
quart du déficit. Et poux 1976 les 
perspectives ne sont guère pins 


Les premiers — une trentaine 
de permanents et vacataires — 
ont décidé de renoncer en partie 
à leur salaire. les seconds ont 
accepté d’avancer 1e montant des 
frais de scolarité (800 F par an) 
de leur prochaine année de for- 
mation. « Simple avance », disent 
les uns et les a utr es» syndiqués 
ou non, qui comptent bien récu- 
pérer tes sommes que l'Etat leur 
doit. 

ül détermination des, éduca- 
teurs et des formateurs est d’au- 
tant plus grande quHs sont, 
pour la plupart, convaincus que 
T « étranglement budgétaire » dont 
Us sont les victimes est 

davantage par des conskJéi 

politiques que par la conjoncture 
economique. Né au lendemain de 
1968, Recherches et Promotion 
fonctionna quatre années c omme 
centre e x périmental, avant de 
recevoir, trois mois avant la sortie 
de la première promotion, l’agré- 
ment officiel dwt ministères de 
tutelle. Formateurs et éducateurs 
admettent très bien qu’ils ont 
quelque peu bousculé les concep- 
tions en. vigueur et remis en 
question un système social qui 
rejette généralement les inadap- 
tés et les délinquants. Pour eux, 
l’Etat ne se poserait la question 
qu’en ces termes: «Les services 

. idéologiques — rendus vas ces 
éduca teu rs valenî-üs le coût de 
leur formation? » 


UNE BROCHURE DE L’ÉCOLE DES BARENTS 


L'enfant et l'hôpital 


— ... - Ce Rüsonne- 

_ ment est. estiment-ils. à l’origine 

encourageantes' puisque le budget ÎÜJiL ^? d a ?” L d ? n ^ ni<îf ’ ft T P k 
devra être celui de 1975 augmenté rne ?ï re e? p lace des forma ti ons 
seulement de 10 %. moins onéreuses. « A qui fera-t-on 

La situation ée Recherches et cr0 * re 7 a ‘ tat ai{îe 


promotion, aux dires des respon- 
sables de l'association n’est pas un 
cas exceptionnel. Le mam» « la- 
minage » financier frappe égale- 
ment les cinquante autres écoles 


' ventionne la 

« Nous sommes embarqués dans la 
même galère, mais nous réagissons 
différemment », dit M. Jean- 
Noël Henri. Ailleurs on ÿest 
« résigné » à rétablir l'équilibre 
budgétaire par des iîtwm»ferw»ntK 
partiels, contrairement d’ameaxs 
aux prescriptions édictées en Juil- 
let par 1e secrétaire d’Etat M. Le- 
noir. A c. Recherches et Promo- 
tion e, on a choisi de se battre - 
pour maintenir l’institution. Les 
structures « autogestioonaires » 
— un terme que certains éduca- 
teurs considèrent comme inadé- 
quat — de l’association ont per- 
. mis de former un front uni entre 
formateurs et éducateurs. 


logique formé en cent calquante 
heures est capable d’assurer le rôle 
d’un éducateur spécialisé auprès 
d’enfants considérés comme diffi- 
ciles ? demandent-ils. Le véri- 
table Choix ne se situerait^ü pas 




réduire les moyens de la préven- 
tion, pour développer ceux de la 
répression? Six mille postes de 
policiers ont été créés en 2975, 
et le ministère de ^intérieur envi- 
sage une formation sensiblement 
plus longue pour les personnels 
poüctere. N'est-ce pas déjà une 
façon de former les éducateurs 
de demain ?» 

BERNARD EUE. 


L'hospltaUsation d’un enfant 
est trop souvent vécue par le 
jeune malade et ses parents 
Mmwa un drame. Afin, d’éviter, 
autant que possible, un tel com- 
portement, l’Ecole des parents et 
des éducateurs vient de publier 
pour l’Assistance publique une 
brochure intitulée L’enfant et 
Vh&pm ( 1 ). 

On y trouve des renseignements 
pratiques tels que les adresses 
des hôpitaux parisiens compor- 
tant des services d'enfants, la 
ûescrlDtion des fonctions d es dif- 
férents personnels et tes questions 
.que l’on peut poser à chacun, la 
conduite à avoir en cas d'urgence 
ou pour uni» consultation, 

les documents nécessaires aux 
diverses formalités— 

La première précaution. & pren- 
dre. avant meme d'avoir besoin 
de l’hôpital, est de ne pas le pré- 
senter a l’enfant, dans la vie quo- 
tidienne. wnm|tw une menace, une 
punition Twwjg ou endroit où l’ o n 
guérit. * . 

Le jour où l'enfant doit être 
hospitalisé, les parents doivent 
non seulement rester calmes et 
ne pas montrer leur anxiété, mais 
aussi savoir comment le prévenir, 
c Avec dés mots simples et vrais, 
dites -lui pourquoi ü va aller a 
VhùpitaL (—J Expliquez-lui ■ qdü 
reviendra & te maison*. Préparez 
avec l’enfant ses petites affaires, 
ses petits vêtements. Emportez le 
nounours favori, la vieille pou- 
pée ou la couverture avec lesquels 
votre enfant a l'habitude de s’en- 
dormir. » 

En cas d'opération — quand 
celle-ci est décidée à l’avance. — 
s Veuf ont a peur d’avoir mal, mais 
aussi ü pense qufon va lui pren- 
dre quelque chose qui est à üd, 
qui est tuL Le plus souvent, une 
opération peut s’extfiquer sim- 
plement : on répare, an enlève 
quelque chose qui ne va pas». 

An moment de quitter, pcmr la 
première fols sa chambre ou la 
salle d’hôpital, «ne dite» pas que 
vous partes seulement pour quel- 
ques minutes (—)■ Dües-lui que 
vous rentres à la maison mais que 
vous viendrez le voir souvent 
Ensuite , dites-bA calmement au 
revoir, partez aussitôt et sans 
hésitation». 


Nourriture, cadeaux, visites, em- 
ploi du temps de la Journée à 
l’hôpital, travail scolaire, sont 
quelques-nns des autres thèmes 
abordés dans la brochure qui évo-, 
que aussi 1e cas particulier de 
l'hospitalisation des bfljés. Lorsque 
tes parents ne peuvent pas nourrir 
et changer eux-mèmes le bébé 
hospitalisé, leur présence aux 
bernes des visites est très impor- 
tante, car c un bébé malade a 
besoin de m mère, de ses parents, 
encore plus que dfhabttude. (-.) 
Allez le voir souvent, parlez-lui, 
si vous le pouvez p renez-le dans 
vos bras. Il saura que vous êtes 
là, que vous jus l’avez pas aban- 
donné». 


CL) On peut m procurer la bro- 
chure k l’Ecole des parents et du 
éducateurs, 4, rue BrtmaL 75017 Parla. 
3 F .(plus 2 F de frais d’an vol). Eu 
caa d'admission A l’hôpital, elle est 
distribuée gratuitement. 


M. JEAN-MICHEL CATALA 
(Jeunesses communistes) 
DÉNONCE 

LA «CAMPAGNE ANTI-JEUNES» 

« La campagne anti-jeunes tu boa 
trahi a. écrit M. Jean-Michel Catala, 
secrétaire général du Mouvement de 
la Jeunesse communiste da France, 
dans c l'Humilité » da 11 octobre, 
a Ministres et Journaux, radios et 
télévisions a*en donnent à «eur 
Joie. c~) Dans cette campagne font 
est bon pour la bourgeoisie. On 
monte en éplngLi les exactions de 
quelques individus, que l'on prétend 
représentatifs d’une large fraction 
de In Jeunesse. » 

c Des voyons, U en est, continue 
SL Jean-Michel Catala. Mais des 
voyous qui, A la fin des manifesta- 
tions démocratiques, provoquent des 
Incidents violents, cassent et pillent 
en toute impunité, obéissent mani- 
festement à des motivations aux- 
quelles les services de Poniatowski 
ne sont pas étrangers. (_) Quant 
aux gauchistes, dont les méthodes 
de certains groupes ne participent 
pins que du banditisme, U est clair 
qu’ils apportent de l’eau au moulin 
du pouvoir. Les dénégations d'un 
Krlvlna ne trompent personne. (~) 

a Qui donc est responsable 
développement dans ce pays d'une 
certaine délinquance ? Qui, sinon 
ce régime dont la violence quoti- 
dienne a nome chômage, misère, 
accidents du travail, mi l ices patro- 
nales et CJLS. ï Qui, sinon ce sys- 
tème du fric qui légitime la course 
aux profits par tons les moyens, y 
compris la drogue, la pamogmptila 
et le crime ?_ a 


CONSERVATOIRE IM1HIAL DES ARTS FT MLTILIÎÎÎ 

Institut Technique de Prévision Cconomiqne et Sociale 

2*2, rue Saint-Martin, — 75141 PARIS CEDEX 03 

L'Institut Technique de Prévision Economique et Sociale reprendra 
ses cours le vendredi 25 octobre Î974. 

Créé ou rein du Conservatoire 'National des Arts et Métiers, par 
arrêté du Ministre de l'Education Nationale, en date du 9 Juillet 1972, 
l 'Institut a pour but tant de former ou perfectionner aux techniques 
modernes de gestion prévision nefle et .de prév isi o n économique et 
sociale que d'organiser des séminaires spécialisés. 

Le programme de formation s'étend sur deux ans. Il est sanc- 
tionné par un diplôme. La liste des diplômés est publiée au « Journal 
officiel >. 

Les cours ont lieu les mardi, mercredi, vendredi, dp 18 K 15 
à 20 h. 30, 

Renseignements : LTJP.E5 V 292, n» Saint-Martin, 75141 Paris Cedex 03, 
féL 887-37-38, poste 523 ; . 

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f 


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Page 14 — LE MONDE — 14 octobre 1975 


« science et croissance au service de l'humanité » 

INGÉNIEURS, CADRES, TECHNICIENS, 
TRAVAILLEURS SCIENTIFIQUES 

deux dates à retenir, 24 et 25 octobre, pour 36 heures d'un anniversaire pas comme les autres! 


Sons te parramage de :Ahmrgnat Lotus Vice-président de Wnaf; M 9 Ambhrd Gaston. Avocat à la cour d'appel de Paris; Arquiar Pierre, Ingénieur à la Régie Renault; Arzano Robert Directeur de 

- Mmæ—IS » - ll — Æu— «■ J'itMiMnM A rCnetln n/iArlnAAnr/*flfl ■ ffnVwirf tuait In/itffUflm'-mnmiF • ITiii ■tu"» IfnAiit «mi iiiiiww/ «P at tnB EJonrw AnfiwCMH 1 ffo mC/VMèOÏÜUÊST Saae/vmf 




François-Rabelais; Herzog PbB&pe, Professeur agrégé en sciences économiques: Professant Hugsenard, Chef du service réanimation au Samo; fsabey Pierre, Technicien supérieur; JevUSerJean - 
Claude, Professeur de droit du travail à Tunrvarské de Bordeaux-f; JaegM Andréa Ancien élève de l'Ecole polytechnique; Jazafowiez Marcel Président de l'université Paris-XHi; Jouffroy Jean-Piano, 
plasticien; Joxe Pierre, Conseilla ■ référendaire à la Cour des comptes; duquel Guy, Technicien; /Cabane Jean-Pierre, Président de Tuniversitéde Paris-Sud; Kfehr Madeleine, Administrateur à la pré- 
fecture de Paris; Korsakissok Charles Directeur des études au Centre Fpa d'Angers; Krasucfd Heurt Directeur de «la Vie ouvrière»; Krier Jacques Réalisateur de télévision; lobeyria Vincent Pro- 
fesseur à Funiversité François-Rabelais, directeur du Centre d'études supérieures de l'aménagement; langevm Michel Directeur de recherche au Cnrs ; Larme Gérard, Directeur en France du bureau 
du Bit; Las Vetgnas, Président de Funiversité Paris-Ol - Sorbonne nouveBe; Laderer Edgar, Directeur de ilnstitùt de chimie des substances naturelles du Cnrs; Legay Jean-Marié, Professeur à Font- 
versrté de Lyon; Leroy Bahal Directeur de «FHumanité»; Lattis Roger, Journaliste; producteur de té/évishm; Luchaire, Président de l'université du Pansé; Lyon-Caan Arnaud, Avocat au Conseil 
dEtatet à la Cour de cassation; Magniadas Jean, Directeur du Centre confédéral d'études économiques et sociales de !a Cgt; Manefakakis Eugène, Architecte urbaniste; Maftèse Sauveur, Vrp; 
MaresteJacqueSne, Secrétaire confédérale de fa Cgt; Marger Pkire-Lom % ingénieur; Manane Jean, Secrétaire de la Fédération des officiers et sous-officiers de réserve républicains; Marrie 
Pierre, Directeur des Services administratifs Bâtiment et Travaux publics [retraité}; Martmând Claude, Ingénieur des Ponts et Chaussées; MazBak Parti, Professeur de biologie, université Pfemut • 
Marie-Curie Paris-Vi; MetzgerJoë, Ingénieur; ’ Monda François Ancien capitaine de [équipe de France de rugby; Montrât Roland, Ingénieur; b/lonod Martine, Journaliste; Monriauz René, Attaché 
de recherche à la Fondation nationale des sciences politiques; Moymrt Jean-Look* Secrétaire confédéré! de fa Cgt; Mtàfmrf Bernard, Médecin des hôpitaux psychiatriques; h/etter François Phy- 
sicien; Roman René, Professeur à funiversité Paris/O; OBve Gaston, Economiste ;Page Gabriel' technicien supérieur; Pahnade Guy, Psycho-sociologue; Parodi Maurice, Professeur ; en sciences 
économiques; PauFEtub Victor, Directeur des expéditions polaires, président du Groupe Paul-Emile’ Victor pour la défense defhommeetde son environnement; Parrenood Wiïy, Biologiste, Directeur 
de laboratoire; Perrin Jean, Professeur titulaire de biophysique; Pfûtippot Michel, Conseiller à Unstitut national de f audio-visuel; Pignon Edouard, Plasticien; Puaux, Directeur du Festival d’Avignon; 
Rogakki Jeanine, Chargée dé recherche; Rosier Alfred, Président delà Confédération des’ travailleurs-intellectuels de France; Roux Alain, Maître assistant tfléstabe à' funiversité de Paris-VBi; Roux 
Jean, Membre de l'académie de médecine; Rouxé Michel Membre de ia Commission de fAssoçiathn des écrivains scientifiques; SamtPaoÇ Directeur du Centre d'études sur ia recherche et fmnmathm; 
Santini Pierre, Comédien; Smntits Docteur en (boit; Sarntinet Henri ingénieur; Seat Guy, Technicien; Séguy Georges Secrétaire généra! de la Cgt; Sè va Loden, Professeur agrégé de philosophie; 
Soboof Albert Professeur à la Sorbonne; Sofa Jean, Médecin-chef centre de santé; Stent CbudeJ/Sriar, Directeur de là maison de fa culture de la Sme-Samt-Denis; Stora Benjamin-Jean, Pro- 
fesseur i Hec; Suderot Evelyne, Membre du Conseil économique et codai; Professeur Talbot Chef du Service de Formation permanente à funiversité Pierre-et-Marie-Curie; Tarieff Harorm, Directeur 
de recherche au Cnrs; Terrât Hoël Chercheur (sciences sociales); Thomas Jean, ingénieur; Tougeron (Ruade, Chef de centre Gdf-Edf; Trigano André, Directeur d'entreprise; Vénérer, Ancien élève 
de FEcofe polytechnique président-directeur général de la Macif; Vasarafy, Plasticien; Vittez Antoine, Réalisateur dé téiérisioa, Yanowski Jean, Producteur d'émissions sur Radio-France et Frnce- 
Cuhure; Zurfkth Jean, Directeur d'études eu publicité. 


RSV P 


TNVÎT ATTÔN 


« les 36 heures d'OPTIONS » 

78 . m sssssxss ? — 


OPTIONS, la rem» des 


lût, éditée par l'Union gën- des Ingénieurs, 


Cadres et Tedmïdens Cgt 


AU PROGRAMME: 

m Des conférences-débats aveu notamment: 

a) La révolution scientifique et technique, ses implications dans l'activité des Ingénieurs, Cadres Techniciens (vendredi 24 de 17 heures à 21 heures) 
avec la participation de: 

MM. ie Pr Burhopi Président de la Fédération mondiale des travaitféurs scientifiques; Paul-Henri Chombart de Lauwe, Professeur à /Ecole dés hautes 
études. Directeur du Centre d'ethnologie sociale ; l'Académicien ishfinskl Président du Conseil des sociétés scientifiques et d'engineering - J-P Kahane, 
Président de l'université de Paris-Sud (Orsay): ie Pr Hedayat Scientifique égyptien; Medow, Professeur de mathématiques à l'université de Toronto. 

Le débat sera animé par Jean-Baptiste Eggens, membre de ia Commission de /'Association des écrivains scientifiques de France . 

b) Le rôle social des Ict (samedi 25 de 1 5 heures à 19 heures) avec ia participation de : ' 

MM. Ciavel Ingénieur des Mines; NHdta Morseev, Directeur du Centre de calcul de l'académie des sciences de ÎVrss; Ouahes, Professeur à Funiversité 
d'Alger; Pentz, Doyen à Funiversité de Londres; TaveL Directeur adjoint -au Centre de Genève à Unstitut Battef/e; Sève, Agrégé de philosophie 
Le débat sera animé par Jean Yanowski, Producteur à France-Culture de l'émission: «Les cadres responsables de notre temps», 
pi Les liaisons entra las luttas sociales et h développement de Fautomation dans l'industrie de l'automobile (vendredi 24 de 21 h 30 à 23 heures). 
Confrontation et échange de point de vue entre syndicalistes et spécialistes fiançais (Renault) et italiens (Fiat), animés par J.-P. Dumont du ioumàl 
«Le Monde». J 


• Une exposition illustrant quelques aspects essentiels des recherches, découvertes et 
techniques scientifiques. 


r 

i 


Une mté du Eure scientifique et technique avec ia présence d'auteurs scientifiques. | 

I 


* Un bar-restaurant ouvert en permanence. 

A l'issue de la réception de clôture du samedi à 19 fi allocutions de : 

* Georges Séguy, secrétaire général de ia Cgt 

* Benê Le Guen, secrétaire généra! de lîfg/ct . .. 


CARTE D'INVITATION 
Nom : 


Prénom 
Adresse : 


_ A retourner à OPTIONS 

57,. avenue d'Italie - 7501 3 Paris 





sciences économiques; Bonacossa Jacques, Economiste; Bombant AÛm, Biologiste: Bouchet GSbert, Médecin-conseil à la Sécurité sociale; Brasfavski Pierre, Architecte DpJg; Brocard Jacques, 
Technicien; BoM René, Secrétaire confédéré! de h Cgt; Cm Guy, Professeur en sciences économiques; Carny-Peynt Etienne, Professeur de l'enseignement secondaire; Castaôg Raymond, Physi- 
cien professeur à Paris-Xi; Cbmpmt Raymond, Capitaine au long cours; Chombart de Lauwe Pauf-Remi Professeur à /Ecole des hautes études; directeur du Centre d'ethnologie sociale : Cbvef 
Jeta, Ingénieur des Mmes; De MB Edmond, Président dé « Technique et Démocratie»; Demos Jean, Directeur de rechercha à Hnserm; Destsme de Rends Gérard, Professeur à Fudversité des scien- 
ces sociales de Grenoble; Dubois CiMidB, Chef de division, responsable de la formation permanents à la Rafe: Dumont Jean-Pierre, Journaliste; JacqmBn Baptiste, Membre de la Commission de 
J 'Association des écrivains scientifiques; Estier Claude, Directeur de «ff/nrté»; Fauchât Max-Pof, Ecrivain; Frèmontier Jacques Producteur de télévision; Frioex Claude, Présidant de furw/erske 

n « IJT/I _ as -* n n ■ . r i § j.. y» < Jf'j I r - • r. < - r, In .-I _ n r_«f_ M* C_, n- r _ n . / . 1 : «JL. Cmiv P&mSm. 







LE MONDE — U octobre 1975 — Page 15 


DE L’ÉCONOMIE 


'unie | e 


Æ. , 


<a 




u funambule 




ci: 'Q- 

-■ 

■ T E JL°^' V 1 *^îï?^' niîdi ' ** P 18 ™ 1 ® 1 minist». entouré du miarisfa. 
1 I _ •* “OMŒitaii* d Tvtnt & ligrieoUnrt. ah» que disiïzimsli ><«« cm aire 

' : ‘wfîÜT?®* P*¥***n**. annoncera nr-k pamm de l'hôtel 

-r. i «* conclmkn» de la duquieina conférence wnmiwTT, De la longue 
.luie des rev endica t io n» profaaünmeBm. le gouvenunnent extraira -mizesa- 
uahlemml un paquet de nuwure» dont la traduction financiez» ' ponzxaït 
. t 5 - globalement ne pas fera né g ligeab le , Le* crédita inpplêtaestBta** 

1 ■ ^ ' V; ^T^ÏÏ*ÎL™ dea A *î“ “**■ J* Projet de faSga* 1876 

feront avec le* mam en faveur de l'Installation des jeunes agzicnUenia. 

'.j une enveloppe » qui ^ impressionnera suffisamment d'une part l'opinion 
PobiÛino ** dantm-parf les cultivateur». Pour las exploitant*, ifs'igü d^ffa- 
685 impr*»inn laissée par la parcimonie de l’affoil (255 

‘ ^frx':: «" ®° “^wrdsj prevu en faveur de l'agriculture dans le plan de soutien 

: ' ^ de * économie et de calmer un certain niBidw des """p-g m»» 

>*i"w ; * *\ 

--v.Za crise fait ses ravages dans 
*',> Tfcidtitr# et provoque chez Tes pag- 
un mécontentement profond, 

. . ^ kfie si celui-ci ne s’exprime pas en 
‘ moment dans des actions plus pu 
. -, s. ns généralisées », écrivait , le 2 octobre, 

^.';s V Humanité, M. Gaston Plfesonnier, 

P*V»VlVik iln AnnVlMi& AAta+Wll pjjJJ 


■ ;r {<; 


. if $nbre du comité central 
_ fiÏÊ - himnniste français. 

,.. t * ;-'V;or des registres différents, les orga- 
"■ ; . ■. ifclans syndicales agricoles ont tenu 
- :^‘nis septembre le même . langage. 
Tensilleau. président de la causer- 
Y. tee Fédération française de l’agd- 
•7- . iure (F JP JL), soulignait récemment : 
. . " : ornais, de mémoire' cCTumane, le dé- 
: ■ ragement de ta paysannerie n’a été 
-■"■'St 


aussi profond devant les éché an ces 
auxquelles beaucoup ne peuvent faire 
fronts» 

Jeunes Agriculteurs ont ec mis en 
garde les autorités françaises et euro- 
péennes contre la dégradation ■ persis- 
tante. do lu situation de VagriaOture, 
due pour une grande part à r attentisme 
dont elles font preuve depuis plusieurs 
mois, sur un plan économique s. 

. Le secrétaire général de la Fédéra- 
tion des exploitants, M. François Guil- 
laume, parlait de son côté de « fa 
rnawoaise-humeur de» agriculteurs déçus 
par leur récolte, inquiets de l’insuffi- 
sance de fourrage constatée dans de 
nombreuses régions 9 . 


"■[S-in revenu équivalant à celui de 1974 


\ ■ «- 


» 


: ilano)stes, pessimistes, ces réflexions 
noufrfeaenfc des prévisions des écono- 
ides Turanx, Au décime pris, ces der- 
eis «nnt «raccord : le revenu des explol- 
,Tihc stagnera en valeur réelle en 1975 
pris ' avoir baissé de quelque 10 % 
n 1974. En simpHfl&nt, leur calcul est 
: suivant : la valeur des productions 
tgétales et animales, stables en ' vo- 
me, sera de l’ordre, de 120 milliards de 
ancs (+ 9 % par rapport h 1374), 
res comprises r les consommations 
trmédisJres, également stables, -en 
une (aliments du . bétail, ~ engrais, 
rfees»), atteindront 60 milliards de 
ncs (+ 6 <$) ; la valeur ajoutée de 
brandie agriculture sera donc de 70 
Lards de francs (+ 11 %), ce qui, 
apte tenu des charges d’exploitation 
intérêts, salaires, impôts, 
nages) et des diverses subventions, 
sera un revenu brut d'exploitation 
BU) de 53,5 milliards de francs 
10 %). En prenant en compte ta, 
sse des prix (+ 11 %> afc la dimi- 
hrn dn nombre des exploitants 
1,8 %), le pouvoir d'achat pour cha- 
exploltation reste en moyenne équl- 
mt à. celui de 1974. 

Situation difficilement acceptable » 
mt les organisations paysannes : 
l'a été une « année notre ». et de 
1 à 1974 le pouvoir d'achat paysan a 
xnenté moins vite (+ 3,9 %) que les 
ires ■ (+ 4J9 %). - Ce rai s o nn e m e n t 
tal doit être nuancé, car ü recouvre 
évolutions divergentes. A gros trait, 
uo mal » pour les ~produBteurs •' de 
ts. de lait, de mata, de volailles et 
rfa ; * ça va mieux » pour les tie- 
rs de bovins et de porcins. Inst&n- 
■s de situations dont les couleurs 
“vent varier en quelques semaines : 

• • feux de la colère vigneronne encore 
dans le Midi fin août, sont main- 
int recouverts de cendres ; en effet, 
c gros rouge » cote plu» ‘de. 10 F le 
‘ ré hectolitre, et la vendange en cours 
'.*• -sera pas pléthorique. 

es organisations professionnelles - 
tt de ce rapide tour d’horizon des 
.•Jurions assez sombres. Beaucoup de 
sans s'équilibreront leur budget 
près avoir rogné sur les dépenses 
grais ou d’entretien des bâtiments, 
les espoirs placés dans le commerce . 
' rieur, après les étonnants résultats 
1974, se sont effrités^ quelque peu. 
r les sept premiers mois, l'excédent 
la balance commerciale agricole est 
bé de 5,5 milliards de francs en 1974 
’ J3 milliards c» francs en 1975. Les 
ortatlons (20,8 milliards de francs) 
diminué de 8 % et les Importations 
augmenté de 5 L'effondrement 
-• ventes de céréales ( — 34 %). de 
jsons (— 11 ?«> et de produits lal- 
'*(— xi %) est la cause principale 
«. cette «évolution inquiétante*. 

*■ ourtant. la conjoncture agricole ne 
t être uniquement dépeinte en noir. 
Indice est assurément significatif : 
ventes de matériel agricole, qui 

aient effondrées en 1974, augmentent 
riblement. Fin août, les c ommandes . 
tracteurs étaient supérieures d» 16 % 
elles enregistrées douze mois plus tôt. 
reprise semble également se dessiner 
r les charmes et le matériel de 
site. En revanche, la situation des 
îmandes reste franchement mauvaise 
r les silos, les séchoirs à grains et 
cuves & fermentation (— 40 % par 
port à 19T4). 

luoi quH en soit, les représentants de 
jiculture invités â Matignon, jeudi, 
'Jseront au mieux ce dossier écono- 
jne pour obtenir du gouverne men t le 
rimiim de mesures canjoncturelies. 


même s'il leur faut- pour. cela user d*cm 
autre argument. En période de tension 
sociale,- les campagnes, conservatrices 
par réflexe, constituent en effet une 
force d’inertie non négligeable que le 
gouvernement a intérêt & faire jouer en 
sa faveur. C’est sans doute pour pren- 
dra l'exacte mesura du « geste » à accom- 
plir que M. Chirac a . longuement 
discuté «les chances du MOEDEF (Mou- 
vement des exploitants f*niiniai*ï aux 
prochaines éTartiftp» « Vwt chambres d'agri- 
culture, au cours d’un dîner réunissant, 
voilà quelques semaines, les présidents 
des quatre grandes organisations. Exclu 
défi, tables de conférence officielles, 'pins 
en raison de l'appartenance politique 'de 
certains de ses dirigeants (membres du 
parti communiste) que' pour. son man- 
que de représentativité, le MODKF tient 
en effet, depuis quelques mois, le' devant 
de la scène paysanne par la multiplicité 
de ses Initiatives et de ses communiqués. 

MAIN GIRAUDO. 

( Lire la suite page lé, l^ coL) 


La Sécurité sociale 


victime 

m 


de la crise 


fE e maison > en déficit où les propriétaires ne 
songent qurà accroître encore les dépenses. Fiction ? 
Tel est le cas pourtant de la Sécurité sociale : le 
monde politique, syndical et. patronal se déclare favo- 
rable à la retraite à soixante ans au moment même où 
les gestionnaires tirent, depuis des mois, la sonnette 


étalonne. Lors des récentes rencontres à Matignon, le 
gouvernement a cependant prévenu les organisations 
ouvrières et le CJfJPÆ.: nous vous demanderons, a-t-il 
été dit, de tenir compte des besoins de financement de 
la Sécurité sociale avant «T examiner Ut coût (Ftcn aména- 
gement de la retraite. 


.La Sécurité sociale se porte mal et 
cela, avant même d'appliquer des mesures 
nouvelles. Dès la .fin de cette année le 
régime général risque d'étm en cessation ' 
de paiement- Mata personne ns pouvant 
accepter uns telle {psue et ta gouvernement 
comme les dirigeants des caisses ayant 
toujours exclu cette hypothèse, l'Etat (>a- 
Trésor 'ou la Caisse des dépôts et consi- 
gnations) pourrait être amené à faire des 
avancés comme aux pires' moments das 
années 1966 et 1967 fie Monde des 24 Juin, 
15 Juillet, 25 et 30 septembre). 

a pourtant, .il y ■ un: an A peine ne 
parlait-on pas (T un trésor de 10 milliards 
de francs 7 Les chiffres doivent tout d’abord 
être replacés dans leur contexte : chaque 
Jour oorvnible, la Sécurité soriale verse en 
moyenne un daml-mJTliard de francs; S lui 
est donc nécessaire dé disposer «Tun fonda 
de roulement dé quatre A huit Jours d'avance, 
soit 2 A 4 mlIUârds de francs. Or selon les 
demi Area informations ou prévisions le seuil 
critique ‘sera atteint fin 1975 et . largement 
dépassé en 197& En clair 11 faudra trouver 
2 A 4 milliards de francs dans les pro- 
chains mois afin «rassurer Je tends de 
roulement de la Sécurité sociale et dégager 
pour 1976 7 A 9 milliards de francs en 
ressources supplémentaires, comme le 
montre (e graphique ci-contre. 

Comment s’explique un déséquilibre aussi 
brutal 7 De 1968 au début de r armée 
1974 la Sé«nnitâ sociale a accumulé les 
excédants, es qui lui a permis de «instituer 
ce qu'on a appelé à tort un « trésor'». 
En -.fait, l’Inflation et le malntl en A un niveau 
élevé dé la croissance économique ont 
masqué le problème du financement Alors 
que le VT* Plan 'annonçait pour 1974 et 1975 
un déficit important la course entre tes ■ 
prix et lés salaires a bousculé .'ces prévi- 
sions. du moins' Jusqu'à la veine de' ta 
crise économique. L'inflation a an effet le 
curieux avantage de gonfler les recettes de 
la Sécurité sociale.et.de lui « donner du 
ventre », au -mauvais sens du terme : tes 
cotisations évoluent &. peu près au môme 
rythme .que les salaires — et ceux-ri an 
pouvoir «l'achat ont . progressé en moyenne 
de 5,20 ®/o par .an au Beu des 4.40 Va pré- 
vus — alors que certaines prestations ont 
une ine/ffg qui amortit leurs réactions A 
la hausse dis prix et -des salaires » (1). 
Autrement dit l'argent rentre, mata le 


f 



Le cauchemar de New-York 
D 


ICI au T7 octobre, ta ville de New- 
York devra encore ae procurer 
quelque 440 minions de. dollars 
pour honorer les échéances de son 
énorme dette. SI les banques consentent 
d’avancer les fonds nécessaires, co sera 
sous ta pression plus ou moins discrète 
des ■ autorités fédérales/ d'autant plus 
préoccupées par ta situation financière 
désastreuse dans laquelle ee trouve la 
grande cité, que désormais n est de noto- 
riété- publique qu'une -tulUNe pourrait 
secouer jusque dans ces fondements tout 
le système bancaire américain et même 
mondial fau cours de . éa récente visite 
aux Etats-Unis, le chancelier Helmut 
Schmidt a Insisté sur les conséquences 
internationales que pourrait avoir un tel 
événement}. 

La thèse aelon laquelle la crise 
que traverse New-York pourrait, par ses 
Implications, compromettre tes chances 
'défit faibles d'une véritable reprise éco- 
nomique (le Monde - de l'économie du 
23 septembre) est désormais de plus an 
plus couramment admise de l'autre côté do 
r Atlantique. Les dirigeants des cent plus 
grandes entreprises . emérlcelnea, réunis 
U y a quelques Jours A Hot-Springs en 
Virginie, ont, A la suite de leurs travaux, 
publié un communiqué dans lequel Ils 
déclarent notamment qu’une pareille ban- 
queroute remettrait en question les 
chances du redressement tant attendu. 

C’est seulement au cours des deux 
dernières semaines que la gouvernement 
fédéral a commencé A -admettre Je dan- 
ger dans toute son ampleur. 0 était 
ptsque^A de bon ton, dans radmlnlstra- 
Uon républicaine, de laisser entendre 
qffk la limite une liquidation Judiciaire 
pourrait servir de leçon A loua ceux qui 
continuent de chercher dans une expan- 
sion indéfinie des dépensas pw6//qwea de 
fEtat fédéral, des State -et des collec- 
tivités, la solution de loua les problèmes. 

Que la Villa de New-York se soit lancée 
par démagogie dans des programmes 


d'aide sociale de plus eh plus dlsprâ- 
portlonnés avec ses ressources, que 
cette politique, loin ■ de diminuer le nom- 
bre des pauvres les ait au contraire mul- 
• tipllés en décourageant le travail pro- 
ductif, cela n'est guère douteux. Mais 
vouloir créer, un choc psychologique 
salutaire par, le ‘refus d'empêcher le 
défaut de. paiement, ce serait aujourd’hui, 
de la part des autorités fédérales, une 
attitude irresponsable. C'est non seule- 
ment une centaine de banques moyen- 
nes, comme fa révélé un rapport officiel, 
'mais -en réalité les plus grands établisse- 
ments (inondera du pays qui ont une 
'part non négligeable 'de leurs actifs 
Investis en bons émis par la municipalité. 

. SI la valeur de cos derniers devait 
être sérieusement remise an' cause, c'est 
A une nouvelle et sans doute dramatique 
contraction du crédit bancaire qoe l'on 
assisterait A un moment où nombre d’en- 
treprises ■ et de particulière, eux-mêmes 
. porteurs de cm bons, auraient un besoin 
particulièrement pressant de liquidités. 

~ Aussi, le secrétaire au Trésor, M. Wll - 
fiam Simon, qui naguère encore al fichait 
une. grande insouciance, lalsseidl main- 
tenant' entendre que le gouvernement 
pourrait demander, au Congrès d’autoriser 
une opération dé sauvetage A Ja tin de 
farinée quand celle, de caractère pro- 
visoire, qWa organisée PEtai de New- 
York — lui-même endetté Jusqu'au cou — 
arrivera à expiration. Dans une interven- 
tion remarquée, le président du système 
de Réserve fédéra/, M. Arthur Bunu. a 
exposé la semaine dernière les condi- 
tions sévères dont devrait être, selon 
lui, assorti, cm éventuel plan do secours. 

De route façon, la question rfen revient 
pas seulement A une affaire de bonne 
volonté. A supposer qoe /es autorités 
fédérâtes décident finalement de venir 
à lé rescousse, leur entrée en tice 
aurait-elle aussi des oonaêquenoes dom- 
mageables : comment combler un tel 
déficit alnon par rinflathn f 


gouvernement, qui fixe les majorations de 
certaines prestations, réajuste celles-ci 
avec retard. Cest notamment le cas des 
prestations familiales, qui restent à la traîne 
et 'permettent de ce fait A la caisse de ae 
retrouver est fin d'année avec des excé- 
dents non négligeables. Dans le méma 


pensât! an dite démographique. Certaines 
des mesures les plus récentes coûteront 
au régime général, en 1975, 1,5 milliard 
supplémentaire. Et, salon la tai^n de définir 
les « charges Indues » celles-ci varient de 6 
A 17 milliards de francs. 

Or, au môme moment, la machine ôco- 




LE DEFICIT DE LA SÉCURITÉ SOCIALE r 
7 MILLIARDS DE FRANCS EN 1976 ? ’ 

(chiffres .ën milliards de francs) 



Solde CUMULÉ 
de la trésorerie 
du régime général 



CrthHi 


1976 


ÉVOLUTION DE L'ÉQUILIBRE FINANCER 
DE LA SÉCURITÉ SOCIALE 
-• PAR RÉGIMES (solde annuel) 

HIH Familial VieiDesae IMfl ] Maladie 

' • pour le Régime général, les trois caisses 

RÉUNIES (solde Annuel) - : . LJ 

• ÉVOLUTION DU SOLDE CUMULÉ DU RÉGIME GÉNÉRAL (là •trésorerie*, un souH 
de 4 milliards de francs étant nécessaire comme tends de roulement] 

Aux déficits annuels de chaque caisse s’ajoutent les charges dues à la 
compensation démographique, après remboursement par VEtat Œriaie partie de 
celles-ci, soit — 2 800 mSUions de francs en 1974. — 1200 en 1975, et — 1400 en 1976. 


temps les dépenses d’assurance maladie 
poursuivent four course vertigineuse et le 
déficit de ce régime s’accroît Mais quim- 
porte l’autonomie des caisses I Le « fami- 
lial » fait A la «. maladie - des avancée 
qui se chiffrent aujourd'hui A 13 milliards 
de francs. La mécanique est ainsi bien 
huilée : en période d'inflation là « maison 
Sécurité sociale » tient la coup, et peu 
d'observateurs attachent d’ImportancB aux 
premières lézardes. 

Mieux ou pire, ie gouvernement en cette, 
période de vaches grasses, chaqge le 
bateau an faisant supporter à la .Sécurité 
sociale des dépenses nouvelles sam pré- 
voir toujours des recettes .correspondantes : 
loi Boulin en 1972 aur les retraites et sérta 
de- textes législatifs sur les prisonniers de 
guerre, sur (es veuves, les mères de 
famille, les handicapés, raids aux autres 
régimes en difficulté au titre de la eom- 


(1) Droit social, mars 1875. 


nomfque craque et entraîne pour ta' Sécu- 
rité sociale las effets Inverses à ceux que 
provoquait Tudlatioa. Les prestations, tou- 
jours en raison de (sur Inertie, s'accroissant 
à un rythme semblable A celui dé 1974 
alors que les rentrées progressant moins 
rapidement Deux exemples parmi d'autres : 
les effectifs «relisante ne «e seront accrus 
que de 0,4 '/s en 1975 au Deu de 2 Va les 
années précédentes; en 1978. selon Iss 
prévisions actuelles, les pensions augmen- 
teront de 18,1 */• mata le plafond servant 
au calcul des cotisations ne progressera 
que de 13,1. Vo et la massa salariale de 
11.7 °/«. 

Cet écart entre recettes et dépenses, 
perceptible depuis plus d'un an déjà, 
n'élaîl pas trop grave tant que la « tréso- 
rerie accumulée - était suffisante et que 
r ôco nom le allait bon train. 

. JEAN-PIERRE DUMONT. 

(Lire la suite page 17, 3* coJJ 


v 


J 


T ECOLE NOUVELLE D'ORGANISATION 

I ECONOMIQUE et SOCIALE 

(ETABLISSEMENT PRIVE RENSEIGNEMENT 
1 TECHNIQUE ET SUPERIEUR 

mi n m m ü» 

FONCTIONS DE 
PERSONNEL 

— Choix des cycles 

— 120 à 150 bancs 

(Temps partiel) 

ADMINISTRATION 

ET RESTIONDES 
ENTREPRISES 

— 2 fois 6 mois 
(Temps partiel) 

-PROBATOIRE 

- D.E.C.S. 

- EXPERTISE COMPTABUE 

— JStudjqnts et Salariat 

- Surplace — à-distance 

ECOLE SUPERIEURE 

DES TRANSPORTS 

— Formation de Cadres 
responsables des transports 


C 


ENIOES 


62, me de ïfiromcmB 75008 PARIS- KL j)22 






Page 16 LE MONDE — - 14 octobre 1975 


le mm 


FAITS ET TENDANCES 


COMMERCE EXTÉRIEUR : 

toujours excédentaire 


Milliards de francs 



<LA FORCE DES FAIBLES*, de Paul -Marc Henry 

Une chasse aux illusions 


JFUAHJJASOHUJFMAIIJJASO H D 


£ v août, pour la septième fats 
amsécuttoe, le commerce exté- 
rieur de la France a été excé- 
dentaire : + 278 millions de francs en 
données brutes. + 12 milliard de francs 
après correction des Donations saison- 
nières. Ce nouvel excédent accroît le 
solde iJOStUf cumulé de la balance com- 
merciale qui atteint maintenant S fi mO- 
Uards de francs depuis le début de 
Vannée. 

Si Von tient compte de la baisse des 
échanges, normale durant la période 


des vacances, deux éléments méritent 
d'être soulignés: 

1) Les firmes françaises re commen- 
cent à accroître leurs ventes en Alle- 
magne : 32 milliards de francs en août 
contre 3 mSUards en juillet et 2fi mil- 
liards en juin. 

2) Les ventes de biens d'équipement 
se maintiennent à un niveau élevé: 
5 milliards en fumet et en août contre 
4 mSUan&s du début de Vannée et 
3 fi milliards û y a un an à la même 
époque: 


P LUS que coït rapports sur las chances 
<T émergence du tiers-monde, ta déci- 
sion des pays producteurs de pétrole 
d'octobre 1S73 aura fait prendre conscience 
à. la société Industrielle qu’il faut compter 
pour son propre développement avec ceux 
qui balbutient sur les chemins de la crois- 
sance. La conjoncture aura beau sa ren- 
verser pour les matières premières et la 
solidarité des pays de l'OPEP sa lézarder, 
le coup est . donné. On n’oubliera plus cette 
«force des faibles-. 

Tel est le titre que M. Paul-Marc Henry a 
donné au livre qu'il rient de publier. 
D est orfèvre puisqu’il préside depuis 1972 
le Centre de développement de ro.C.OÆ. 
et qui) fut chargé en 1971. comme eous- 
eecrétaire des Nations unies, des opérations 
de secoure au Pakistan -Orientai. La 
réflexion guU nous propose aujourd’hui est 
au ogbut même de ce dialogue Nord-Sud 
qui. après tant de tergiversations, finit par 
s’ouvrir. • 

Mais qoe de pas à' franchir pour se 
retrouver I M. Paul-Marc Henry aide effica- 
cement à débarrasser le terrain des plus 
gros blocs d'incompréhension parce qo’Q 
a — c’est sa nature — le parler franc et 
qu'a ne s’est jamais laissé enliser dans la 
phraséologie aseptisée des organisations 
Internationales. - 

L’Occident est traumatisé. Il y a de quoi. 
Le postulat sur lequel II se fonde, celui 
des besoins inimités — Inconnu de l’homme 
des zones tropicales, — s’effrite parce que 
les moyens de les satisfaire se dérobent 
D’autre paît, la eurpulsssnce dont U était 
M fier commence de lui échapper : les 
civilisations matériellement faibles devant 


l’incompréhension des riches è leur égard 
se sont lancées dans une industrialisation 
accélérée, souvent liée è une militarisation 
Intégrale. Course idiote, dangereuse pense 
Paul-Marc Henry, qui demande une sorte 
de « trêve de Dieu », le moratoire permet- 
tant aux pays en développement de définir 
un nouvel équilibre, leur dignité, leur sans 
des responsabilités g ré ce à des transferts 
de ressources. 

Attention, « pour les deux camps, la crois- 
sance continua du produit nation a/ brut est 
fa condition nécessaire sinon suffisante 
d’une distribution de plus en plus éqttf- 
tabfe». Mais las objectifs de la consom- 
- (nation indéfinie peuvent-ils et dol vent-us 
être eaux de l'humanité tout entière ? 

Ceux qui prêcheraient cette «fuite en 
avant» diraient pas très loin. Se dissipe 


en effet l’illusion entretenue pendant 
que cinq générations qu’une petite j 
de l’humanité située dans les zones 
pérôes pourrait A jamais tirer profit 
ressourças d’un monde encore inexc 
C'est vers un certain rationnement — ai 
si b la rationnel — que noos noua dirig 
Selon M- Paul-Marc Henry, c’est le p 
mène majeur qui caractérisera la « 
quart du vingtième siècle : lea gouv 
monta - devront par la vola autorlteh 
livrer i des exercices délicats et pou 
ment impopulaires d'allocation des 
sources limitées à des secteurs prtorlüb 
Sans doute ne s’aglralHI pas. sauf t 
trophe. de rationnement global, l*au 
dpilne de la consommation étant 
préférable, d'autant plus qu'allé e 
surtout s'appliquer dans la domain 
mentalre et dans celui des produits 
th étiques. 


Le socialisme de guerre 


' Autre Illusion è dissiper, estime M. Paul- 
Marc Henry, celle d’une intégration des 
mécanismes de décision à l’échelle mon- 
diale, d*autoritéa supranationales en- mesure 
de répondre an défit de la crise L’Etal- 
nation reste très vivace, et l'affirmation de 
sa souveraineté s'affirma partout de manière 
de plus en plus-agressive. Son expression 
«militaire » dans les. paya en vola de déve- 
loppement est très préoccupante puisqu'elle 
a des effets négatifs sur le développement 
économique Interne . - Les populations 
Unissent par être réduites à ta simple sub- 
sistance dans le cadra d’un socialisme de 
guerre 


La politique agricole du funambule 


( Sotte de la page 15.) 

En clair, l’exercice auquel va se livrer 
M. Chirac consiste & accorder le mini- 
mum, tout en contentant le pins de 
personnes possibles, y compris ceux qui 
ne sont pas Invitée & la conférence 
annuelle et A son numéro de funam- 
bule. Le premier ministre en a déjà 


fait de semblable lorsqu’il occupait 
l’hôtel de Vüieroy : le plan de réno- 
vation de la viticulture méridionale, 
l’office de la viande (ONIHEV), l'in ter- 
profession laitière, les prîmes è la vache 
et è la truie, sont entre autres les 
résultats de ce type d’exercice, tantôt 
applaudis, tantôt siffléa. 


Trois types de problèmes 


Les décisions du dernier tour de la 
conférence annuelle 1975 — qu'elles 
permettent on non une amélioration 
conjoncturelle du sort de la paysanne- 
rie — risquent de peser sur les orien- 
tations qui. 4 moyen terme, devraient 
être données à la politique agricole. On 
conseil de planification devrait en effet 
reprendre le 24 octobre le rapport 
Dénia», qui avait été complètement mis 
ds côte en juillet dernier, pour des rai- 
sons circonstancielles . Ile Monde du 
13 Juin). Or l'analyse de la situation 
conjoncturelle de l'agriculture en' ce 
début d’automne montre que les crises 
chroniques ont des raisons « structu- 
relles ». En s i mp l ifiant , trois types dé 
problèmes se font jour : 

• LA SECURITE DE LA PRODUC- 
TION : s Les techniques nouvelles, si 
eues ont réduit les marges éMnsécertté 
dues aux intempéries, ne les ont pas 
pour autan t supprimées ». remarquait 
récemment le secrétaire générai' de la 
Fédération des exploitants. En d’autres 
termes, le cultivateur *peut avoir ses 
récoltes détruites par le gaL la séche- 
resse. les tnonrifttinnft. l’éleveur son 
troupeau décimé par une épizootie, en 
dépit de toutes les précautions pos- 
sibles. C’est la fièvre aphteuse en Bre- 
tagne. le gel des pêchers en ce prin- 
temps- B s’agit donc de c préserver 
VoutO. de production ». La législation 
actuelle sur les calamités n’atteint 
qu' Imparfaitement cet objectif. La 
création d’un faute de solidarité inter- 
professionnelle et l'augmentation - des 


& l'agriculteur de toucher des secours. 

le protection «contre le ciel» n’est 
pas sente en cause. Les négociations 
commerciales fri tarri»tinnn.r»« montrent 
que des pays tiers à la OKE. peuvent 
fournir des denrées A un meilleur prix 
que eaux proposés par les paysans euro- 
péens : les fruits, les légumes et les 
vins des pays méditerranéens, les 
agneaux d’Australie et de Nouvelle- 
Zélande. Les producteurs redoutent que 
la concurrence de cas produits étrangers 
ne Les contraigne & cesser leur acti- 
vité Cette hypothèse, n’est pas absurde : 
la Communauté européenne pourrait 
décider de s’approvisionner au meilleur 
prix pour pes denrées et elle pourrait, 
par cette opération, favoriser le déve- 
loppement des pays exportateurs. Tou- 


tefois, si un tel choix est arrêté, U 
convient que les go u ve rn e m en t s des 
Neuf prennent toutes les dispositions 
pour assura- la reconver si on des pro- 
ducteurs concernés. 

m L’ORGANISATION DES MAR- 
CHES. — Les difficultés les plus graves 
sont intervenues an cours des trois 
dernières armées dans les secteurs de 
production où les agriculteurs sont le 
mnin« organisés an pian national bu 
régional : les fruits et l’élevage. Les 
outils Juridiques d’o rganisatio n des 
exploitants et des marchés existent ; 
coopérations, gro u pem ent s , SIGA inter- 
profession-. Us peuvent être efficaces 
même si on office ne couvre pas lé 
secteur. Toutefois, toutes ces initiatives 
n’assurent pas, quoi qu'au fasse, des 
revenus satisfaisants A une importante 
fraction de la paysannerie pour des . 
raisons qui tiennent tout à la fols à 
l’âge, â la formation et aux structures 
d’exploitation. La création d’une garan- 
tie de revenu, minimum peut dès lors 
sembler une solution pour éviter la dé- 
sertification des campagnes. (Ce point 
étant un élément d’une politique «f amé- 
nagement rural plus large.) . 

• L’AMENAGEMENT DE LA POLI- 
TIQUE AGRICOLE COMMUNE. — Les 


deux réflexions précédentes doivent se 
teadolre on actes de la Communauté 
pour avoir leur plein effet. Le boule- 
versement serait plus important qu’il n’y 
paraît. Dans le domaine de la gestion 
des rnannhéK, par exemple : plutôt que, 
d’accumuler des stocks de produits 
qu'un Jour où l’autre U faut brader sur 
le marché mondial (le beurre, le vln-J. 
la GRE. devrait s’efforcer d’avoir une 
politique -exportatrice plus offensive qui 
lui permettrait d’être .< présente » en 
toute circonstance. • ’ 

‘ ’ Reste à savoir si ce schéma a une 
chance de voir le Jour. Les' attaques 
contre le coût de la politique agricole 
commu n e viennent dStre relancées par 
l’Allemagne fédérale. SI Bonn arrive à, 
ses fins, c’est-à-dire obtient que les dé- 
penses de soutien des marchés soient 
plafonnées. l’Europe verte ne sera plus 
qu’une zone de libre-échange agricole, 
avec.quelques secteurs protégés dans des 
caissons étanches. Mais on en revien- 
drait au premier, stade de l’analyse : 
co mmen t éviter que le del ne tombe sur 
la tête des paysans? 

ALAIN G1RAUDO. 


Il faudra bien sortir de cette « mé 
fondamentale * d’une partie de l’hur 
vis-à-via de r autre, qui est bien 
préoccupante que la coneoJtdatkx 
i’Etat-nation Comment ? En tournant I 
A la théorie, plus vivace aujourd'hui 
du temps de Machiavel ou de Frédi 
selon laquelle 1) n'y a pae de prtn 
Q n’y a que des Interets. 

La garantie du minimum vital pou: 
les êtres humains est une répons* 
l’Occident devrait donner au ttarei 
plutôt que de l’entratenli dans Ht 
— encore une — qu’un /Our le modt 
consommation des sociétés Industriel! 
plus riches s’étendra au inonde entle 

C’est A un « contra; de génération 
génération qui clôturera le siècle, qt 
vrait aboutir le « dialogua Nord - 
panse M. Paul-Mare Henry. « La fore 
faibles ». leur Instrument de pression 
puissant encore que la garda montée t 
du pétrole et de certaines matières 
mlères, est la démographie 

Pourquoi les Etats, soit par relations 
tes. soit dans un cadre multilatéral, ne 
gageraient-) la pas. grées A une aéri 
pactes A faciliter Iss transferts rée 
technologie, de capacités de product 
de transformation agricole et lndustr 
En', contrepartie, fea paya bénéficiai 
oas transferts s'engageraient A vis 
accroissement de population qui 
compatible avec leurs ressources e 
lisation de leur potentiel humain. 

Est-ce trop de sagesse demandée 
monde qui ne jure que par le n 
et la puissance? Sachons gré A M 
Marc Henry d’éloigner les sirènes de 
ficlsme facile et de rappeler danr-— 
excellant Essai sur la confrontation 
partage que «s I la pauvreté BXfg 
richesse oblige ». 

PIERRE DR0U1 


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aides nationales seraient., donc souhai- 
tables. ainsi qoe l’accélération des pro- 
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(PvilUctU) 


PROBLEMES 

FONCIERS 

pour une solution libérale, voyez 
pages 221 /222 et 243/246 do livre 

RELEVER LES DÉFIS 

Problèmes d'oafoaidlrat 
par Jacques V1LUMINOT 

Un more dont la presse 
ne parle pat- - 

Edité par «la Psnsée . UnmrseRe » 
7 r rué des Germa* 75005 


Le temps, la production... et les cours 

L 


■v 


A situation de s productions est très 
diverse et fluctue au cours des 
mois Quatre exemples donnent un 
bon aperçu de cet état de tait : 


• CERTAINS FRUITS ont souffert tour 
A tour des gelées au printemps et do 
le cantoule en été. La récolte de péchas 
{108000 tonnes) n’a représenté que le 
quart de celle de 197 4 ; celles de prunes, 
d» fraises et de poires ont diminué 
respectivement de 60 Va, 70 */o et S Vo. 
Celles d’abricots et de cerises sont sta- 
bles, mate- inférieures- A la moyenne des 
cinq dernières années Les hausses des 

.prix n’ont pas compensé les pertes enre- 
gtatréoe par les arboriculteurs du tait 
de la diminution des . volumes commer- 
cialisés. En revanche, le ciel a été par- 
ticulièrement favorable pour les pom- 
miers : te cueffiefte sera supérieure de 
200000 à 300000 tonnes A la précédente, 
bien que tes. fruits soient de petit calibre 
et de qualité médiocre. Pourtant le résultat 
sera pratiquement Identique pour le 
revenu de fexp/offanr : la surproduction 
provoqué uns chute des cours r qui retrou- 
vent leur niveau de 1973, et il faut mettre 
A la décharge publique tous les jours 
près do 1000 tonnes do fruits pour 
• alléger » le marché. 

• LES LIVRAISONS DE LAIT au cours 
des sept premiers mois de Tannée ont 
été d’un même volume , que Tan dernier. 
Toutefois, en raison de la sécheresse 
de fulllet et d’août, qui a brûlé les prai- 
ries. les départements do TOueat ont 
produit 4 Va de moins que pendent les 
mêmes môle do 1974. Certes, les produc- 
teur» ont perçu des augmentations de 
ortx qui au total dépassent 75 Va, mais 
beaucoup de leurs produite se vendent 
mal. En huit mois, tes exportations de 
fromages ont diminué de 11600 tonnes 
133500 forma® contre 45 000 tonnes) alors 
que les Importations sont passées de 
27700 i 28800 tonne s. Lea ventes t 


V; 


T étranger et la consommation Intérieure 
de beurre stagne, i tel point que lea 
professionnels ont décidé de lancer une 
compagne de propagande. . 

Le marché de la poudra de lait est 
en plein marasme : fs ..Communauté 
européenne stocké plus d’un million de 
tonnes, dlttlc/lemam exportables dans tes 
pays tiers sans un soutien r/nanofer Impor- 
tant Les cours mondiaux sont en effet 
très faibles (650 dollars la tonne) en raison 
d’un excédent global d- r offre .sur la 
demande équivalant è dlx-hutt mots de 
consommation courante . (1JB. million de 
tonnes JL ’ 

• LES PRODUCTIONS ANIMALES sont 
relativement favorisées après lea dm- 
cuttés rencontrées .en' 1974. Durant le. 
mols.de septembre les cours des veaux de 
boucherie et des gros bovin» ont pro- 
gressé respectivement de 20 et n Va 
alors que les animaux maigres » pre- 
naient m 2 francs par kilogramme. Les 
exportations sont restées très fortes, no- 
tamment pour les veaux è engraisser à 
destination de Thalle qui sont passées 
de 600 francs an fulllet è plus de 800 franc» 
en - septembre. Les cours des porcs et 
de» bovins sa maintiennent à des niveaux 
supérieur» è ceux de T^n.paàeé. 

• LA VITICULTURE, après une période 
catastrophique — surproduction et mé- 
vente. — e bénéficié d’un retournement 
total de la conjoncture La distillation de 
quelque 12 million» d'hectolitres de « gros - 
rouge - a donné aux vignerons une tré- 
sorerie d’un montant total ■ équivalant è • 
1 milliard de francs En outre , là taxation 
des vins Italiens & leur entrée en France 
a quasiment stoppé le torrent des Impor- 
tations, et la vendange qui se termine ne 
devrait pas être supérieure A -une récolte 
normale (66 militons <f hectolitres). Bref, le 
• petit vin» Invendable er. août cote 
maintenant plus de 10 francs .1» degré 

hectolitre. 


1 


ANALYSE 

FINANCIERE 


Etude théorique et statistique du 
cas des entreprises multinationales 

Michel GLÀIS 

L'auteur présente une analyse théorique des problèmes 
financiers des entreprises multinationales illustrée par de 
ncun b reuses données statistiques. L'ouvrage fait le point 
des principales théories anglo-saxonnes élaborées depuis 
20 ans en matière .financière et présente un certain 
nombre de pnna'pes destinés à améliorer la structure 
financière des entreprises de taille importante. 

216 pages, 58 F* '■ 

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L’ECONOMIE 


• LE MONDE — 14 octobre 1075 Page 17 




M 


tllu 


s 


FAITS ET TENDANCES 




croissante de la demande 
de plus en plus les services 


;* : A la nrifo do l'uüclfl d'Alain 
Ha pua dam « la Monda da 
conamie » du 23 septembre saïu 
dira « La . croissance de la . de-, 
Xinda ne reprendra pas an rylhmo 
^. naguère -,.M, Christian Michon. 
: ' : «fanon* de marketing à l'Ecole 
pirûnrre de commam de Paris, 

* m b fait part des réflexions «ni- 

1 iïieS. 


r 


dp 




.ANS un article récent; Alain 
I Ootta Évoque la xtouveUe crois-* 
r sauce des économies occiden- 
:& H prévoit que la croissance de 
.. demande ne reprendra pas au 
:nne de naguère- La base de son 
. anentatkm. repose sur l'évolution 
' ' rfsüde de certaines catégories de 
Jts les biens durables, qui néces- 
ot une accmnalatkai de capital de 
'■ : >axt des ménages, accumulation- qui 
'■* .Int ses propres limites. 

-..a fait, s’il est vrai qnü y a une 
scutable modification des modes de 
sommation, le phénomène 'qui appa- 


par CHRISTIAN MICHON 


'Tait important- ces conséquences 
âu cours de la présente décennie est 
l'apparition du . poids des « services * 
dans la consommation des Français. 
Du fait de “la bâtisse des prix, les 
-ménages, sont obligés de consacrer une 
part de plus en plus importante' de leur 
budget à. ces derniers (28 % en 1959, 
34 % en 1972) ; les futurologues s'accor- 
dent pour dire que cette part Ira 
croissante, et notamment la santé 'et 
renseignement. 

Au-delà des chiffres, 11 -font s'atten- 
dre que la demande se modifie qualita- 
tivement. Egalement que la d*»m« nd e 
de services devienne une «tenumn» diffé- 
renciée, comme cela S’est produit pour les 
biens de grande consommation, c'est-à- 
dire qu'au service uniforme, le même 
pour tous, se substituera des services 
«d hoc, adaptés, faits pour des groupes 
de. consommateurs présentant des carac- 
tères comrrems dans la satisfaction de 
leurs besoins. 


ne segmentation du marché 


" ne s’esfc-ü passé pour. les biens de 
ode consommation ? 

l’origine,, l'augmentation du pou- 
: Lr d'achat a eu. des conséquences que 
.■âéçoorimtates n'enviSBgeaient pas: la 
.. Ihqpc latiOP .tes biens offerts en rai- 

- ,i dé la pression .d’une demande diffé- 

- J idée. A ^économie de rareté succède 
' is une éconopile de divertitô qu’une 

- ooqmle d’abondance. 

Le T»Ma»i!WiSg résulte de cette évo- 
'jüàtù I* producteur a été conduit à 
IverstQer son offre sot» la pression du 
';msonunateaE,~ : ^>crcdrir à satisfaire 
i besoins 'du odnjommateur, principe- 
v da marketing, c’est s'adapter aux 
féreotaS - demandes, c’est pratiquer 
segmentation' de marché.- Le mar- 
— '-ng a fftit son apparition non tant 
‘ " raison d’un déséquilibre rendant 
. Jrt supérieure à la demande que' 


parce que le producteur recherchait un 
nouvel équilibre en essayant d’ajuster 
une ' offre différenciée à une demande 
différenciée. Le produit, bien .que fabri- 
qué eç milliers d’exemplaires, n’est plus 
uniformément standardisé, mute s’ajuste 
à des groupes homogènes dans leurs 
besoins' de consommateurs. 

Ces dernières années ont été marquées 
par l’éclatement de. nombreux m y chfe ? 
avec l’apparition de nouveaux créneaux 
(les eaux de toilette, déodorants corpo- 
rels, lotions après-rasage, etc-, marquant 
l’éclatement des ' marchés de l'eau de 
Cologne et des parfums — les unîtes, 
crackers, -apéri- cubes, etc, marquent 
l'éclatement du marché des produits 
apéritifs), l'élargissement des pmmw et 
des ligne s traduit également ce phéno- 
mène (très spectaculaire, dans . l'automo- 
bile avec les modèles, les options. . les 
variétés de couleur). 


-.J* 


’Éiat et le marketing 




Ttfôgrâfhul, la croissance économique 
.tffle.pÏTU la nature de la demande 
‘ le rythme de celle-ci A son tour, 
temande de services (transports coi- 
_• loisirs, santé. enseignement, 
ment, télécommunications, services 
patres et financiers, assurances, dls- 
t :|rtlon d’énergie, récupération d’éner- 
. . . -:mûu seulement prend une part de 
t an plus grande dans le budget du 
To m mateur, connaît aussi un 

banène de différenciation. Or la 
onde de services a la particularité 
J ecter principalement, non. l’Btat- 
on, mais l’Etat gestionnaire de ser- 
i publics, administrateurs du sec- 
natJonallsé. contrôleur des services 
fions para- pu taies. 

relais de la croissance de. la 
de passe par celui des services 
par l’Etat (transports collectifs, 
enseignement, etc.}. Que vart-U 
•ésultor 7 - 

peut prévoir qu'il y aura «rim- 
antes modifications dans la relation 
-citoyens. L’usager devient client 
Etat est conduit de plus en plus 
tiquer une politique d'adaptation 
différenciation de ses sentiers 
c omme le producteur a été 
toit à diversifier ses produits. L’Etat 
oit de plus en plus à pratiquer 
politique de marketing public; ce 
; pas un hasard si la SJLCP. est 
e d’un service marketing. L’Etat ne 
’ ; résister & cette évolution, car aller 
.Æntre-courant, c’est s’exposer au 
'Contentement de l’électorat qui 
«e volontiers gouvernement, admi- 
ration, services publics ou bien 
«e, c’est s’exposer & une fuite du 


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citoyen-consommateur public vers la 
concurrence directe ou Indirecte, et, par 
suite, à un. déficit chronique insuppor- 
table Ainsi par exemple, la SJI.C.F. 
est conduite - & segmenter son marche 
et à satisfaire une clientèle d’hommes 
d’affaires en modifiant ses services 
(stratégie service-marché Impliquant 
une modification des horaires, des 
trains plus rapides. Un service interne : 
restauration, hôtesses, bar et un prix 
plus élevé j. L’Etat est ainsi «dominé» 
par le consommateur public ; comme le 
gestionnaire du secteur privé, ü est 
orienté vers la satisfaction individuelle 
du consom m ntenr.-dtoyeiv même si la 
règle du «prix égal pour tous» doit eu 
souffrir. 

XL est vrai toutefois que le marketing 
public n’obéira - pas tout à fait aux 
mêmes régies. Ainsi ■ les critères de 
profit, de chiffre d’affaires, de niveau 
de vente, de part de marché, n’auront 
pas la même si gn i fi cation et ne seront 
pas nécessairement' des critères de 
bonne gestion. Toutefois on peut Ima- 
giner d'autres critères' d’évaluation des 
stratégies service-marché (ainsi l'au- 
dience.: de chaque chaîne de télévision 
est identique. & la notion de part de 
marché), ou peut espérer que la rapidité 
de délivrance (Ton permis de construire 
ou le délai de remboursement de la 
Sécurité sociale sera quantifié et Intégré 
dans un plan de marketing public 
parce que ses services visent & la 
satisfaction du citoyen -consommateur 
public. La notion de cycle de vie dn 
service ne peut-elle pas, eue aussi faire 
son apparition ? La publication des 
bans de mariage dans 'les mairies est- 
elle toujours efficace? N'est-ce pas là. 
un service en rjfcaae.- de déclin? Par 
.contre, l’Agence nationale pour l’emploi 
des jeunes travailleurs n’est-elle pas un , 
service en phase dé croissance ? L'éco- 
nomie de rareté était, liée à des cycles 
de vie longs, alors que l’économie de 
diversité ■% entraîné des cycles courts. 
Qu’en sera-t-il pour les services? 

Cette nouvelle orientation vers le 
marketing publie conduit au dévelop- 
pement prévisible de deux phénomènes : 

• La notion traditionnelle de service 
public s’estompera, car lEtat, en adop- 
tant une politique de marketing (de 
plus en pins fréquente dans certains 
secteurs concurrentiels tels que là 
SJÏ.C.F.), entre dans le même système 
que celui qui règne entre producteurs 
et consommateurs; le. producteur ne vise, 
qu’à procurer une satisfaction Indivi- 
duelle du consommateur ' en adaptant 
ses produira aux besoins de ces demies, 
vôtre en suscitant . certains besoins. H 
peut ainsi maximiser ses profits sans 
tenir compte de la « désatlsfaction » col- 


loctiv» qu’il entraîne, pollution, barrières 
sociales entre individus, déséquilibre 
des besoins chez le consommateur, coûts 
collectifs, etc. L'Etat» -en imitant le ges- 
tionnaire dn secteur privé, abandonnera 
petit à petit la notion da service public 
en s'orientant vers, la recherche de la 
satisfaction de ses clients-consomma- 


teurs publics. H risque d’agir à son tour 
au détriment de la satisfaction collec- 
tive: . 

• Le- .ritoyeu-consâmmateur public 
s’organisera en association de défense 
du consommateur public, exigera de 
'plus en plus des services d’un certain 
rapport qualité-coût, exigera que l’on 
«Intéresse à lui en tant que elienfc-rol 
réagira face au monopole de l’Etat qui 
•Renferme dans ses choix (ainsi un 
client mécontent des postes et télécom- 
munications ne peut pratiquement pu 
s’adresser à ; -une. société concurrente) ; 
un mouvement « consommateurtame pu- 
blic» est, ifalllêiErs. plus probable en 
France qu’aux Etats-Unis, compte tenu 
de l'Importance de l’Etat it«e« les ser- 
vices offerts aux citoyens. 

Cette modification de la nature de la 
demande entraînera d’autres boulever- 
sements comme une plus grande « étati- 
sation » de la réponse à cette demande. 
On peut penser qu'une nouvelle techno- 
structure d’hommes de marketing public 
s’instaurera et que, compté tenu de 
l’impératif «social» de l’Etat, le secteur 
privé, .comme le. secteur publie, recher- 
chera un juste équilibre j a 

satisfaction Individuelle et mfnimteawt-. 
la «désatisfaction» collective. C’est cet 
optimum qu’un a Etat social avancé» 
devra atteindre' et que les ''"Citoyens 
devront- fixer. 


EMPLOI: la situation 
continue de s'aggraver 



"après corradlon des variai nu» snsonnitires 


L A forte augmentation des. demandes 
d’emploi non satisfaites observée à la 
On dn mois de septembre (+" 148-Sli 
par rapport à aoftt) est due non. seulement 
à 1 Inscription d'un nombre de jeu- 

ne* sortis dn système scolaire et qui n’ont 
pas trouvé de travail, mais aussi à l'aug- 
mentation des licenciements collectifs et 
des fennetores d'usines au retour des congés 
payés. Au cours du mois do septembre, 
3Z3.G80 demandes d'emploi nouvelles ont 
été enregistrées pas les services du minis- 
tère du travail soit deux fols plus qu’en 
avril, mal ou juin. En revanche, malgré 
une activité plus grande des services de 
P Agence de remploi l’ensemble des deman- 
des placées ou annulées -au cours dn mois 
de septembre (174AOO) est resté dn meme 
ordre de grandeur, qu'au premier semestre. 

Bu données brutes, les demandes non 
sa ti s f ait es à la fin du mois de septembre 
(MJM) sont' supérieures de 1*,7 % * 
celles d’août et de 77 % A celles de sep- 


tembre 1974. En données corrigées des 
variations saisonnières, l'augmentation des 
demandes (8&L4B0 au lion de M4.090) n’est 
«ne d e ZJL% en un mois : un tel écart 
se comprend d’autant plus mal qu’il n'a 
jamais été constaté dans le passé. Entre 
■o fit et septembre 1974, l’augmentation des 
demandes observées avait été de 104.609, 
ce qui b ' était traduit, après correction 
des variations saisonnières, par un accrois- 
sement de 34JIM ; pour les deux mêmes 
mois de 1375, on pas» (Tune augmentation 
de M&80D en données observées à ISAM 
en données corrigées. 

Les offres d'emploi non satisfaites (114.7M 
à la fin septembre) sont en augmentation 
de 9,8 % par rapport ê août, mais en baisse 
de 42L3 % par rapport à septembre 1974. 
En données corrigées (1KUH offres au Ueu 
de IftE.710 fin aoftt), l'augmentation est 
plus faible sur un mois (+ 2,5 %) mais la 
balsas est aussi forte sur un an (413%). 


La Sécurité sociale , victime de la crise 


f Suite de là page 15.) 

Et comme la cigale qui chante tout l’été, 
personne n'a voulu profiler rie la période 
faste pour régler les problèmes. A le 
veille de l’hiver, le réveil est d'autant plus 
brutal que les pouvoirs publics doivent à 
la fois répondre -aux revendications des 
syndicats sur tes retraites, à celles des 
médecins sur fragmentation des hono- 
raires, à celles des entreprises -de main- 
d’œuvre qui eupportsnt des charges très 
élevées ei enfin, à celle des partenaires 
sociaux — patronal e! syndicats — qui 
affirment : tenons compte d'abord des 
charges Indues (voir F encadré ci-dessous). 
Et pourtant II faudra trancher, et è chaud. 

Des choix s'imposent Peut-on compter 
sur l'augmentation des taxes sur l'alcool 
et le tabac, que M. Fourcade a annoncée ? 
Le déficit envisagé pour 1376 — 7 A 9 mll- 


accélérée. Restent Iss économies ou /'effort- 
contributif soit par l'Impôt soit par les coti- 
sations (un point supplémentaire représente 
près de A milliards de frappa de 'recettes 
et un point déplafonné près de 600. millions 
de francs). Avant d’améliorer les retraites, 
les Français devront au préalable consolider 
le système existant En fait c'est à une 
réforme complète de la Sécurité - sociale 
qu’il faut s'attaquer. La commission Granger 
a fait des propositions dont la Monde a 
rendu compte (2) ; une autre commission. 


. dite des charges Indues, doit faire des sug- 
gestions. Le gouvernement, puis le Parle- 
ment, devront décider' mais le projet de loi 
.qui est en préparation ne sera pas prêt 
avant la fin de l’année et ne sera peut-être 
pas voté avant 1976. DHd IA des mesures 
provisoires devront être prises. 

JËAN-PIÉRRE DUMONT. 


(3) La Monde du 20 Juin et da 30 sep- 
tembre. 


GE QUE REPRESENTENT 
LES GHARGES INDUES 

- Sur demande dn P ar l e ment, le gouver- 
nement a nommé une cammloston, pré- 
sidée per M. Roger Grégoire, conseiller 
d’Etat, qui doit déposer avant U fin de 
l'année un rapport sur ee qu'on appelle 
les charges Indues de la Sécurité sociale. 

Par charges Indues, on entend parier 
de deux séries de prestations que doit 
venter le régime général : celles ayant 
trait à des activités qui ont un objertll 
étranger A la Sécurité sociale (notion 
qui selon les cas va des frais «rensei- 
gnement hospitalier aux allocations 
logement dans la mesure où □ ne s'agit 
pas d'une assurance) ; renés portant 
sur des prestations qui sont servies A 
des. personne s . étrangères an régime 
général (mineurs, sal arié s agricoles, tra- 
vailleur* Indépendants). 

.Les- syndicats, qui donnent A cette 
notion nnsens large, évalenent les char- 
ges Indues & 16 840 millions de francs: 
pour la maladie. 2 67G an titre de l’aide 
a d’antres régimes; fine- pour les frais 
d'enseignement hospitalier ; 550 pour las 
investissements hospitaliers; 987 au titre 
de la compensation accidents dn travail 
des mines : pour là vfeUTèssa, 4 H 0 mil- 
liards, dont Ï 07J pour les allocations 
m inimales çrn . sj ; pour la famille. 
6 044 

De leur, eftté. Les services dn Plan se 
sont livrés * une estimation qui scion 
certains recoupements, serait de 5 8M 
million* de tua: «no pans les Irais 
d'enseignement hospitalier;.» 860 an titre 
des salariés agricoles; «70, soit 80% Cf), 
da l'Allocation logement, «t 2 073 pour 
les allocations minimales. 


S 


[lards da francs — en tient déjà compte 
dans la projet de- budget; de l’Etat : sans 
la subvention de 6.431 millions rie francs 
qui est Inscrite au projet de loi de finances, 
le régime général aurait en 1976 un -trou - 
de 15400 .militons de lianes, en raison 
-notamment-. de la. compensation démographi- 
que (COOt'7 835 millions de francs}. 

L'Inflation et la reprise économique conju- 
guées pourraient, comme par le passé, ren- 
flouer la trésorerie; mais rien ne permet 
de compter sur le retour d'une croissance 


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Page 18 — LE MONDE — U octobre 1975 


LE MONDE 




i. 

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Le Japon, lui aussi, s’interroge 
sur les causes longtemps ignorées 

de la crise 

De notre correspondant 


Tokyo. — n existe au Japon une 
procédure de renflouement des entre- 
prises en faillite qui est mise en œuvre 
avec l'aide de L'Etat quand les autorités 
financières estiment que les circons- 
tances économiques ou politiques l'exige. 
La compagnie textile Kohjin, qui a 
récemment déposé son bilan (1) avec 
un passif équivalant à plus de 210 mil- 
liards de francs» en a demandé le béné- 
fice. On doute pourtant que ce sau- 
vetage ait lieu. 


Cette faillite retentissante d'un grand 
nom aura eu au moins un effet salu- 
taire pour l'industrie Japonaise. Elle 
a d éc i dé le cabinet MUd a 
— e nfin ! — un plan de relance que cha- 
cun attendait v-Ht» aura cgnnnit 
les grandes managers de l'économie A 
analyser plus A fond les cause réelles 
et profondes de cette culbute, et A en 
tirer des leçons pour la période diffiHi» 
qui se prolonge- 


Qui trop embrasse ... 


La première analyse avancée au début 
de septembre avait été que la Kohjin 
était seulement victime de sa mauvaise 
gestion, de son « mismanagement a, 
comme disent les Japonais. Fondée en 
1937, l'entreprise réussit d’abord dans 
la production de rayonne pendant la 
guerre, puis de textiles après la guerre. 
Les textiles devenant moins rentables, 
la Kohjin s'était lancée dans les pro- 
duits chimiques et pharmaceutiques, la 
pâte A papier, et enfin, depuis 1972, 
dans l’immobilier. Ru» avait lourdement 
investi dans l'achat de terrains et 
abondamment spéculé sur la propriété 
foncière. 

La crise étant venue, la Kohjin a 
eu le plus grand mal A faire argent 
de ses avoirs Immobiliers, se trouvant 
encore entravée, disait-on, par une 
nouvelle loi, votée en 1974, qui impose 
de sévères restrictions aux ventes spé- 
culatives de terrains. 

Une autre cause de faillite aurait été 
un Investissement malheureux dans une 
fibre ininflammable Inventée et 
au point par la société Le Corde] an, 
produit remarquable, mais, de prix élevé. 
L’Inexpérience de la Kohjin dans le 
c marketing » aux Etats-Unis, princi- 
pal client, et la chute brutale de ses 
exportations vers ce pays, auraient joué 
un rôle déterminant dans ses difficul- 
tés. si l'on en croit son président. 

Les autorités financières japonaises, 
dont celles de la banque do Japon, se 
sont satisfaites, du moins en appa- 
rence. de ces explications. On entendait 
dire en effet que la Kohjin était vic- 
time de ses propres bévues, et non pas 
de prétendues fautes du gouvernement 
dont la principale aurait été te tarisse- 
ment exc essif et trop longtemps pro- 
longé du crédit. 

Les milieux d’affaires, eux aussi, ont 
d'abord fait porter la responsabilité sur 
la Kohjin et sur ses erreurs de gestion. 
De surcroît, ses créanciers étaient de 
taille A encaisser le choc d'une telle 
disparition puisqu'il s’agissait de 
banques et de grosses sociétés de com- 
merce. dont la Mitsubishi Corporation. 
Au fond, la Kohjin servait de bouc 
émi ss air e : le marché avait besoin d’être 
assaini et te gouvernement, pensaient 
les Industriels, relâcherait plus vite Je 
crédit. 


Des échafaudages 
bancaires 

Mais voici que le pessimisme fait 
trembler r industriel Le bout du tunnel 
n’est pas en vue Et on découvre que 
les analyses du début dé l’année étaient 
trop optimistes — ou trop indulgentes 
— pour les milieux officiels. Dire que 
c’est seulement la mauvaise gestion et 
pas la crise qui -a fait périr la Kohjin 
ne parait plus sérieux. Ce sont évi- 
demment les deux A la fols L’insuffi- 
sance des mesures de relance prises sont 
des causes qu'on découvre : a Le cabinet 
Mûri s’entêtait à ne vouloir combattre 
que l’inflation a. dit-on maintenant ■ 


XI faut aller plus loin, ajoutent les 
critiques, et mettre en cause toute la 
politique de facilité qui a caractérisé 
le boom japonais des années 70. peut- 
être même la croissance des années 60. 
Une des recettes de cette croissance — 
du « miracle japonais » — a été le finan- 
cement et le « wanagmwn t i par l'em- 
prunt C’est donc la structure même de 
l’économie nlppone qui est en cause : 
elle a trop construit sur les échafau- 
dages bancaires. 

La Kohjin en est une Illustration. Il 
y a plusieurs années que cette grande 
firme s’est mise A emprunter massive- 
ment. C’est ainsi qu'elle a investi rf »ne 
l’immobilier. La crise arrivée, elle s'est 
trouvée devant on déficit aggravé par 
l’énormité des Intérêts a payer. 

Dans aucun autre pays, les banques 
n'ont autant prêté ; elles aussi spécu- 
laient sur l’Inflation puisque la règle 
du Jeu voulait qu’« à tous les coups Ton 
gagne >. L’Immobilier a été le domaine 
des bénéfices les plus mirifiques. La 
leçon de Kohjin aura peut-être été 
salutaire. 

ROBERT GUILLAÏN. 


Lointain ancêtre c lu rapport Schvarfx 

La thèse d'Edgar Faure 


-JÏT'jCê 


VSs si 


M MAURICE LATJBÊ. présidant de la. Société 
générale, qui dirige les travaux d'une commis- 
» don d'experts chargée par le gouvernement 
d'étudier le fondHanuement' du marché pétrolier ' en 
France, avait prévu- de ! remettre les conclusions de ces 
tr a v aux & la mi-octobre, avant cou départ pour t» long 
voyage an China. En fait cas conclusions ne arr A nt pré- 
sentées an go uv er n ement qu'au mains an mois pins tard. 
L'une des explications possibles , è ce retard est que las 
experts ne sont pas d'accord sur la façon dont il cas vien- 
drait de réf or m er la loi de 1928. 


problème posé A la commission La nré est certes 
Mttirn» s ~rrr.Tr, «TT* égmineg de la loi tout ce qpi'a pernua 
les abus «pao l'on sait sans atteindre le « nerf • d e lu 
politique pétrolière française qù est en principe la recher- 
che d'une certaine indépendance. 

U n'est pas sftr que les conclusions de la commission 
soient rendues pnbtiqnes. Leux maintien au secret n uira i t 
à la clarté du débat lancé an novembre 1974 par la publi- 
cation du rapport Schvaxlx. Parce que ce débat est 
« yumrtni. nous versons aujourd'hui an « dossier > un 
■ nouveau • document A vrai dire très a ncien . — Fh.S. 


L E pétrole « tient dans la politique 
et dans la législation française une 
place tout à fait particulière. On 
a institué en sa faneur un corps de 
mesures, d'ailleurs en vote de perpétuelle 
èvotution, et qui n’a d’équivalent pour 
aucune autre industrie-dé , pour aucune 
autre matière première s. 

Ces lignes sont -elles extraites d'un 
nouveau «rapport Schvartes? Le pas- 
sage suivant pourrait le faire croire 
encore davantage : « Le marché îui- 
méme présentait un aspect économique 
tout d fait remarquable, a était, en 
effet, tenu par dix maisons, bénéficiaires 
d’un véritable monopole de fait, et qui. 
par des accords de contingentement 
seml- officiels (1), ouat e nt totalement 
su pprim é entre elles les aléas de la 
conc u rrence . Elles se partageaient, selon 
une proportion déterminée et chacune 
pour une région particulière, le soin de 
satisfaire tes besoins exacts de la popu- 
lation. et de la sorte chacune était sûre 
de vendre sa quantité et de ne vendre 
que sa quantité. Les prix étaient stables 
(chaque semaine tes membres du cartel 
les arrêtaient d'un commun accord), et 
les bénéfices réguliers : un commerce 
exe rc é dans ces conditions présente un» 
sécurité administrative. > On ne saurait 
dire les choses plus élégamment 
Tout est déjà en place : les ententes 
soi les prix et ce que l’on appelle de 
nos Jours les « tables », rendez- vous 
clandestin'' où les sociétés se répartis- 
sent les marchés. La situation décrite 
par l’auteur de ces lignes est pourtant 


antérieure A la guerre de 1914 - ISIS. 
L’auteur ? Un certain Edgar . Faure (2), 
brûlant avocat parisien qui a A peine 
trente ans. Le titre de l'ouvrage, écrit 
en 1938 et publié l'année suivante : le 
Pétrole dans la paix et dans la guerre. 

« Cette étrange organisation serai - 
officielle, llt-on encore avec l’Impression 
étrange ce replonger dans l’actualité du 
dernier « scandale pétrolier», devait en 
partis sa situation et le patronage dont 
elle bénéficiait de la part de rstat aux 
émeutes de la Commune. Le gouverne- 
ment. impressionné par r usage que l’an 
pouvait foiré du pétrole à des fins anar- 
chiques, avait favorisé: la concentration 
entre les mains de quelques industriels 
du commerce et de l'industrie de ce 
produit. » :. • ..... 

D’autre part; grâce A un droit de 
douane protecteur, c le gouvernement 
avait décidé d’encourager l'industrie du 
raffinage ». argument employé cent fols 
par la suite et encore aujourd’hui. 
Résultat médiocre r Le raffinage encou- 


fl) Le Stand* du 27 «oOt 1275. 


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DU TRESOR 

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Tauxde rendement 
actuariel brut 

à partir du 8 septembre 1975 

à3ans 

8 , 257 . 

à 5 ans 

9,2 51 


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©• 


S UN PLACEMENT SUR, PRATIQUE, RENTABLE. © 


S 


« LES MAITRES DO PÉTROLE 
AURONT UNE POLITIQUE 
DANS L’ÉTAT » 

Le passage suivant du livre de . 
M Faure mériteraii de figurer dans une. 
anthologie de textes consacrés aux 
relations entre l’Etat et tes grandes 
Armes. (Souvenons-nous que treitte-éfx 
ans plus tard , le rapport Schwartz poaati 
luwnôme ta question : « .On peut se 
demander où est l'Etat •) Et avec quel 
style ce Jeune avocat de trente ans dé- 
crit ce que d’autres, plus tard, appel- 
leront le « capitalisme monopoliste 
d'Etat ■. 

. • tt est difficile ù un organisme aussi 
développé qu'un trust, bien que formé 
<T Intérêts privés. de se cantonner dans 
une activité purement commerciale : u 
aéra naturellement -soJliotté de déborder 
son-, rôle, de s'immiscer -dans (t* ques- 
tions politiques, fût-ce ooùr s'assurer 
dans la réglementation émanant des 
autorités publiques les aménagements 
susceptibles ce favoriser ses affairas . 
SI . [Etat , a une politique du pétratB^les 
maîtres du pétrole auront _une doIIUqub 
dans fEtat • 


ragé était en fait fictif ou, pour repren- 
dre l’expression de l’auteur, « purement 
nommai ». ce qui « faisait a p p araî tre 
rinduatrte du pétrole comme le symbole 
du capitalisme profitable, votre scanda- 
leux *. ..• • 

Et de citer en note on passage des 
Sommes de bonne volonté relatif aux 
« confidences d’un député de gauche à 
sa maîtresse ». « Je fat parlé de cette 
histoire de pétrole — ' Les rafflnears f 
— Oui, les prétendus rafttnevn. ■ Ces 
gatilards-là vident au fisc quelques dâun 
z atn e s de nvültons par an. ». 

On voudrait rapporter encore d’autres 
extraits du livre de M. Faure, tellement 
on a le sentiment d’un téléscopage, dans 
le temps. Ainsi de cet aveu du ministre 
des finances de i'èpoqu& M. René.R*- 
notilt» quL e à la Chambre des députés 
Elors] (Tvn débat . particuliérement 
curieux— se trouva dans le cas de dire 


Cl) CT est nom qui soulignons. 

(3) Le Un» est signé avec un trait d'union 
entre le prénom et le .nom de factuel 
président de rassemblée nationale, n est 
tiré de sa thèse de doctorat en droit. . 


que son administration ignorai t « tes 
. » véritables conditions du commerce du 
» pétrole riaivt te monde u. On croirait 
.entendre son- r lointain successeur, 
M. Fourcade, se plaignant de ne pas 
en savoir assez sur le coût d'accès au 
« brut ». 

La loi de 1928 devait remédiez, aux 
tares du système — loi qui précisément 
est 'en question aujourd'hui- La légis- 
lation a confié le monopole du com- 
merce du pétrole A l’Etat - monopole 
qui a ensuite été délégué. A des sociétés 
■p✠A des « autorisations ». Ic i. U f aut 
citer longuement, c'est exactement, 
un d»a éléments du dossier actuel, et 
de p»n« c'est magnifiquement « plaidé » z 
« lè total des autorisations accordées 
laissait évidemment, par rapport à la 
consommation effective,-' taie certaine 
marge, ce que Toà a appelé an * volant *. 
Cela correspondait tCaüleurs au - désir 
du législateur qui avait voûta, d'une 
part,, adapter lé système aux accroisse- 
ments prévus , de la consommation, 
d’autre part maintenir «n .mtntmum de 
concurrence. Mats tes importateurs ne 
s’accommodèrent pas de cette concur- 
rence malgré sa limitation— üs b f for- 
cèrent _ de réaliser , v dans leur intérêt 
commun, un nouveau contingentement 
, entre eux, une sorte de « surcontingen- 
tement ». qui. en maintenant chacun 
en deçà de son plafond otticteL. aboti- 
satt en fait la marge que le législateur 
avait volontairement réservée pour 
r exercice .dé la concurrence- Parallèle- 
ment. des ententes périodiques f en prin- 
cipes hebdomadaires I fixaient les prix. 
D’ïm potnt dé vtie théorique, an est porté 
à qualifier de Celtes mesures iTlüég 
et de paradoxales : si un oimtingeni 
ment privé, en l’absence 
étatique, peut défà sembler 
au principe de la liberté dù 
que dire , d’un contingentement privé 
se s urtm prt me en quelque sorte sur 
contingentement officiel, les 
manifestant ainsi ; la prétention 
refaire, et par conséquent de 
naître, dans. teur,. tBCérêt privée tes 
sitioas établies .par P Etat dans té 
de ttstèrèt publie dont £ est s 
juge?» 

En fin de compte, malgré la. tel, 
retrouve nombre' des caractères 
daleuxjSela situation antérieur 
' 192ÜT Mais pourTâutêur. qul n « 
car maintenant « 'd’un point de. 
pratique»; selon ses propres termes. « 
situation est un peu différente. L'< 
syndical du surcantingealement, 

U, peut se présenter en fait comme 
■meilleure manière, votre la seule, d'i 
rer la régulation et la stabilité des 
et d’éviter ainsi que soient 
les manoeuvres de bouse artificielle 
Van. a également voulu éviter, ainsi 
le précise en premier lieu te texte 
Ces promoteurs des accords ont 
des raisons bien plausibles d 
valoir, en- se référant notamment à 
baisse des prix mondiaux et d V 
convulsif du . marché américam. 
justifier . une action destinée ù 
ntr un prix d'abord à un ntveast staù 
et ensuite à un niveau équttablemen 
rémunérateur, ce qm est exigé par Vin 
térêt général, aussi bien que par 
térit.pnvé. 

» Ces motifs sont 
invoqués par les raft trieurs, et & 
escient: masqué, srüs bénéficient de ce l; 
tain» avantages, üs peuvent arguer dJ. 
investissements considérables qu'ils ol 
exposé» sur la' foi cTune sorte de proj i 
messe générale dé stabilité. » - ‘ i 

Oes « excuses t ne sé trouvent — ^ 
dans le rapport Sch varia, esfc-ü 
de le dire? 


vir- * .* 


iî V v 



Ml 




Êiv'*£\ 






Quand on est propriétaire de - 
son parc auto, d’est quand même 
bien utile de connaître le prix de 
revient kilométrique de ses ~ 
véhicules. Et cfest très simple : 
amortissement Entretien. 
Réparation. Dépannages. Assu- 
rances . On met tout ensemble. 

On remue. Résultat : on se trompe. 
Avec la formule de location 


(•est intéressant de connaître 
un^ prix de^ ^revieiyt kilométrique. 

Surtout quand il est exact. 


mensuelle, toujours la même, 
couvre la mise à disposition aune 


langue durée Locasim aucun risque. Simca, dune Chrysler ou cPune 
Aucune erreur. Une seule facture Matra (neuves) son entretien dans 


tout le réseau Qiiyde^Prance 
(2200 points service) et son 
assurance, prise (f ordre et pour 
vote compta 


Cette facture mensuelle, il ne 
vous reste plus qif àla multiplier 
par 12 et à monter Tessence et 
les lavages. Comme quoi, prévision 
et précision peuvent très bien se 
rejoindre.*. 

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Locasim 

Les services de Fautomobîle 

sans les servitadès* 


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L’ÉCONOMIE 


LE MONDE— 14 octobre 1975 — Page 19 


LIVRES 


LES NOTES DE LECTURE 


L 


d’Alfred Sauvy 


. k missariat général' dû PlanL r - Lucien Barnier 


‘V 

'i 


VUES NOUVELLES 
SUR LA CROISSANCE 


“ r î* l. 
i-. 



des résultats des délibérations du comité 
ÿ' l P. pw Pierre Ptsanlol 01 chargé d» répondre 

d t0TtB 01 8* trouble, posée depuis, trois 
• rj * ■■jrte ; trwrte ans de progrès parcourus sans ôbjeo- 
vïéô en septembre 1979 'et en' activité Jusqu’il la 
juin 1S74. ce c omité a siégé, pour ime large 
jndant l’Interrègne politique. Il ne doit pas être 
. tdu avec la Commission pour la croissante ■ et 
’ réunie plus tard spécialement pour la 
..;ilan. Ces «.réflexions fi long terme » sont la pan- 
>te celles qui ont concerné «La fezullifr»,. précé- 
dant analystes IcL : 

.User un consensus entre des. personnalités aussi 
-et diverses que J. Bolssonriat, R. Bonéty. p. De- 

- V. St. S.C. Kolm, A. Rlboud. J. Saris& Simone Ve» 
- ' iutres. n'élaît pas chose facile, te qui accroît 
. . 9 te mérite du rapport rédigé par EL Caïeu. avec 

, :éa F. B. Denlzot et de A. Le GafL K difficile était 
■ qi> la pénétration dans la chair que rensemMe . 
-- ■•tppe pas aux tendances actuelles prévoyant des 
I.' (tes. dans - les deux sens du mot, plus que- leur 
; jparôe. - 

: ; rté. dés Kabortf. le freinage volontaire .-de la pny- 
préconisé par certains pour des raisons éco- 
; dès lors, quatre options ou- domaines se 
Entent : place des biens matériels et de la tech- 
' r'.~ dans notre vie et notamment notre croissance, 
àgement de l'espace, résorption. des' inégalités.. 
•- In f or ma tion, participation.- /. 

, ' 'a la longue série de' propositions, citons tente - 
'■ précises, sur ce qu’on appelle la revalorisation 
.' ■avall manuel, sur r attaque directe de l'Inégalité, 
'..'' compter sur les vertus spontanées de ta croîs- 
'■/•j CM Méraud confirmera ce choix), la diffusion 
esponsaüllitâs, les propositions concernant l’Infor* 

‘ ■'n, dans l'entreprise ou aillaura. . 

■ trouvant en désaccord, au mob» partie], quelques 
". ;3res ont exprimé .séparément leur opinion . : 

- - E Bauer (codtro les « cadres nobles fi 20 ans •], 

. jriot (notamment contre les surgénérateurs et la 

-.: tance de Paris), R Bonéty (en faveur d’une pte- 
jtiori), PH. Roqueplo (contre le programme élec- 
-udéaire) et Le Gall (ralentissement de fa produo-., 
char tes paya riches). 

te ecr sotegtnnt ta grande variété des vues, ces 
‘ 'jgshcaa exprimées soulignent la nécessité de creu- 
davantage (le rapport est d'allleura éloquent sur 
' pôlrt)l Lactaire «wlchtaaante qui, elle ainsi, crée 

- j besoftis édition plus accessible serait la 
'•menue 'et lOWTffîte de magnifiques sujets A la télé- 

■ . ..'Ü ■ . 

■ yt Bubette 'V.-Esini nouvelles mut la croissance, 

■ Commlstvba ftoénl du Plan - Prix : 19 F. 


LES ANNÉES TERRIBLES . 
DE L’ESPÉRANCE 

A l'opposé de la danse sur le volcan, le titra 
exprime bien ridée -de « mauvais - moment à 
..passer «. Assis -sur -ta science et ta technique; 
plus encore sur réparais, nous., sommas bercés par 
l'Images! d&cotaWô tes esclaves- mécaniques, tout en 
s'écartant largement d’un Roblda, d’un Huxley, ou d’un 
Ttubouriech. M. Lucien Barnier s’opposa franchement 
aux Meadows, à HDch. à Marchais (« ni Club de Rome 
ni Morçou »). et annonça, dans la fièvre, la grand 
épanouîssâment de 1B9Q. Lès données sont suffisam- 
ment, conorétas pour que soit évité le doux nom d’uto- 
pie, bien que Fin évitable musique soit fidèle au 
rendez-vous. ... 

Et nous sautons de biologie en électrons, de chirale 
en socuet,' de pédagogie en urbanisme, inquiets, par 
moments, de l'emballement, quL cependant, ne dure 
Jamais. Est-ce peur de céder à la tentation du calen- 
drier, des découvertes, style américain 1957, ou de 
démentir- André Breton ? Toujours' este que,' sans' 
.règle fixa, l'auteur préfère monter, successivement 
' -les coursiers cfuna vaste écurie. 

-Un ooln sombre cependant la. génétique : . les 
femmes - schizophrènes / Bt>nt très fécondes et : tas 
disciples de Mande!, coupables de sous-estimer la 
.transmission des tares récessives. La documentation 
. est en. dehors de la démographie, relativement sûre,' 
r espoir venant en. plus. Dans ce vigoureux désordre, 
une Idée directrice, fi teinte rose, s'impose peu fi peu : 
maîtrise des climats ou du moins des pluies, atimenta 
1 artificiels, etc. - 

Aux aguets dès fes premières pages, r économiste 
perplexe, aimerait .voir quelques modèles ou chiffras, 
mats il n’est guère plus question de rapports sociaux 
ou politiques que dans le rapport du MIT. 

La papulation vient en fin d’ouvrage, mais les 
exubérances d'Asie ou d’Afrique ne pèsent pas plus 
que le stédllame européen. Le grand étonnement plus 
encore que J'annonce du retour de la famille fi la tribu, 
est l'Ignorante ou . l'Insouciance vte-à-vte dû vMIIlas»- 
. ruent, c'est-à-dire de ta seule, évolution fi. peu prés 
écrite. 

Il reste fi savoir ce . qu'en penseront J. Fourastlé, 
G. Lévy-Strauss. Raymond Aron ou René Dumont 

* Paris, 1975. EdltlonB Bobert LATtont; 21 cm. 
255 p, 38 F. 


Jean-Antoine Roqueplo 

L’INTÉRÊT 

V IEILLE question, plus vieille sans doute que la 
monnaie, mais non que les Illusions fi ce sujet 
Nous sommes étonnés da voir que, trotte ans 
après l’avènement de la comptabilité nationale, la 
notion même de légitimité du taux d’intérêt ne soit 


pas étudiée fi la lumière du taux tf expansion, ce qui 
permettrai! de dissiper quelque peu le paradoxe du 
sou placé depuis Jésus-Christ- H est question Ici 
surtout de certaines formes de prêt notamment te 
prêt' dtiffirè, te plan épaigpe-togement dont r analyse 
n’est pas exempte dé reproches et surtout le prêt è 
durée réductible, suggéré dans le VI* Plan. 

Qu» (a durée dea prêts mérite, aujourd'hui plus 
encore qu’avanL d’étre réduite, est plus que défen- 

■ dable. mais le. lecteur sera surpris par ta faible place 
que tient, dans l’ouvrage, la déprédation monétaire, 
dite couramment Inflation. U y a. certes, le précèdent . 
dé la comptabilité nationale.' Cependant l'argumen- 
tation touffue ne débouche sur aucune conclusion 
pratique et évite, en particulier, le Jugement sûr 
l'Intérêt négatif actuel ou sur l'opportunité d'une 
Indexation. L’écureuil de l'Image connue est. en 
effet là vigilant Harpagon et don Juan y trouvent-ils 
vraiment leur compte? 

* Paria. 1975. Los Editions de rgpwsnei 18 cm, 
IBS p» 27 P. 

■ Groupe de recherches de géographie in- 

dustrielle . . 

LES INVESTISSEMENTS 
ÉTRANGERS EN FRANGE 

G E méritant et méritoire travail collectif (dix 
auteurs), dû .fi' la collaboration du centra de 
-recherches de runiverelté de Vlncennes et du 
laboratoire de géographie humaine- de Parts-!, plonge, 
comme Jamais encore tait, dons la. question épineuse 
des Investissements étrangère La période étudiée est 
1985-1969, mata on remonte plus haut 

Dés l'abord, difficulté étonnante fi rassembler tes 
données de tait, voire fi définir ce que l’on entend 
mesurer. À la généalogie' complexe des filiales, ou tait 
que projet financier ne signifie pas plue usiné qui 
fume qu'outorisallon de bétir ne signifia construction 
effective, 's’ajoutent d'autres obstacles. Une fols de 
plus, én dépit de ta multiplicité des contrôles et des 
renseignements fi fournir, le chercheur venu du dehors 
ne trouve pas ce quH désire. 

•Les deux sources principales de .renseignements, 
balance des paiements (mouvements de capitaux) et 
dossiers de demandes d'autorisation, divergent' ou se 
complètent Des surprises aussi en coure de travail. 
Certains Investissements, les plus Importants, n'ont pas 
Je dossier réglementaire, parce què— étudiés au 
sommet ' 

Las chiffres marquent uns progression Importants, 
qu'on aurait eçuhalté voir convertir en francs constants. 
Intéressante aussi ta répartition géographique. 

La forte concentration qui ne- dégage (les multina- 
tionales 'sont naturellement dans le champ) pose fata- 
lement la question de l’utilité ou du danger. SI bien 
venue qu’elle sait, ta création d’emplois Initiale n’a- 
t-elle pas pour corollaire une domination ? La soupe 
n’est-ella pas le prélude du collier ? 


!t- semble sa dégager «a tout cas. constatation 
souvent faite, que tas Américains sont de ce point de 
vue. plus bénéficiaires du Marché commun que tas 
Six. sinon les Neuf Mais révolution ta plus récente 
conduisant sans doute fi un jugement plus nuancé. 

La travail collectif présente de grands avantages, 
mais sa traduit ici par un retard excessif de publica- 
tion, en un temps de changements rapides, et par une 
certaine crainte dans l'expression. 

* Grenoble, 1975 Presses onlvexslMlrts de Oreno- 
blo ; 24 cm. 128 p* 45 P. 


Georges Lasserre 

RÉFORMER 

L'ENTREPRISE EN 1975 ? 

DES POUVOIRS 
POUR LES TRAVAILLEURS 

L E défenseur, de longue durée, des travai (leurs 
et des consommateurs, le pionnier du sys- 
tème coopératif, plus suivi en Suède qu'en 
France, n’a Jamais perdu cto vue te toujours oublié 
Intérêt généraL La question si brûlante de l'entre- 
prise est présentée dans ce petit ouvrage plus 
clairement et positivement que dans tant de débor- 
dements dilués Cartes, comme II arrive souvent, ta 
vigueur du ton. voire l'indignation, dessert parfois ta 
fond, mais la rédaction s’affermit peu A peu. même 
lorsqu'elle pénètre dans te bienheureux domaine de 
l’Idéal. 

Que l'entreprise, encore an monarchie, retarda 
d’un siècle ou deux sur ta notion démocratique, n'est 
plus mis en doute par personne, ta seule détonas 
étant te « N'y touchez pas, elle serait brisée I - 
' Encore taut-ti. précisément pour surmontai cette 
objection, dépasser te verbe et te stade de l'anathème 
ou du soupir. 'C’est ce que fait cet économiste de 
mérite. 

- La véritable base de départ est te rapport Sudreau. 
que M Georges Lasserre connaît sans doute bien 
mieux que te premier ministre. Tout en approuvant 
.son orientation d'ensemble et de nombreuses nova- 
tions (remarquer cependant une curieuse répartition 
statistique des propositions formulées, peu favorable 
aux consommateurs), Il montre la chemin fi parcourir 
après cette première étape. ' terminent par da belles 
vues (nous ne voudrions pas dire envolées, car les 
pieds restent sur terra), sur l’entreprise de demain. 
- Ces Jugements, ces propositions, moins convaincants 
peut-être lorsqu'il s'agit des capitaux-actions al des 
capitaux nouveaux, sont précédés d’un bref panorama 
des Idées, allant de H. Dubreuff fi F Dalle, en pas- 
sant par F Bloch-Lalné et de certaines réalisations — 
notamment la cogestion allemande et l’autogestion 
yougoslave. 

Une remarquable réussite, qui dépasse largement 
la simple mise au point 

* Patte 1975. HdtMona Cujas : 18 cm, 1» p, 1550 P. 


NE DRAMATISONS PAS 


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V-i.'L' ■ t . - . _• — — . 

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C^~ - ‘J * .*■ \-: 

\ jzr-' ■ ■ _ 


\une époque où tout le mondé 
îassionne, nous voulons. 
t . der la tête froide; 

[fil -es journalistes, du Nouvel 
* >nomîste condamnent eux 
‘ . si les injustices et la violence, 

‘ isüs y répondent x leur . 


y.,.. - •• 


J'. 


chiffrés. ILy à dés faite qui valent 
des philippiques et des chiffres 
quïl est dffldle de regarder en 
face- 

Sous cet angle, Le Nouvel 
Economiste sera un journal dur. 


parce qull laissera parier le poids 
des chosës. Bien sûr, cela nous 
attirera parfois des ennuis. Mais 
c’est lé prix de notre ambition : 


MIEUX CONNAITRE 
POUR MIEUX PREVOIR. 


être chaque vendredi la base de 
réflexion et d’action des 
responsables des^ài^ü^-mr^-. 

1 îj- . «ure) seront retransmises- v 

de 1 économie télévision par le satellite V 
.an co - allemand! Symphonie - L 
.'ir i en a décMé la commission 
w traBW-sortétique pour rutiUsatton 

I E paeffique de- J'espace extra- atmo- 

B W* IIWK. / W B Vypf Radio- sphérique, qui a tenu sa réunion 
■pa ■W^^^^lures. . 1 annuellfi à La Grande-Motte: 


/ » 




i 


Page 20 — LE MONDE — 14 octobre 1975 . • - 


SPORTS 


FOOTBALL 


CYCLISME 


Battue 2al par là République démocratique d'Allemagne 


L'ÉTOILE DES ESPOIRS 


La France est éliminée en championnat d’Europe des nations 


On attendait Gorelov, ce fut Van den 


De notre envoyé spéciol 


TjHp 71g — Stephan Eoraa se laissera 
pas, le I" janvier, à son eccsnanr Michel 
Hidalgo, im« équipe de France qualifiée 
pour les quarte de finale du championnat 
d'Europe des nations. Pratiquement 
condamnée par ses mourais débute dans la 
compétition (défaite 2 & 1 à Bruxelles 
contee la Belgique, matches nuis 2 à 2 & 


De notre envoyé spécial 


Paris contre la B . D . A . et 0 & D à Reykjavik 
contra l’Islande), l'équipe de France n'a pas 
su obtenir* le 12 octobre à Leipzig, co nt re la 
B.D.A, le match nul qui aurait préserré 


sec dernières chances de qualification. Battus napn ^ départ de l'Etoile 

2 & 1, las Français Joueront donc un simple des egpoirs. ia présence des cou- 
rôle d'arbitre pour leur dernier match xuuxs soviétiques constituait la 
contre la Belgique.- la 15 novembre au Parc principale attraction dé cette 
des Princes. Une défaite de la Belgique par épreuve organisée, du 8 au 12 octo- 
au mains deux buts d'écart permettrai* en Kf , , a f t lo “ J* JL2K5A 

rffet ,u * All.mtmd. d. 1-Ea d. p^dr. . In 

extremis * la première place du groupe. i*ss 1 l oui donnèrent le ton avant 


Au départ de l'Etoile vail de harcèlement qi 
, la présence des cou- porter ses fruits. Du 
•tiques constituait la conjoncture particulière, 
attraction de cette risée par l'antagonisme 
anisée, du 8 au 12 octo- catégories. Robert Oubl- 
ie règlement « open >. passable de la sélection . 


L'échec d'un commando 


Ancnaiin comme l'entraîneur- a tout le monde attaque et tout neck et mot » Cinq des Joueurs 
miracle susceptible de forcer le le mande défend », Stephan Ko- présélectionnés (Béret*. Huck, 
destin d’une équipe de France qui vacs a même failli A ses prin- Jodar. Jouve et Larque). qui ne 
n’a plus réussi à franchir le cap cipes, en transformant l’équipe de s’estimaient pas en pleine posses- 
des éliminatoires d’une compétl- France en commando chargé sVon de leurs moyens par suite 
üon officielle depuis son accession d’obtenir & Leipzig le match nul de blessures plus ou mntm graves, 
aux quarte de finale du charn- Indispensable pour conserver p r éférè r ent renoncer su dépla- 


pionnat d'Europe des nations, en l’espoir. 


1868, Stephan Ko vacs a donc Au soir de la victoire des Allé- uwinraumnes pour ourmer leur ^n^ricptciT^rfwi'oi+nrniants vifs 
échoué dans son _ entreprise. SI .on manda de. l’Est contre les Belges, Jeu de « fillettes ». les footballeurs conçolt d * bord 


ment. 

Conditionnés pour oublier leur 


et un penalty, malgré un avertis- 
sement à Adams et A Bathenay. 

M'Ignorant pas que l’équipe est- 
allemande, dirigée par Gearg 
Buschner, excelle & pratiquer le 
« contre », Stephan Kovacs avait 
misé sur une défense renforcée 


épreuve organisée, au s au ia ocld- categories, ouoen uom 
bre, selon le règlement « open a pensable de la sélection 
De fait, toute la course s’articula teuis français, n’a pas 
autour des routiers amateurs de parler de coalition contre 
l'Est, qui donnèrent le ton avant teuxs soviétiques, nus 
d’installer Nlcolal Gorelov à la Jacques AnquetO, qui faL 
tête du classement général et de tion de directeur de t 
s’incliner finalement avec les bon- estimé que Gorelov et 
rieurs, placés sous la direction de plers, au nombre desqu 
l’ancien champion olympique selnov. Chaplygln et Pi’ 
Kapitonov, ces athlètes robustes payé leurs efforts parfe 
que rien ne décourage pratique- donnés face & des a», 
renfc l’attaque avec obstination, plus expérimentés, 
prenant des Initiatives téméraires Les Soviétiques ont p 
et imprimant au peloton un train course qu’ils méritaient 
rapide ; s’ils ne parvinrent pas ment de gagner. L"avr 
toujours à coordonner leurs mou- dira ce qu’il faut pem 
TnpT»t f t; üc rappelèrent *jw Jeunes victoire du Néerlandais 1 


pour contenir les assauts aile- j pro fessi onnel s occidentaux que le den Brade, un solide g 


ecnoue aans son entreprise, or on mono» ae iis» contre mes raeises, jeu ae « uuoraes », les lootoaneurs *. —-ijw rnmim Gal- 

considère les seuls résultats obte- le 27 septembre, & Bruxelles, le français fixait preuve d'une 

nus en compétition, le bilan est directeur des équipes de France agressivité inhabituelle dans toutes 1X7111 tenter ae 1C= 

n&nflf nw tttio trlnbiirp winl r* nmtt. mmm*rvw es nrAnnmtlnn Iottts l ntn i m iHiw» w, 4 iw n* VotW— SUXprerKnc. 


h>wb l’offensive. la circonstance le résuit 

La riposte était prévisible. Gore- flatteur fie sa carrière, 
lov ne fut pas menacé par la vie- pler de Roy Schulten. dé 
tolre de Roy Schulten au cours qué dans Touxs-Vers&L 
de l’exercice, contre la montre, car pas a proprement parier 


négatif avec une victoire contre avait commencé 
l’Islande, à Nantes, pour deux psychologique en 
deux matches et deux défaites, n'y a que deux ht 


n’y a que deux hommes qui n’au- 


Apfitre du « football total » où ront pas peur à Leipzig : Dôme- 


nation leurs Interventions, puisque l’aibl- 
t :e2Z tare dut «iffi*»* rimpaniM et un 
f n'au- coups francs (trente-six contre 
Dôme- les Français et quinze pour eux) 


Fresque contraints & dominer, 
les footballeurs est-all em a n ds 


firent étalage de leurs qualités - I* Néerlandais avait; été distancé 


pas a proprement parler 
que l’on imaginait. H 
l’Etoile des espoirs a J 


ÉQUITATION 


esprit d'abnégation, sens du Jeu auparavant, mais il rida le do- WBtoüe « des espoirs (a J 
collectif et condition physique nier Joui à la suite d£ne action ^tionenrevéiant ou 
parfaite. — aussi de leurs conjuguée de Van den Btoeck. Val- mant plusieurs Jeun» 
graves défauts i manque dïma- let, Perret, Mich e l Laurent et parcn! lc^uels fig urer 
gîwaHnn et rf tniwiSw e, surtout Jean-Claude Meunier, un lncl- Inurent, Patrick Perre 
au niveau des arrières, trop oiéoc- dent mécanique au moment de la Dard ainsi que deux n 


de Van den Btoeck. Val- mant plusieurs Jeun» 
t, Michel Laurent et parmi lesquels figurer 
Laurent, Patrick Perre 


Les faux-semblants du championnat dé France 


au niveau des arrières, trop préoc- 


cupés par l'aspect défensif de leur cassure décisive ayant ajouté à 
fonction- ses problèmes. 

H est évident que les cinq pra- 
fessionnels réunis dans cette 
un penalty contestable échappée s’étalent découvert des 
s 4M*, intérêts communs, les uns. tels 

Van den .Btoeck et VaUet convol- 


Après une semaine de galops Ininterrompus, 
rexcellente condition des chevaux n'ayant point & 
en p6tlr, au contraire, le championnat de France 
de saut d'obstacles s’ssf achevé, dimanche 


12 octobre, au Grand Parquet de Fontainebleau, 
où, sous le ciel le plus rechigné d’octobre, a eu 
lieu la traditionnelle épreuve tournante avec 
échange de chevaux entre cavaliers finalistes. 


Un penalty contestable 


Avant d'en évoquer les péripéties, 
opérons un retour en arrière. Le 
championnat de France, ce n'est pas 
seulement l'épreuve tournante spec- 
taculaire à souhait et même tspo-ô- 
l'œil, sa signification sportive — bra- 
vons les boutefeux — restant â 
démontrer. Généralement, les quatre 
amateure en présence, amateure sur 
le • papier », professionnels en réa- 
lité, connaissent à fond les chevaux 


tordu, distordu, houspillé, se com- 
porte en tire-laine détalant eous le 
feu de cent pistolets. L’adresse, 
certes, a son mot à dire, mais ta 
hasard, la chance sont trop étroi- 
tement liés aux résultats pour 
combler les délicats. 

D'une tout autre portée est le 
prix (TAiiteull, deuxième épreuve du 
championnat de France, parcoure 
de coupe avec chronomètre auquel 


teïït wS^ftoale; 1« autres. 
vaux entra cavaliers finalistes. «mme Michel Laurent, Techer- 

• phan K ovac s pouv ait ré ussir puis- nT-mn t TVhm modestem 
règlement général des concours de que les Français ouvrirent même eèsd'étane Ta vnlont 

sauts d’obstacles en France (art. 109) le score à la cinquantième minute cnhlr ^ loi' des amate 

frappe d’une amende sévère ou d'un verser une situation 

avertissement nullement platonique a ’ conforme & l’ordre 

tout contrevenant è la simple et ^ tagWune rts. 

humaine équité. Le cavalier qui, face «use. prSnuée par u 

au Jury pour comble, S’est attaqué à Janvton. 


slonnels authentiques 
depuis quelques jours se 
l'équipe Mercier : Berni 
et Yvon Bertln. Sans 
course «open». qui t 
cyclisme vers la ïicenc 
c’est-à-dire dans sa vért 
est-elle à la recherche i 
mule. 

C'est pourquoi 1*1 
espoirs accueillera pent- 


oonfonne à l'ordre établi leur 
avait inspiré une réaction vigou- 
reuse. nrèoarée par un long txa- 


née prochaine, un _pl 
nombre d’amateurs afin 
un meilleur équilibre c 


JACQUES AUG 


au Jury pour comble, s’est attaqué à 
la tête de son cheval au risque de 
réborgner l'aura appris à ses 
dépens. 


Mais le manque d’expérience 
des footballeurs français se mani- 
festa une première fois quand, & 


Voile 


Nous avons, à propos de fa « tour- P®^ ctoq minutes plus tard, 

..... ... I VaSIIjmi AmJ* ■ ai-* g a 


autres que le leur et qvTite sont succède dans la foulée un parcours nante perlé de péripéties» En faltl allemand Strdch. 


appelés à monter. Non seulement Us de puissance sans chronomètre. Id nous avons assisté A un débat sans de placement 

i— a ... * i, çouective de toute la défense, pour 


les ont vus è f œuvre et étudiés au 
fil des saisons, mais certains les 
ont autrefois exploitée, affûtés de 
leur propre' main. Ainsi, dimanche & 
Fontainebleau, avons-nous assisté 


la parole est â la belle équitation, 
la médiocrité n’ayant pas la moindre 


surprise, sans rebondissements Im- 
prévus entre gens ayant l'amour de 


chance de se frayer un chemin sans leur métier et le servant A merveille, i 


casser du bols. 

Bien sûr Isa forces mauvaises, tou- 


couectxve de toute la défense, pour 
ég a liser, et une seconde fols au 
moment de ce penalty sifflé à 
douze minutes de la fia du 


CHAMPIONNAT DU MONDE 
DES 505 


GARY PLAYER EN 
LE TROPHÊ DES CH 


Maie Houssin. I, laurâat. a pour lui 8 - u tacontofohu que 


une main qui s'adapte à toutes les l'axhltre suédois, M. Freârikssao, 


aux retrouvailles de Marcel Rozler et Jourr aux aguets en équitation, s’etta- bouches. Ou vrai velours. Une mou- peut-être influencé par leslrré- 1 
de Ocra Vadls, ce Veux lutteur quërent â des talents aussi Irrépro- che prise dans sa paume ne serait gulmltés répétées de certains ^ x. emportant; f; 


Le championnat du monde des 
505. qui s’est disputé aux Ber- 
mudes, a donné lieu & un duel ] 
franco - britannique, les Anglais 


héroïque passé du piquet de son chables que ceux de Hubert Paroi, pas écrasée. Quitter la piste avec un 1 Joueurs, se soit laissé abuser par 


ancien maître & celui du Normand 
Marc Houssin, héros du Jour pour 
avoir empoché sans bavures le titre. 


Philippe Henry, Xavier Deialande, 
Bertrand Mirabeau, François, Fabius, 
Jean -Marc Nicolas, etc. mata. 


demi-point de pénalisation pour une ,chnte_spectaçulalre. de Haçf- 
urn» d« quo». 


Classement général : 

1. John bovwtay- Lewis Dana 
CG.-B J, 3 ptn ; i J.-liulB Danlèlou- 1 


Bref, l'effet de surprise ne Joue .hormis les malchanceux trahis par 


qu 'imparfaitement et quand nous 
voyons les finalistes téter -devant 
les .tribunra ta cheval d’un rivai 
comme élis découvraient un animal 
dont on ne peut être sûr que de la 


leur monture, combien d’échecs à 
Inscrire au débit des Jeunes amgi- 


parcoura, la score est plus que 
flatteur. 

Marcel Ftozler, avec quatre points, 
prend la deuxième place. En se 


ner à qrri Bracd disputait réguliè- 

te ItaJlon, JL est non moins x Marcel Buffet - Tïu°Mon»u-Def«rgé 


évid £ rt f que les 'Français avaient ^^7^7 CmSZZcZZ- 


multiplié ce risque en se massant «an Uppi (g.-bj, 54,7 Pts ; a Peter 


tiens occasionnant la foudre à tort et calant ft la troisième, le Jeune et 


devant leur but - et en ne son- 
geant plus qu’à préserver le 
match xmL 


â travers sur des chevaux aux res- 
sources miraculeusement Intactes. 


sympathique Dental Constant volt, I La leçon prise voici un an 


couleur de ea robe, nous rions dou- Trente cavaliers K.O. après chuta, 


cernent 

Non, le vrai visage du champion- 
nat de France ee modèle et s’épura 
au cours des deux premières 
épreuves disputé» avant le weed- 


éllml nation ou abandon, c’est tout d'éloge. L’ancien champion 


avant sa proche tournée aux Etats- pour Jour devant la Belgique, 
Unis, récompenser des efforts dignes quand l’avant-centre Français, 


Galclougb.- Peter Brown (O. -B.), 
59 pts; 6. Peter whlta-Jdhn Davis 
CG.-BJ. 58J Pt» ; 7. Tves Pajot-Erle 
Fountatne (Fr.), 88,7 pts 


COURSE AUTOUR DU MONDE 


Le Sud -Africain Ga 
trente-huit ans, a gagt 
che 13 octobre, le Tr- 
champions sur le terraii 
Nom - la - Bretèche, èp 
invitations, qui réunisse 
melUeuis spécialistes ' " 
et qui a classé dans l’or 
Uns, Ballesteros, Jackü. 
Casper, Shearer et Gai 
dernier parcours c B 
talonné par le Jeune t * 
Lanny Wadklns, a été! 
■sus p e n se. Ne menant-, 

1 point au départ da 


de môme un chiffre qui devrait Ind- France Bernard G en este, qui ferme 


ter les sélectionneurs è plus de' la marche, paraît souffrir de son 


rigueur. 

Cela dit, l'emploi de la cravache 


end, épreuves auxquelles pour ce sur nos terrains de concours tourne 
motif le gros du public ne peut décidément à la contagion et Fontal- 


élolgnemenl prolongé de la compé- 
tition. 

ROLAND MERLIN. 


Bernard Lacombe, replié devant 
son propre gordien a un quart 
d'heure de la fin du avait 

offert le but de la victoire à ses 
adversaires, n’avalt pas été rete- 
nue. 

GÉRARD ALBOUY. 


trou. Il réussit à preaûrl 
et à terminer avec* 


Great Britaia devance son prin- ï 

cfpal rival, Kriter LE, d’au moins ^ clant 

100 mûtes, dans la course autour 001113 27S - 

du monde. Le voilier britannique Avec 288 métrés, le- Jet 
avait franchi le premier la ligne espagnol Severlano B 
da Cap, trente-neuf jours après dix-huit ans. a gagnê^a 
son départ de Londres. de drive. 


Avec 288 métrés, le-Jer 


de drive. 


hélas I assister. 

Passons rapidement sur le prix de 
Vin cannes couru Jeudi 9 octobre sur 
le mémo Grand Parquet transformé, 
soit dit en passant, en petite Sibérie. 


nebleau nous en a fourni une nou- 
velle preuve. Sur le triple d'obstacles 
du prix d'Autsull, la hargne homicide 
des maladroits e'ast littéralement ‘ 
déchaînée. La pultion en public d'un 


LES RÉSULTATS 


Il s’agit d'une épreuve de mania- bon et loyal serviteur trompé dans 


blllté. spécialité peu prisée des cra- 
vaches ennemies de la bousculade. 
De bout en bout, le noble animai, 


son travail par de faux effets de rênes 
et de Jambes est une I acheté qui 
appelle la sanction. Heureusement le 


57 uc. : 7. Laurent (Ffc), 18 fi. 
Automobilisme SS min. 25 me.; & Chaplygln 

- ,pA8A). 16 fi. 23 min. 15 ne.; 

Jacques LaffUe. est o/fiotsUemeut 9- Jesn.-Cla.Tjd* Meanlac (jtaj, 16 h. 


nouvel an 


champion 0i Europe de formule 2 
après ta dernière course du c haï- 


lange md a été disputée -le 12 octo- 
bre à vtdlelunga, près de Borne. Les 
cinq premières places du champion- 
nat tHEnropg reviennent à des pQo- 


33 min. 17 ne. ; 10. Axbès (Fr.), 
18 ta. 23 min. 18 m. 


Le Tour de Lombardie, quant dis - 
pati, samedi 11 octobre. - par une 


CLASSEMENT .. ■ 

aux . ■>” «- *£gsT\ 

U ami me L Brimbilli (Msrcb. BMW),' Uoser, d ta 

JB 70 totus en 1 h. 28 min. 8 me. 7 devant un i 

fil (moyenne 158O00 km-fi); 2. LeOOte sapés. 

V J V AA (Martini BMW), i«K&; 3. Flun- 

PT ■ mini (Mtoch BMW), A 41 seo.; L 

PeaenU (Mardi BMW), è 1 H" 

(départ 1 & et 20 décembre/refaur 3 et 4 janvierî (Mirch BMW3 ’ 4 cg"»®» 


pluie diluvienne et sur 200 Mamè- 
tres. cent Jurtt coureurs, parmi les- 


"Boulogne bat Cm& 4-2 

"Ch&teanrouz et Dunkerque ., 0-0 

Amiens bat «Chcdet 2-1 

•HamttoïiDk. but Tours 8-0 

« Mnlakn tf et Parla F.C 0-0 

•Lorient bat Brest 3-0 

Classement. — L Bennes, 17 pta ; 
a Laval. 14 pts; 3. Bauibroock et 
Amlraa, U pte ; S. Angonléme et 
^atoauronr. 10 pte ; 7. Boulogne. 
Caaxu Parta P. c. et TtnTtan, 9 pts ; 


Star. 12 pts ; S. Toulon- • 
10 pte; la Auxerre et-- 
9 pts : 1Z Chaumont, 7 ptf 
B pta ; 14L Bplnal, 3 pts ! - 
et Mont luçon, 4 pts; lT.v 
3 pts ; 18. Malhoiue. 3 p % 


Halte # i 


Pierre Courrier est deeeiu 


U* S* A 


IL Lorient, MUskoCf et Sedan, 8 pts ; le plus fort de France watru 
14. Tours, 8 pts ; 15. Pontalneblsbo, tobre d Xolnt-Afaur e» . • 
*"* " 200,5 kOos à Vépaulé-teU. 


devant un 
capés. 


te de 30 km-h; 
de dix-huit res- 


Brext et Choûrt, 5 pta ; 18. Donker- 
qus, 3 pts. 


Football 


1550 f 


CLASSEMENT FINAL 
DU CHAMPIONNAT D>EUBOPB 


L ' L ni 1 1 1 e. duuxrplc 
M pta (aix Tlntoirêâ) ; 


l d'Europe, 
2 . Leçtac, 


CHAM PIONNAT DS FRANCS 
DS DHIX1EMB DIVISION 
(hultUma Journée) 

’ OEECOUPXI A- 

Sedan bot 'Fontainebleau .... 


GROUPE B n,-. 

Carmes bat •Martigoes 2-0 t 

Angers bat ^“Mratliïçfm' alî J* Vrix Saùmtre, disputé 

“ToSloo» bat Nbv5s\7i.:;;;; 3-0 aftam A U 12 octobre, et st 

•Besançon, bat Ajaccio .. . a-o ast ya ri tierc é, a ■ 

Gueugnon bat rSaint-Dlé"..' " M « 

*Auxerre bat Mtdbonae 3-1 eomt>iBa 

•Chaumont bat Spinal . 3_n ayante est 4-14-5. 

•Sète et Red Star-. 3-2 

9 a F a * me * lt ' — L Cannes. 14 pta ; f ssit à 


Paris/New York/Raris 

en Boeing Jet # Pan Am 
affrété par Camino 

ffbrmuje VARA. •) 

clôture des inscriptions : 

imminente 

départs nombreux de Pâques à Octobre 
de 2 semaines à 3 mois 


36 pta (trais victoires) ; 3. Tnmboy. 
38 pta (mu victoire) ; 4. Ltimma, 
28 pts ; 5. J aboullle, 24 .pts; fi. Flaa- 
mlxil. 22 pts, etc. 


x AïJ «w» «t WSSeT’lS SS; 

Lavnl bat rBonen 2-1 4. Bériors, BesanconTouerugnon. Bea 


Jeu à 


Basket-ball 


. Pour son premier mM 
Phase retour des cham pion 
monde. Féqidpe de Franc 
battue 48 â 2 . te 11 ce 
Bordeaux. 


CHAMPIONNAT DE FRANCE 
DE NATIONALE 1 

(cinquième Journée) 
vmm&banxiB b. *Bagnolet.. 99-77 1 

Tenus h. *Denam ‘115-98 

Bexok b. «Orthez @2-80 

•Lo Mans- b. Caen ;. .It3-æ 

•Chanana b. Jour 88-78 

•Lyon b. Antibes.........;.. '83-70 

a Nloe b. Clermont 101-84 

•Somme te- OratTenatadm.. 70-68 
Classement. — L VUletubsnne, 


LEGOLFN’ESTPIUS 
UN SPORT DE PRIVILEGIES ! 


Le Tchèque lan Kodès a 
te tournoi de Madrid en 
successivement Itastasc. Bu 
avait battu Orantès) et Pana 
avait éliminé Vttas puis B- 
dernier en finale, jw 6-3, 
M. 




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Tours, Bercfc ot Le Mans. 15 pts; 
3. ChsPsns, 12 pta; fl. Nice et Caen. 
U pta; 8. Anobes, Orthea, Koanno 
et BagnOIat, 9 pu ; 13. Joraf et 
Lyon, 7 pta ; 14. Clermont, ârafCen- i 
Btaden et Deostn, 5 pts. 


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- Ô8 par le WnlsSèns des Transports. 


9 choisissez Camino 


ETOILE DBS ESPOIRS 
(Classement général.) ' ■ 

1. Van Den Hoeck (P.-B.), 16 h. 
20 min. 2 sec. ; 2. Vallet fFrj- te h. 

20 min. 7 se a. ; 3. Perret, (Fr.), 16 h. 

21 min. 6 sec. ; 4. Gorelov (UJLSB.). 
rtet- 16 h. 21 min. 44 sec.; 5. Pronk 
fP.-B.), 10 h. 21 min. » seo.; 6 . 
GoumIhov (U JLS JS.). 16 te 21 min. ; 


umtG. TOURING PPn 

395 F 


T 


TUNMER Paris -5 place St-Augnstin - 75008 PARIS 
TUNMER Bordeaux- 61 cours de Flntendance 
33000 BORDEAUX 


ATHLETISME. — La Fid 
internationale t 
trisme amateur (B-f-éA 
rest réunie samedi et dtr 
sous la présidence afi 
Ezeter .à Grand-Q 
(Seine-Maritime), a f 

aux fédérations qu'elles 
contrôler les a sorties » £ 
athlètes, celles-ci étant D 
à quarante- deux jours a 
dans Fatntie. A. geef®»* 
des Jeux olympiques PO 
trial, ta position delà* 
concernant te dossier ae • 
teurfsme semble être neaz 


l'assouplissement 


temporaire du rigorisme. 




r 


0TS CT Cl Si 




*99 







AUJOURD’HUI 


tüielov 


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CO 


MÉTÉOROLOGIE 


^ tflUATION LEJ3.pÇt?sJV o h G. HT. ' 

iii I ~ mt mi 


» : 

** '.*:•■■ 




rs 


~\ 



U 9 nes ^Égate hauteur de baromètre cotées en mORbare (te mb vaut environ % de mm)' 
de pluie ou neige V averses {forage* M»' ► Sens de ta marche dea fronts 
-Mb. Front chaud - '-A-A. Front froid 



' piobtMc du temps en 

' : , ’ v -mse entre le lundi 13 octobre 1 
"~.;«ne et le mardi 14 octobre S 
: .heure* : 

'perturbation, qui affectait 
lundi Trmtin l’est «t le nord 
France s'éloignera vers rABe- 
'•-Ve et les. Pays-Bas. Elle aéra 
~>'i d'une améUonc&lan relative. 


pusagém. Une nouvelle perturbation 
venant de l'Atlantique abordera, en 
effet, nos réglons de I - Ouest mmt i» 
matinée do mardi et gagnera, dans 
la Journée, une grande partie du 
P*3*- , 

Mardi -14 octobre, en début de 
journée, 11 pleuvra encore <*»«« le 
JJbrd ; , les réglons méditerranéennes 
bénéficieront d'assez belles éclair- 


iqes 


■ -Formation au cornet l fami- 
— La Pédérstiûn Couple et 
jje organise une session de 
-atian au conseil familial 

la région parisienne. Après 
première rencontre, an mois 
: .bvembre 1975. cinq week-ends 
'nt lieu en 1978 (29-29 février, 
.l'rS gvril. 12-19 Juin, 30-31 octo- 
"* 18-19 décembre) sur les thè- 
^ -suivants : vie ai couple, en- 
e affective et sexuelle, le cou- 
et l'enfant, révolution peycho- 
cüva, idéologie et sexualité, 
est Saa. ■ • 

Bensstgnoxcnfis ; M- et 
4'e rua do Sèvres 

saoo ‘ Boulogne - Billancourt. 

, .,'tr «05-i*-(u. • 


de trois heures par semaine sont 
organisés par « la Récréation s, 
atelier d'éducation créatrice, 
16, rue de Tborlgny, 75003 Paris. 
CeG stages s’adressent à toute 
personne intéressée par les pxo- 
blèmes de créativité et d’expres- 
sion et, plus spécialement, aux 
éducateurs sociaux appelés à ani- 
mer des ateliers de peinture d’ex- 
pression libre et d'expression cor- 
porelle pour les enfants et les 
adolescents. Enseignement théo- 
rique et pratiqua (étude des pro- 
blèmes de créativité, de psycho- 
motricité et d’initiation à l’art 
moderne). 

Vk 11 ,1 0t Inw H f rt im» 

•vaut le 31 octobre 1975, 18, rue de 
Xborignr, 75003 Paris, t£L 278-0-82. 
Début du prochain stage : vendredi 
7 novembre 1873. 


MOTS CROISÉS 


TFEOBLEME H* 1278 
MliXlTl 



HORIZONTALEMENT 
ïecuells de bons mots. — 
vite collectivement à prier ; 
biblique. — HL Vient de 
..Est destiné à tourner. — 
lodestes reliefs. — V. Dm 
' es qui n'ont plus cours. — 
. ettres de crédit ; implique 
étente ; Vient de nuire. — 
■itères qu’on ne saurait fcra- 
■ sans s'exposer A de graves 
is. — vm, Un chanteur de 
ie. — IX. Peu douées .pour 
urses. — X. sur de vieilles 
■nés. — XL Pour ce faire, il 
it pas hésiter à se mouill er . 


VERTICALEMENT 
X. Certains la trouvent bonne 
main — . fl mut bien le dire — 
c’est une vraie poire I ; Source de 
lumière. — 2. Symbole chimique; 
Grande nappe. — 3. Boisson esti- 
mée; La guerre est parfois aa 
raison d’être. — A Prendrais l’air. 

— 5. ' S’agitent parfois très long- 
temps avant que d'être épuisées. 

— 6. Manquaient aux Barbares ; 
Un point dans Veau. — 1. Re- 
muent une fourchette ; Aperçut. 

— 8. Nous révéla certains mys- 
tères ; Ne peut que gagner & l’ali- 
gnement; D'un auxiliaire. — 9. 
Moins appétissantes. 

Solution du problème n* 1 275 
Horizontalement 
L Coupables. — IL Rature ; 
Va. — HL 06 ; EtaL — IVBhud ; 
Usé. — V. Se ; Isoler. — VL En ; 
Seul — VIL S oir (chute du jour); 
Ego. — VUL Peau; An. — IX. 
Ame ; Nains. — X- Mère. — 
XL Prêcheuse. 

Verticalement 

1. Cross ; Camp. — 2. Oasiens ; 
Mer. — S. Ut ; Opère. — t Pu- 
naisle ; Ec.. — 5. A.R. ; ISeran. — 
A Bée ; Ou ; Ua. — 7. Tulle. — 
A Evase ; Gants. — 9. Salerions. 

GUY BROUTY. 


mal officiel 


t publiés au Journal officiel 
octobre : 

DECRETS 

Portant création d’écoles 
taies de perfectionnement 
enfants déficients Intelleo- 
moyens ou légers ; 

■jinHf à la suppression de la 
a d’échanges de logements ; 
Relatif au certificat cadre 
üer. 

ARRETES 

Relatif & la réglementation 
dentification des animaux 
ipèce canine ; 

fixant *TWi» méthode de 
e des niveaux sonores en 
de travail en vue de la 
Uon de l’audition (ce texte 
édité ultérieurement en 
île séparé). 


I par 2& S ARA. U Uondel 
uts • 

carat, directeur tfa |s pnhBctftoa. 
StemwL 


bnpdMffa 
«td «Monts» 

[ 5,r.8e*ttBUens 
PARIS-K» 



■uefion interdite de 

.«/ accord asm radmtruetntiou. 


A L’HOTEL DROUOT 


Mardi 

EXPOSITIONS 

dt 11 heures A 18 heures 

S. Z. — Bibelots, beau meubl». 
M* Cbampetler de BUmo. 

8. 3. — Bons meubles. M« Ubert 
S. L — B» meubles. M« P é seh a wa . 
8. 7. — Livra anc. et modernes. 
Mms Vldal-Mégret, M* Ogsr. 

S. A — Bhx. ozfèvr. M* Delorme. 
S. 14. — TsUesnx, mob U- M“ Bas» 
St Claude Bo i agl r exd. 

VENTES 

S. A — Expo. U A 15 b- 30. vente 
16 b. Tapis d'orient. M. Berthécd. 
M* Ader, Picard. Tsjsn. 


Front occlus 

des. Partons amena, la temps sers 
très brumeux et très nuageux. De 
nouvelles pluies aborderont les ré- 
glons de l'Ouest d«i« la matinée : 
elles s’étendront, le soir; de la 
Bretagne aux Pyrénées. 

las venta, d'abord variables, 
s'orienteront prograalvemint au sud- 
ouest en devenant modérés dans 
l'Intérieur, y— es forts par moments 
prés de l’Atlantique. 

Xas températures <Mnnt dotât en 
hausse. 

Lundi U octobre, à 7 heures, la 
pression atmosphérique réduite en 
niveau de la mer était, A Parla -Le 
BoUrget, de 1 QH.2 milllbari. gott 
76A5 millimètres de mercure. 

Températures (le premier Chiffre 
Indique le maximum enregistré su 
cours de la Journée du 12 octobre; 
le second, le minirmiw» de la nuit du 
U au 13) ; Ajaccio, 20 et U degrés; 
Biarritz. 8 et 4; Bordeaux, 9 et 0; 
Brest. U et 6; Caen. 10 et 4; 
Cherbourg, 10 et 8; Clermont-Ferrand. 
5 et 4 ; Dijon. . 7 et i ; Grenoble, 6 
et 4; Lille, 9 et 3; Lyon, 7 et 4; 
Marseille, 14 et 6; Nancy. 7 et 3; 
Nantes, 7 et 4; Nice, 14 et 9; 
F&ris-Le Bourget, 8 et 4; Pau. 9 
et 3 : Perpignan, 14 et » ; Bennes, 10 
st 1 ; Strasbourg. 8 et 5 ; Tours, 6 
et 4 ; Toulouse, 11 et 2. 

Températures relevées à l’étran- 
ger : Amsterdam, lo et 2 degrés; 
Athènes, 27 et 18; Bonn, U et 3; 
Bruxelles, 9 et 3 ; lies Canaries, 34 
et 19 ; Copenhague, lo st 4 ; Genève, 

8 et 4 ; Lisbonne. 19 et 9 ; Londres, 
13 et 4 ; Madrid. 12 et —2 ; Moscou. 

5 et 5 ; New-York. 16 et 13 ; Palma- 
d«- Majorque, 18 et 6 : Borne. 24 
et 13; Stockholm. 12 et 1. 


Logement 


• Les droits <T inscription A Ta 
Bourse <P échange des logements 
(qui a été supprimée le 1“ avril 
1975) seront remboursés aux usa- 
gers qui. du fait de cette sup- 
pression, n’auront pu bénéficier 
de l’Insertion de leur proposition 
dans six numéros au moins du 
périodique échangés et Loge- 
ments. Cet(e décision est annon- 
cée dans un décret paru au 
Journal officiel du 12 octobre. 


- - LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 21 

RADIOTÉLÉVISION 


vu 


Courageux, pas téméraire 


Dans . la plupart des paya du 
Marché commua, m même en 
Espagne, vous entrez dans uns 
pharmacie avec votre ordon- 
nance, on roua donne le ou las 
médicaments prescrits après en 
mvol- détaché la vignette, et vous 
repartez sans avoir ouvert votre 
porte-monnaie. Idem, .le: plus 
souvent, tors, de ■ fs visto lu 
médecin conventionné- Pour le 
client, le système m des avan- 
tagés évidents, y compris celui 
de aà sonder comme dune 
guigne de la longueur de Tor- 
donnance et du prix des médi- 
caments. 

Mais en France, en France où 
tout doit être payé, où rien 
n’est lamsla Immédiatement rem- 
boursé, où tout ne Test pas 
toujours en entier, en France où 
ta consultation, y compris (a 
consultation à r hôpital, Implique 
une certaine misa de tonds, ce 
qül trappe — et le formidable 
déficit de ta Sécurité sociale 
permet de te chiffrer. — c’est un 
aouci de mieux-être et de mletix- 
paràJtre. Le docteur Jean-Paul 
.Escanda, dermatologue, profes- 
seur agrégé, médecin dea hôpi- 
taux, auteur if un Uvre Intitulé 
les Médecine (IJ — Il répondait, 
dimanche soir sur TF 1, au 
« Questionnaire • de Jean-Louis 
Servan-Scftrefber, — le docteur 
Escanda noua disait donc qu’une 
bonne partie de la clientèle 
venait consulter le spécialiste . 


(en dermatologie) pour bronzer, 
venir A bout d’une irréductible 
cellulite ou changer de crème 
de beauté . A T autre bout de 
récheile, le médecin de cam- 
pagne, qu’on e souvent hésité è 
appeler, hésite parfois A revenir 
au chevet de son malade (rap- 
pelez-vous le * Je repasserai » 
<f afifenj pour ne pas grever dans 
un premier temps son budget. 

Le rôle du médecin, le méde- 
cin gourou, ta médecin sorcier, 
recours suprême contre les 
grands maux et les petites mi- 
sères — dire Qu’on osait se 
moquer de lut au temps de 
Mollira, — la place du méde- 
cin dans nos sociétés de 
consommation, dont U est aujour- 
d’hui Ton des premiers béné- 
ficiaires. on en parta beaucoup, 
et ce n’est pas noua qui nous 
en plaindrons, 6 la télévision. 
Interviewa, débats, « tables 
rondes », on ne craint pas 
de ee lancer dans des dia- 
tribes — Tuatlflées — contra /sa 
patrons, les madarlns, ni d’ex- 
primer tas Inquiétudes — éga- 
lement Justifiées — que suscite, 
depuis la réforme Debré, an 
7968, le niveau de la nouvelle 
génération de { aunes médecins 
prêts è débarquer, mal armés, 
mal préparés, - sur le marché 
de la maladie». 

La docteur Escanda — on Ta 
déjà vu i récran — est revenu 
là-dessus avec Intelligence, avec 


lucidité, avec compétence aussi. 
Malgré las incitations A la fran- 
chisa. à te colère, de son bifer- 
loctmur (Cest un peu une mai- 
lla , non, le médecine ? Pour- 
quoi y a-t-il quinze mille pro- 
duits pharmaceutiques en France 
alors que le Danemark se 
contente de dix fols moins? 
Pourquoi, è> qualité égaie, leurs 
prix varient-ils du simple au 
quadruple ?), malgré ces coups 
d'aiguillon, le docteur Escénde 
est resté bien optimiste, bien 
courtois, et bien prudent. Bien 
trop. Bien plus encore que dans 
son livre. 

Très disart et très sévère sur 
ta qualité de renseignement dis- 
pensé dans les facultés. Il a 
été très évasif sur la question 
fondamentale des rapports entre 
r Industrie privée et la santé 
publique et dea avantagée qtftt 
y aurait è nationaliser les grands 
laboratoires. Il y avait du pour 
et du contre. Ce n’étalt pas è 
lut de trancher. Il s'agissait 
d'un choix politique. Vrai. Ce 
choix, pourtant, on a’y résou- 
drait peut-être plus vhe et plus 
volontiers si des praticiens qui, 
comme lui. n’ont rien è y perdre 
assuraient hautement que noua, 
les clients, nous aurions tout è 
y gagner. 

CLAUDE SARRAUTE. 


U) Le Monda du. 16 Juillet. 


■ Le Monde » pabHe ton* les 

samedis» amnézo a«i» du < * ■■ ■■»"« l i f 
lundi, un supplément xidïo - télé- 
vision avec Isa p— complets 
de la semaine. 


LES PROGRAMMES 


LUNDI 13 OCTOBRE 


. Service des Abonnements 
A rae des italiens 
75427 PARIS - CKDKX S» 
C.CF 4 207 - 23 

ABONNEMENTS 
S mois 6 mois 9 mois 12 mois 


FRANCK - D.OJL - T.OJA 
ex- COMMUNAUTE (sauf Algérie) 
90 T . 160 F 232 F 300 P 

TOUS PAYS ETRANGERS 
PAR FOIE NORMALE 
144 F 273 F 402 P 538 F 

ETRANGER 
par ména g e r ie» 

1 - BELGIQUE-LUXEMBOURG 
PAYS-BAS - SUISSE 

115 F 219 F 307 F 4M T 

TL — TUNISIE 

225 7 231 F . 337 F 4MP 

Far vote «**<«""» 
tufftf ggr 

Les abonnés qui paient par 
Chèque postal (trois volets) vou- 
dront hleo Joindre ee chèque 1 
leur demande 

Changements d'adresse défi- 
Ointe ou provisoire* (deux 
semwlna» ou plus), nas abonnés 
sont invités . -à formuler leur 
demande un» *»"»<"» KO moins 
avant leur départ 

Joindre la dernière bande 
d’envoi A tonte c or ra p t a d anee 
. ventQex avoir robUgssaee de 
rédiger tons Ira noms 
en caractères dT 


CHAINE I : TFT 

20- h. 30, f-* tin lundi (Regards sur 

lldaloire) : . Désirés», de H. Koster (1954), avec 
M. Bran do J. Simmons. M_ Oberon, M. Renrüe, 
C Mitcheli 

L’htstotre de Oéatrée Clorjr. ftUa d'un négo- 
ciant marssiUait, que Napoléon Bonaparte 
aima, pvU détstna pour épouser Joséphine 
de Beauhamats. Mariée au général Berna- 
dette. elle devint ratas de Suide. 

22 h.- 15, Débat : « Un Corse Bona- 

parte ». avec A. 'Castelot, P. Bessasd-Massenet, 
R. Sédfflot; 23 h. 15. XT1 dernière. 

CHAINE II (couleur) : A2 

20 h. 30, Jeu ; La ttta et les jambes, de 
P. Bellemare : 21 h. 45, Magazine : F comme 
femme, de S. Genevofx et M. Hoaorin. (Etre msraj 
Avec la ps rtlotpatton du Dr Pierre Simon, 
auteur du rapport sur le compor t eme nt 
sexuel des F ran çais. 

22 h. 45, Journal de TA2. ' 

CHAINE III (couleur) : FR 3 

20 h. 30, . Prestiffs du cinéma s « la Proie des 


vautours ». de J. Sturges (1959) ; avec F Sinatra. 
G. Lollobrigida. P. Lawford. SL McQueen. 

Av cours de ta deuxième guerre mondiale, 
u n officier américain, qui æ bat en Birmanie 
contre tes Japonais, est amené a franchir la 
frontière chinoise pour us rdd de représaUles. 
22 h. 35. FR3 actualités. 

FRANCE-CULTURE 

28 h. Poèsl* ; » L 1 Moralités légendaires. «*» J. 
Laforgue : ■ Hamlet », «vue F. Histar. réalisation J--W. 
Garrot! ; M h. 5 (SJ, Concert par r Orchestre d* chambre 
de Radio-France, cSrection J--C. runnwn, les Gulieh au 
piano . • Noces de Figaro », ouverture (Mozart) ; • Concerto 
pour deux pianos en ml bémol majeur » (Mozart); ■ Sym- 
phonie n* a » (Mozart) ; • Concerto pour piano et orchestre 
n» ri, te. 595 » [Mozart) ; 22 II 35 (•>. Entretiens avec 
Mlciier Serres, par S^J. Saivy ; ri II, De la nuit ; a II SA 
Poésie. 


FRANCE-MUSIQUE 


a h. Présentation au concert ; 20 h. 30 CS. J. En direct 
du Victoria H*D de Genève, concert par l'Orchestre de la 
Suisse romande, d!r. W. SavalUsch, avec H- Dooath, soprano, 
C. Perret mezzo-soprano. M. Eckara. récitant ■ Songe 
dhete nuit d'été », .extraits (Mendebsohnl ; ■ Egmont », 
musique de scène (Beethoven) t Vers 22 h. 20. Coroes pincées, 
par D. Mégevand (invitée : Mortelle NordmamDj 24 h. (*), 
Faisceaux, nr A. Abnura 


MARDI 14 OCTOBRE 


CHAINE I : TF 1 

12 h. 15, (CJ, Répons* A tout: 12 h. 30 (CL), 
Midi pramiéra i 14 h. 5, Km lato uns scolaires 
(reprise à 15 b. 15 et â 17 fa. 15); 18 h. 15, A 
la bonne heure ; 18 h. 45. Pour les petits ; 18 h. 55, 
Pour les jeunes; 19 h. 40, Une minute pour lea 
iesxmaa; 19 h. 45. Feuilleton : les Comp a g n o n s 
d'Eleusis j 

20 fa. 30, Jeu ; Qu o i , de qui ? i 21 h. 10, Lea 
grandes énigmes, de R. Clarke et N. Skrotsky 
(Les langages secrets). 

Retrouver des cioüisattons disparues par 
le déabUtrevumt de leur écriture : avec 
Mme FmfNa Masson, chargée de recherches 
as CJfJlB, et M. Jean Cedant, égyptologue. 

22 h. 10, Emission littéraire ; De vive voix, 
de J. Femiot et. Ch. CoUange (Pourquoi Iss flics 
se mettent-ils à tabla?). 

4 doc MM. Paul-Claude mnooenet (pour «la 
Brigade anti-gang •! ; Roger Bornions (pour 
« le Qang »J ; Gérard Itonete (pour « Ques- 
tions 4 le police *1 et notre collaborateur 
James Sarrasin (pour « la Police en miette a •). 

23 h. 15, IT1 dernière. 

CHAINE U (couleur) : A 2 

13. h. 45, Magasin# régional; 14 h. 30, Aujour- 
d*hui Mazteme; 15 h. 30, Série : Janosâe.fLa loi 
des brigands) ; 16 h. 20, Ira après-midi d' An- 
tenne 2; 17 h. 30, Fenêtre aux t L’historique de 
la question du Vietnam ; 18 h. 45, Pour les Jeunes ; 
Le palmarès des enfants : IB h. 55, Jeu : Des 
chiffres et des lettres i 19 h. 45, Jeu : Y*a un truc. 

20 h. 30. Les dossiers de l'écran. d'A. Jammot : 
«La vfBe étranglée», reportages de Raoul Cou- 
tard et commentaires de Jean Lartéguy. 

De l'origine de la guerre du Vietnam fus- 
qu'i la Chute de Saigon : un montage de 
documents tournés en partie i Saigon entre 
le 2S avril et le lé mai 19 78. 


Débat : « Le- Vietnam sans rOcôdent ». 

Avec ta partiarpotion du général Nguyen 
Ceo Ky, ancien premier ministre du Sud- 
Vietnam : de Jean Lartéguy. journaliste et 
auteur de « l’Adieu A Saigon • ; de Varans, 
représentant du Mouvement de ta paix ; 
M. Chartes Foumtau, agrégé dTUstotre , et 
d’OUmer Todd. Journaliste au « Nouvel 
Observateur » et auteur des e Canards de 
Ca-Meo ». 

23 h. 15, Journal de TA2. 

CHAINE lit (couleur) : FR 3 

19 Jx* Pour les jeunes : Le club «TTJlysse; 
19 h. 40, Tribune libre : Le droit humain; 20 II, 
Les* animaux chez eux : Kangourous et koalas. 

20 b. 30, Westerns, films policiers, aventures : 
• Trqp petit mon ami ». de EdL Ma talon (1969), 
avec J. Btrlrln. M. Dimn. B. Presson. 

On nam qui a une revanche à prendre svr 
la société, prépare, sans regarder au prix de 
la vie humaine, une sensationnelle escroque- 
rie. Un détail imprévu 'ait échouer son plan. 

22 heures, FR 3 actualités. 

FRANCE-CULTURE 

» IL, Poésie ; 20 h. 5, Dialogues, de R. Pillouifln . le droit 
A la mort avec G. GanguHhem et H. Péqulgnot ; 21 h. 20, 
Musiques de noire temps, per G. Uon, avec R. Gagneux; 

22 h. 35, Entretiens avec Miche) Serres; 23 h. De la nuit; 

23 h. 50. Poésla. 

FRANCE-MUSIQUE 

20 h„ Présentation eu concert ; 20 II 30 CS.), En direct 
de r auditorium ICM, Orchestre phlviannonkroe de Radlo- 
F rance. Direction P^M. Laconie. Avec C. Maillots : « The mer » 
(Balakirev) i « Troisième concerto pour piano » (Prokoftev) t 
■ Antmus Anima ». création (Duhamel) -, .« Amazones » 
(Ville- Lobas) ; 22 h. 30, Les dossiers musicaux : L'âge d'or do 
rock and mil ; 24 h. Musiques non écrites : Le Japon ; 

1 II, Plans sur plans, car J. Couturier. 


LUNDI 13 OCTOBRE 
— M. Bigis Debray est Interrogé 
par- Jacques Chance! pour s Ra- 
dioscopie » sur France-mter, k 
17 heures. 


Comment réserver 
sa couchette 

quand on ra pas encore son billet. 

Réservation électronique SJUCJF. : vous obtenez billet et réservation 
‘i en même temps. Mais tout cela est expliqué dans le guide 
pratique 1975 du voyageur SJ4.C.F. Demandez-le dans les gares 
et agences de voyages. Usez-le bien. Soyez malin. 

Apprenez le trahui2ZZ27 


TRIBUNES ET DÉBATS 

— M. Jacques Chirac premier 
ministre, est l’invité de « dix 
questions, dix réponses », sur 
Prance-3 


-Inter à 19 h. 20. 

— Le Mouvement lies jeunes 
femmes exprime son opinion à la 
« Tribune libre » de FR 3, à 
19 h. 40. 

— Le docteur Pierre Simon par- 
ticipe an mogartna g F comme 
femmes» sur A 2. à 21 h. 45. 

MARDI 14 OCTOBRE 

— M. André Fanion, député 
UJXRm répond aux questions (te 
Philippe Bouvard sur R.TJL, à 
13 heures. 

— MM. Edmond Maire 
(CJD.T.) et Yum Chotard 
iCILPJP.) sont les Invités de 
Jéan-PietrB Defraln sur Radio- 
Monte-Carlo, & 12 heures. 


— Le droit humain expose son 
point de vue à la a Tribune 
libre » de FR 3, à 19 h. 40. 

— < Pourquoi les flics se met- 
tent-üe à table? » est la question 
posée an cours du magazine litté- 
raire c De vive voix» sur TPI, & 
22 h. la 

— e Le Vietnam sans FOcct- 
dent » est le sujet du débat dea 
■ Dossiezs de l'écran » sur A2 
vers 23 heures. 


Les ttnagea du voyage du 
Giscard - cTEstaing & 
(qui aura lieu du 14 au 
18 octobre) seront retransmises 
à la télévision par 2e satellite 
franco - allemand Symphonie - L 
Ainsi en a décidé la commission 
franco-soviétique pour l’utfflsatlan 
pactfique de l'espace extra-atmo- 
sphérique, qui a tenu sa réunion 
annuelle à La Grande-Motte; 





Paga 22 — LE MONDE — 14 octobre 1975 



ORCHESTRE 
DE PARIS 

SOC15TÉ DES CONCERTS DU CONSERVATOIRE 

CRÉATION 
D'UN CHŒUR 

Recrutement et formation 
• d'un grand chœur mixte 
composé d'amateurs. 

Environ : 200 personnes. 

Les auditions auront lieu 
à partir du 20 octobre 1975 
pendant un mois, sous le 
contrôle d'Arthur QLDHAM, 
Directeur des chœurs du festival 
d'Edimbourg et de l'Orchestre 
Symphonique de Londres. 

Premier concert : 

« TE DEUM» 
de Berlioz 

avec l'Orchestre de Paris 
dirigé par 

DANIEL BARENBOIM 

Renseignements et rendez-vous : 
758-27-37 - 758-27-31 
de 9 heures à 18 heures 
tous les jours (sou/ dimanche) 

ou écrire : 

ORCHESTRE DE PARIS 
PALAIS DES CONGRES 
2, ■ plaça de la Porte-Maillot. 
75017 PARIS. 



SPECTACLES 


atelier 


■' 4 > ÇA B 



• organise arec le Centre Culturel I 
de Nanterre et la Nouvelle Critique [ 

du 14 an 23 octobre 


FESTIVAL 

CINÉMA 

SOVIÉTIQUE 


Séances : Tous les jours à 
IB h. 30 et 21 h. en semaine | 
lâ h. et 18 h. le dimanche 

• 

Films de 7946 à 7974 


alT )LY MPIA 

..Vî^TBR'JNp -CCC-U.ATROC 

la Ii mbe 
de 

Eicadway 


T v^~ 


« ... Une force 
inoubliable . » 

Colette GODARD, « le Monde > 
PROC SPECIAUX ETUDIANTS 
606-49-24 et agences 1 


'HBÀTRE- 


LE R41A.CE 

-, D I REOTE V R -/PL ER R £ ..LAVILLc'' 


Une des soirées les plus char- 
meuses que l'on puisse passer 
à Paris, pleine de grâce et d'in- 
vention, toujours surprenante, 
généreuse. FRANCE SOIR 

Tout cela est juste, débordant, 
de verve. Maréchal se révèle 
bon écrivain, plein de gouaille, 
d'astuces, de naturel— Les 
Parisiens avisés devraient aller 
au Palace-. LE FIGARO 

De la force & revendre— 

L’HUMANITÉ 
Bernard Ballet, prodigieux 
clown truculent, tendu, qui 
tient la scène, le spectacle, 
le public- LE MONDE 

UNE ANEMONE 
POUR GUIGNOL 

MARCEL MARÉCHAL 

tous les soirs à 21 lisant lundi 
matinée diraand » 1 5 fa 

8, me du Fg-Montmartre 9* 

téL 770.44*37 


: TOUT UN PROGRAMME 
DE JEUNE MUSIC-HALL 

GILLES OLIVIER 

PIERRE PECHIN 
WILLIAM SAILLY 


THEATRE DILSOLEIL 

; : A* - *•* ‘ 

:t^usqifau|§| 






-frEtfcM-Mfr*’ 
et étaasd» MSniO 

Oàtom 6* Vtwmvn vî : 

, * «et 

MS?SiBir»_ 


MICHODIERE 
JEAN-PIERRE CASSEL 

dam 

GOGetMÆGOG 

Comédie an3 actes de GABRIEL AROUT 
Mise en scène de FRANÇOIS PERI ER 

avec 

JACQUELINE JEHANNEUF 
JEAN OBÉ 

MAR1E-NOELLE ROSBEC 
FULBERT JANIN 

JACQUES MONOD 


théâtres 

Les salles subventionnées 

Opéra. 10 tu 30 : Spectacle de ballets. 
Comtale- Française, 20 b. 30 : la Pou- 
dra aux yeux ; la Pins Heureux des 
Trois (abonnement habillé série E>. 
Odéon, 20 11 30 : H CampleDo. 

Les salles municipales 

Nouveau Carré, 21 U. : le Tableau. 

Les autres salles 

Songes- Parisiens. 20 h. 45 : la 
Grosse. 

Carton cherie de Vlnoecnes, Théâtre 
du Soleil. 20 h. 30 : l’Age d’or. 
Centre nmfrlrain, 2i h. : Bajszet, 
Comédie Canmartln, ZI b- 10 : 
Boeing-Boeing. 

Cour des Miracles, 20 h. 30 î Flque- 
Soleil; 23 lu : Attendons la fanfare. 
Dannon, 21 h. : Monsieur Masure. 
Fontaine, 20 h. 45 : la Balance. 
Hachette, 21 h. : la Cantatrice 
chantre ; la Leçon. 

Madeleine, 20 h. 30 : Peau de vache. 
Mic h e l, 21 h. 10 : Duos sur canapé. 
Nouveautés, 21 h. : la Libellule. 
Paris-Nord. 15 h. et 20 h. 45 : le 
Garde-Chasse; Sonate & Kreutzer. 
Plaisance, 20 lu 30 : la Grande Pô Ce. 
Rauelagh, 20 h. 30 : la ‘Pieuvre- 
Théâtre Campagne-Première. 19 b. : 
La pipelette n’a plus pipé : 
20 h.. 30 ; Vie et mort d’une 
concierge ; 22 h. : F. Abrlnl ; 
23 h. ; Angels of LIght ; 24 h. : 
Tndfn dama. 

T h é i t r e des Champs - Elysée s, 

20 h. 30 : Marcel Marceau. 

Théâtre de- la Cité universitaire. 

Grand Théâtre. 21 h. : Un couple 
pour l’hiver. — La Galerie. 21 h. : 
la Virage. 

Théâtre de Dix- Heures, 20 h. 30 : 

Bt les petits cailloux sont contents. 
Théâtre Oblique, 18 h. 30 : la Forêt 
sacrilège: le Pélican (film). 
Théfttre de la Péniche. 20 h. 30 : 

Un Fazré peut en cacher un autre. 
Troglodyte, 32 h. : l'inconfortable. 

Les théâtres de banlieue 

RneS-Malmaison, Blam, 21 h. : les 
Amants terribles. 

VTncennes, Théâtre Danlel-Sorano. 

21 h. : Woyzech. 

Festival d’automne 


Lundi 13 octobre 


i 


Pour tous renseignements concernant 
^ensemble des programmes ou des salles 

‘ LE MONDE INFORMATIONS SPECTACLES = 
704.7020 (ligues groupées] et 727.4Z.34 

(de 11 heures à 21 heures, 
sauf les dimanches et Jours fériés) 


Voir Odéon (salles subventionnées). 

Cartoucherie de Vlncennes Théâtre 
de l*Epée-de-Bols. 20 h. 30 : Toro. 

Vidéo 

Vldëostone. permanent A partir de 
14 h. : Ehpagne. 

Les concerts 

Théâtre Essaiera, 20 h. 30 : P. Martin, 
guitare (Brouwer. Bach. Dawland); 
N. Pnente. guitare flamenca. 

Maison de la radio. 20 h. 30 : Octuor 
de Paris, arec G. Joy et Ch. Ivaldl. 
pianos (Ohana. MUialovtcL Sau- 
guet, Schubert). 

Le Lncemalre, 20 h. 30 : la Scarpla 
Comort (musique contemi 
improvisée). 


anemos 

Les fUms marques O sont 
interdits ans moins de treize ans, 
(**) aux mains de dix-huit ans. 

La cinémathèque 

Ch alUot, 20 h. 30 : 1 Inconnu de 
Las Vegas, de L. MU est one.; 
22 h. 50 : la Fièvre dans le sang, 
d'E. Kazan. 

Les exclusivités 

AGUIKRE. LA COLERE DE DIEU 
(AU, vers ang j : Studio de la 
Harpe. 5* (033-34-83). UQ.C.-Mar- 
beuf, a» (225-47-19). 


AU-DELA DE LA PEUR (Fr.) : Li- 
berté. 12* (345-01-59), Normand 
B« (359-41-18), Caprl, 2* (508-11-69). 
LA BETE (Fr.) f“> : Quintette, 5* 
(033-35-40). Montparnasse 83. 6" 
(544-14-27). Balzac. 8« (350-52-70). 
Omni a. 2* (231-30-38). 

BLACK MOON (Fr.) : BLenvenQe- 
Montparnasae, 15* (544-25-02). Bo- 
naparte, 6* (326-12-12), Vendôme. 2* 
(073-07-52). Studio Méaims. 5* 
(833-25-97), Blairiez, 8- (359-42-33). 
CHARLEY ONE BYE (A. M.) ; AC- 
t Ion Christine; .6* (325-83-78) . 

LE CHAT ET LA SOURIS (Fr.) : 
Bex. 2* (238-83-93), U G. C. -Odéon, 
G" (325-71-08), Caméo. 9* (770-20-89), 
Ulramar. 14* (320-41-02), Images. 
15* (522-47-94). Elyaées-CIséma. 8* 
1225-37-90). Ubertfc, 12* (343-01-50), 
Napoléon. 17* (380-41-46). MceIo- 
Cooventlon, 15* (828-20-64). 

Cnn.E (Chili, v.o.) : Le Seine. 5* 
(325-92-46) 

LA CLEPSYDRE (?ol, m) : Le 
Seine. 5’ (325-92-46) à 17 h. 15 et 
22 b. 15. 

LE DROIT DD PLUS PORT (AU.. V.O.) 
(”*) : Studio des Dreullnes. S* 
(033-39-19). U G.C. - Marbeuf, 8* 
(225-47-19). Pagode. 7* (551-12-15). 
L’ENFER POUR MISS JONES (A^ 
vxx) (■*) : Saint-Germain Studio. 
5* (033-42-72) ; rj ; Balzac. 8* 
(359-52-70). Gaumodt-Théfttre. 2* 
(231-33-16). Fauvette. 13* (331- 

60-74). Magic -Convention. 15* (828- 
20-64 ). P aramount- Montparnasse. 

14* (326-22-17). Paramount- Maillot. 
17* (758-24-24) 

FLIC STORY (Pr.) : Ermltave, 8* 
(359-15-71). R*X. 2* (236-83-93). 

Mistral. 14* (734-20-70) . BlenvenQe- 
Moc c Parnasse. is* (544-25-02). Ma- 
rat. 16* (288-99-75). Baul'Mlcb’. 5* 
(033-48-29). Pabllcls Champs-Ely- 
sées. 8* (720-76-23). Paramount- 
Opéra, 9* (073-54-37), Paramount- 
GobeUna, 13* (707-12-28), Moulln- 
Ronga. 18* (606-34-25). 

FOLLE A TUER (Fr.) (•) : Français, 
9* (770-33-88). Marignan. 8* (339- 
92-82), Athéna. 12* (343-07-48). 

LA FUGUE (A-, *.o ) : BU hoquet. 6* 
(222-87-23). Publlels- Matignon. 8* 
(359-31-95) : »i. : Grand -Pavois, 
15* (531-44-58). Paranaou nt-Opéra. 
S* (073-34-37) 

LES GALETTES DE PONT-AVEN 
(Pr > t-) : La Clef. 5* (337-90-90), 
Miramar. 14* <326-41-021, Biarritz. 
8* (359-42-33). T.G C.-Odeon. 6* 

(325-71-08). Royal- Paaey. 16* (527- 
41-16), Caprl. 2* (508-11-69) 
GORGE PROFONDE (A. v.o.) (*•) ï 
Quintette. 5* (033-35-401: vX : 
Saint - Lazare - Pasquler, 8* (387- 
56-16). Balzac, B* (359-52-70). Om- 
ni*. 2- (231-39-36). Montparnasse 
83. 0* (544-14-27). Cllehy-Pathê. 18* 
(522-37-41). Gaumont-Sud. 14* (331- 
51-16), Gaumont-Opéra. 9* (073- 
95-48) 

GUERRE BT AMOUR (A. vs.) (***): 
PubUris-Champs-Elyaées. 8* (720- 
78-23). Paramount-OdéOB. 6* (325- 
59-83) : vx : P&ramonnt-Opêra, fl* 
(073-34-37), . Pammount-Mont par- 
nasse. 14* (326-22-17), Paremount- 
Malllot, 17* (758-24-24), Paramonnt- 
Orlémns, 14* (580-03-75) 

HISTOIRE ZFO (Fr.) (*•) : Am . 
bareaae. 8* (359-19-08). Berlitz. 2" 
(742-60-33). Cluny-Palace. 5* (033- 
07-76). Gaumont-SucL 14» (331- 

51-16), Montparnasse - Patbé. 14* 
(326-66-13), Nations. 12* (343-04-67). 
Cllehy-Pathé. 18* (522-37-41) 
HU-MAN (Pr-, vers, ang.): Quintette. 5" 
(033-35-40): Vf ; Colisée 8* (359- 
29-461. Montparnasse- Pathé. 14* 
(326-65-13). Gaumont-Madeleine. 8* 
(073-56-03). 


IL FAUT VIVRE DANGERlilW^lSNT 
(Pr.) : Concorde, 8- (3M-*2-84>. 

Gaumont-Lumière, fl* (770*84-64), 
SînÊoc. S* 1326-OT-18L Montpar- 
nasse- Pa thé. 14* (326-65-13). 


Les films nouveaux 


T A COURSE A L ECHALOTE 
r— ) nun frappais de Claude 
sadl. avec J ans Birzin et 
Pierre Richard- — Marignan, 
B* (359-92-82). Riche Hou-Gau- 
mont, 2» (233-36-70). Hauie- 
feuille. 6* (633-79-38). Mont- 
parnasse 83. 6* (544-14-27), 

TVepter. 18* (387-36-07). Pau- 
vette. 13* (331-56-80). Gau- 
mont- Madeleine. 8» (073-04-22). 
Gaumoni-Conventioo. 15* (828- 
42-27), Victor-Hugo. IB* (727- 
49-75). Panthéon. 5* (033- 

15-04). Oanmooc-Gambaita. 20* 
(797-02-74). Gaumont- Bosquet. 
7» (551-44-11). 

HISTOIRE D'ADELE H. film 
français de François Truffant, 
avec Isabelle AdjanL — Biar- 
ritz I et IL 8* (359-43-33). Cl- 
némonde-Opéra, 9* (770-01-90), 
Rex. 2* 1236-83-63). BlcnvcnQe- 
Montps masse. 15* (544-25-02). 
Bretagne. 6- (222-57-97). UOC- 
Odéon. 6* (325-71-08). MlStraL 
14* (734-20-70), Cllcby-Patbe, 
18* (522-37-41). 

LE JOUR DE L’AMOUR. Hlm 
Mexicain d'Alberto Ismao. - 
v.o. : Studio de l’Etoile. 17* 
(380-19-93). 

SANJURO (réédition), film Ja- 
ponais d'Akira Kurosawa. — 
V.O. : Dragon. 6* (348-64-74). 


INDIA S ONG (Fr.) ! Le Seine, 5* 
(325-92-48). à 14 U 45 et 20 heures. 
LE JARDIN DES DELICES (Eap_ 
v.o.) . Quintette. 5* (033-33-40). 
JETAIS, JB SUIS, JB SERAI (AH 
v.o-1 . la Cler. 5» (337-90-90). 

LA KERMESSE DES AIGLES (A_ 
v.q.) (•**) : Mangn&n. 9* (359- 
92-42) VX : Ratisamann. 9* (770- 
47-35). Carabroone. 13* (734-42-98). 
LEÇON D’HISTOIRE et MACUORK- 
MUFT (Frj : Olympia. 14* (783 
67-42). 

LENNY (A, v.o.) ! HautefeulUe. 6* 
(633-79-38). 

MADE FOR BACH OTHER (A^ IA) î 
Action Christine, 6* (323-83-78). 
MANDINGO (A* VJO.} (*•) : Cluxiy- 
- Palace. - S* 4033-07-76). Mercury. 8* 
(225-73-90). V.f ; ABC. 2* (336- 
55-54).. GUchy - Patb«.- 18* (523- 

37-41). Murat, 18* (286-99-731. Gau- 
mont-Sud. 14* (331-51-18). 

MOISB ET AARON (Fr.) : Marais. 
3* (278-47-88). Pagode. 7- (551- 

12-13). 

LE MYSTERE DBS DOUZE CHAI- 
SES <A^ v.o J : Studio Alpha. S* 
(023-39-4 T). Paramount- El y Bées. 8* 
(358-49-34). V. f. : Paramount- 
Montmartre. 18* (006-34-23), Pasay. 
16* (288-62-34), Paramnuot-Omtte. 
14* (326-99-34), Paramount- Maillot. 
17* (758-24-34), Caprl. 2* (308- 
11-69), Paramount- Opéra. 9* (073- 
34-37) 

NUMERO Deux (Fr.) 1 HautefeulUe. 
6* (633-79-38;, 14-JUlUet, 11* (700- 
51-li). Publlels- Matignon. 8* (3S0- 
31-87) 

PARFUM DB FEMME (IL. «.oj . 
Blystes - Lincoln. 8* (359-36-14). 

Quartier Utln. 5* .(326-84-63). 


Quintette. 5* (033-33-40) 
16* (523-27-06), Mari 

(359-92-921); V.f, ; Nrf 
1343-04-67). Montparaf 
6* (544-14-27). Fr in 

1770-33-88), Ciicby-Paihé 
37-41), Faurette. 13* ( 

OaumiuiL - Coovsnucn,--. 

43-37). 

LE PARRAIN N* 2 (A.’ 
m andin, 6* (339-41-1% 
CheL S* (328-79-m VJ, 

( 336-83-93) . Bretagne, R* ( 
PAS DE PROBLEME (Br 
Le Paria. 8* (339-63-99), 

9- (TT0-T2-B6), Oaumont- 
20* (797-03-74), Jeanne 
(331-40-58), Uonlparn. 
14* (326-68-13) 

PHASE IV {U, VJO.) (*"*) 
Point-Show. B- (235-O-E 
bOdrg. 6» (833-97-77). 81 
Village. B* (833-87-69);. V . 
Lazare - Pasquler. 6* . | 
Nations, 12* (343-04-8# 
PatfaA 18- (522-37-41) ^ 
15* (734-10-68). Haussais* 
47-33), Studio -RasjmiL 
.38-98). 

WH 08 MA NT (Geont. (o 
Oit -le- Cœur. 8* (32 5-80 
BOLLKRBALL (A~ IS.) I* 
feuille, s* 1633-79-38). 
Riva-Osucne. 6* (348-26 
mont - Champ* - Blyrtu. 
04-67). VX : Importai 
73-52). Caravelle. 18*' 
Gaumont * Convention. 
42-27). Gaumont - Garr 
(797-02-74) Mmx-Und« 

49- 04) 

LE 8 HER IFP EST EN PI 
V.O.) f***) î BlyséM-PDI! 
(236-67-39). Studio de 
carpe. 8* (323-78-37) 
SOUVENIRS D’EN FRAN 
Eiyeées - Lincoln. 8* 
Saint-Gennatn- Ruche tt> 
87-99), Salnt-Lacare-P. 
(387-56-16). 14-Julllet, * 
51-13). MontperaasN - 
(328-85-13). P.LAL-St-J 
(389-68-42). 

TARZOON. LA BONTE D 
GLK (Bill. v. amér.) . 
tage. 8* (359-13-71). VJ 
(236-83-03); Rotonde. 
08-221 

TREMBLEMENT DE T 
vm ) Klnopanorama 

50- 50). 

VASE DE NOCE ( BabL 
Oalande, S- (933-72-71). 

LE VIEUX FUSIL (Fr.) 
ge-V. 9* (223-41-46). 

ConvanttoxL 13* (828-42 
8* (073-74-35), Paramoi 
17* (738-24-24). Mari val 
83-90). Paramount - Bc 
(343-79-17). Panmeum ' 
nasse. 14« (326-22-17). 
Orléans. 14* (580-03-73). 
YTYA PORTUGAL (AIL v 
Sé vérin, 3* (033-50-91), 

11* (709-51-13). 


tous les jours 
soirée 20h30saitfkHi 
dimanche 

matinée 16 h- sotte 20 b 30 

Les Troyen 

d'après Euripid 
Grand Prix d 
Festival de Belgrad 
musique ELIZABETH 5 
réalisation ANDREI S 
par 

iamamarepertoryco 

BOUFFES DUf 

piBC8s25 Fnt15 F (moBP 
et groupes de jrius rie llfp 

location sa théâtre, téL 1 

etFNAC MONTPASN. 
136, nie de Rennes de 11 
sanfdiiiiaiiGfaBettar 


MERCRED1 15 OCTOBRE 


Location : théâtre et agences. 




/ 

M 











nemo 



"'i - 




•jr. 


; 'ÿîî nouveaux 
^territoires 
ïijfe Belfort 

' •; . v 

^ ftuamiite-sfcE filma ont été 
>ntê* à Belfort, an- cours 
4. i septième Manifestation 
'■nale du cinéma des jeunes 
" M ' tES, organisée pu le Centre 
? '.Bvdoppement et d’anima- 
'.concertée -de la -ville, cous 

* u Jranag® da Centre national 
■. { <> cinématographie. Courte - 

- " mes métrages, en super- 8 » 
S mm on en 35 mm ; eu 
on en conleor ; de repor- 

; d’animation on de fiction ; 
M . _ j l emen t comparables. 

• " r .'Un Jury, composé de. sept 

- «mes, a 'cependant procédé 
i choix, établi « mm un i chaque 

'■ e un palmarès. «La Cel- 
.j. : , film de promotion. réaUsé 
: Bahloul Bahloul, élève 
' 'ien de 1TDBDBC, a remporté 
r - ând prix. Quatre Algériens 
-'.prouvent durant une nuit 
i h cellule d*nn mmiwif n- 
de poBee et racontent 
rqnnL comment, ils ont été 
Ce réquisitoire contre 
Madame serait plus 

rj-r,, -ndnesnt iH était moins 
'“'isdencleiisanart Illustré. Les 
} ^'Liages, très sofepées. f ont appel 
; .•«* , .f&Doflon du spectatenr, à sa 
! itfanentalit£__£t» . malgré 

■ j a . * beauté du dernier plan, 

i ;^nd, an petit matin, les 

| Jrà homme* sortent dn 
j "nfasarfat. observés pu un 

5 V.-j AJfbtm qui,, lui, balaie 

„ . Ittohr. rax s'est demandé, à' 
pourquoi un autre ftim, 
_ 0 é aussi pu un Algérien, 
‘j^ar.été choisi pour le grand 

effet, «le Betonr», dTEl 
i JPsughali, une sorte- de 
ds'.tofl d*un travailleur 
. ."iîîjiw .®L France, est beau- 
t ..îj. ptas' réellement «poll- 
S . plu» véridique — moins 

I ir « m uot «Mais, ont 

■ membres du Jury, 

r mûmes tel pour juger des 

i f**>dïr proprement cinémato- 
1 :rr-*V*Mt de la technique du 

avant tout. Nous 
déceler des «tempéra- 
is de cinéastes. On sent, 
t premier film, même s’il 
bon, même s'il n’est 
chevé, al l’auteur sera ou 
capable d'en réaliser un 
i, de progresser.» 

«Festival de la première 
e», ainsi que l’appellent 
rganlsateurs, la manlfes- 
de Belfort accueille, sans 
Section, tous les films qui 
proposés La seule 
imposée est que les 
n’aient pas leur carte 
teur. que leurs films 
t pas produits. On s'est 
dant interrogé, an cours 
lombrettx débats anim é s 
tobert Lapoujade et Bai 
elra, sur le bien-fondé dn 
.ris. Tous les jeunes 
rs ne disposent pas des 
•s moyens, et il y a une 
e inégalité entre un film 
i Jk 1TDHEC et un court 
gu fait pur un amateur, 

•es ressources personnelles. 

/an prochain, le règlement 
modifié. H n’y aura plus 
ty. On ne parlera pins de 
U. Mais simplement de 
itxus ». « C'est le côté 
J* intéressant de ces jour- 
dit le responsable du 
i. Des jeunes ont la chance 
•avoir présenter leur film 
professionnels, de parler 
eux, de se faire recon- 
-» 

accordera, à Belfort, une 
de label aux films les 
tmarquës. Et Ton tentera' 

' Jir un lien entre Belfort 
ulon. (Des fibw» primés à 
' n. cette année, ont été 
• xtés an cours de ces Jtrar- 

L’Instîtut national de 

o-visuel s'intéresse aussi 
Manifes tations de Belfort 
impose une aide & la 
- rche menée par les jeunes 
-i rs. Roger Louis — dtrec- 
T au. CREP AC — était aussi 
_ it « fi faut détecter, 
ranger- mais aussi décan- 
te, disent les professionnels. 

KTHILDE la bardonnie. 




LE MONDE ■ — - 14 octobre 1975 — — Page 23 

ARTS ET SPECTACLES 

Théâtre Oonre 

£“*rîîl I *“tal ‘ b ta KM * Mmi à MM 



__£a ^ABoauHo S de TAtriler de 
i'Kpée-de-Bois ne propose pas une 
fable, un di scou rs , ni un frag- 
ment de discours, ni une état» 
dans la recherche formelle d’un 
poupe théâtral, . ni un rituel 
invente ou retrouvé. Ce Que pro- 
l'Atelier de lEpée-de-Bois. 
-le han gar nu où il travaille. 

se définirait plutôt wwim, le 

reve ylsjormaire d’une humanité 
en détresse, réduite au suprême 
dénuement, et qui conserve avec 
an soin sauvage quelques vesti- 
ges : ttn livre, des lettres >i«ni 
des enveloppes par avion, un Coq 
aafMjine cage, de frCes lumières, 
Quatre hom mes sont les «ihttw. 
gardiens du feu, de la nourriture, 
de 1 amour, de la conscience. 
Quatre h o mme s dans un « univers 
concentrationnaire». La formule 
a été trop ut ili sée . Id, eHe Impose 
rudement son évidence. 

Asd a su r un banc étroit, les 
spectateurs dominent- et -entou- 
rent un enclos rectangulaire, fait 
de sacs de sable, d’où le soleil a 
disparu — depuis combien de 
siècles? — plongé une 

obscurité & peine trouée de 
lueurs. Au centre, une winw f 
une poutre brisée, verticale, porte 
une bougie. Les hommes se dépla- 
cent- sans brait dans la terre 
lourde. Trois d’entre eux, comme 
des esclaves, ont, accroché au dos 
par des cordes, un pilori de bois 
épais. Us sont grands et robustes. 
Le -quatrième semble le chef. 
Infirme, 3 se déplace avec des 
béquilles. Us parlent une langue 
Inconnue. Us mangent, Jouent, 


volent, attaquen 
c omman dent/ obéissent, s'entrai- 
dent, se révoltent, torturent- 
Us ne sont pas les survivants 
.(Tune, race primitive, les derniers 
d*tme civilisa t ion perdue. Us sont 
les derniers de notre civilisation. 
Us sont nous, nous montrent les 
racines dépouillées de nos- com- 
portements : ils jouent avec un 
dé, se menacent avec un revol- 
ver. un couteau. Raric pudeur. »«n« 
le souci d’un masque a 

sauvegarder, Us -«p riment la 
peur, le désespoir, la dignité.- la 
noblese, f ont app el â la solida- 
rité, aux souvenirs «m-f us d'un 
temps où les virrnirr^ et les fem- 
mes vivaient ensemble, où exis- 
taient l'amour, la tendresse. Ils 
déno nc e nt avec des cris de révolte 
raurrrar dtco monde d'hommes 
emprisonnés, dont toute l’énergie 
se concentre sur ces objets qui 
repré sen tent l'espoir : un livre, le 
feu, le coq, les lettres. Ces objets 
qui les sauvent de l’abandon de 
leur statut d'hommes, qui retient 
Ivtté forcenée du déses- 


Toto ne montre pas une agonie, 
mais les sursauts pathétiques, les 
déchirante efforts de la survie. 
C’est â peine un spectacle malgré 
sa terrible beauté; malgré le 
contrôle des comédiens sur leurs 
actes. C’est 1& vision d*tm danger 
mortel venu du passé et toujours 
présent. 

COLETTE GODARD. 

^ ★ CrcrtoucUcMe . Atelier de nSpte - 1 
do- Bols, 20 h. 30. 


lïiéôtre mu/icol 


«RENART DÉMASQUE» 
pour les escholiers de Grenoble 


Quatorze fois en dix jours, la 
gronde salle de la Maison de la 
culture de Grenoble s’est remplie 
déniants et de jeunes gens, avec 
souvent leurs professeurs et leurs 
parents, pour Renaît démasqué, 
un spectacle tout neuf de théâtre 
musical écrit d'après le tris vieux 
Roman de Renaît, dans tout son 
foisonnement et sa crudité, dont 
les éditions scolaires ne donnent 
en général qu’un pâle reflet 
Oui-Us toujours saisi le sms 
des causions et transpositions 
constantes du texte, oit les au- 
teurs (Yves Champelovier et Ber- 
nard Vachon) et le décorateur 
(Amie Tamfster). ont c démas- 
qué » au maximum, peut-être à 
l'excès, le .travesti animal de ces 
seigneurs du Moyen Age sans scru- 
pules qui se livraient une gué- 
rilla acharnée et dont se gaus- 
saient les trouvères sous ce voüe 
prudent ? Sans doute pas. Os ont 
ri surtout de ces aventures pica- 
resques, de cette farce menée 
grand train ( avec des voix d’ail- 
leurs forcées et une précipitation 
dans la diction qui rendait aléa- 
toire la compréhension de ces his- 
toires passablement compliquées) , 
applaudi les chevauchées de wes- 
tern à travers la scène, les gros 
mots, les parodies liturgiques, le 
latin de cuisine et le talent 
clownesque de Renart ( Charles 


PETIT QDEO N 18 h 30 

dernier spectacle du cycle 

CORNEILLE 

SURENA 

mise en scène J.P. MIQUEL 

a partir du 14 octobre 


Schmttt), ce mauvais seigneur 
vtBarü et paSOard qui traSne tous 
les cœurs après ad. y compris 
ceux des spectateurs, comme TOI 
BulenspiegéL ou GuigmiL 
Mais ûs ont sans doute pris 
un salutaire e h«-ir> de Moyen 
Age > qui pourra être exploité et 
développé par des professeurs 
d’histoire ou de. littérature intelli- 
gents, et un bon bain de théâtre, 
d’autant qu’il s’agit là d’un des 
tris rares chefx-d’antvre populai- 
res français, avec lequel les 
enfants . se trouvent de pZafn~ 
pièd quel que soit leur milieu. 

La musique de Jean-Marie 
More Z (animateur musical de la 
Maison de la culture), contribue | 
à Yentrain de cette soirée, avec 
surtout ces airs, ces rythmes 
lancinants, un peu canailles, & la 
manière de Kurt Weü, ces pasti- 
ches ff opéra ou de choeurs du 
Moyen Age, et son orchestre mali- 
cieux réparti dans les tours des 
châteaux de carton, où un 
saxophone goguenard souligne ou 
annonce les vilenies de Renart 

Ce spectacle bon enfant monté 
par louis Beyler, un peu à la 
diable parfois, avec des moyens 
réduits, permet de retrouver le\ 
charmant Christos Grigoriou (en 
Ysengrin vindicatif et piteux), 
Karen M estivage, à la voix savou- . 
reuse toujours assez flottante, et 
Jacques Berna, au milieu d’une 
troupe au jeu fruste et rebondis- 
sant 

JACQUES LONCHÀMFT. 


- (Publioité) 

AUBiïOUOM MAURICE RAVEL, LYON 
« CONCERTS PROMOTION » 
MARDI 14 OCTOBRE à 20 fa. 
François BAYLE 
Bernard PARMEGIANI 

Groupe da Techerch.es musicales 
Institut national Ce l'audiovisuel. 


sur une péniche 

Jean-Paul Parré, clown musi- 
cal, joue principalement du piano, 
peut. chanter avec une voix «.{g u? r , 
ét ressemble à un de 

Reiser. Fendant longtemps, il & 
promené ses shetches de maestro 
hystérique dans les cabarets de 
la rive gauche. Depuis un an, 11 
développe et va Jusqu’au « one 
m&n show ». En ce moment. 3 
occupe, fl emplit. 11 fait trembler 
Une- péniche-théâtre ancrée quai 
de Valmy, sur le «mni Salnt- 
Marün. Son spectacle S’appelle 
— pourquoi pas ? — Un Fané 
peut en cacher m autre. 

Star du clavier, Mozart enfant. 
accroupi sur un petit tabouret 
Jaune devant un gros piano noir, 
U invente du Beethoven, grimace, 
ralfreux : «..Oui, papa, je tra- 
vame- » et ricane : « Je m’en 
fous, le suis un génie et je suis 
mort jeune s. 11 met ses yeux sur 
roulement A billes, distord sa 
bouc he, fait la gargouille ani mée , 
saute A un autre jeu, bricole tout 
i- ce. qui lui tombe sous la 

r ir fabriquer des I nst r um ents 
se compliquer la vie. Affolé, 
mais obstiné. 11 fonce jes 
obstacles qu’il s’est construits, va 
tasqu’au bout, passe la frontière, 
débouche sur la divagation totale, 
et le public avec lui. que la dyna- 
mique du rire incontrôlable a fait 
basculer dans l’espace de la tète 
a l’envers. 

Le voüA, frêle petit garçon sans 
Age, pataugeant dans un Waterloo 
d'objets qui lui ont servi A tout, 
qu'il a transformés en n’imparte 
quoi, et se dressant Indigné : 

« Moi 7 Un éontiqus à acces- 
soires — » Et puis, il se «n e t & 
édifie r avec nn soin fébrile wm» 
invraisemblable machin» avec 
des tuyaux pour faire des notes 
. de musique, et qui se casse, qui 
tombe sur tout le reste : au point 
ou on en est, rien de plus normal. 

Dire qu'on nage Harm l'absurde 
serait un euphémisme. Jean-Paul 
Farré, ce n'est même plus la 
corde raide, c’est comme wtamhar i 
dans les airs en S' imaginant qu’il I 
y a une corde. 81 Ton S’arrête de 
rire, c'est la fin du monde, mai* 
on ne peut pas s’arrêter. La méca- j 
nique hallucinatoire est lancée, 
qui éclaire des coins de folle 
enfouis, la mécanique détraquée 
du mouvement perpétuel. Jean- 
Paul Farré étire les nerfs. Devenu 
chef d’orchestre, U dirige avec 
un. sifflet de police, avec des 
baguettes de plus en pins grosses, 
avec- im pieu, n ne peut plus 
arrêter ses musiciens, s’exaspère. 
Jette des pétards, déclare la 
guerre, se barricade derrière un [ 
fil barbelé, hurle dans un talkie- 
walkie. dBHBhiw sans ménagement 
la caricature des combats inutiles, 
agite cent drapeaux blancs, et 
lorsqu^ enfin, la musique s'est 
tue, 3 applique des poignées dorées 
sur un funèbre podium à tiroirs, 
dont il sort un haut- de -forma 
blanc pour chanter un 

CKoaner: a Je suis la star du 
clavier », 'avant de disparaître. 

Le long du canal Saint-Mart 

le calme villageois de la nuit t 

trompeur. Jean-Paul Farré han • 
les mystères de Paris. — C. G. 

★ La Péniche, 20 b. 30. 


UGC BIARRITZ I - UGC BIARRITZ 111 
CINEMONDE -.REX 
UGC QDEON - PATHE CUCHY 
MISTRAL -BRETAGNE 
. j part . d L ;s UGC GQBEUNS 
ARTEL PORT Nogent - ELYSEES II 
La Celle-St-Cloud - MELIES Montreuil 
MARLY Enghien - CYRANO Versailles 
PARAMOUfJT La Varenne 


On connaissait de la danse so- 
viétique deux formes distinctes : 
le ballet folklorique, reposant sur 
la tradition populaire (MoTsseiev, 
Beriozka), et le ballet de tradtion 
classique (Bolchoî, Kirov). Le Jeune 
Ballet de Moscou est un mélange 
de ces genres relevé d'une pointe 
d'acrobatie et de quelques em- 
prunts au music-hall à l'usage 
d'un large public populaire. 

Fondée en 7 971 par une an- 
cienne danseuse de chez MoTs- 
seiev, Tamara Go lova no va, la pre- 
mière compagnie soviétique de 
ballet contemporain comprend 
quarante danseurs de dix-huit à 
vingt-deux ans formés à l'école du 
Bolchoî. Rodée par deux années 
de tournées à travers l'U.R.S.5., 
elle a été Jugée par le ministère de 
la culture opte à circuler à l'étran- 
ger. Elle commence son périple -in- 
ternational en France. 

La Jeune Ballet de Moscou fait 
largement appel au folklore russe 
avec lé coup d'oeil attendri et In- 
dulgent d'une jeune génération 
vîs-à-vfs des anciens : < Kalinka », 

« les Filles- de neige »j la troïka, 
les troupeaux de rennes, les idylles 
paysannes et les chansons tziga- 
nes y ont toujours cours, mais Ils 
sont, présentés comme « la mode 
du temps jadis » en opposition avec 
le temps d'aujourd'hui. 

Aujourd'hui, l'accent est mis sur 
la jeunesse, la joie de vivra et 
l'amitié. Sur une fond de guitares 
et d'orgue électrique, filles et gar- 
çons ont pris le rythme du rock 
and rail : ils flirtent sur un air 
de blues; se fâchent et se réconci- 
lient aux accents d'un tube italien, 

« Vblare ». Les danseuses ont 
troqué leurs chaussons à pointe 
contra des socquettes blanches. En 
tunique ultra-courte, cheveux en 
couettes, elles minaudent et se dé- 
hanchent en cadence. 1 Leur évolu- 
tion vers la danse moderne passe 
par la gymnastique. Les garçons, 
par contre, n'ont pas eu à se for- 
cer beaucoup pour mettre leur 
fougue et leur virtuosité au service 
de thèmes plus actuels. Quoique 
encore tributaires de. la. danse dé 
caractère, leurs ébats dans « Nous 
les copains » rappellent assez ceux 
des marins de Jerome Rabbins 
dans « Frnney Free » (1944), avec 
cette manière de glisser un genou, 
de se désarticuler et de ’ rebondir 
sur des jambes en caoutchouc 


Le Jeune Ballet de Moscou va 
susciter partout où il passera un 
réflexe de curiosité. Sans doute 
décevra-t-il les habitués de la danse 
occidentale, ils seront déconcertés 
par le manque d'originalité de cho- 
régraphies qui font référence à un 
outre mode de vie et s'adressent 
à une autre société : la tradition 
populaire et l'académisme les pré- 
servent de toute recherche formelle 
aventureuse. Mais le public sera 
sensible à la valeur et à la qualité 
des danseurs, à leur registre étendu. 
Ils ont le sens de la scène, de la 
gai ré, beaucoup d'ensemble, une 
jeunesse communicative, et consti- 
tuent un potentiel artistique qu'en- 
vieraient bien des théâtres. A ta 
Maison des arts de Créteil, leur 
spectacle très familial a fait salle 
comble et a été bien reçu ; les per- 
sonnes âgées et les enfants surtout 
paraissaient y prendre un grand 
plaisir. 

MARCELLE MICHEL. 


DRAGON LIT. 54.74 

SEUL à PARIS 


Les Arts Martiaux 
Vus par 

KUROSAWA 

dans 


SANJURO 


CINEMASCOPE 


En bref 


Gnéma 


Les deux Festivals 
de Toulon à Paris 

Aujourd’hui b 20 h. 30, dans 
sa salle de la me Dallery, te 
-collectif Jeune Cinéma présenta 
Robert F. Lylng de Hodwolf, 
premier d’une série de films 
« différents - qui furent montrés 
dans la section du cinéma dif- 
férent du Festival de Toulon le 
mois dernier. Chaque soir. Jus- 
qu'au jeudi 30 octobre Inclus, 
un ou plusieurs films « diffé- 
rents - seront projetés, qui ont 
peu de chance de bénéficier 
d'une diffusion commerciale par 
les canaux traditionnels. 

De eon cfité, le cinéma Action 
Christine projettera A partir du 
mercredi 15, en avant-première, 
un choix de filins de la compé- 
tition officielle, notamment las 
deux films anglais Uy Qhlldhood 
et Uy Ain Folk de Bill Douglas, 
tous deux produits par le Bri- 
tlsh Film Institut© ; Noue d’Abde- 
lazlz ToIM (Algérie) ; le Dernier 
Eté de Krfato Krfslov (Bulgarie) ; 
Monsieur Belboss de Jean Mar- 
boeuf (France). La plupart de ces 
filme sortiront ensuite en distri- 
bution normale. 

fc Collectif Jaune Cinéma. 
8 . passage Charles-Si&neiy, téL 
805-00-53. 

^ fc Action-Christine, rue CArls- 
ttae, version ori g i n a le sous-titrée 
pour les films étrangers. 


■ Le II* Concours International 
de chant de la ville de Toulouse a 
été cette année d'un niveau mé- 
diocre. Pour la première tels, le Jury 
a décidé A l'unanimité de n’attrfbner 
aucune récompense dans la caté- 
gorie e voix masculine ». H n’y a 
pas non phu de premier grand prix 
pour les voix féminines. Le palmarès 
est donc réduit & : 3» Grands Prix 
ex aequo, Mme Bosazlo Andzade, 
soprano lyrique (Mexique), et 
Mme Wlera Banl ewlcz, mezzo (Po- 
logne). — (Correap.) 


PREMIÈRE MARDI 14 


)U MARD1 14 OCTOBRE AU SAMEDI 1er NOVEMBRE '1975 


théâtre Loc*32BJU«90 

MONTPARNASSE 

31 nie de la Galt£ - 75014 PARIS 


18 h. 30 


romain bouteille 


COMPAGNIE RENAUD BARRAULT, 




■ . ;i lires r-üroiiy L i :■ e, 
voiÜ; hospital Ufff, 

;t c'est D'us terrible encore 

MICHEL FOUCAULT 


à partir du mardi 14 

des journées entières 
dans les arbres 

de Marguerite Duras 
Madeleine Renaud - Bulle Ogier 
Jean-Pierre Aumont - Yves G asc 

en alternance 

HAROLD ET MAUDE 

location au théâtre : 7, quai Anatole-France - tél. 548.65.90 



MERCREDI 


ELYSÉES LINCOLN - QUINTETTE - 14-JUILLET 


la coxnimo. da cmirth ereil «avoir ___ 
cm I* ta* 1. M« — fiiimn da la Ml!a mt 

ima Mphn raydtiQÉriqaM i - m> tawl 

poar Malu pqnHni mA ta 1 


L’HUMOUR YIDDISH 

, A NOUVEAU DANS 1ECINEHA AMERICAIN 
[APRES HUNKENSTEIN JUNIOR, WOODY ALLEN. 

HESTER 
STREET 


UN FILM DE JQANMICKLIN SILVER 






Page 24 — LE MONDE — 14 octobre 1975 


RELIGION 


DES THÉOLOGIENS PRENNENT POSITION 

Le Saint-Siège devrait valoriser la collégialité 
pour favoriser la communion entre les Églises 


Rome. — Peut-on raisonna- 
blement imaginer une autre 
forme de papauté, pour cette 
fin de vingtième siècle, sans 
tomber dans la religion-tictum 
ni se contenter de recopier 
quelques schémas anciens. 
C’est la question que se sont 
posée douze spécialistes du ca- 
tholicisme, en prenant soin de 
consulter d'autres théologiens 
parmi les plus éminents du 
monde entier. Leur réponse est 
contenue dans un numéro 
spécial de Co ne Ilium, dont 
l’édition française devrait pa- 
raître incessamment fl). Nous 
avons rencontré à Rome le 
maitre-d’eeuvre de cette étude, 
M. Giuseppe AJberigo, secré- 
taire de l’institut pour les 
sciences religieuses de Bolo- 
gne, en compagnie de M. Ra- 
niero la Voile, qui g a égale- 
ment collaboré. 

« La papauté traverse une crise 
dramatiques, remarque M. la 
VaHe d'une voix douce qui 
contraste avec aa réputation de 
catholique d'avant-garde, toujours 
prêt & guerroyer contre la réac- 
tion. Ce journaliste devenu célè- 
bre lors du concile n'en veut pour 
preuve que les appels (non enten- 
dus) du pape contre le divorce 
en Italie, contre l’avortement en 
France ou, tout récemment, contre 
l'exécution de cinq condamnés à 
mort espagnols— 

Qui dit crise dramatique sug- 
gère mesures radicales. Or l’étude 
de Concüium frappe par sa modé- 
ration. Aucun des douze auteurs 
ne propose un déménagement du 
Saint-Siège à Jérusalem ou une 
élection du pontife romain au 
suffrage universel. Us désirent 
seulement — si l’on peut dire — 
que le pape redevienne l’évêque 
de Rome. C’est l’Idée centrale de 
M. Giuseppe Alberlgo. On peut 
faire confiance à cet universi- 
taire de quarante-neuf ans quand 
il affirme que la papauté n'a 

(1) Renouveau ecclésial et service 
papal à la fin du vingtième siècle : 
Giuseppe Alberlgo. Walter Kasper, 
Hervé-Marie Legrand, Yves Congar, 
Brian Ttecney, Hantera la Valle, 
Emmanuel Larme, Jean-Jacques van 
Aiirawn , John conlflon, J an SerUioIs, 
Giovanni Ceretl et Luigi sartorL 


De notre correspondant 


L'ABBÉ MAURICE DELORME 
EST NOMMÉ 

Evêque auxiliaire de lyon 


Paul VI a nommé M. l’abbé 
Maurice Delorme, actuellement 
vicaire général de Lyon, évêque 
auxiliaire du cardinal Alexandre 
Renard, archevêque de Lyon. 

ENti le 20 novembre 1018 a Lyon 
d’une famille ouvrière, l’abbé De- 
lorme a fait sa études au petit 
séminaire Notre-Dame-d'OulUns, puis 
au grand séminaire de Franchevllle. 
Il est ordonné prêtre en 1942. Entré 
au PtacLo en 1950. U est aumônier 
de la paroisse universitaire de 1959 
à I960, puis aumônier d’action 
catholique ouvrière, d’action catho- 
lique générale féminine oit de la 
mission ouvrière de 1960 A 1989. Il est 
vicaire épiscopal pour l’est de Lyon 
en 1969 et, depuis 1970, archidiacre 
et vicaire général de Lyon et son 
agglomération.] 


cessé de se modifier au cours des 
siècles, que chaque pape ressem- 
ble davantage & son époque qu’à 
ses prédécesseurs : 11 est pro- 
fesseur d’histoire de l’Eglise à 
l’université. 

M. Alberigo n’est pas de ceux 
qui se font du pape une Image 
mythique; immuable, quasi 
divine ; il ne s'apparente pas non 
plus aux « anti-romains » farou- 
ches pour qui le pape ne repré- 
sente plus rien sinon le vestige 
d’une Eglise ancienne qui s’écroule 
toute seule. Le successeur de 
Pierre, remarque - 1 - il, contrôle 
tant de choses dans la vie de 
l’Eglise qu’il serait vraiment naïf 
de croire & sa suppression cm & 
son effacement du Jour an len- 
demain. 

Instaurer 

un « programme de ponfificaf » 

Officiellement, le pape est évê- 
que de Rome. Mais M. Bardera 
la Valle, qui appartient & ce dio- 
cèse, est bien placé pour affirmer 
qu’il n’en est rien. L’évêque habite 
à l’écart, au Vatican. « où nul ne se 
marie et aucun enfant ne naît » ; 
U ne circule que sur une sedia 
ou en hélicoptère, ou précédé de 
motards ; II n’a pas de contacts 
directs avec ses diocésains- Mau- 
vais procès? Non, si Ton consi- 
dère, comme ML la Valle, que 
essai un rapport plus correct de 
V évêque de Rome avec son Eglise 
peut conduire à un rapport plus 
correct du pape avec toutes les 
autres Eglises s. Car le paradoxe 
est flagrant : cette Eglise prima- 
tiale, qui a contribue & la nais- 
sance de tant d’autres Eglises, a 
perdu sa propre identité chré- 
tienne. « Le moment est venu de 
lui rendre un service analogue, 
mais en sens inversez, remarque 
M. Giuseppe Alberlgo. Cela ne 
peut se faire que progressivement 
et implique que le diocèse de 
Rome désigne lui-même son 
évêque. 

En principe H en a toujours été 
ainsi. Par un artifice juridique, 
les cardinaux chargés de désigner 
le pape représentent l’Eglise de 
Rome. C’est d’ailleurs, -en tant 

S ue cardinaux, leur seule fUno- 
on. Ne serait-il pas plus logique 
et plus franc, comme l’a suggéré 
en 1969 le cardinal Suenens, de 
faire élire le pape par l'ensemble 
de l'épiscopat? Non, répond 
ML Alberigo, car on ferait alors . 
du successeur de Pierre un super- 
évêque; il serait encore plus 
étranger à son diocèse, encore 
moins en mesure d'exe r cer la col- 
légialité épiscopale et fl n’aurait 
guère de chances de se voir 
accepté par les Eglises non catho- 
liques. Paul VI lui-même n’a-t-ü 
pas dit un jour que c le pape est 
V obstacle principal sur la voie de 
Vœcuménismez? 

Cette perspective exclut logi- 
quement un pape non Italien et 
va & l’encontre du code de droit 
canonique qui autorise le moindre 
laie & accéder au pontificat Ne 
ferait-elle pas perdre d'autre part 
au Saint-Siège son audience 
Internationale ? « La papauté, 
affirme M. Alberlgo, doit refuser 
de se poser comme centre spiri- 
tuel en concurrence et. filiale- 
ment, sur le même plan que les 
grands centres de pouvoirs 


actuels. » Certes, on peut répli- 
quer que toute l’action temporelle 
du Saint-Siège est orientée en 
faveur des pauvres et des sans- 
voix. «Mais les pouvoirs politiques 
ou économiques ont tendance à 
utiliser leurs rapports avec le 
pape pour consolider leur propre 
légitimité; les relations avec le 
pape servent bien plus les déten- 
teurs du pouvoir que leurs 
sujets— s 

Parmi les diverses propositions 

S Le fait l’historien de Bologne en 
traduisant le travail de réqulpe 
de Concüium, an retiendra l'idée 
d'un « programme de pontificat ». 
lequel, sans restreindre la liberté 
de l'élu, rendrait plus étroits ses 
liens avec son Eglise de Rome et 
les autres Eglises. Autre propo- 
sition : valoriser la s collégialité » 
en donnant au synode mondial 
des évêques une périodicité fixe 
et une capacité de délibération. 
« Les décisions synodales seraient 
le fruit terme dialectique entre 
le pape et le synode plutôt qu’en- 
tre le pape et la Curie. » Un autre 
pas pourrait être franchi en 
constituant un < organe exécu- 
tif collégial » présidé par le pape 
de composition restreinte, et qui 
favoriserait « la com muni on entre 
les Eglises ». 

Elargissant ses perspectives aux 
non-catholiques, M. Alberlgo pro- 
pose de .« reconnaître divers 
degrés d'intensité dans la relation 
des Eglises avec la papauté », de 
manère & surmonter l’obstacle 
actuel en matière'œcmnénique. 

H ne craint pas. on le voit, 
d’aborder des questions tabous. 
Le choix des évêques en est une 
autre. Selon M. Alberlgo, Us ne 
devraient plus être désignés par 
le Saint-Siège, mais par leur 
propre communauté ecclésiale. 
Quant & la Curie romaine, vestige 
de 1' « idéologie monarchique » 
par sa centralisation, elle donne 
«l’exemple d'un ministère uni- 
versel confié à une Eglise locales. 
Pourquoi, demande M. Alberlgo. 
ne développerai t-an pas cette 
formule, confiant — ne serait-ce 
que pour un temps limité — des 
services de l’Eglise universelle & 
diverses Eglises locales? 

. Tout le monde au Vatican n’est 
pas prêt A écouter de telles pro- 
positions. Quoi qu’il en soit, les 
prochains pontificats seront, si 
l’on en croit IA Alberlgo. . des 
pontificats de transition. « Tran- 
sition non pas d’un pape à un 
autre, mais d'une époque histo- 
rique de VBglise et de la papauté, 
qui a duré des. siècles, à une 
autre, s 

ROBERT SOLE. 


CARNET 


Fiançailles 


ASTROLOGIE 

3 séminaires de formation . 
A Parla et en province 
Travail de groupe (12-pers. aux.) 

36 heures en 6 Jours 

animés par Daniel VEHNEY 
Pah/technicien, 

auteur de « Fondements et avenir 
de FAstroIogle ». Pavana, I S74. 
- Du 19 an 15 mov. 75 ; 
du 24 an 29 dot. 73 ; 

. dn 28 déc. au 3 Janv. 76. 
Prix : UNO F. 

Daniel VERNEY, B.P. 8, 
91610 Ballon co art, 498-28-22 


— M. Jean Leroux et Mme, née 
Hélène Marin, 

M. An tony Noghés et un», née 
Hftldt, 

sont heureux d'annoncer les fian- 
çailles de leurs enfants 
Florence . 
et 

Gilles. 

Nantes - Monte-Carlo. 

Décès 

— Bennes - Biarritz. 

Mme André Even, 

M. et Mme Rlou-Even et leurs 
enfants. 

Mme A- lie Moal -Perrot et sea 
enfants, 

Mme Davlas, 

Mme Bol et sas enfanta Patrick et 
Bruno, 

ont la douleur de faire part du 
déois, survenu le B octobre, de 
ML André KVEN, 

an 

de la France d’outre-mer, 

' C ,K „, SLR, 

A l'Age de soixante et onze ans. 

Les obsèques ont su lieu en la 
cathédrale de Trégnier (Côtes-du- 
Nord), dans la plus stricte Intimité, 
le 8 octobre 1913. 

123, avenue Aristide- Briand. 

35000 Bennes. 


— Le cardinal Marty, archevêque 
de Paris, 

Mgr patria, évêque de Pértguetuc, 

Les évêques auxiliaires de Paris, 

Le conseil épiscopal et les membres 
du clergé, 

font part dn retour vers Dieu de 
Mgr Jean HOTTOT. 

«wrtaw vicaire de Paris, 

décédé le il octobre 1975. 

Les obsèques auront lieu la mardi 
14 octobre, A 15 h. 30, A Notre-Dame 

de Senllhac. diocèse de Périgueux. 

Une messe sera célébrée ultérieu- 

rement en la paroisse Saint-Lambert 
de Vacglrard. où U fut curé. 

I Né le 22 avril 1900 à Parts, Mur Jean 

HottoL ordonne prêtre en 1924. avait lait 

toute sa carrière sacerdotale dans le 

diocèse de Parts, successivement vicaire 

A Montrouge (1925), Salnt-Jean-de-Belle- 
vBle (1929), Saint-Lambert de Vaudra rd 

(1931) et Montreuil (1937). U est ensuite 

curé de Notre- Dame-de-la-Médallle-MIra- 
oHeusa è Malakoff 11942), pub A Saint- 
Lambert (19461. Nommé vicaire général 
archidiacre da Saint-Germain de Paris 
an 1957, 0 est nommé pretonotalre apos- 
tolique en 1959. Il est nommé, vicaire 
génère! honoraire du diocèse de Paris en 
1966, année od II se retire pour devenir 
curé de Cheiagnac (Dordogne) J 

— Chambéry - Lyon - Saint- 
Joli en -en -Genevois. 

M. et Mme Maurice Ligerot. 

Lé capitaine et Mme Gérard Lige- 
rot. née Martine Panchaud. 

Mme veuve Marcel Ligerot, 

M. et Mme Camille Grapat, 

M. et Mme René Ligerot et leurs 

«ri f un tu 

Ainsi que tous leurs parente et 
alliés. 

ont la douleur de faire part du décès 
accidentel de 

M, Robert ZJGEKOT, 
survenu le 9 octobre 1975, A l'Age 
da vingt-neuf ans. 

Ses funérailles auront lieu dans 
la plue stricto intimité. 

NI fleuri ni couronnes. 

Cet avis tient lieu da falra-pext. 

— On nous prie d'annoncer les 
obsèques de • • 

Charles FOURCHES. 

Ingénieur civil 
du Génie maritime, 
officier de la Légion d'honneur, 
commandeur 
du Mérite maritime, 
chevalier du Mérite eoclaL 
médaille d'or du travail, 
directeur général honoraire 
de l’Union Industrielle maritime, 
qui auront lieu la mercredi 15 octo- 
bre. A 10 h. 43. en l’église Sainte- 
Marguerite du Véslnec, suivies de 
l’inh um a tio n au cimetière da 
VéelneL 

53. avenue du Grand-Veneur, 

Le Véslnet. 

81. rue de Paris. 
Salnt-Rémy-lès-Chevreuse. 

£Né en 190L M. Pourcher commença 
sa arriére comme Ingénieur è l’arsenal 
de Brest De .1961 é 1969, Il fui membre 
du directoire du conseil de surveillance 
de rumen industrielle et maritime. II fui 
administrateur de nombreuses sociétés. 
parmi lesquelles Mec Gregor, Maritime 
auxiliaire Berengfer. Depuis 197Q, Il était 
vice-président -d'honneur de la 5oclél6 
amicale du génie maritime.] 


et 


du 


M. et Mme Henry Tasaort 

leurs enfanta, 

M. et Mmo Jacques Rochette 
leurs enfants. 

Et toute la famille, 
ont m douleur de faire part 
décès, après uns courte et doulou- 
reuse maladie, do 

AL Etienne ROCHETTE, 
moire de Plthiriers-ls-vicii. 
président d'honneur 
de la Société sucrière 
de Plthivierv-le-VleU. 
vice- président 
do la Société de Banque 
de l’Orléanais, 
administrateur 
de la société SIAMNA. 
administrateur 

de la société SIAMNA-Induatrle 
A Vlllenoy. 
administrateur 
de la Sucrerie de Toury, 
administrateur 
de la société L3. A Puis, 
administra tour - 

de la « *- d'imprimerie moderne 
da Pltbivlers. 
président du C.LL. 
de la région de Plthlvlera. 
président d'honneur 

de la Société anonyme d'H.L- M . 
de Plthlvlera, 
ancien déporté résistant, 
croix ds guerre 1939-1945. 

commandeur 
de la Légion d'honneur, 
survenu le 11 octobre, A l'hôpital 
américain de Parts. A Neuilly-sur- 
Seine. 

Lee obsèques auront lieu le mer- 
credi 15 octobre. A 13 h. 30. en 
l'église Saint-Salomon - Salnt-Gré- 
goïre de Plthlvlera. 

Cet avis tient lieu de faire-part. 

[Né le 8 février 1906 A Germont-les- 
Fermes (Aisne). M. EUenm Rochette « 
consacré toute sa carrière é l'Industrie 
sucrière. II était président -directeur 
général de ta sucrerie de Ptlhlufors depuis 
1963 ; la même aimée. U avait accédé é 
la vice-présidence de la Société de 
banque de l 'Orléanais. Il était en autre 
administrateur de plusieurs sociétés 
sucr i ères . 

Elu au conseil municipal de PlUrivIers- 
le-vien (Loiret) en 193SL M. Rochette 
était maire de cette commune (sans 
étiquette) depuis 1945.] 


— Ginette Seldmonn 
a la grande douleur da faire port 
de la mort de son mari, te 
docteur Pan! -Emile SEXDMANN, 
le fl octobre A Parla. 

Les obsèques ont été célébrées 
dans la plus stricte Intimité. 


— On nous prie d'annoncer le 
décès, survenu A l'Age de soixante 
et un ans, de 

AL Gilbert SPIRE, 
ancien élève de l'Ecole normale 
supérieure, 

agrégé de l'Université, 
chargé de mission 
d’inspection générale. 

De la part da 

Mme Gilbert spire. Mm épousa, 

M. et Mme Arnaud Spire et lents 
enfants. 

M. et Mme Antoine Spire et leurs 
enfanta, 

M- et Mme Dénia Spire et leur 
fille, 

. Docteur et . Mme Jacques Sejgal et 
leurs enfants. 

- Ses enfanta et petits-enfants, 

M. François -Spire. 

M. et Mme Michel Spire* 

. Docteur, et Mme Henry Bloch- 
Mlcbel. 

Docteur et Mme Pierre Halphen, 
Ses frères, beaux-frères et belles- 
sœurs. 

Les obsèques ont eu U eu o«n« la 
pins stricte intimité. 

Le famille s'excuse de no pas 
recevoir. 

10. avenue Charles-FIoquet, 

Paris <7«). 

(Né w il mal 1914 a Nancy, Gilbert 
Spire a fait ses études secondaires aux 
lycées parts tara Janson ■ ds - Sallly et 
HenrMV, puis ses études supérieures é 
la faculté dm lettres de Paris et è 
l'Ecole normale supérieure. Agrégé de 
philosophie, Il cnsolspie é Annecy, avant 
d'être prisonnier de guerre de 1940 è 
1945 é l'oflag IV D. où U loua un rôle 
Intellectuel Important. 

A son retour, il enseigne a Ver- 
sâmes, Neuiiiy et Parts, où II est no- 
tsmerrt. da 1958 é 1971. professeur de 
première supérieure au lycée Jansan- 
de-5aniy. inspecteur de l'académie de 
Parte. Gilbert Spire était secrétaire de 
la c Revue de métaphysique et de mo- 
rale i depuis 1945J 


— Une pieuse pensée en 
A ceux qui ont gardé lo 
do 

Mme Ludovic SA 

néo Marie-Colette 
rappotéa A Dieu la 23 


— Le souvenir de 

Claude DERCOMPu 
sera évoqué par ceux qui l't 
A l'occasion du tmirilèmr 
sa Ire de sa mort. 


— En ce 14 octobre 1975, 
anniversaire de la mort dr 
Al. André JOUCLA-tt’ 
professeur 

A In faculté des let 
d'Alx-cn-Provcnce 
Mme André Joucla-Buau c 
tous ceux qui l’ont connu i 
émue. 


Avis J e 

— Une messe sera cèle 
te repos de 

Jean COCTEAU. 
A l'occasion du douzième 
salro da sa mort, le somec 
bre. A 11 heun-s. en l'épi 
Koch. KD. rue Saint 
Paris (!•*■). A l'orgue, Henr 


— Une messe aéra c 
samedi 18 octobre, A 10 
l'église Balni-PrnncMs-de- 
BrémcmtlcD. A la mémalr 
AI. Jean D-UERBÊCO 
décédé le 16 juillet 1975 
Qnay- Portrteux. 

Une messe sera c 
vendredi 17 octobre. A 8 
l’égllae Salnt-Françots-Xa 
pelle de saint Joseph), A 
de 

AL DE LA BLANCHAR 
(Pierre DU COLOMB 
décédé le !•* août. 


Communication» 

— En présence de I 
Jobert. conférence-débat 
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conférence» du C-N.lt.. 
peaux. La Défense, 
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— M, Jean Marin, anc 
dent-directeur général de 
qui fut l’un des « Frr 
parlent aux Français » < 
pendant l'occupation, ri 
nommé chevalier de l'Ei 
tarin 1 que (KBJB. : Knif 
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Page 28 — LE MONDE — 14 octobre 1975 


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(De notre correspondant) 

Strasbourg. — c Les Français] 
et.lA loi * était le thème général | 
de la convention nationale 
l’Association nationale des doc- ] 
teurs en droit (A-NJDJDJ, qui s'est 
réunie à Strasbourg à la faculté 
de droit, les 10 et 11 octobre; 

Dépouillée de sa majesté d’an- 
tan, s'adapant difficilement au 
rythme du changement du 
actuel, ignorée et souvent igno- 
rante du citoyen, manipulée ft sa 
guise par l'administration, telle 
est apparue la loi au travers de 
quatre rapports de synthèse pré- 
sentés par le 'doyen Georges 
Vedel, M* Robert Badinter, par le 
président Roland Maspetlol, 
ancien président de la section ] 
de l'Intérieur du Conseil d'Etat, 
et le doyen Charles Debbasch, 
ait de l'université d'Alx- 
iAix-Marseüle. 

Hypocrisie et contre-vérité de , 
proclamer que a rad n'est censé 
mnorer la loi », comme l'a souli- 
gné m* Badinter, devant l'a va- ] 
lanche accélérée de textes lé 
tlxs, et de réclamer une 
reus b action & travers les mnac 
m e d ia , la télévision en particulier, 
pour familiariser, par Te truche- 
ment de praticiens du droit. le 
citoyen avec les principaux textes 
le concernant dans sa vie de tous 
les jours. 

Souveraineté de la loi? Une 
Idée reçue, comme l'a démontré le 
président Debbasch rbm$ nrt re- i 
marqnable rapport sur l'adminis- 
tration et la loi, mettant en I 
lumière les différentes manières! 
dont l’administration, grâce an 

dédta du contrôle parlementaire quitte le foyer en novembre 1971, 
de J? «MÜto- et Jean-Pierre reste seul avec son 

turanelle, peut neutraliser, modi- frère Henri, désormais son tuteur. 


Jean- Pierre, dix- neuf ans, 
xelsxâ i« bûaiÎM du doute, la 
15 jtxülqt damier, par le tri- 
bunal pour entant» de Paris 
finw l'affaire de Bruay-un- 

Axtois, a été inculpé, ainsi que 
ses trois jeunes complices, de 
tentative de voL samedi 11 oc- 
tobre, par M. Aimé Fexwyxuu. 
juge d'instruction à Paris- Lee 
quatre adolescents ont été 
écroués i la prison de Fleury- 
Mérogis. Us avaient tenté de 
céxahrmlex. dans La nuit de 
vendredi à samedi, un magasin 
d'habillement situé rue de 
Rivoli à Paris. 

C’est l'itinéraire d’un adoles- 
cent perdu, le pauvre chemin 
parcouru par Jean-Pierre, depuis 
ciixii ans. Avant 1970, le jeune 
garçon mène une existence tout 
ft fait normale & Bruay-en-Artois. 
Le début de sa vie est heureux, 
comme le soulignent diverses en- 

J iu&tes sociales. « au s eût d'une 
amitié de mineurs digne et 
unie ». M-iiü la mort de sa mère, 
alors qu’il a sept ans, constitue 
pour lui un premier bouleverse- 
ment. 

Il s’entend « à meroedle » avec 
son père, précisent ces mêmes 
enquêtes. H a quatorze ans quand 
ce père meurt, victime d’une ma- 
ladie de la mine. Jean-Pierre est 
présent lors du décès, et le trau- 
matisme qu'ü subit explique en 
grande partie la suite de son 
existence. Une sœur aînée — n 
est le benjamin de la famille — 


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mais qui, travaillant lui aussi ft 
la m(n», ne peut exercer une 
surveillance de tous les Instants. 
A cette époque, il commence 
alors à ne plus fréquenter le col- 
lège d’enseignement technique de 
Bruap-en-Arfeois, où U était pour- 
tant considéré comme un ben 
élève, et, dit un rapport, « ft 
vivre dans Voistoeté en dépit des 
recommandations de son frère et 
de personnes du voisinage ». Dans 
son jugement du 15 juillet 1975, 
qui relaxait Jean-Pierre au béné- 
fice du doute dans l’affaire de 
Bruay-en- Artois, le tribunal pour 
enfants de Parts, présidé par 
M. Gaston Pedoo. notait ft ce 
moment de la vie de l’adolescent : 

« JZ a été ainsi amené à compa- 
raître à plusieurs reprises devant 
M. le juge des enfanta de, Bé- 
thune, sans Que pour autant 


aucune mesure àiuca 
n’ait été prise, b 

Ccst bien là où b 
Livré ft lui-même ou 
des centres d'éducatic 
Jean-Pierre s'enfonc 
sorte de brouillard 
physique et moral, c 
l'affaire de Bruay-en 
jouera le rôle — c’est 
— que Ton sait. Ur 
tionnê par deux an 
préventive, au cours 
éducateurs de Fresn 
ront. au fil des semai 
rloratlon psychiqi 
lescenL 

Le Jugement du l£ 
nier note encore : « 
est décrit par les m 
chîatres désignés cm 
et par les spêcti 
C.S.O.P-E.S. de Fre 
un sujet d'un nioeat 
■normal, sensible, inl 
tible. anxieux et enti 
sonnalité très mal i 
mal insérée dans le 
mais ne présentant 
particulière d’agress 
perversité nf dfamart 
Ses facultés d'à 
mémoire, de discer, 
superficielles, son ai 
et butée. Jean-Pierre 
pas à s'insérer dans 
fuit le contact sous 
prétextes avec une o 
poussées tantfte imptt 
dépressives. Enfin, Il 
trer ardent au feu. c 
tif. travailleur. » 

Du travail, c'est ; 

S ue, depuis trois me 
e&n - Pierre, figé ac 
dix-neuf ans, depuis 
catlf d'Eplnay - sur ■ 
logeait. 31 avait faQl 
reprises, êtreembanc 
reprises, être embanc 
ses futurs et divers 
ne s’intéressent de 
son curriculum vite 
cependant, lui avait 
pour bientôt dans u 
rie; Jean-Pierre a-t-1 
fois de plus ce ne i 
ommesse f Avec trol 
rencontrés au foyer c 
Orge, 11 s'est rendu et 
la nuit de samedi 
d’une minable tentât 
brlalage un m 
bille ment, rue de Ri 
n a été arrêté, ainsi 
complices, et écraaê 
de Fleury- Mérogis, 
perdu, qui ne voulal 
lier, se retrouve une 
avec des menottes. - 


fier ou tourner la loi édictée par 
les Assemblées. Pour remédier ft 
cette situation 11 s’agit, selon le 
rapporteur, d’améliorer les tech- 
niques d’élaboration du droit : 
par une meilleure spécialisation 
des parlementaires, un travail 
plus approfondi en rawmwîgiriqng 
un contrôle institutionnalisé de 
l’exécution des lois, notamment 
pour ce qui concerne leur délai de 
mise en application, et enfin par 
le rétablissement de la primauté 
du pouvoir politique sur l’admi- 
nistration. 

Tirant les leçons de la rencon- 
tre, le président de 1’A-N.D.D,. 

M. Maurice Aydalot. premier pré- 
sident- honoraire de la Cour de 
cassation, a établi que toute ré- 
flexion sur Iaplace de là loi «tenu 
la notion aboutissait ft se ques- 
tionner sur l’attitude du juge 
devant la loi. De sa position tran- 
quille de t juge de la stabilités 

SjgSgjSB AU CONGRÈS DE CRIMINOLOGIE DE CLERM 0 N 1 

changé, le magistrat a évolué 

depuis la fin de la guerre vers a ■ n . ■ • . ,, 

SfrtSKW Pandraud : la légitimé defense sera a 

peau neuve, des pans entiers du 
code civil s’étant écroulés, la 
jurisprudence s’établissant lente- 
ment, le rôle du juge doit être 
celui d’un « clignotant d’alerte 
quand il y a un vide juridique 
ou une loi devenue injuste b. 

Le rôle du juge peut -il être 
politique 7 Thèse dangereuse, sou- 
ligne avec force M. Aydalot, pour 
qui l'application entière et sereine 
de la loi doit être l’objectif pri- 
mordial. aR serait déplorable que 
le plaideur qui vient devant nous 
se penser que notre conviction 
est déjà, faite, s Evoquant g les 
ratés de la machine judiciaire 
Qu'on appelle très opparttmém 
des scandales b, M. Aydalot a sou- 
haité en conclusion que le fossé 
ne se creuse pas entre les justi- 
ciables et les jugea. . 

J.-C.HAHN. 


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CHASSE 

M. TJMBÀL 

est nommé président 

WI CONSEIL D'ADMINISTRATION i 
DE L'OFFIΠNATIONAL 


M. François Tfznbal est nommé, 
par décret publié au Journal offi- 
ciel. président du conseil d'admi- 
nistration de l’office rmWrmfll de 
la chasse. IL euccète à M. Georges 
Bejot, atteint par la limite d’âf 

pis en 'ltes, M. François Tlznt 

t pràddent depuis 185T de la 

Fédération des ohaasenra de Saizte- 
aaronne. En 1987, n est nommé pré- 
sidant de la rédon cynégéBqne du 
Sud-Ouest et» à ce titre, JBjunbn 
titulaire du Conseil . supérieur de' 
la chaese (devenu depuis l'OfOce na- 1 
tional) dont u devient, en 1970. le! 
i réaident de la commission légls- 
Eitlve. VL Tlmbal, qui est chef de j 
dlvlslou & la préfecture- de Haute- i 
Garonne, est membre fondateur de | 
l'Association de vol giriaat lon agri- 
cole ds ce département. M. Tlmbal 
«t cbevailer ds la Légion d'bon- , 
o*œ.] 


PRESSE 


prix du billet WF 
du 1/10: 5 F 



Clermant-Perrand. — « L’Etat 
a bien pris conscience que la sécu- 
rité est nécessaire à la qualité de 
ta vie. à tel point qu ’aujourd "hui, 
et pour la première fais, les objec- 
te de cette sécurité ont été ins- 
crits au VI. T* Plan, b Présidant 
le U octobre, & Clermont-Ferrand, 
la séance de clôture du quinzième 
congrès de criminologie, M. Ro- 
bert Pandraud, directeur général 
de la police nationale, représen- 
tant le ministre de l’intérieur, a 
fait part de la volonté des pou- 
voirs publics de s’attaquer résolu- 
ment ft a l’un des plus redoutables 
défis auquel notre société libérale 
est confrontée b. Les moyens, en 
personnel et en matériel, de la 
police seront donc accrus et la 
cohésion des services renforcée. 

Après avoir rappelé que la vio- 
lence est un phénomène conta- ■ 
gieux — eCeùxdns Etats, des orga- 
nisations, des groupes, des indi- 
vidus. entendent faire prévaloir 
leurs propres intérêts ou leurs 
vues sur Vintérêt générai ou la 
volonté commune, par la con- 
trainte physique et morale exer- 
cée. sur. leurs victimes et. pire 
encore, sur des tiers, b — ML Pan- 
draud devait se féliciter de r effi- 
cacité de la prévention qui a p 
mis, en- 1974, et pour la premii__ 
fols, de faire baiser la courbe des 
hold-up de 545 %, alors que leur 
progression -avait été de 22,82 % au 
coûte des dix années précédentes 
Gtide 65,17 % pour la seule année 
1973. i« nombre des autres vola 
| 0 “aJn armée a augmenté de 
5 » % . contre 29,72 % 
l’aimée précédente. 

Mais la prévention doit s'ac- 
compagner d’une action dissua- 
sive combinée de la police et de 
î 8, j Pjfek *? ^ banditisme « comme 
le terrorisme » doit être combattu 
* k? moyens dignes de 

notre civilisation, sons gr efa mais 
sans aucune faiblesse ». « Tout le 
monde est conscient que le risque 
çjwrujwr te* grand» malfaiteurs. 
*? suffisant, participe à la 

^éauué déshonnêtes gensautant 
qufà za punition des bandits 
L’intérêt général nécessite. que 2a 
conscience généreuse et parfaite- 
ment compréhensible qui conduit 


PUBLICATIOK JUDICIAIRE 


à vouloir faire retron 
la-loi les chemins dn 
en société ne détour . 
de la protection qui • 
et davantage au. 
pens. » Deux Sèment 
don entreront dont 
dans la lutte conta 
tisme : 

— Une nouvelle léi 
les. armes. « Une moc 
la réglementation « 
pour renforcer le cont 
mdsitkms, des Stocks r 
ports dTarmea ; les « 
ront très sérieuse m 
v ées. b 

■ — La rigueur vis-i- 
tèurs de prises dfotag 
pas. contre ces malfa - 
solutions miracles ni - 
solutions uniques », a 
draud, mais « Us dei 
que , risquant la vie 
sans hésitation, Ü s de 
risquer la leur : la lh 
fense. strictement eut 
au plan du droit que A 
sera appliquée chaque‘\ 
otages ne courront pc "■ 
Vers . . v 

JAMES 


. ^FJH** 4 .** 1 d* 4 ® dn a» février uns. 

tes* Chambre de la Cour «'Appel de 


' 1975 se soldera, bout le tr *r 

de la presse quotidienne, cS^ta rvëi? 21 ^, gtendlas 

dêiS fern SïïEidrÆ î ^safaB us* ^ 


Mi La Fédération italienne des 
éditeurs de journaux esthne que 
l’aimée 1975 se soldera, pour le 
secteur 

UnaeucM UB iuu H imum » ut: * aermont-F iWT«nrt (pnnïTnte.T 

5 (630 minions de francs), r géant tfhfttiiL «^um4 
Selon la Fédération, les difCL- 93, mr- McCl g mou d’empri^nnij 
cnltés des journaux italiens sont ment me saisis et iojmm P d'axnende 
dues essentiellement ft la hausse de dftia- 

dea coûts de nroduction (xènumê- SÎ5 11 ** rente de vUoci 

coûte de distribution). ... a’&ritnn*.- B * :taon 


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75271 PUIS - TéL s 54 













• LE MONDE — Î4 octobre 7975 — Page 31 


JUSTICE 




n 

APRÈS ÜN ACCIDENT MORTEL DE LA CIRCULATION 


‘ directeur d’une société de transports est condamné 
plus sévèrement que son employé 


- .■ ;prè* nncaicéreiwn de 

* î- Tean. Chaproou do 

-■■.Vsn* Huiles, Goudrons 'et 
-‘‘Hvéf. et l'infirmation par la 
. , nbre d'accusation de Douai 
... Tordannance de Ml Patrice 
'Chaxetfe, juge dlmCrndicm 
' -■ Jélhun*. les accidents du 
■'î* -.adl contin u eut . dé retenir 
. ’ ■ . forii oa. De nombreuses 
^ jiimmiticma sont pro uon- 
r choqua semaine par les 
-,; onanx en matière d'isfrac- 
- an code du t ravai l. 

- ,ce propos, on notera que. 
xx un sondage réalisé per 
".<WP pour Htebdo medaix i 
\\i Point ». les 
* •' s/all sont placés en dernière 
. Ihon, dans l'ordre de gra- 


f. condamné, le 9 octobre, A 
8e 250 francs d’amendes pour 
cent quatorze infractions an code 
dn travail le directeur de l'usine 
SIC A, spécialisée la, fabri- 
cation de pète & papier. On a 
notai ent relevé qu'au cours de la 
fermeture annuelle an mois- 
d'août . 1974 plusieurs, ouv r i ers 
avalent largement dépassé le p 
Tond des horaires TègiementaL_ 
de travail et que d’autres rt n re Ti * 1 - 
plusieurs semaines avalait tra- 
vaillé sept jours sur sept. 

Dans un communiqué A pronos 
de l’affaire Cbapnon. la section 
ré gi o nal e Nord-Pas-de-Calais des 
journalistes CJPJD.T. déclare tm© 
cette affaire <c révèle de façon 


ü V \ 

î.* ffiji 

T* ’• h- 


•;;L parmi sne « cas do 
' ^ -...' ■icsonea ». C'est-A-dire. après 
-meurtre d'un vieillard, la 
3-up avec prisa .d’otage, 
’■ : lèvemant d'txna fiUalla, l'ac- 
Mt de circulation an étal 
'xixèa» et la viol. 

■■ •_ \renu d’homicide lnvdlan- 
" rarx même tit r e que l’un 
">reare de son entreprise, 
lande Chirat, le fflrecteur 
/*>. société de transport de 
'• - - it-le-Botrtm (Eure-et-Loir) 

- ubry, a été condamné, té 
.' obre, par lé tribunal de 

lnsta.nce de Chartres; à 
mois d'e mp riso nnem e n t 
. .' sursis et 4 000 F d'amende, 

‘ ' un accident de la ciraüa- 
oeaaè, en juillet 1973, par le 
- - ; m que conduisait B1 Chirat. 
la traversée de Chartres, le 
Je, après ‘ freinage, s’était 
. " -té sur la rihau«séft et avait 

- .té contre une voiture dont 

- Aes occupants avait été tué 

. • l aufcre grièvement blessé. En 

•'< *ndanmant à une peine nias 
. .quëiKin employé. Le tribunal 
m compte de ce que le chef 
' ’æprise- ne pouvait Ignorer 
. la' ssEfene de freinage du 
ion était SaMBant. M. Chl- 
- v le chauffeur, * été condamné 
jm mois tfemprisannement 
•. c sursis et 509 F d’amende, 
nor homicide involontaire et 
-action xin coÆTdn travail, le 
‘ ctenr d’in» entreprise de me- 
"■ aria de MUÊtt (Cantal), 

■ *. ïnigJroQx a été condamné, le 
.*■ ^ofare. à quinze Jouis d’exnpri- 

•rjj ffnt avec sursis et 2000 F 

nde par le tribunal corxec- 
' 1 "l ‘"Tu# tfAnrillac. Un an aupara- 
-ilfptin da- ses ouvriers s’était 
en; tombant d’un toit. 

> jme n’était pas attaché et 

• ! '< t«rvd!l^^3t:iüui de casque. L’en- 
cdRvatt d’autre pût révéler 
L , , r .;..!es ouvrière de l’entrepxlBe 

■- V'-^iendaient pas à la visite 
ale annuelle. 

xftnæal de grande instance 
.jupasph a: condamné, le 
..ximv^^om' blessures in von- 
resL. %£. . JWQchel LhérMer, 
Kir Vérone des plus impar- 
#enfcreprfses de construction 
' Wyair* ipublics de l’est de 
Le 1" octobre 1974, 
de rentrqprise Lhéri- 
été grièvement blessé 
en tombant d*une 



du procureur de la 
avait déclaré que des 
lémentaires de sécurité 
tat pas été observées et 
une peine d’un mna d’em- 
lement avec sursis, 
ribunal de Louviers (Eure) 


A Marseille 

UME BANQUE DE LOTORES SE 
DIT VICTIME D’UNE ESCRO- 
QUERIE PORTANT SUR 50 MIL- 
LIONS DE FRANCS. 

(Da notre correspondant) 

. Marseille. — M*“ Paul Lombard et 
Marie-France PesteT-Debord. qui sont 
les conseillers à Marseille de la 
banque European Brazülan Bank Limi- 
ted de Londres, viennent de déposer 
une pTalntacontre X™ entré les mains 
du juge d’instruction M. G I rousse. 
.Côtta- banque prétend être victime 
d'une escroquerie d’un montant de 
50- minions dé nouveaux francs. Sas I 
débiteurs seraient vingt-quatre socié- 
tés civiles Immobilières chez les- 
quelles ont retrouve la - nom de 
M. Jean Lemoine, Agé de quarante- 
sept ans. M. Lemoine est un homme 
d 'affaires, et II désirait depuis plu- 
sieurs années créer dans la région 
d’Ahc-en-Provence, près du village de 
Ventabren un circuit automobile sur 
lequel seraient accumulée tous les 
obstacles qu’auraient pu rencontrer 
les conducteurs. 

Co circuit devait avoir pour nom 
• premier circuit européen Loisirs et 
Conduite », et 1 lavait obtenu le patro- 
nage de la Prévention routière. Pour 
lu lancer, M, Lemoine avait fait impri- 
mer une luxueuse plaquette rédigée 
en français et en anglais, qui Invi- 
tait A venir « cueillir m bouquet de 
sécurité eu premier centre européen 
Loisirs et Conduite <*. 

Pour monter son affaire, M. Le- 
moine devait trouver le terrain et les 
crédits. Il contracta das emprunts 
auprès de l'Biropean. Brazülan Bank 
et de plusieurs antres banques fran- 
çaises, qui, pour l'instant, ne se sont 
pas constituées partie civile. On 
pense qu’il a réussi à emprunter 
près de 70 millions de francs. II 
cherchait des terrains, notamment 
dans la région de Ventabren et 
La OotaL Par l'Intermédiaire de 
vingt-quatre sociétés civiles immobi- 
lières qu'il avait créées, . lorsqu'il 
avait oManu des crédits pour le 
premier terrain, I] les faisait exper- 
tiser ; ensuite II obtenait un autre 
prêt pour un autre terrain, etc. 

Le projet da ^ Circuit européen 
n'a jamais quitté les cartons de son 
promoteur, et n semblerait que c'est 
pour -, cette raison que I* European 
Brazll Bank ait porté plaints. 


RAPATRIÉS 


ÜA : les commerçants des Champs-Élys 
seront-ils indemnisés plus rapidement 
que les- spoliés d'Algérie ? 


il 

0 


S f 


jociatlon des fils de rapa- 
t leurs amis s’étonne que 
ivernement envisage une 
ilsatlon rapide des com- 
j tts des Champs-Elysées 
iVœ des récentes manlfesta- 
11 tiers que les rapatriés vic- 
de déprédations plus tîn- 
tes résultant des troubles 
ordre public en Algérie 
*nt depuis treize ans la 
don des promesses gouver- 
tales constamment renou- 
A chaque élection. 

EA a également adr e ss é A 
j a parlementaires une pro - 
sur la réforme foncière : 
s affinons V attention de 
lègues et du gouvernement 
dstence de la loi de confrt- 
nationale à rüidemiiisatxon 
p atriés du 15 juillet 1970. 


PiâsQue le gouvernement recher- 
che le bonheur et Vègalité de tous 
les citoyens, pourquoi ne pas aller, 
jusqu’à la munici pa li satio n des 
sois situés dans les périmètres des 
communes urbaines et indemniser 
les propriétaires e x propriés selon 
les barèmes retenus par la loi 
concernant les rapatriés, qui 
cisèment a fixé les bases 
irisation (Tune très importante 
catégorie de Français spoliés : 
15 F le mètre carré mm assortis 
d’un permis de construire ou 
150 F le mitre carré pour un 
terrain bénéficiant . d’un permis 
de construire 7 » 


évi dente que la justice est victime 
des pressions tradttionneües delà 
Classe dominante, celle du pou- 
voir ■. Les Journalistes CJD.T. 
affirment qu'ils « ne partagent pas 
les .commentaires oe nombreux 


organes ^information sur cette 
affaire. Information de classe qui 
a soutenu le parti de ceux qui dé- 
tiennent le pouvoir dans Ventre- 
prise et bijjsiencent la décision de 
la cour d’appel de Douai ». 


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Page 32 — LE MONDE — 14 octobre 1975 • ■ • 


ÉQUIPEMENT ET RÉGIONS 


13 


fi 


Corse 


Deux drapeaux au fronton des mairies 


Le conseil régional de la Corse 

se réunit, ce lundi 13 octobre, 
pour élire son nouveau prési- 
dent Après la mise en place 
de deux départements, cette as- 
semblée se compose de treize 
memh res seulement L’union de 
la -gauche détient 8 sièges et la 
majorité présidentielle S. M- Gia- 
cobbi, sénateur radical de gau- 
che, président du conseil général 
de la Haute-Corse, sera vraisem- 
blablement réélu président du 
conseil régional. 


La jouroê « bandera corsa » 
(drapeau corse), organisée, le di- 
manche 12 octobre, par le comité 
antirépression, pour manifester 
la solidarité des insulaires cosec 
Edmond Sïmeoni et les patriotes 
emprisonnés », s’est déroulée dans 
te «dTTn*_ Le drapeau blanc & 
tâte de Maure a été hissé sur 
le fronton d’on bon nombre de 



L'affaire des boues rouges 
devanf ies tribunaux 


D’autre part l’affaire des boues 
rouget Qui avait agité les Corses, 
U y a deux ans, va revenir de- 
vant tes tribmumv Les pécheurs 
de -Bastia et 1e département de 
la Haute-Corse relancent en effet 
leur action en justice contre la 
société Italienne Montedlson, ac- 
cusée de polluer le golfe de 
Gènes par ses déversements. Une 
procédure sera ouverte te 31 oc- 
tobre prochain devant le tribunal 
de grande instance de Bastia. 

Les pêcheurs réclament à la 
firme Italienne des dommages et 
intérêts pour compenser la baisse 
de leurs prises. Ils veulent 
faire toute la lumière sur les 
suites du procès de Livourne, 
qui fut plaidé en avril 1974. Cinq 
dirigeants de la Montedison 
avaient été condamnés à des 


S eines de prison avec s ursi s et 
i société mise en demeure d’ins- 
taller un épurateur à terre avant 
la fin de 1975. Les pécheurs 
corses veulent savoir si les boues 
que continue & rejeter l’usine de 
bioxyde de titane sont neutra- 
lisées ou pas. 


(Dessin de CHBIfEZJ 


A PROPOS DE... 


LA FISCALITÉ DES GRANDES VILLES 

Les communautés urbaines en faillite ? 


Les commuaeutêa urbaines de France ventent être asso- 
cdée*_à l'élaboration du VU* Plan. Tête est l'nne des reven- 
dications prioritaires présentées per tes présidents des com- 
munautés urbaines françaises (1) an cours de leur réunion 
an nuell e d'auto m ne à Strasbourg, sous la présidence de 
M. Pierre Pflimli n. président de la communauté urbaine de 
Strasbourg. 


Alors que l es r égions sont étroitement associées à la 
préparation du VH* Plan, les communautés urbaines qui 
regroupent, avec leurs cinq millions d'habitants, prés de 10 %■ 
de la population française trouvent anormal d'être exclues 
jusqu'à présent des travaux préparatoires. Elles ressentent 
d'a utant plus celle anomalie que certaines d'entre elles, 
comme Lyon ou Lille , totalisent à elles seules presque la 
moitié de la population régionale et quH leur est demandé 
d'assurer l' amé na gem e nt de zones essentielles les 

régions respectives. 


A runanlmité. les participants 
ont réclamé, an plu » des aidés 
concernant toutes les communes 
de F/ance, une série de mesures 
financières spécifiques pour 
répondre aux' besoins des 
communautés urbaines : en pre- 
mier Heu, là reconduction pour 


cinq ans de la majoration de 
33 °/o du taux de subvention et 
l’extension aux communautés du 
taux de 50 °/o accordé aux 
communes fusionnées. Pour les 
années à venir, il faudrait affec- 
ter aux communautés urbaines 
- des ressources fiscales évolu- 
tives*. en roccurrence un pour- 
centage de 10 °!a de f accrois- 
sement annuel du versement 
représentatif de la taxe sur laa 
salaires (VJI.TJî.} à répartir entre 
ces établissements publics au 
prorata de leur population. Afin 
de remédier à Tune des fai- 


blesses congénitales des commu- 
nautés urbaines, les participants 
ont demandé, en outre, roctrol 
de prêts à très long terme (trente 
à quarante ans) avec faibles taux 
d’intérêt pour le constitution de 
réserves lonclères. 

Pour donner plus de poids i 
leurs revendications, les commis 
nautéa urbaines se sont consti- 
tuées en, un groupement qui agira 
comme interlocuteur de rEtat 
dans les grandes questions 
concernant des établissements 
publics. U. Pierre Pflimlin en a 
été élu premier président. 


J.-C. HAHN. 


(1) H «**>c*«t huit w< w w m nnui . 
tés urbaines françaises : Dun- 
kerque, Strasbourg; Lyon, Le 
Creusât - MO n tceau -les -Mines, 
Cherbourg, Bordeaux, UHe-Bou- 
balx-Tonrcoing. Brest. 


Faits et projets 


Environnement 


m «NON» AU TRANSFERT DE 
D’*X» SUR LE PLATEAU 
DE SACLAY. — Le président 
de te Société amicale des 
anciens élèves de l'Ecole poly- 
technique vient d'écrire à 
M. Giscard d’Estalng pour lui 
rappeler qu'une majorité 
« incontestable » d’élèves et 
d'anciens élèves s’est pronon- 
cée contre le transfert de rx 
& Palaiseau, sur le plateau de 
Saclay (Essonne) : * L'envi- 
ronnement que trouverait YX 
n’a cessé de ^amoindrir, au 
point quretle serait seule trans- 
férée dans une sons rurale. 
constate le président, Nous 
avons pris soin, de vous pré- 
senter des solations précises 
et chiffrées pour la rénovation 
de Fécale sur son site actuel 
et pour la réutilisation à des 
besoins prlorttaires de rEtat 
des bâtiments construits à 
Palaiseau.» Le chef de- l'Etat, 
ancien polytechnicien . lui- 


même, a confirmé, il y a un 
an, l’installation de l’Ecole 
polytechnique dans ses nou- 
veaux locaux, prévue poux le 
1** octobre 1978 (le Monde du 
7 octobre). 


PARLEMENTAIRES MENA- 
CES. — Plusieurs parlemen- 
taires du Finistère et <rilte- 
et-vuaine appartenant & la 
majorité, ont reçu, vendredi 
10 octobre, des lettres de 
menaces du Front de libéra- 
tion de là Bretagne (FU3.- 
AJ3J3J. Ces lettres mettent en 
garde leur destinataire c contre 
les positions quTÜs pourraient 
prendre en faveur de implan- 
tation de centrales nucléaires 
en Bretagne ». 


Paris 


20 


mairies. Dans les grandes villes, 

notamment à Ajaccio et à Bastia, 
il avait été placé A côté du 
drapeau tricolore. 

M. Jean Riolacci. préfet de 
la Corse, avait écrit & tous les 
mair es de l'He, à propos de cette 
manifestation : s Vous âmes été 
invité à hisser cet emblème qui 
compose les armoiries officielles 
de rite. Mass F ambiguïté des 
motivations qui sont A la base 
de cette démarche, en revanche, 
ne peut vous échapper. Aussi, 
afin de couper court à des in- 
terprétations équivoques, je vous 
demande, en accord avec les cinq 
parlementaires de la Corse, les 
présidents des conseils généraux 
de la Corse du Sud et de la 
Haute-Corse, de hisser ; dès le 
début de la matinée, les couleurs 
nationales. » 


Campagne pnblicitaire et contre-manifestation pour ie secteur Itali 


Fin de semaine agitée dans 
le treizième arrondissement de 
Paris, où les élxxs et tes repré- 
sentants d'associations d'habi- 
tants ig) ont manifesté 

contre l'opération publicitaire 
lancée par les p rinc i p aux pro- 
' moteurs de du 

secteur Italie. B.TJL. avait pris 
en charge cette opération et 
planté m chapiteau avenue 
d'Italie. 


Le petit train, qui continuait 
ses allers et retours, servait fina- 
lement de rame de propagande 
aux partis de gauche; qui y avalent 


accroché leurs pancartes critiques 
sur la s rénovation Italie » et dis- 


En contrepartie les promoteurs 
exigèrent un coefficient d'utili- 
sation du sol supérieur à la 
moyenne générale de Paris. Le 


sur la s rénovation Italie » et dis- 
tribuaient des tracts résumant 
les griefs des habitants des tours 
et leurs pro p re s contre-proposi- 
tions. 


parti architectural exprimait la 
volonté de construire des lmmeu- 


Les ennuis des promoteurs 


Samedi Tnat.^ je chapiteau 
était envahi par tes militants 
socialistes et ‘ raunmi mfcteK. qui 
entreprenaient de réfuter, à l’in- 
tention du public — et des rares 
clients éventuels — tes arguments 
avancés par tes publicitaires : 
promesses non tenues dans le 
passé, maquette de l’opération 
inexacte et dépassée, équipements 
publics ou sociaux non construits-. 
Le petit train locomobile destiné 
à faire visiter le c nouveau 13* » 
aux Parisiens c appelés à se pro- 
noncer ». était pris d’assaut par 
les sympa thisant* de la gauche 
qui, m égaphones en déve- 

loppaient, Chemin faisant, ces 
arguments pour les c uri e ux ou les 
habitants. 


Dimanche, l’émission de r. t 
réalisée c ai direct » de 1a tente 
des promoteurs, était chahutée de 
façon ininterrompue de 10 heures 
à midi, la voix ses speakers étant 
couverte par les cris de plusieurs 
centaines de ndUtants socialistes 
et communistes scandant « pro- 
moteurs - menteurs, promoteurs - 
voleurs I »_ Les animateurs de 
rémission, avaient auparavant 
refusé de donner te parole aux 
élus de la gauche (députés et 
conseillers de Paris présents sur 
place. 


Paradoxe, au moment même 
où était lancée cette campagne 
publicitaire, l’administration et 
les gins fixaient le nouveau plan 
d’occupation des sols du quar- 
tier qui annulait, pur ement et 
simplement, la plupart des pro- 
jets des promoteurs : sur cin- 
quante-neuf tours ‘ prévues à 
l’origine, trente et une ne seront 
pas construites (te Monde du 
il octobre). Le problème reste 
évidemment de vendre les vingt- 
huit qui sont réalisées ou en vole 
de l’être. Ce qui est loin d'être 
facil e, compte t enu des difficul- 
tés grandissantes rencontrées par 
l'opération. 

Confiée par 1a voie au secteur 
privé, te rénovation, du secteur 
Italie commence officiellement le 
14 janvier 1966 quand te Conseil 
de Paris se prononce favorable- 
ment sur le plan d’urbanisme de 
détail de l’operation. Ce document 
est so umis à l'enquête publique 
en novembre 1968. H est approuvé, 
par arrêté préfectoral du 
30 juin 1971. 

Deux obligations furent alors 


volonté de construire des immeu- 
bles de grande hauteur. 

Au début de 1975, {dus de neuf 
mille logements neufs étant 
construits ou autorisés en appli- 
cation des permis de construire 
délivrés, la Ville de Paris aura 
notamment reçu : 48000 mètres 
carrés de sol destinés à des équi- 
pements publics et perça 22.5 mil- 
lions de francs, représentant la 
participation financière des 
constructeurs à ces équipements 
publics. 

Pourquoi cette opération a-t-elle 


été remise en cause? 
d'urbanisme de detail e 
caduc à la fin de l’armé 
plan d'occupation des se 
d'hul achevé, le rcmplac 
part, les promoteurs, 
l’opération moins rent 
ses débuts, s'en sont pi 
ment désintéressés. Les 
des propriétaires de ter 
cipitèrent le mouvomer 
aggravant la spéculatio. 
La réalisation des éf 
publies icrechcs. école 
verts, foyers) n’a pai 
rythme de la cons truc t 
les nouvelles orientât: 
nées récemment à P 
condamnent les iimn 
grande hauteur et la 
tlon. 


imposées aux promoteurs : livrer 
gratuitement a te VUle tes terrains 


gratuitement à te VQle tes terrains 
destinés aux équipements publics 
et participer au financement de 
ces équipements par 1e versement 
d'une taxe par mètre carré de 
plancher construit. 


• Mme Gisèle Moreau , député 
communiste du arrondisse- 
ment : « Avec la décision du pré- 
sident de te République de stop- 
per la construction des tours dans 
le secteur Italie, noos avons une 
nouvelle démonstration de l'utili- 
sation du thème de l'écologie 
pour Justifier l'austérité qu’il 
veut imposer aux Parisiens. Der- 
rière cette décision se cache en 
réalité te suppression pore et 
simple des équipements sociaux 
prévus et la réduction considé- 
rable des HJLM. Far contre, les 
promoteurs font valoir leurs droits 
acquis auprès du gouvernement 
et réclament 150 millions de 
francs au nom de prétendus droits 
acquis, et 1a Ville devra leur ra- 
cheter les terrains qu'ils lui de- 
vaient C’est un nouveau scan- 
dale auquel les élus communistes 
s'opposeront en poursuivant avec 
1a population du 13* arrondisse- 
ment l’action pour 1a défense de 
leur quartier. » 


• Les sections du 
arrondissement du pc 
liste : « Nous nous êlev 
la scandaleuse confus 
par la promesse d'un « 
la naiticipatten du 
arrondissement, alors 
s’agissait, en fait, que 
ration destinée & v> 
appartements d’une c 
tours. Les sections d 
treizième nrrondlsseme 
lent que. dès l'origine, 
gauche de l'arrondis; 
sont élevés contre les 
dans lesquelles 1a 
d'un quartier de quelqi 
tares était livrée aux p 
L'échec de l’opêratlox 
maintenant off 
confirmé amplement i 
lyse. La reprise de l'qpf 
la collectivité publique 
l’issue d’un large débat 
tique s’imposa > 


Trafic fluide 


ratio nt de fi 
.■ la carte on 


entre Paris et Londrc 







Depuis lundi 8h 45 jusqu’au dimanche 20h, 
British Airways décolle 68 fois pour Londres. 


Quand on va à Londres 


"vaut choisir le moyen le plus pratique 
confortable. Alors, la prochaine fois; 


British Airways. 

V pourrez choisir l'apport 
convient {Orly ou.Roissy), choisir lis 
vous conviennent (depuis le 1 er vol 
ïuatinà8h45) ét même choisir le confort 
convient avec TriStaç.ila Rolls. Royce. 


PARIS : RONDE A VELO. — 
Plusieurs centaines de cyclistes 
ont participé, le samedi il oc- 
tobre, A 2a deuxième ronde à _ 
vélo organisée & Paris par te c 
Mouvement de défense de la E 
bicyclette. « Doublez tes cy- = 
cllstes à plus d’un mètre », “ 
demandaient leurs dossards g 
aux automobilistes. — » 



Partout dans le inonde vous serez en de bonnes m« 



V 




( 




. « .LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 33 







UN ENTRETIEN 
AVEC M. DE LA MALÈNE 


1208 millions pour la nouvelle opération des Halles 


g Après le vote du Conseil de 
Paris du 30 avrü, peut-on e lire 
que la rénovation est bien 
repartie ? ’ 

— La décision du président de 
la République et du gouvernement 
avait rendu caduque le plan 
d’aménagement des Halles et 
donc pratiquement annulé la 
convention liant la SEMAH à- la 
Ville de Paris. Cet te s ituation 
avait conduit la SEMAH â 
demander à la Ville, dans l'at- 
tente de nouvelles directives, de 
travailler, en quelque sorte, sous 
garantie de celle-cL L’accepta- 
tion par la Ville d*pn nouveau 
plan d'aménagement, le 30 avril, 
permet à la SEMAH de retrouver 
un cadre juridique pour reprendre 
sa mission. 

b N’oublions pas que, pendant 
ces hiatus, les chantiers notam- 
ment celui du RJ3LR. — n'ont 
jamais été arrêtés et que les 
calendriers, & quelques semaines 
près, sont respectés. Mais il 
demeure que pour la partie en 
sous-sol. située A l'Ouest, comme 
pour l'ensemble des jardins et des 
éléments dits de super-structure, 
les choix faits par la Ville, en 
accord avec l'Etat, sont très dif- 
férents, pour ne pas dire à l'op- 
posé, des choix initiaux. ZI faut 
donc trouver maintenant un plan- 
masse puis une architecture avec 
des façades, et, enfin, des promo- 
teurs publics ou privés pour réali- 
ser l'ensemble. Ce changement 
de cap dans une direction plus 
volontariste et plus ambitieuse 
rend certainement la tâche plus 
ardue. Mais les choix sont faits. 


les décisions sont prises ; U faut 
les confronter avec la situation 
réelle, puis les traduire sur le 
terrain. 

— Quand la rénovation au 
Carreau sera-t-elle terminée 
complètement? 

— L'originalité de l'opération 
d’aménagement des Halles 
consiste en une intégration très 
poussée, qui rend très di fficil e la 
m|«w» en service secteur par sec- 
teur. 

» L'opération des Halles com- 
prend cependant une partie Est 
avec le Centre national d’art 
contemporain, qui sera mis en 
service en 1976. et un secteur situé 
au nord de la rue Rambuteau. qui 
se réalise, lui. par tranches, la 
première étant déjà terminée. 

9 Pour la partie Ouest, des 
wagons-ateliers de la, RA.TJP. 
vont pouvoir circuler d'ici â la 
fin de l'année sur la portion cen- 
trale de la ligne' du TLEJL de 
l'Opéra & la Nation : et l'on peut 
espérer qu'avant la fin de 1977 la 
gare pourra fonctionner avec, 
sans doute, des aménagements 
provisoires de sortie. 

b La remise en cause des règles 
du plan d’aménagement des Hal- 
les pour le jardin et les super- 
structures entraînera certaine- 
ment un retard pour l’ouverture 
du forum souterrain avec des 
commerces et des installations de 
loisirs. H devrait pouvoir être 
limité à une année, moins peut- 
être. viendra ensuite la fin des 
superstructures et de la partie 
souterraine à l'ouest. Au total, 
avec des mises en service écfae- 


s- Du Hou dans le calendrier 

f 'EST dans quelques jours que 31 Emile Aülaud. assisté * 
I de MM. Ricardo BofÜl et Bernard de la Tour d'Auvergne, 
va p r o p o se r un nouveau parti architectural poux l'aména- 
gement de l'ancien carreau des H a Hes . Cette opération fut, an la 
sait, remise en cause es août 1974 par la décision du président da 
la République da supprimer le centre de commerce internatio- 
nal qui devait être construit en cet emplacement, et da le 
remplacer par un espace vert. 

En tait, sur l'emplacement des a ncien n e» Halls» les travaux 
s'ont jamais été Interrompus. Dès le début de l’armée prochaine, 
l’aménagement des voies souterraines prévues au pied de Saint- 
Enatachv pourra donc commencez. Quant an métra express 
régional, il devrait atteindre, comme prévu, la cour de Paris . 
à la fin de 1977. Mais pour les édifices de surface qui entou- 
reront le forum, le calendrier reste encore flou. La construction 
des abords de la station de métro ne sera pas terminée, eu 
1977. Dans un premier temps. Tancés se fera à l'aide d'esca- 
lators circula»! entre les chantiers en cours, comme ce fut 
longtemps le cas à la station Opéra. 

Au-dessus de la gare centrale du métro express, qui est 
en construction &, vingt-trois métrés de p ro f ondeur, doit au 
être aménagé sa vaste ensemble commercial et de loisirs de 
50 000 métrés carrés. « le forum- ». Il sera ouvert à l’air libre 
et comprendra quatre niveaux et un aménagement de surface. 
Celle v aste surface commerciale devrait être inaugurée, lues, 
que la SEMAH (la Société d'économie mixte pour l'aménage- 
ment des Halles), responsable de l’opération, envisage d'avancer 
l'échéance en mai 1979, c'est-à-dire avec un an de retard sur 
la date initialement prévue. 

M. Christian da La Malène, président de la SEMAH et 
rapporteur général du budget de la Ville, -dresse, dans la décla- 
ration qu'il nous a faite, le bQan financier de cette opération, 
qui devrait coûter au total dans les 1208 mniloas de francs. 


tannées à partir de 1977, l'ensem- 
ble pourrait être achevé en 1981. 
— Que pensez-vous de l'évo- 
lution du projet tTamènaoe- 
ment du Carreau depuis la 


r 


Rectifications de frontières 
sur la carte orange 


■m A caria orange ? Ur succès. 
§ Créé le V iutllet, ce litre 
de transport mensuel permet 
d'utiliser, Indifféremment et pour 
un nombre de voyages Illimité, 
les bus, les métros, les trains et 
les cars privés agréés. Il e été 
.acheté, au mois de septembre, 
par plus de quatre cent mille 
habitants de la région parisienne. 
Il devrait rétro prochainement, 
estime le Syndicet des transports 
parisiens, par six cent mille per- 
sonnes. Première conséquence de 
cette réussite : le RA TR. vient 
d'être obligée de mettre en ser- 
vice quarante et un bus supplé- 
mentaires. 

La carte orange lait gagner du 
temps à rusager, qui achète un 
seul titre de transport une lois par 
mois. Elle réduit en général son 
budget • transporte », puisqu’elle 
autorise des déplacements en 
nombre Illimité : ses cinq zones 
concentriques de tarification dirent 
la possibilité de se rendre dans 
deux (40 francs per mois en 
seconde classe), troiB (60 francs), 
quatre (80 francs ) ou cinq d'entre 
elles P0O francs). 

Cetth simplitication, aillée A ces 
gains de lemps et d'argent. Inci- 
tera, dira-t-on, /es Parisiens à 
habiter plus loin en banlieue et A 
utiliser davantage les transports 
en commun. Dans une certaine 
mesure — mais II ne faut pas 
oublier que le choix du domi- 
cile est avant lotit déterminé par le 
montant du loyer. On s'est aperçu 
aussi que les critères retenus par 
les voyageurs pour choisir leur 
mode de transport sont, dans un 
ordre décroissant, le temps de 
parcours , la régularité, le confort 
et le prix. 

La carte orange finalement ne 
favorisera pas, comme on pouvait 
redouter, ce que l'on appelle un 


- développement urbain en tache 
d’huile ». car celui-ci est provoqué 
par rexistence de voies de com- 
munication. et non per les coûts 
de transport. Elle ne dissuadera 
pas beaucoup de Parisiens d'uti- 
liser leur voiture personnelle ; 
r économie qu'elle procura A 
rebonné le plus favorisé ne 
dépasse pas 80 francs par mois 
pour des tralebs entre le domicile 
et le Heu du travail. 

Le principe) Intérêt de la for- 
mule est qufelle permet de remé- 
dier, dans une certaine mesure, 
eux Inconvénients du développe- 
ment accéléré de ? agglomération 
parisienne. ■ Nous avons cherché, 
déclare M. Peul Josso, vice-prési- 
dent délégué du Syndicat des . 
transports parisiens (S.TJ 3 .), à faci- 
liter la vie et les finances da ceux 
qui sont les plus défavorisés du 
point de vue des transports.» 

Quelles limites ? 

Effectivement, les habitants de 
la grande ban//eue obligés d’em- 
prunter un car privé, le train puis 
le métro pour se rendra 6 leur 
travail sont avantagés par le carte 
orange, ainsi que les usagers des 
bus et tous les prisonniers des 
transports en commun que le 
manque de ressources ou l’ëge 
empêchent de circuler en voiture. 

Ce » choix social » entraîne. 
pour les transporteurs (RA.TJ 3 ., 
RJV.CA, A. P. T J)) un manque à 
gagner évalué A 250 millions de 
frênes emrfron Celul-cl est cou- 
vert par l'extension an grande 
banlieue du versement » trans- 
port » des entreprises et par 
l'augmentation du taux de ce ver- 
semant à Paris et dans la proche 
couronna. Ce sont, en tait, les 
employeurs qui paient le s avan- 
tages de la carte orange. 


La carte orange n'intéresse pas 
toute la banlieue . Les usagers de 
la ligne SJV.CA desservant Chan- 
tilly et Crell (Oise), par exemple, 
ne peuvent, è la diflérenco des 
habitants de Fontainebleau, pour- 
tant plus éloignés de Paris, en 
bénéficier. Pour les habitants de 
roise, la mise en service de la 
carte a même coïncidé avec une 
augmentation des tarifs. Ainsi, le 
prix du billet aller-retour Orry-la- 
Ville-Paris est passé, le 1" fulHet. 
de 6.6 0 francs i 7JS0 francs. 

Quand élendra-t-an à tous les 
banlieusards le bénéfice du nou- 
veau régime ?» Le Syndicat des 
transports parisiens n'a pas com- 
pétence sur (es transports du dé- 
partement de l'Oise, qui ne fait 
pas partie de la région parisienne, 
répond U. Jos3B. De toute façon, 
un vote du Parlement serait néces- 
saire pour étendre le versement- 
transport aux entreprises de ce 
département Toute limite est arbi- 
traire, maie 0 en faut une. Nous 
avons retenu celle de la b an H sue 
définie par la S.N.CJF. Certes, Il 
reste des anomalies. Nous étu- 
dions de petites corrections de 
frontière, par exempta du côté de 
Provins, de Nemours (Seine-et- 
Marne) al de Bonnières (Yvelines). 
Toutefois, nous estimons que les . 
limites actuelles sont bonnes, car 
elles englobent 97% des trajets 
entre le domicile et le travail. - 
Crell lait pourtant plus partie de 
la banlieue que Provins. 

Le gouvernement n'a pas retenu ■ 
r hypothèse d'une sono tarifaire 
unique : . la nécessité d’équilibrer 
les comptes r aurait obligé â aug- 
menter de 25% environ le prix de 
la carte orange peur les habitants 
de Parie Infra mures. Il a préféré 
créer cinq zones et quatre tarifs. 

ALAIN FAUJAS. 


décision du président de la 
République le S août? 

— Le président de la SEMAH 
n'a pas été nommé & ce poste pour 
faire valoir son point de vue per- 
sonnel ni ses appréciations sub- 
jectives, mais pour que se réalise 
au mieux l'opération d'aménage- 
ment telle qne la Ville, en accord 
avec l’Etat, Ta décidée. 

» L'intervention du président 


de là République du mois d'août 
1974 a abouti, en ce qui conce rn e 
la composition et l’architecture 
des éléments de superstructures 
et la forme et l'esprit de l’espacé 
vert, & - un changement de cap 
fondamental. De la création d’un 
espace vert, c dé' liaison », ouvert 
sur le quartier, organisé autour dé 
Salnt-Eustache, espace lui-même 
entouré de bâtiments A architec- 
ture libre, â l’Intérieur, bien sûr, 
des contraintes du plan d'aména- 
gement (plafond de hauteurs, 
etc.), on est passé à un espace 
vert « organisé ». « aroMtectnré b, 
symétrique autour d'un axe; lui- 
même encadré par des bâtiments 
à architecture ordonnancée, l’en- 
semble réalisant une composition 
de caractère « monumental » an 
sens propre du terme. . 

» ZZ est parfaitement possible 
d’être en faveur de l'une ou de 
l’autre thèse. Ce que Fan peut 
seulement affirmer, c’est que la 
deuxième est un pari beaucoup 
plus risqué que la première. Réus- 
sir une « architecture » arec les 
contraintes de r opération .et le 
poids de l’environnement est une 
entreprise difficile. 

— A combien finalement se 
chiffrera cette opération de 
rénovation au coeur de Paris ? 

— Le bilan de l’opération est 
actuellement, en francs 1974, de 

1 208 TnlUInrm . .. . 

» Pour dnnww im ordre de 
grandeur, disons que oe chiffre est 
comparable -en francs constants 
au coût de la seule tour de l'opé- 
ration Maine-Montp arna s se. En 
contre-partie, que doit apporter 
l’opération ? Un espace vert de 
plus de 5 hectares ; une surface 
de 11 hectares, au «entre de la 
ville, entièrement réservée aOx 
piétons, la voirie étant enterrée ; 
une gare souterraine de trans- 


ports en commun, de loin la plus 
Importante et la plus mode r n e de 
la viué-; un -cnsefrihle dfarchltec- 
ture monumentale, groupant à 
côté des logements et de Phâtel, 
des équipements collectifs natio- 
naux. tel le CJSLA.CL, un central 
de tfiépfa onfl, et<^.~ et, pour la 
Ville, - dre é quipem e n ts comme la. 
patinoire, les équipements sportifs 
divers, -la crèche, etc. 

» Aux sommes qui figurent au 
bilan s'ajoutent un certain nom- 
bre de dépenses qui seront payées 
directement par l'Etat et la Ville, 
tels des indemnités,^ des éléments 
d’architecture, des coûts d'équi- 
pements, etc. . 

— Comment sera payée cetie 
facture ? 

— Le coût d’une opération de 
rénovation est une 'notion assez 
difficile à cerner. Ainsi faut-il y 
faire figurer le coût dre équipe- 
ments ou seulement la partidpa- 
tion à un déficit éventuel t Dans 
le premier cas, G faudrait tenir 
compte du coût pour l’Etat du 
Centre national d'art contempo- 
rain, d’un élément d’architecture 
potentiel en surface, du central 
de téléphone, eto,efc pour Za 
Ville du coût des équipements de 
sports, , de la patinoire, dès équi- 
pements sanitaires et sociaux, etc. 
Si l’an s’en tient au deuxième 
cas, H est possible de rappeler que 
le tiéfieft Initial était de 110 mil- 
lions de francs, partagés de la 
façon suivante : 60 mhlinm: de 
francs pour la Ville et 50 millions 
de francs pour l’Etat, en valeur 
septembre 1973. H est devenu, en 
valeur décembre 1974. de 314 mil- 
lions de francs, partagés entre 
rEtat .pour I5f minions de francs 
et ht Ville pour 163 rnîTlIrirm de 
francs. » 

. Propos recueillis par 
JEAN PERRIN. - 


Essonne 


D'UN DÉPARTEMENT A L'AUTRE 


Paris 


UN CHANTIER 
OUVERT ET FERMÉ 

D EUX Immeubles de qu a rante- 
huit appartements en cours 
d’achèvement à Crosne 
(Essonne) font l’objet d’an litige 
assez exemplaire. 

Le code de l’art) antame précise : 
« Le permis de construire est 
périmé ( -J si les travaux sont 
interrompus pendant un délai su- 
périeur £ une armée.» Or le. per- 
mis obtenu par la société civile 
Immobilière le Clos de la sei- 
gneurie a été délivré en 1866 
et modifié en 1967. Les travaux 
ont commencé en -1969, ont été- 
arrêtés en 1971 et ont repris en 
1974, selon les voisins du chantier. 
Le promoteur déclare que la cons- 
truction n'a Jamais cessé. 

Pour le ministère de l'équi- 
pement, ad part les déclarations 
de témoins qui ne constituent pas 
une preuve suffisante, a n’existe 
aucune preuve matérielle de Vtn- 
termpticm des travaux pendant 
plus d'une année. Aucune mesure 
ne peut donc être valablement 
prise pour s’opposer à racliè- 
vement et. a fortiori, pour obtenir 
la démolition des immeubles». 

L’expert commis auprès du tri- 
bunal de grande Instance de 
Corbeil-Essonnes remarquait ce- 
pendant dans un rapport : « St 
une activité a en lieu sur le 
chantier, efie n’a été entretenue 
que pour se prémunir c antre les 
dispositions du code de Purba- 
nisme. SI c’est l'esprit des termes 
qui prévaut, le chantier a été 
interrompu sans discussion pos- 
sible. Si c’est la lettre qui doit 
être retenue, alors, vraisembla- 
blement, ü nfy a pas eu inter- 
ruption.» 

Le tribunal a débouté les plai- 
gnants. 


LES TILLEULS 
DE U PUCE 
DES V0SRES 

L es omet de Paris son t 
malades ; phutfeor* cen- 
taine» seront abattus cet 
hiver nu le quai d'Orsay, l'es- 
p l an a de des Invalides, snx le 
Champ-de-Mars on dans le bols 
de VIneenue*. Place de» Vosges, 
cent so i x ant e douze ormes 
seront remplacé» par dSftt Mût 
douze tilleuls argentés, planté» 
sur trois rangée*, largement 
espacés sur le pourtour du 
Jardin central entièrement remis 
â neuf.â cette occasion. 

M- Bernard Xofay, Je président 
du Conseil de Paris, vient de 
l’annoncer lui-même. Bravo I 
Comment ne pas se féliciter de 
son Initiative t Comment aussi 
ne pas regretter qu’il s’en soit 
tenu là ? Le jardin de la plaça 
des Vosges sera reconstitué dans 
son dessin d'origine. . mais' la 
place elle-même restera encom- 
brée et défigurée par les auto- 
mobiles qui y stationnent es 
permanence et— empêchent de 
profiter. du Jardin. Pas question 
apparemment de U réserver aux 
piétons ; pas question non plus, 
a Mm précisé AL Lafar, de 
construire un parc d stationne- 
ment soute rr ain. 

H confirmait ainsi rhostutté 
de la Ville anx projets qui lui 
ont été présentés à plusieurs 
reprise (« le Monde » du 10 mai). 
Les silos â voitures ne sont pu 
la grande invention du siècle. 
Ne saut-ns pu duu ce cas la 
solution la plu raisonna Ne 7- 
J. P. 


Montparnasse est au cœur de Paris, 
et l'hôtel Sheraton au cœur de Montparnasse 

Hôtel Sheraton à Montparnasse. Pour réserver: tel. 260.35.11. 


I 



Paiis-Sh^atanHoÉd 


Yveline* 

~~UNE PEAU 

DE PANTHÈRE 

L ES Yvelines, une «peau de 
panthère » de. béton, telle 
est ta concussion de l'en- 
quête réalisée par 2’Xnsfcltufî 
nationale de ht recherche agro- 
nomique (INRA) sur l'évolu- 
tion dre modes d’occupation du 
sol dans le. département entre 
1961 et 1971. 

L'nrbanisatton des Weünes s'est 
faite, â l’Image da celle ide la 
région, parisienne, en « tache 
dlmne' ». La .composition sociale 
du département est, elle aussi, 
semblable à celle die la périphérie 
-de- la capitale : les -professions 
libérales, las cadres supérieurs se 
sont peu â peu réserve les com- 
munes de la proche banliene, 
équipées et bien desservies par les 
moyens de transports ; repoussant 
plus loin les ouvriers, tandis que 
les ruraux tendaient à disparaître. 

La surface urbanisée du dépar- 
tement a augmenté de 40 % de 
1961 â 1971, an détriment de 
1 500 hectares de forêts et 3 500 
hectares de terres agricoles. Enfin, 
dernière constatation, le schéma 
directeur d’aménagement et d’ur- 
banisme a rarement été res- 
pecté : 1» «zones vertes Intersti- 
tielles» ont la plupart du temps ' 
servi de support â des opérations 
Immobilières privées. 

RAMBOUILLET AUX CIVILS 

C OMME la guerre, ht forêt 
est une chose trop précieuse 
pour qu'on la laisse aux 
militaires. A motos de 50 kilo- 
mètres de la capitale, dans la 
forêt de Rambouillet — authen- 
tique poumon vert. pour les 
Parisiens, — il est. Impossible de 
se promener sans trouver des 
restes de grenades à plâtre et des 
doomes laissées sur place par nos 
Udasses.en manœuvres. , 

Une telle situation est d’autant 
moins admissible que les 
de la forêt de Rambouillet doivent 
déjà concéder aux militaires un 
terrain de manœuvres avec battes 
de tir dans, un coin charmant. 

Alors, Rambouillet un nouveau 
Larzac? Pas encore, mate la lutte 
contré la pollution étant l’affaire 
de tous, que chacun reste chez 
sol! 

; JEAJV-ÏACQUKS MAUX. 

_ (Parti J 

Haatv-deSeîne 


PLUS DE PLACE 
POUR LES MORTS 

P tVS : da place pont las 
ZQprts, C'est ainsi que Ton 
peut Interpréter la sug- 
gestion du conseil général des 
Haats-de-Setu, qui a proposé 
que soient créés «des cimetières 
In tM COp a a n n anz â restédeur 
du département a. Les champ» 
des morts, qui sont aussi pour 
les vivants des : es pa c e» verts, 
oc c up ent un terrain devenu, 
dans nos banlieues, trop raie et 


Hoge 34 — LL MUNUt — 2-4 octoore iv/-» 


vi 


LA VIE ÉCONOMIQUE ET SOCIALE 


EUROPE 

RÉUNIS A LUXEMBOURG 

Les Neuf tentent de définir 
une nouvelle réglementation 
du Marché commun du vin 

Les Tig n-f pays dn Marché commun tiennent Trnn double 
réunion* en ce débat de semaine à Luxembourg. Lundi et 
"■»wW f les ministres de l'agriculture tentent de définir une 
nouvelle rég lementation pour le marché commun dn vin* 
Lundi également, les ministres des Neuf chargés de la poli- 
ligue de développement se réunissent po ur tracer les grandes 
lignes de l'action de la C. E .E. vis-à-vis du fiers-monde. 

De notre correspondant 


COLLOQUES ET CONGRES 

LES RÉFORMATEURS ET L'EMPLOI 


Fainéants et 


Luxembourg. — Le régime de la 
distilla tion du vin sera au centre 
des dîwfflsirirtnR des neuf ministres 
de l'agriculture. Les pays membres 
qui produisent peu cm pas de vin 
de table hésitent à donner aux 
viticulteurs, en contrepartie des 
nouvelles disciplines que ceux-ci 
se verront, imposer, la « garantie 
de bonne fin » (le prix minimum 
garanti pour ceux qui stockent 
leur vin) que r éclamen t la France 
et l'Italie. La Commission euro- 
péenne, qui tient, ce lundi matin, 
une session spéciale consacrée 
au vin. Indiquera au conseil quel 
pourrait être le coût de cette 
« garantie de bonne fin ». 

Une telle évaluation — d'une 
signification limitée — permet- 
tra cependant de relancer le dé- 
bat. Uh compromis pourrait être 
trouvé en fixant un plafond fi- 
nancier calculé & partir de réva- 
luatlon de la Commission au-delà 
duquel la « garantis de bonne 
fin » cesserait de jouer automati- 
quement. 

La taxe de 13 % sur les impor- 
tations de vin de table Italien en 
France s'applique depuis mainte- 
nant plus d’un mois. Le gouver- 
nement français a répondu ré- 
cemment à la Commission que la 
mise en œuvre de cette taxe était 
juridiquement justifiée, le nou- 
veau règlement que le «nnmii 
s'était engagé jadis à adopter 
avant la fin juillet 1975 n’ayant 
toujours pas été approuvé. La 
Commission s'apprête donc à 
franchir l'étape suivante : mettre 
en demeure le gouvernement 
français de supprimer la taxe. En 
fait, chacun espère — y compris 
apparemment les Italiens — que 
ce conflit juridique sera résolu 


• Les constructeurs de cycles 
et motocy&es sont autorisés à 
augmenter leurs prix de 3 %. 
Indique le Bulletin officiel des 
services des prix (BOSP) du 
samedi 11 octobre. Les produits 
d’entretien. vont aussi augmenter 
de 3 %. les tulles de 4 %. les bri- 
ques et autres produits en terre 
cuite de 3% et les bétons prêts 
à l’emploi de 2 %. Les fabricants 
de sucre sont auto r isés à majorer 
de 13.60 F le prix des 100 kilos. 
Enfin, l’ensemble des produits cos- 
métiques et de toilette (à l’excep- 
tion des savons) vont augmenter 
de 3 à 3 % et même de 4% pour 
les laques. 


(par l’abolition de la taxe) avant 
que l’affaire ne soit portée de- 
vant la cour de justice de 
Luxembourg. 

Le redressement sensible et 
persistant des prix de marché du 
vin dans le midi de la France 
contribue à détendre le climat. 
Les c ours du vin de table se 
situent désormais au-dessus de 
10 P par degrè-hecto contre 
8,50 F D y a un mois. A ce niveau, 
les importations de vin italien 
méfflfl assujetties à la ta™ re- 
prennent, rnnlg cette fols trop 
peser sur l’équilibre du marché 
français. Elles ont atteint environ 
400 000 hectolitre^ en septembre. 

SI les ministres français et Ita- 
lien ne sont plus soumis à une 
pression aussi vive qu’il y a un 
mois, il leur faut quand même 
faire approuver par le conseil nnw 
réglementation qui évite, autant 
que faire se peut, le retour d'une 
crise. 

Peuf-on renforcer 
l'aide au fiers-monde ? 

Lundi, toujours, les ministres 
des Neuf chargés de la politique 
du développement se reverront 
afin de tracer les orientations de 
l’action de la CEE, dans le tàeis- 

rwrtnrift. 

Four la Commission, la CEE, 
ri elle ne veut pas se discréditer 
dans le tiers -monde, ne peut 
continuer indéfiniment à limiter 
sa générosité à des discours. Il 
convient donc que les engage- 
ments pris en novembre 1974, lors 
de la conférence mondiale de l’ali- 
mentation, puis, plus récemment, 
lors de la septième session spé- 
ciale de rONu, se traduisent dans 
les faits. Four ce faire, la Com- 
mission reviendra à la charge 
avec deux propositions déjà 
anciennes : l’octroi d’une aide 
financière aux pays peu dévelop- 
pés non associes à la CEE. et 
le renforcement du programme 
communautaire d’aide ali- 
mentaire. 

H y s quelques semaines, le 
conseil, en examinant le projet 
de budget communautaire pour 
l’année 1978, avait rayé les cré- 
dits inscrits par la Commission 
pour financer cette double opé- 
ration. La Commission va s’ef- 
forcer de contraindre les Neuf à 
revenir sur cette attitude négative. 

PHILIPPE LEMAITRE. 


« Une société pauvre appelle 
fainéants ceux qui, pour trouver 
du travail, n'acceptent pas de 
sacrifices normaux. Il n’y a pas 
de chômeurs, mais des fainéants. » 
Après cette formule-choc, pro- 
noncée au colloque sur « les Fran- 
çais et l’emploi » organisé le II oc- 
tobre à Paris par la Fédération 
des réformateurs, M. Jacques Flas- 
sard. conseiller écanomiaue du 
C.N.P.F, s’employa à nuancer sa 
pensée. 

Dans les sociétés plus évoluées, 
dit-il, les ehftmitiTTB sont œnx qui 
ne peuvent trou v er du travail sans 
faire de sacrifices que nous esti- 
me n s exorbitants. Cependant, 
M. Plassard est optimiste : dans 
les six mois qui viennent, le pro- 
blème fondamental sera l’accen- 
tuation de la difficulté de trouver 
une force de travail les 

catégories immédiatement pro- 
ductives. Il est bon de déculpa- 
biliser le chômeur, mais non de 
M enlever sa responsabilité. cTZ 
serait affreux d’avoir le senti- 
ment d'être dans un monde qui 
n’a pas de croissance. » 

L’accord sur les causes du chô- 
mage (conjoncturelles et structu- 
relles) se fît à peu près entre 
tous les participants : M. Michel 
Durafour, ministre du travail ; 
M. Gabriel Oheix, délégué à l’em- 
ploi ; parlementaires réforma- 


UN NUMÉRO SPÉCIAL 
DE «FRANCE-FORUM» 
SUR LE THÈME 
«AU-DE1A DE IA QUE» 


Excellente idée que d’avoir i 
réuni en un numéro s pfeîiti de 
Fronce-Forum. (1) les « actes »l 
d’un colloque tenu en avril 1975 
& Paris sur le thème c Au-delà 
de la crise ». Cette rencontre 
n 'avait pas eu le retentissement 
qu’elle méritait Heureusement (ou 
malheureusement cela dépend de 
quel côté l’on se place). Les opi- 
nions présentées ces Jours-là tien- 
nent fort bien le coup, puisque 
la crise est toujours là et son 
« au-delà » pas encore witamA 
Trois rapports structurent cette 
publication : l’un de M. Thierry 
de Montbrial sur c les conditions 
d'un nouvel ordre économique 
mnndia.1 », un autre de ML Mifthpi 
Albert sur c Un nouveau plein 
emploi », le troisième de M. Jean 
Boissonnat sur c Le diagnostic 
de la crise ». Le public de ce col- 
loque de France-Forum ne man- 
quait pas de talent ri l’on en 
juge par la quantité des inter- 
ventions qui ont suivi les exposés 
liminaires, lois des séances pré- 
sidées par MM. Alfred. Grosser, 
Raymond Barre et Roger Louete 

(1) 6, rue Paul - Zoul» - Couler, 
75007 Parla. 


leurs, t e l s que MM. Maurice Blin 
et René Monory ; représentants 
des dirigeants politiques, tels .que 
M. Alfred Coste-FIoret (Centre 
démocrate) ; représentants d’or- 
ganisations syndicales (la C.G.T. 
et la CEUT. avaient cependant 
décliné l’invitation) ou profes- 
sionnelles, etc. Mais II n’y eut pas 
d’entente sur l'Importance du 
chômage dans les années à venir 
ni même sur sa définition. 


c Nous sommes dans une so- 
ciété de plus en plus exigeante, 
et la montée de ces exigences 
nous place en période de ten- 
sion constata M. Jean-Claude 
Colli, qui animait le débat. 
M. Blin avait dit avant lui : 
c Notre système libéral est entré 
.dans une période de dérèglements 
graves et sur la voie d’un ren- 
versement de ses assises (—J. 
' L’emploi tel que nous le conce- 
vons est inexorablement facteur 
d’inflation . » 

L’e inadéquation» fut souvent 
citée pour dénoncer notamment 
la formation donnée aux jeunes 
et déplorer le décalage entre les 
qualifications professionnelles des 
demandeurs d’emploi et les postes 
vacants. 

Avant de s’attaquer aux abus 
des officines de c travail intéri- 
maire », M. Antoine Faesch (F.O.) 
se tourna implicitement vers 
M. Plassard : « On a pris cons- 
cience, dit-il, qufü ne fallait pas 
traiter 2e chômeur de fainéant, 
qu’il fallait dépasser la notion 
d’assistance, et, dans cet acci- 
dent de parcours . lui maintenir 
son revenu. » 

Concluant les débats, le mi- 
nistre du travail rappela les 
moyens de sa stratégie à court 
et à moyen terme pour assurer 
un meilleur emploi : c La crise 
n’a pas un caractère inéluctable 
et a ne faut pas se laisser en- 
fermer dans une situation de 
sous-emploi », a déclaré M. Mi- 
chel Durafour, qui a insisté sur 
le redéploiement de l’appareil de 
production et sur la revalorisation 
du travail manueL H s’agit là, 
a-t-il indiqué, d* t in moyen 
privilégié de redonner à la nation 
son êquüfbre et de fournir aux 
jeunes des emplois valorisants et 
enrichissants ». — J. R. 


• ML PIERRE MASSE a reçu, 
le 10 octobre, le prix Paul- 
Louis Merlin pour ^ensemble 
de son œuvre industrielle, éco- 
nomique et littéraire. Ce prix, 
d’un montant de 10 000 F, a été 
créé en 1965 par le fondateur 
de Merlin -Gerin et des per- 
sonnalités de l’université de 
' Grenoble. Il est destiné à ré- 
compenser un lauréat (per- 
sonne physique ou morale) 
ayant réalisé pour la France 
une œuvre d’un Intérêt excep- 
tionnel pour la novation et le 
développement dans les. do- 
maines scientifique, culturel, 
économique et social. 


TRAVAILLEURS INDÉPENDANT 

AU CONGRÈS DU CID-UNATI 

M. Nicoud souhaite rencor 
M. Giscard d'Estaing 

De notre correspondant 

Brest. — M. Gérard Nicoud souhaiio rencontrer ) 
d'Estaing, président de la République. Le secrétaire n 
CID-UNATI a fait cette déclaration dimanche soir à Bre: 
de la première journée du congrès de son Mouvement. 

« Nous représentons deux cent mouvement : les comlt 
mille personnes, ce qui nous auto- m e n t a u x seront rem p la 
lise à placer quelques mots dans fédérations régionales. 
2e concert des appréciations sur Dons son discours p 
2a situation actuelle ». a-t-il dé- te leader du dD-UT 
claré après que le congrès l’eut diagnostiqué le mal d 
mandaté à cet effet . le mouvement : 1 

Avant de rencontrer le chef de d’unité. D semble qu 
l'Etat, M. Gérard Nicoud a décidé à huis clos, qui s’est 
de faire le ménage dans son orga- ce thème, a été as» 
n»»vt. w>n ; une Importante réforme M. Nicoud n parlé d 1 
de structure a été votée par les chirurgicale » et de 
congressistes. Elle prévoit priori- doivent tomber ». Par 
paiement une régionalisation du ne figure sans doute pt 

Enfin, au cours i 
M. Nicoud a proposé 
de réflexion aux con 
an éclairage, nouvea 
comerçants. du probl 
consommation. 


CONFLITS SOCIAUX 
ET REVENDICATIONS 

GRÈVES TOURNANTS 
DANS LES SERVICES 
DE LA MAIN-D'ŒUVRE 
ET A L'INSPECTION DU TRAVAIL 


Les syndicats C.G.T. et C.F.D.T. , 
viennent de lancer, du 13 octo- ; 
bxe au & novembre, une grève 1 
tournante, à raison d’une journée 
par semaine et par région, dans : 
Les services extérieurs du travail 
et de la main-d'œuvre, qui em- 
ploient quatre mille cinq cent 
soixante fonctionnaires — outre 
les inspecteurs du travail — pour 
vriller à l’application de la légis- 
lation du travail et instruire les 
dossiers des chômeurs. Les deux 
syndicats exigent la création d'au 
mains mille emplois nouveaux et 
la titularisation des auxiliaires. 


D’autres conflits se poursuivent 
dans le seeteiur privé, notamment 1 
à l’usine ATO-Chimie. sur -la zone J 
Industrielle du Havre les gré- 
vistes. qui occupent l’usine de- 
puis le 24 septembre, pour obte- 
nir, notamment, la retraite à 
soixante ans ont également oc- 
cupé — symboliquement le paque- 
bot France dimanche 12 octobre 
durant deux heures. 

Dans l’Orne, où une partie des 
deux cent vingt salariés de la 
Société igèenne de ressorts de 
précision sont en grevé depuis une 
semaine pour obtenir une aug- 
mentation de salaire, la CJF.T.C. 
a porté plainte pour violation 
d’un accord contre la direction : 
celle-ci se- déclare dans T impos- 
sibilité d’attribuer, cette année, 
une prime de participation. 


ASSURAS 

MALAD 

REVALORISAI 
DES INDEMNITES JOI 


Attendue depuis pli 
et promise le 19 sep! 
par M. Michel Di 
congrès des Mutilés 
à Amiens (le Monde 
tembre), l'augmente 
Indemnités joum 
cause de maladie i 
fixée par un arrêté 
tembre- et publié 
officia du 12 octobre 
resse tous les assurés 
longue maladie ou 
dentés du travail der 
huit mois. 

Les indemnités soi 
de 18,50 % : elles so 
sur un salaire antl 
I* v Janvier 1974. de 1' 
qu'elles portent sur 
du premier semestre 
8 Sé pour un salaire • 
semestre 1974. 


LES ANCIENS D 
DE LA CF.T. ont 
française du tra T 
11 octobre, à Pari 
fondateurs, dont - B 
battu au congrès; P 
bre. et remplacé p- ' 
la nouvelle Union I 
double apportent i 
cale > et offre « S 
titre d’accueil capa- r 
nir [aux salariés! | 
nécessaire que le &•' 
de la CF". T. ne peu 
blement leur dora* \ 


POMOUOI 600 SOOEIES HBMnOMIB* 

on-sis nos owuum h uuum 

un on» de PMDuenoM pou ibook? 


Parce que la politique du gouvernement 
de ia République d'Irlande (Membre de la 
CEE) repose sur une volonté délibérée de . 
développer la fabrication de produits .. ... 
destinés à l'exportation en les. rendant 
compétitifs. 

Parce que. fa République a su maintenir 
un équilibre, harmonieux entre le patronat 
et la main-d'œuvre. Les produits fabriqués 
en Irlande bénéficient sur les marchés 
internationaux d'une compétitivité accrue 
grâce au coût raisonnable de la main-d'œuvre 
et des charges sociales. 

Parce que la République apporte aux 
sociétés qui créent des industries 
exportatrices une aide financière inégalée 
en Europe. Leurs bénéfices ne sont pas 
imposables. 


Une large part du montant des investissements 
est couverte par des subventions non 
remboursables. 

Les taux de leasing sont exceptionnellement bas. 
La constitution du capital et du fonds de 
roulement peut être réalisée à peu de frais. 
Ces avantages peuvent également 
s'appliquer à certaines sociétés de services. 

LES BONNES MOUVEUES 


JiMl 


■IDA Ireiand, chargée d'exécuter le 
programme d'industrialisation massive 
prévue par le gouvernement, peut vous 
faire une proposition détaillée (avec plan de 
financement) adaptée à chaque projet 


1 ^ IDA IRELAND. 45 rue Pierre-Charron, 75008 PARIS 

__ Tél. 559.77.67 -Télex: 660416. 

■ Veuillez, m'envoyer tous les renseignements concernant 
“ . . le programme de financement exceptionnel 

| proposé par la République d'Irlande. 

I nom î- 


fonction : . 
société 
adresse : _ 



IDA ireiand À 


rn r i ■ i l ■ 


i 


Siège social : Lansdowne House, Dublin '4 • 77, rue Joseph fl 
Bruxelles 1040 • 28, Breton Street Londres W1X7DB • 

5. Kôln Martenburg 51, Baventtialgûrtel 13, Cologne * 
Nyrq0sgadef47, 1602 Capenaghê V. 


, * Quelques-unes de ces sociétés : Essilor, Poclain, Digital, syntex, Gillette, Courtaulds, 

Asahl, TUbe lnvestments. srua VIscosa, Akzo, Borg Warner, Piessey, Pfizer, Black and Decker etcLLirte complète sur demande. 









'R AV.*;;, 


g \ 



* ' • 

Nicoud 

’ - 

Ca. i ^ 


LA VIE ÉCONOMIQUE 


**■ Gi s 


.“«l* 


BILLET 


CQr<j LENDEMAIN Dü 62 e SALON DE PARIS 

'automobile, pavillon haut 


lIT;': 


î>. 

fc.. 1 


F; 

I »* ^ 

,?\; r :* : 


v. 


... rogéa à la veilla du 
. ’ ' ib -deuxième Salon de fao- 
• t . : ‘.- ‘te, les P.-D. G. do Renault, 

■ ■'it, Citroën et Sfmca s'ac- 

int pour. fixer la, date de 
prisa » au prlnlompa 197$. 

■ The 12 octobre au 'soir, & 
'* letvra du Salon, .toute pro- 
fitait balayée. Cétaft fs 

- hère des déclarations : .1» 
se » était déjà là, Jamais 
tait vu autant de visiteurs, 
de Versailles, /ornais on 
■oh distribué un st grand 
» de prospectus et dérobé 

eraccesaolres sur les 
a exposés, Jamais les 
rfy avalent été aussf 

'anhard, présidant de la 
station, affirmait sans 
: que r Intérêt des Fran- 
.« ur r automobile était aussi 
et - môme plus 'grand » 
it la crise et que ce aeo- 
flustriel n' allait pas tarder 
-■uver tout son effet tfen- 
’ieirt sur r économie Iran- 
. « ainsi que ce fut tou- 
e cas depuis 1890 ». Et 
' pour souligner la hau- 
‘lu propos, ail même 
... 'd dans le a stands du 
chacun jouait du klaxon, 
'riaient les bouchons de 
agnel 

: tode . Coué. Lundi matin 
•an dirigeant de la Régie 
ait les déclaration de la 
affirmant qu’il fallait « se 
de tout optimisme h&tff », 
i n dé rauio « n’ayant plus 
but de présentation ». 
i année, les constructeurs 
. aient surtout à obtenir le 
que faute n'âiaif pas 
b, qu’elle gardait son 
9 et son attrait, lia repar- 

- assurés. Aveo neuf .cent 
entrées,, le sobrame- 
me Salon a battu le 

d'affluence. Les essais et 
des d’essais ont été eux, 
in forte augmentation. ■ De 
.j », essurat-on chez Citroën 
un étonnant souci de pré- 


Rogaln d’intérêt? Cf est cer- 
tain. On n’In pas plus loin , 
Los pourcentages triomphalistes 
d'augmentation des ventes au 
Salon même, annoncés diman- 
che, sont dénués de sérieux. 
300 B /e aurait dit une marque 
allemande ; . 80 Va aurait affiché 
flenfiuft. Saufs les résu ft ale 
obtenus., par les concession- 
naires durant la première quin- 
zaine d’octobre permettront ■ de 
Jugea s'il y à eu ou non flambée 
des ventes. A cette heure aucun 
constructeur ne dispose de cas- 
renseignements, même pour son 
propre réseaù. 

Las dernières statistiques dis- 
ponibles sont celles de sep- 
tembre : au cours dg ce mois, 
les ventes d'automobiles . en 
France furent en augmentation 
d’environ SV» sur celles de ta 
mfime période de- Tannée précé- 
dente, donc , touloura en recul ■ 
de quoique 10 Va sur le niveau 
de 1973. On s'attend I un 
qvr octobre sera manieur,' mûtes 
peut-être en raison, des re- 
tombées du Salon que de la 
mise en venté simultanée de • 
plusieurs nouveaux' modèles 
Simce. Renault, Peugeot et 
Citroën. .... 

Chez ' ./es constructeurs, les 
prévlslonnlstes se gardent d’aller 
plus loin : Us ■ travaillent • au 
mois par mois ». décembre pou- 
vant Infirmer les promesses d'oc- 
tobre. . 

Par. leurs propos assurés de 
dîmanofte. Je» porte-parole des - 
constructeurs cherchaient sans 
doute à convaincre les. 'candidats 
à rachat. Ile visaient aussi ù 
donner tin moral d'acier à leurs 
concessionnaires -à la veille 
d'une " grande batailtecommer- 
c/a/s. Durant rhtver, tirant argu- 
ment de ses nouveaux modèles, 
chaque société d’automobiles va . 
s'efforcer de mordre par tous 
las moyens dans, ta clientèle du . 
vols/n. Quand on part è la guerre , 
c'est toujours pavillon haut 

P-M. DOUTRELAKT. 



(Dessin de' KOIVK:) 


A L'ÉT RANGER 

ÜSSIONS SUR LES VENTES DE (MALES AMÉRICAINS 
A L'UNION SOVIÉTIQUE SONT AJOURNÉES 


ussiong portant sur -la 
. long terme de céréa- 
ilnes à l'Union sovléti- 
se poursuivaient & 
tptus le 30 septembre, 
nimèes samedi 11 octo- 


«• . «t* 

_ -S 


-ACTION INDUSTRIELLE 
fêJTANNiQUE 
1NUE A FLECHIR 

AJ-P- Agefl). — La pro- 
lutrleDe bdtunlqm a 
1,9 % en Août. Llndlco 
t situé & 99A (base IM 
ont» IM en Juillet et 
août 1974. Eu un an, 
'établit à 9 %. 
trois mois J ulu-Julll ét- 
iré Industrielle a diminué 
> % par rapport S celle 
■ois précédents. Les ««se- 
ns touché* par la réees- 
• U métallurgie ( — 8,7 %1 
^ -onitruetlon . mécanique, 
c Bu revanche, la pxoduo- 
lndustrlcs charbonnière. 

. pétrolière a augmenté 

I L dernier bulletin dln- 
flla Confédération patxo- 
«Ttlque (CJBX) estime que 
p* continuera d’augmenter, 
!r entre LZ5 et mD- 
sonacs d’ici à la fin de 


bre. M. Charles Robinson, sous- 
secrétaire d’Etat aux a ffair es 
économiques, qui dirigeait la 
délégation américaine, a Indiqué, 
avant de quitter Moscou, pour se 
rendre à Paris, où U assistera & la 
conférence préparatoire sur 
l'énergie et les matières 

mlères, qu’il serait de retour 

la capitale soviétique mardi cm 
mer credi. M. Robinson s’est refuse 
& préciser les rais o ns de cet 
ajournement, se contentant de 
déclarer que les entretiens étaient 
parvenus « d un stade très déli- 
cat ». 

- En fait, n semble bien qu’une 
double négociation se déroule 
actuellement entre Améri cains et 
Soviétiques. -La -première portant 
sur La vente de céréales américai- 
nes. la seconde sur l’achat du 
pétrole soviétique. A ce propos, le 
New York Times affirme dans ses 
éditions du dimanche . que les 
Etats-Unis avaient ■ proposé a 
l’Union soviétique de lui acheter 
du pétrole & un prix Inférieur de 
14 % à celui du. marché, proposi- 
tion qui avait été refusée par 
Moscou. Même s'il n’a jamais été 
affirmé clairement que 1 les deux 
négociations étaient liées, on peut 
pensa* que le refus soviétique 
explique peur une large part 
l’ ajournement. M. Robinson reste 
cependant s très optimiste » 
quant aux chances de parvenir à 

un accord. 


.E TAUX D’INTERET DES EURODEVISES 


OollA» 


S 3/8 
5 7/8 
fi 7/8 
7 5/8 


8 3/8 
fi 3/S 
1 3/8 
8 1/8 


Detmebamsrx» 


Z 1/* 
3 1/S 
3 3/8 
3 7/8 


3 l/Z 
3 5/8 
3 VS 

I 3/8 


Prune» • tusse» 


La conférence Nord -Sud 

fSutte de la promitre pageJ 



Celle-ci b survécu au boycottage 
par la France de. l’Agence Interna- 
tionale de l'énergie, à laquelle par- 
ticipent pourtant . les huit autres 
membres de la C ommuna uté écono- 
mique européenne. 

M. Caliaghan met-il vraiment en 
danger, par son accès de -joûer- 
tisnia -, la construction européenne 
déjà s) fragile? Qu| pouvait être 
assez naïf pour croira que las héri- 
tière de l’Empire britannique, qui 
contrôlent encore le eacond rentre 
financier du monde et vont devenir 
Une puissance pétrolière d’impor- 
tance mondiale, se satisferaient d'as- 
sister à une conférence économique 
Internationale .comme un membre 
parmi tant d’autres d’une délégation 
européenne anonyme? 

SI Jb Grande-Bretagne s'entête, un 
difficile rébus diplomatique va se 
présenter. D'autres membres de la 
Communauté, à commencer par la 
France, seraient amenés à deman- ' 
der à étrê représentés, eux aussi, 
en tant que tels. Du côté du tiers- 
monde, on ne pourrait plus alors 
s'en - tenir à dix-neuf participants, 
chiffra qui a la commodité de cor- 
respondre à une certaine dé de 
répartition maintenant presque cou- 
tumière entre les' pays du tiers- 
monde : six. pour r Amérique latine, 
abc pour l'Asie et sept pour l’Afri- 
que. 

Nul ne peut dira aujourd'hui com- 
ment sa terminera cette affaire. Les 
• optimistes » pensent que la Grande- 
Bretagne cherche eimplement A mar- 
chander son alignement. . Des « ma- 
chiavéliques » y volent le main de 
FOncle Sam. Lee Britanniques peu- 
vent en tout cas arguer que, au tout 
début du lancement de ridée de la . 
conférence Nord-Sud, n c’avait pas 
été clairement Indiqué' que la Com- 
munauté parierait d'une seule vote. 

Ce qui se révélera peut-être sim- 
plement comme une foucade idu 
Forefgn Office devrait rassurer les 
avocats du dialogue Nord-Sud. N’ est- 
ce pas le signe que ce dialogue est 
prie au sérieux et que l’Idée lancée 
par m. Giscard d'Estaing était 
bonne?. M. de Gulringaud, le repré- 
sentant permanent de la France aux 
Nations unies, qui vâ assurer une fols 
de plus la ■présidence technique» 
de la réunion de Parte, triompha. 
Modestement cartes. Mais II triom- 
pha. Vendredi, (ore de la . conférence 
dé presse qu’il a tenue au Quai 
d'Orsay, Il a fait distribuer 'des copies 
.de la . déclaration qu'il avait faite en 
avril, selon laquelle certaines diver- 
gences avaient pu «être réduites 
pré ce aux efforts de toutes les 
parties », la compréhension mutuelle 
des positions de chacun ayant 
beaucoup progressé». Après huit 


Faits 

et chiffres 


i LA CONFEDERATION NA- 
TIONALE DU LOGEMENT 
APPELLE, DANS UN COM- 
MUNIQUE « ses militants et 
tes organisations , ainsi que tous 
les locataires, à agir pour re- 
fuser collectivement toute nou- 
velle majoration des loyers ». 
Là CJSTJj. fait savoir égale- 
ment qu’elle demandera au- 
dience à M. Jean-Pierre 
Fourcade pour obtenir, dans 
l’immédiat, c un blocage tem- 
poraire des loyers » et une 
stricte limitation « des charges 
locatives et des frais de 
chauffage ». 

M. GEORGES MARCHAIS, 
secrétaire général du P-C, a 
estimé, samedi il octobre, à 
l'ouverture des journées natio- 
nales d'études paysannes, orga- 
nisées à Montreuil par son 
parti, que «la situation de la 
paysannerie qui reste A la terre 
offre des possibilités nouvelles 
et des bases concrètes au déve- 
loppement de l'alliance de la 
paysannerie et de la classe 
manière». Tout en soulignant 
< les différences de situation 
entre les couche s paysannes», 
il a ajouté : « H est possible 
de faire participer à la lutte 
antimonopoliste non seulement 
les petits paysans mais égale- 
ment la grande masse des 
autres.» 


1/2 

î** 

31/3 


ll/Z 
5 1/4 
3 1/2 


Fmc à on» «élection sévère en 

P.C.E.M. 1 


Pharmacie 

du équipes de maître»- assistants 
suivent de novembre à Juin les 
étudiants de chaque CAD, par: 
grange de 15, parallèle à la lac. . 
. dans toute* les matières. 


fi n s q i a o sat tara de m iam egs, 
57, r*e ctartts-UffntB - 92 -KmlSy. 

ISM. 84-94 1 



Jour» et huit nuits drharaesantes négo- 
ciations, le président technique avait 
alors gardé espoir, «ffavato-to pas 
' eu raison ? »,' 6embIe-Wl dire aujour- 
d’hui 

.Mais pourquoi a-t-fl eu raison? 
On peut se demander si les expli- 
cations qu’il donne sorti suffisantes. 
- Après avoir refusé an avril le 
compromis finalement présenté par 
les sept délégations ' du t fors-monde, 
les Etats-Unis ont pria conscience du 
fait qu'ils étalent isolés : d’autre part 
qu’ils n'axaient pas Intérêt à retuser 
de dlSGutar tea autres prohibâtes 
a notamment dit M. de Gulringaud. 
• Les pays Industrialisés sont d’im- 
portants producteurs et exportateurs 
de . matières premfdrea, notamment 
dans le domaine alimentaire ; Ils sont 
donc en position de força-. Quant 
eux pays du tiers-monde, tb ont 
compris, selon l'ambassadeur Iran- 
ça le. que ce n' était pas en faisant 
'de la doctrine qu’ils feraient avancer 
les choses. » 

Les pays riches sont dans une 
telle position de force, malgré l'atti- 
tude de l’OPEP sur te pétrole — 
laquelle, on le sait, ne peut pas être 
imitée, — qu’on peut sa demander 
quai Intérêt lia ont à discuter avec 
les pays du ' tiers-monde ? « Les pays 
riches ont Intérêt d'abord à la stabi- 
lisation des cours des matières pre- 
mières, répond M. de Gulringaud, et 
ensuite, â es que les pays du tiens- 
monde ne meurent pas de faim. » 
Les bons sentiments rejoindraient 
donc rinlétét bien compris des paya 
riches» Il y-a U de quoi satisfaire le 
besoin de (ogiqua d'un humaniste 
français. Mais est-ce suffisant ? 

PHILIPPE 5IMONNOT. 


• • -LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 35 

~ ’ (Publicité) 

RÉPUBLIQUE ALGÉRIENNE DÉMOCRATIQUE ET POPULAIRE 

MINISTÈRE DE L'INDUSTRIE ET DE L'ÉNERGIE 
Société Nationale de Constructions Métalliques 

S. N. MÉTAL 

AVIS D’APPEL D’OFFRES 

Un appel d'offres international est lancé en vue de la fourniture 
d'équipements destinés au complexe de REUZANE, 


Ces équipements comprennent divers lots : 
Lot - 

Lot 
Lot 
Lot 
Lot 


Lot 

Lot 

Lot 

Lot 

Lot 

Lot 

Us 

l'adresse 


A : Oxycoupage 
B: Soudage 

A : Cintrage et pliage des télés 
B: Coupage et cisaillage tôles et profilés 
i Machina* à découper, border et ognrf er la tfiles 
minces 

6 : Outrances A profilés et A tabes 

7 : Machines-outils de mécanique générais 

8 : Laboratoire d'essais destru ct i fs et non destructifs 

9 ' ; Four de stabîBsation 

ÎO : Outillages divers 

U : Manutention 

dossiers techniques peuvent Être consultés et retirés à 
suivante : 


S. N. METAL, Direction Déve lo pp e ment 
Projets REUZANE 

Route de MEFTAH - Oued Smar - ALGER 

contre ht somme de 50 DA par lot et 50 DA pour te cahier des 
charges. % 

La date de dépôt des offres est fixée â soixante 160) Jours de la 
dote de parution du présent communiqué dans la presse nationale. 

Les soumissionnaires demeureront engagés pendant 90 tours de 
la dote limite de remise des offres. 

Les soumissions doivent parvenir sous plis cachetés et double 
enveloppe, la première ne portant aucun signe distinctif mais seule- 
ment l'adresse suivante : 

S.NL METAL, Direction ■ Dévête pp 
Projets REUZANE 
B. P. 25 El Harrocfa 


rat 


et lç mention 


Appel d'offres international 
Fourniture d* équipement . 
. Na pas ouvrir. 


rPuUfouei 


Laurin, 15, Faubourg St-Honaré, Farts. 265 14-40 


Les crayates spéciales Lanvin 

ou les attraits de la singularité 


décorer peut signifier se- 
lon le context e embellir ou 
honores. Les cmvntes spécia- 
les Lanvin concilient volon- 
tiers les deux termes tant il 
est vrai que celui qui les porte 
a de quoi se sentir une fixne de 
co mman deur. 

Il fuit en effet savoir que 
ces çravates ont une singula- 
rité. Créées par Lanvin, elles 
ne sont fabriquées qu’en très 
petit nombre : Cinq pu sis 
.exemplaires â peine pour cha- 
que modèle. Jamais plus; c’est 
une règle. 

Comme une toile de tmdirc 
C'est au-dessus du magasin, 
dans un atelier -qui rappelle 
celui d’on peintre, que tout 


au long de l’année, les modè- 
les sont créât. Chacune- des 
cravates dans son, originalité 
porte un nom, un peu comme 
une toile de maître. En voici 
une baptisée « Escadre t dont 
les dessins évoquent des 
vaisseaux. Celle-ci nommée 
«Forestière». Ou encore cette 
autre si fluide et si légère 
appelée « Voilage ». Ironie du 
sort : un modèle un jour bap- 
tisé cTrafalgar» fût un de 
ceux qui connut l’un des plus 
retentissants succès.- 

Four chacune des trois col- 
lections de l'année, une quin- 
zaine de cravates seulement 
sont retenues. Dessinées à 
Paris, elles sont tissées 1 Lyon. 

Cria ne relève pas d’une 
décentralisation à la mode. 



mais plutôt d*on respect des 
compétences locales, aujour- 
d'hui légendaires. 

Là, dans des atelier» où la. 
notion de « temps passé » n’a 
jamais supplanté crile de qua- 
lité, fidèles en cria à l’esprit 
de leurs anc êt res, fournis- 
seurs des rois de France, des 
maîtres tisseurs réalisent les 
pièces de soie dans lesquelles 
sont taillées les cra v ates. Four 
satisfaire les exigences de 
Lanvin, fl. leur a fallu cons- 
truire des métiers spéciaux: Il 
en sort une soie dont le tis- 
sage a atteint depuis long- 
. temps la perfection. La regar- 
der à la loupe est d’ailleurs 
intéressant. Selon le dessin, 
oui peut y voir mêlés des fila 
d’or ou d’argent. 

Mais aussi perfectionnés 
soient-ils, ces métiers ne tra- 
vaillent que lentement. Et qui 
songerait que pour confec- 
tionner trois cravates, il faut 
près d’un mètre carré de soie ? 
Sans parier, bien sûr, de celle 
de la doublure. 

. Le coût d'un privilège 
Chaque collection comportant 
une quinzaine de modèles, ce- 
la fait environ une cinquan- 
taine de cravates différentes 
par an. Parmi elles a de for- 
tes thances.de se trpuver, non 
pas celle qui plaît, mais celle 
que l’on aime. Et qu’à ce titre 
on n'annexait voir au cou de 
personne d’autre. 

Pour quelques centaines de 
francs, c’est chose possible. - 
H suffit pour cria de se rendre 
rue du Faubourg Saint-Ho- 
noré- et d'y acquérir au rez- 
de-chaussée les cinq ou six 
uniques modèles qui s’y trou- 
vent. 

Cria peut sembler une opé- 
ration onéreuse pour une cra- 
vate. Pas pour un privilège; 
surtout celui-là. 

Dans les ordres de la. che- 
valerie, la « cravate » est un 
symbole de réussite. Maïs ait 
fond, chez Lanvin, est-ce tel- 
lement différent ? GJL, 


Des ateliers où la notion du temps passé n'a jamais supplanté celle de guoË&L» 



J . 

















Page 36 LE MONDE — 14 octobre 1975 • • ■ 








AVIS 


FINANCIERS DES SOC HE T E 




O.P.E. DE TRINDEL SUR FORCLUM 


H est rappelé aux actionnaires de Forci um que la période d'échange de 
leurs actions, à raison d'une action Fore mm portant Jouissance du l» r jan- 
vier 1975 contre une action Trtndel de même jouissance, reste ouverte Jus- 
qu’au 31 octobre 1973. 

FORCLUM 

Malgré une activité légèrement réduite du tait de la conjoncture éco- 
nomique, les comptes pour le premier semestre 1975 se soldent par un 
bénéfice net de Le million de francs après provisions pour impôt*. 

Les commandes enregistrées par Forclum pendant les huit premiers 
'mole de l'année, bien quln également réparties suivant les réglons, sont 
supérieures globalement de £ % A celles de la même période de 1974. 

TRINDEL 

La société vient d'arrêter la situation provisoire de ses activités du 
premier semestre 197S se soldant par un bénéfice, lequel, après provisions 
d’imposition, est de 3,92 millions de francs. 

Ce résultat comprend la plus-value & long terme nette de 2.32 millions 
do francs réalisée sur la cession d’un de ses Immeubles devenu sans uti- 
lité A la suite du regroupement de ses services centraux dans un Immeuble 
neuf et fonctionnel : 9-U, avenue Michelet A Saint- Ooen. 

La quote-part restant A réaliser sur la montant des commandes en 
carnet représente au 31 août 1975 : 350 millions de francs, soit neuf mois 
.d'activité. 


C> T* BOWRING 


PUBLICATION DES BÉNÉFICES POUR LE SEMESTRE 
SE TERMINANT LE 30 JUIN 1975 


Les résultats provisoires consolidés 
du groupe pour la période de S mois 
s'achevant au 30 Juin *1973 se sont 


élevés b £ 7 .494.000. contre £ 3 .825 .000 
pour la période de 6 mois m termi- 
nant au 30 Juin 1974. 


■ 

G mois écoulés 

12 m. écouL 


30-6-74 • 

30-6-75 

31-12-74 


£ minière 

£ mimera 

£ tnHlIgf 

Chiffre d'affaires 

234 611 

322275 . 

486 480 

Résultats consolidés du groupe .. .. 

2825 

7494 

9.218 

Frais financiers (bruts) 

639 

639 

1278 


3188 

6853 

7 940 

Impôt 

1689 

3 602 

4 131 

Bénéfices après Impôt 

Moins intérêt minoritaire 

1497 

3253 

3 809 

186 

130 

372 


1311 

3117 

3437 

Dividende versé aux actions de pré- 
férence 

5 

5 

11 

Bénéfice distribuable aux actions 




ordinaires 

1306 

3112 

3426 


Les bénéfices de courtage d’assu- 
rances ont enregistré «in» hausse 
significative au cours de cotte pé- 
riode. Bovmaker, filiale spécialisée 
dans te crédit A la consommation 
et 1 Ingénierie, a connu une forte 
reprise : ses bénéfices avant Impôts 
se sont élevés A £ 1.92R900 (contre 
une perte de £. 998.000 au cours du 
premier semestre 1974). 

Lee activités de banque d’affai- 
res. d'agent d’assurance et les acti- 
vités commerciales ont permis de 
dégager de meilleure résultats 
qu’au premier semestre 1974, alors 
que les sociétés immobilières ont 
continué A travailler A perte. 

La compagnie maritime a enre- 
gistré une légère perte oùds 11 est 


prévu que ses résultats de l’année 
seront en équilibre. 

Les administrateurs estiment qu’à 
moins d'événements Imprévisibles 
et en dépit de la conjoncture éco- 
nomique, les résultats du groupe 
pour le dernier semestre de cette 
année devraient être en progression 
sur ceux du deuxième semestre 1974. 

Las administrateurs ont décidé 

Ï u'uu dividende intérimaire de 
,175 pence par action sera payé 
la 8 décembre 1975 aux actionnai- 
res inscrits sur les registres de la 
société le 7 novembre 1975. SI l’on 
ajoute le crédit dlmpét corres- 
pondant, ce dividende équivaudra 
è 140 pence par action f contre 
1 pence par action en 1974) soit 
une augmentation de 10 % par rap- 
port A 1974. 




^EC«i^âkIbdçdseâe^fEDi^|& 


La CJFJL publie les éléments rela 
tifs A son activité au cours du pre- 
mier semestre 1975 et A scs résultats 
au 30 Juin 1975. 

Au cours du premier semestre 1975, 
les quantités de pétrole brut traitées 
par la CF9 4 tant, dans ses propres 
raffineries que dans celles où elle 
disposait de capacités autrement que 
par vole d'échange, se sont âevées 
A 13 703 000 tonnes, en r é gres s i o n de 
204 *3> sur les quantités traitées 
pendant le premier semestre 1974. 
qnl étalent de 17204 000 tonne*. Les 
ventes de produits sont également 
en «wnii, s'établissant A 

13 739 000 tonnes contre IB minions 
443 000 tonnes pour la période cor- 
respondante de 1974, soit une rtlml- 
nudon de 16,4 

La réduction des d&autshés et de 
l’activité est largement la coassé- 
quence ds la TtccssUoi 4cflui ff u * > p Mi 
ressentis députa la fin de Z'été 1974. 
De plus, pendant la période de réfé- 
rence, la CFA avait fait un effort 
particulier pour approvisionner le 
marché français *ânm rim 
tances difficiles. 

Le chiffre dbisures hues *»”? et 
hors transactions compensées, est de 
6 820 430 000 P pour le . premier 
ni entre 1973, contre 7314 763 000 
pour Je premier semestre 1974. Sa 
baisse, moindre que celle des ton- 
nages vendus, est atténuée par l'évo- 
lution moyenne des prix de vente 
depuis la premier semestre 1974. 

Le résultat brut avant amortisse- 
ments, pr ov ision s et impôts, s’élève 
A 66354 000 F au premier semestre 
1975 contre 563 388 000 F pour la de- 
mi-année 1974. 

Les amortissements s’élevant 
203010 000 F et le solde net des do 
tâtions et reprises de provirions 
étant uns dotation de 22 421 000 F, 
le résultat net de la compagnie au 
premier semestre 1975 est une perte 
de 159077 000 P fl 'effet de stock 
étant négatif de 270 000 000 F). Four 
la demi-année 1974, le résultat était 
nul après une dotation de 406 mil- 
lions 631000 F de la provision pour 
fluctuation des co ur s . 

H convient de signaler qu’une 
comme de 81 600 000 F a été Incorpo- 
rée dans les résultats de la compa- 
gnie au premier semestre 1975, en 
supposant que le reversement de 
farf parafiscale de la part de 

Caisse national» de l'énergie s'été 
b lira pour la CFA au moins à ce 
niveau, qui représente les verse- 
ments de taxe effectués par 
compagnie. 

Les mauvais résultats du premier 
semestre 1975 s'expliquent par une 
insuffisance générale des prix des 
produits dés le début du s eme s tr e , 
aggravée par la répercussion rapide 
dans ces prix, des baisses de coût 
d’approvisionnement consécutives 
la chute du dollar. Ces résultats 
traduisent une situation d'autant 
plus préoccupante qu'ils surviennent 
après un exercice caractérisé par un 
endettement excessif du fait, en 
particulier, de la longueur des délais 
Imposés pour répercuter dans las 
prix dm produite, la hausse dm 
coûts d'approvisionnement. 

H faut noter qun n’y a tien de 
procéder, au premier semestre 1975. 

A aucune reprise de p rovi s ion pour 


nuctua. non des cours. Celle-ci n'a 
pu. en effèt, en raison de l’Insuffi- 
sance dm résulta te, être dotée A la 
Un de l'année 1974,' que pour un 
montant de 813 382 000 F très infé- 
rieur au niveau de dotation autorisé 
(2 milliards de francs environ), dé- 
coulant du calcul légal du plafond 
de la provlrian A Un 1973, qm cor- 
respondait lul-méme au niveau des 
besoins réels de financement dm 
stocks. 

Pour le deuxième semestre 1973. la 
récente évolution en hausse du dol- 
lar n'a de nouveau été traduite dans 
les prix que très tardivement et trop 
faiblement, cette évolution et la 
hausse dm prix du pétiole brut ré- 
cemment déridée par l'O.PJS.F. font 
qu'il est probable que l'effet de 
stock sera pratiquement nul pour 
l'e nsemb le de l'année, si hi*n que 
toutes les Insuffisances de prix m 
traduiront par des pertes d'exploi- 
tation. Il est donc indispensable que 
soit autorisée une baume substan- 
tielle des prix dans les délais les 
plus bref a 


JACQUES BOREL INTERNATIONA 


OFFRE PUBLIQUE D'ÉCHANGE 

des actions SOFITEL 
contre des actions 

JACQUES BOREL INTERNATIONAL 

et des oblifiations convertibles SOFITEL 
contre des obligations 10,90-% 

JACQUES BOREL INTERNATIONAL 


Clôture le 20 octobre 1975 


visa COB n* 75-121 
du 10-9-1975 


A vio Chambre - Syndicale des Agents t 
n“ 75-637 et 75-838 dn 27-8-1 


Le présent mois est publié uniquement à titre d’information. 



BANQUE AFRICAINE 
DE DEVELOPPEMENT 

US$25.000.000 

CREDIT FINANCIER INTERNATIONAL À 5 ANS 


Mis en place par 

CRÉDIT COMMERCIAL DE FRANCE 

et -consenti par . 

CREDIT COMMERCIAL DE FRANCE 
MORGAN GUARANTY TRUST COMPANY OF NEW YORK 
BANQUE WORMS 

"WELLS FARGO BANK INTERNATIONAL 
INTERNATIONAL BANK FOR ECONOMIC CO-OPERATION 
AI.1.IED BANK INTERNATIONAL 

BANQUE COMMERCIALE POUR L’EUROPE DU NORD (EUROBANK) 
BANQUE EUROPÉENNE DE FINANCEMENT (THE FEDEUTY BANK) 
BANQUE EUROPÉENNE DE TOKYO SA- 
BANQUE FRANÇAISE DU COMMERCE EXTÉRIEUR " " 
BANQUE MAROCAINE DU COMMERCE EXTÉRIEUR, Paris 
BANQUE DE LA SOCIÉTÉ FINANCIÈRE EUROPEENNE 
BANQUE DE L’UNION EUROPÉENNE 
CREDIT COMMERCIAL DE FRANCE (MOYEN-ORIENT) SA-L 
IRVING TRUST COMPANY 
PITTSBURGH NATIONAL BANK 
SOCIÉTÉ CENTRALE DE BANQUE 
UNION DE BANQUES ARABES ET FRANÇAISES -UJULF. 
BANK POLSKA KASA OPIEKI, Succursale de Paris 
CREDIT SUISSE 

UNIONEDI HANCHE ARABE ED EUROFEE- UJLAJL (TTAUA) SLpJL 


Agent 

CRÉDIT COMMERCIAL DE FRANCE 


Septembre Î97S 



CfRALIMENT-LÜ BRUN 


PROCHAINE FUSION 


CBRAUMENT. qui détient 51 *To de 
LU BRUN & ASSOCIES, a acqula 
les actions détenues (34 %) par la 
Société Flnandal, dont la président 
est U. André Forgeot. Sous les ré- 
serves d’usage, Cé m liment et Lu 
Brun pourront ainsi fusionner «Tld 
A la fin de l’année. 

Le nouvel ensemble réalisera eu 
1975 un chiffre d’affaires consolidé 
de 750 millions réparti en 3 divisions 


i, bls- 
Cralcho 


d'activités : biscotte rie 51 
cul teric 44 G, panification 
emballée 5%. 

Rappelons que les principales mar- 
ques du Groupe sont ; LU. BRUN, 
REM. TROIS CHATONS en Biscuite- 
rie. BEPPE BERT, PRTOR. MAGDE- 
LEINE. REINETTE, PELLETIER en 
Blscotterle et SAINT-HONORE en 
panification fraîche emballée. 


ÉTUDES FISCALES INTERNATIONALES S.C.A.E, 

' présente sa nouvelle étudee 

IM PL A N TATIONS INTER NATION A LES D’ENTREPR iSES 
EN FRANCE ET A L’ÉTRANGER 
“RÉGIME FISCAL” 


Patrick MIC H A (JD 
' Ancien élève de FRcoie 
Nation;') le des 'Impôts 
Avocat au Barreau de Paris 


Michel SAILLANT 
Ancien élève de l’Ecole 
Nationale des Impôts 
Tnx Consultant 


Etude 21 x 29 j. 430 p. Franco 350 FF' 
E.F.J.. 24. rue de Madrid PARIS 75008 


BIS 


Le chirrre d'affaires, ho 
premier semestre 1975 
228 150 333 F contre X 
pour le premier rdusl 
qui représente une baisse 
Pour la mémo période, 
avant Impôts et provision 
ttclpatkm et investissant 
A 10 743 794 P, alan qu 
19 532 872 P pour la premt 
1974, soit une baissa de 
Le résultat net après 
provisions pour partie 
investissements au .30 
s'élève * 6 731 766 F alors 
après provision pour- la 
limpôt exceptionnel dt 
G 330 103 P pour ie prend 
1974. soit una augme 
8.18 ÎS. 

Sur le plan national-' 
tlonal. malgré la eonjon 
avons maintenu l'aettv: 
cent vingt-quatre agsu 
tuant notre réseau an 
des dix -se ps agences i l'é 
Notre période de point 
nelle de l'été conduira t 
tata du deuxième asm 
rieurs & ceux du prem! 
1875 et probablement i 
second semestre 1974. _ 

Le résultat net au 3 
1979 se présentera donc 
ration sur celui du 31 déi 1 
De ce fait, le dlvldaztd 
au moins égal è celui < 
précédent. 


casse nationale des avfoiwite 

SiKHMf 


uBiu use 

faux die rendement actuariel brut 

« 



émission à partir dû 13 octobre • clôture sans préavis 







LE MONDE — 14 octobre 1975 — Page 37; 




IJSjQï 


S". <> e , 


M 


I LES MARCHÉS FINANCIERS 


fcCOUi -, c "Nwjbugatiwk 

* !A&*xxnigftam*2xt . 


3?, 



(iigefl). — Pour 1 a prc- 
en sept «nmlncB. tes 
e au fléchi sot le marché 
abllghUona, et «tiras de 
eu fls ont régulièrement 
, b- «rts Jour dttrurt la 
iTvcoulee. confinoaflt ainsi 
lu chose*. ah&ngé car les 
' e valeurs A revenu fixe. 

lent de tendance résulta 
* jgaiaoa de divers facteurs. 

. des un d*ifl** 

’’•(« gtats-Dnis, en conâatlan 
lignes croissants d*un des- 
du crédit. 

ît, 11 n'est pas certain que 
ÿLBsement constate ' cette 
rosette de préjuger de son 
■ future, car Isa opinions 
anées panai les banquière 
y • ps»f asskœaela du marché 
'tel gâtions. Le plus grand 
ssent que les taux d'intérêt 
nno devraient encore fié- 
de se stabiliser en raison 
atvon probates de la ptfli- 
: Fed ». Cependant, d’au- 
me»t aussi des doutes sur 
. tires de l'économie axnéd- 
' t le reprise ne serait pas 
' ’alneante gus î vnrm mt 
. z officiels et les statla- 

Xonsldèxo que la trésorerie 
va devoir emprunter en 
'.fi m i ll iard k lfi milliard 
sur le marché financier 
icer le déficit budgétaire 
faiblesse de la demande 
adustrlels et commerolanx 
■it cette boulimie yyffic-ifî iie 
dans le sens de la baisse 
‘Intérêt. ' 

"part, la Eredletbank SA. 
JOtirg prédit, dons sa der- 
a trimastrleUe sur le. mar- 
eunj-obUgatlona, que tes 
■ iés eu dollars subirent des 
k la baisse, notamment k 
faibles écarts entre les 
. rendemen t dépôts an 
"là six mois — environ 
: 1/4 % — maintenant et 
.feras ou e notes » en dte- 
■aq ans, qui donnent un 
de B 1/4 %. cette" prime 
. 3 hument insuffisante pour 
. le risqua d'un inveatkoe- 
cinq ans. Les cours de tels 
Traient donc être appelés 
sur le marché' secondaire, 
v rehausserait d'autant le 
*• 

istbank constate dan» cette 
io trimestrielle que, durant 
ce trimestre de cette an- 
nouvelles émissions euro- 
s ont été coosldérablement 
'mineuses puisqu'elles ont 
1 951 millions de dollars 
SI millions de dollars au 
trimestre, 1 158 millions de 
. premier trimestre et 345 
de dollars reniement au 
trimestre de l'an demlsr. 


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INDICES QUOTIDIENS 
(INSEE Base too : 31 aéc. 197*.) 

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Valeurs françaises .. 129 129,2 

Vsleors étrangères . . " 222,7 122 

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(Basa' 169": 29 déc. 1900 

Indice général ;. 1W 74 


COURS DU DOLLAR A. TOKYO 
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INDICES GENERAUX DE BASE HW S 
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NOUVELLES DES SOCIETES 


FEBODO. — Bénéfice net du pre- 
mier semestre : 1531 minions de 
francs. -Ce . résultat est voisin de 
celui obtenu le 30 Juin 1374. Le 
.chiffre d'affaires bers, taxas . pour 
nette période atteint 828 minions de 
francs (+ 8.7 %). 

' AKZO. — Bn raison, de* pertes 
qu’elle" a subies, . la soaléte ne sera 
vraisemblablement pas en mesure-do 
payer un dividende pour 1875. 

COMPAGNIE BANCAIRE. — - Résul- 
tat net consolidé pour te premier 
na m^ tn i ; 843 XBllUOZlS dB fwniM 
contre. 374 rainions. 

OHIGNy-DBSVBOISK. — Bénéfice 
net de' l 'exercice dos le. 30 luln ^ 
933 mmiana de francs contre' 833 
millions pour 1873-1974. Dividende 
|in>ip] inchangé de 15' P mais rému- 
nérant un capital augmenté da 10. % 
par attribution gratuite. 1 ■ 

BOUTIKBX COLAS. — Bénéfice net 
du premier semestre (rés u l t a t s, des 
agences outre-mer et étrangères 
exclus) ' : 1437 ~ minions dé- 
«mtr* 5ÂD minions: ■ 


LKBOT-SOMER. — Résultat net 
au 30 Juin ; ‘10.43 mUllons da francs 
contre 93 raillions. ChtlCre d'affaires 
hors taxes des neuf premiers mois 
430.18 mimons de francs. Ce chiffre 
est fl. peu près identique A celui de 
la période correspondante da 1974. 

MAISONS PHENIX. — Bénéfice net 
au 30 juin : 13,45 millions de francs 
contre 530 mimons. Au 30 septem- 
bre, le chiffre d'affaires bots taxes 
atteint 4053 minions de francs 
contre- 340.7 millions. 

U83L — Bénéfice ‘net des neuf 
premier» mois : 14013 minions de 
.doUaxs (9,41 dollars, par action) 
contre 13914 wirmwna de dollars et 
9,45 dollars. 

FORGES DE CHATILLON- COM- 
MENTOZY. — Le résultat au 30 Juin, 
avant amortissements et provisions, 
atteint 5,78 miinwM da francs contes 
7433 mimosa. 

GRACE AND Co. — Distribution 
te 10 décembre d*un dividende tri- 
mestriel de 4X5 cents <+ 40'%). 


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VALEURS 

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VALEURS 


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VALEURS 


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VALEURS 

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605 07 

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Sèlectlno Mtmfllal 

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119 67 

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Euro-Croîssèncs. 
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Gestion MoMlifirs 

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11 do ta bjftvsté da délai qui abus est tapartl pour pobKer b art» 
flans h os dira feras éditions, des trronrs psanmt partais' fiimr 
rare. Elles sort osrrtzén h bndamate flans b première éflitioa. 


MARCHÉ A TERME 


le CtamOra symUcals a décidé, 6 titre mpéilunnteli da pretaaier, après b OOtm, ta 
cotation des valeurs ayant fait PcWfct de branactiau entre 140. 15 st 14 b. 30. Pau r eetts 
raison, usas ne pouvons plus garantir rmactltad» des dsraten cas» fl« raprés-mWi. 


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COTE DES CHANGES 


MARCHE OFFICIEL 


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Pays-Bas (tOQ fl.) .. 

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fle (100 krs.} ... 
Sûtes» ClûûfrJ .... 


COURS 

préc. 


4455 
4846 
171 176 
II 846 
73 420 
7467 
9 128 
*689 
79 SM 
l« IS 
18 GIB 
100 920 
165 475 


COURS 

19/10 


4426 
4 365 
171 475 
Il 345 
73JS20 
7 472 
9 088 
6 52S 
10 129 
188 625 
I* B» 
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COUDS 
DES BILLETS 


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astre MBupies 


'4 42 
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72 75 
726 
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587 
79 25 
186 25 
12 76 
108 .. 
164 SI 


MARCHE LIBRE DE L'OR 


HOMMES ET DEVISES ■ 


Dr fte Ddls es Uns) .. 
Orfin (knoso RpxnQ - 
Pièce française (20 frj 
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Hlcanhs* {20 fr.) .. 
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,21000 .. 
(21066 .. 
240 10 
170 .. 
2W49 
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320 20 
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Page 38 — - 14 octobre 1975 • • • 




«île 


UN JOUR 


Ancien juge d'instruction du aime de Bmay-en-Aitoîs | En Égypie 


Selon le <s. Washington Post 


DANS LC MONDE M. Henri Pascal va être inçulpé le pbésdeht sad AIE CONFIRME 


2. ASE 

— LAOS : les «tes de Hudé- 
. pendants ont consacré^ la 
prise da po avoir par les révo- 
lutionnaires. 


de violation du secret professionnel. 


1 PROCHE-ORIENT 

— La Ligue arabe sa réunirait 
le 15 octobre an Caire pour 
examiner la situation aa Liban. | 


315. EUROPE 

■ — ESPAGNE :-!a procédure 
« expéditive » ne sera pas 
appliquée aux terr ori st es ac- 
tuellement détenus. 

— PORTUGAL : les «commis- 
sions» populaires rasseatbleat 
-- dés o rmai s l'essentiel de l'oppc- 
sition d'extrême gaucbe. 


M. Henri Pascal, premier juge 
d’instruction A Béthune, a reçu, 
vendredi 10 octobre, une convo- 
cation de M. Georges Le 8aout, 
président de la chambre d'accu- 
sation de Rennes, qui portait la 
mention : « M. Henri Pascal, 
magistrat ; inculpation ; viola- 
tion du secret professionnel. » 

« Sons avoir été entendu — 
je le serai pour la première fols 
le 22 octobre prochain à 14 h. 30, 
— fai été inculpé », a déclaré 
M. Pascal. 


veau .. J'accuse », fait état de 
pièces du dossier. 

La violation du secret profes- 
sionnel, prévue A l’article 378 du 
code pénal, est punie d’un empri- 
sonnement de un A six mois et 
d’une amende de 500 A 3000 F. 

M. Henri Pascal, qui a l’inten- 
tion de prendre plusieurs défen- 
seurs, a précisé. A propo s de la 
plainte du notaire: 

c Je m esttmais assez fort pour 
me dé j en dre seul, mois un 
inculpé, en France, n’a pas le 


DEUX CONDAMNATIONS A MORT 
POUR COMPLOT 


Cette affaire remonte au 24 sep- . droit de connaître son dossier, a 


6. DIPLOMATE 

— « Le « Quai » dans las bru- 
mes » fl Y), par M. Delarue. 

8 à 11. POUTKJBE 

— L*U. D. R. veut relancer la 

« participation ». 

— M. Fourcade â la commission 
des finances de l'Assemblée 
nationale. 


tembre 1974. M* pierre Leroy, le 
notaire de Bruay -en -Artois, avait 
déposé une plainte auprès du 
procureur de la République de 
Béthune, A l’encontre de M Pas- 
cal, pour un article paru dans 
Paris-Match, daté du 28 septem- 
bre 1974, sous la signature du 
juge. 

M* Leroy, qui, ainsi que son 
épouse, a bénéficié d’un non-lieu 
pour le meurtre de la jeune Bri- 


gitte Dewevre. reproche au juge 
d’instruction d’avoir, dan» l'article 


12. CULTURE 

— A la Foira du livre da Franc- 
fort : la remise da prix de la 
paix à Alfred G rosser. 

13. SOC ETE 

— A propos d ‘Histoire tfO. 

13. JEUNESSE 

— M. Catdla dénonça la «cam- 
pagne anti-jeunes». 


incriminé, publié, sous le titre : 
c Le juge Henri Pascal ne 
désarme pas, fl lance un nou- 


ne peut en avoir communication 
que par son avocat » s Un inculpé, 
a poursuivi le juge, n’est pas tenu 
au secret pour son affaire. Que 
l’on ne compte pas sur moi pour 
faire le secret dans mon affaire 1 » 
La compétence de la cour de 
Bennes provient d’un arrêt de la 
Cour de qui. y>î«t«» en 

application de l’article 679 du 
code de procédure pénale, avait 
dû désigner une juridiction pour 
i n str uire la plainte dirigée contre 
un magistrat s susceptible d’itre 
inculpé d*un défit commis hors 
V exercice de ses fonction» {le 
Monde daté 15-16 décembre 1974). 


Le président Sadate a con- 
firmé, dimanche 12 octobre, les 
peines de mort prononcées contre 
MM. Saleh Abdullah Sarrlja et 
Kaxem Bzzat Alanadoly, deux des 
nrincluanx responsables de la 
tentative de coup d'Etat d’avril 
1974, organisée au collège mili- 
taire technique du Caire. M. Taiat 
Al Ansasy, qui avait également 
été condamne A mort par la Cour 
suprême de sécurité de l'Etat, a 
vu sa peine commuée en Atten- 
tion. A perpétuité. — (AT* J 


En Èhiopie 


DES MILLIERS DE PERSOHNES 
SONT MENACEES PAR U FAMINE 


AU TERME D'UNE E'PREUVE DE HUIT MOIS 


Les syndicalistes s'estiment satisfaits 
des conditions dans lesquelles le travail 
a pu reprendre chez Grandin 


IE MONDE OE L'ECONOMIE 


PAGES 15 A 19 

— La politique agricole da 
fnsambale. 

— La Sécurité sociale, victime 
de la crise. 

— Le cauchemar de New- York. 

— Commerce extérieur : tou- 
jours excédentaire. 

— Les notes de lecture, d' Alfred 
Sauvy. 


20. SPORTS 

» FOOTBALL ; la France est 
éliminée de la Coupe d'Eu- 
rope des nations. 

— ÉQUITATION ; le champion- 
nat de France de Foatoiae- 
Meaa. 


22-21 ARTS ET SPECTACLES 

■ — THÉÂTRE : Tara aa Festival 
d'automne; Jean-Paul Fané. 
— DANSE : le Jeune Ballet de 
Moscou. 

— CINÉMA i les nouveaux terri- 
toires de Belfort. 


24. REU610N ’ 

— Le papa devrait valoriser -la 
collégialité pour favoriser la 
ammomen entre les Églises. 


30-31. JUSTICE 

— Mêlé à ('affaire de Braay-at- 
Artois, le jeune Jean-Pierre 
est arrêté pour tentative de 
vol. 


31 ÉQUIPEMENT ET REGIONS 

— L'affaire des drapeaux en 
Corse. • 

— La difficultés da commu- 
nautés urbaines. 


31 LA REGION PARISIENNE 

— Un entretien avec M. de La 
Malène : 1 206 millions poar 
la nouvelle opération des 
Halles. 


34-31 U VIE ECONOMIQUE 
ET SOCIALE 

— An lendemain du 62* Salon 
de Paris : l'automobile, pavil- 
lon bout. 

— EUROPE : la Neuf tentent 
de définir une noavelle' régle- 
mentation do Marché commun 
du vin. 


« Les Grondin ont gagné 1 » 
Une grande banderole bleue ac- 
crochés aux grilles des usines de 
la rue Marceau A Montreuil 
accueillait le personnel de la 
Société française de radio-télé- 
vision Grandin, venu aux nouvel- 
les ce lundi matin. Vers 8 heures 
les o u v rièr es se sont rassemblées 
dans la cour de l'entreprise — 
certaines d’entre elles portaient 
la longue robe rouge qu’elles ar- 
boraient depuis huit, n yM s rian* 
toutes les tnanifad a tlnnu de rue 
— et on applaudi M. Georges 
Séguy. secrétaire général de la 
‘ C.G.T, venu les féliciter pour le 
succès de leur action. 

Pendant le meeting, les cadres 
et les agents de maltaise de la 
SJAR.T. se réunissaient autour de 
M. Desbois, président du direc- 
toire constitué au sein de la 
Société Artelec, qui reprend les 
usines S-FJR.T. Grandin. Vers 
10 heures les délégués C.G.T. de 
l’entreprise ont donné une confé- 
rence de presse pour répondre 
notamment < au xa ttaques anti- 
communistes de M. d’Ornano », 
formulées dimanche, c Le s ten- 
tative de récupération politique 
n’ont pas facilité les choses », 
avait déclaré le ministre qui a 
souligné le rôle joué par les pou- 
voirs publics depuis la faillite d e 
Grandin. SI le gouvernement, ' 
a-t-il ajouté, < avait comme le' 
demandait le parti communiste, 
réinjecté de l’argent dans Vaf- 
faire Grandin au moment de sa 
f ajoute, cela aurait correspondu à \ 
mettre de l’argent dans un puits 
sans fond ». 

» Nous trouvons, ont déclaré les 
que M. d’Ornano a 
la défaite amère. Qufü le rettffie 
ou non les Grondin ont gagne 
grâce au courage du personnel. 
Vouloir dénaturer ce succès par 
une diversion anticommuniste 
relève d’une basse marueuore. 
Tous les succès revendicatifs 


du patronat qui c cautionnait Ta 
liquidation de la SfFJR.T. par les 
pouvoirs publics », qui 
classer l’affaire Grandin c et sur- , 
tout par les travailleurs, futurs 
chômeurs en puissance ». Ils ont 
rappelé les différentes formes de 
l'action menée pour sauver 
l’usine : l’occupation des bureaux 
de Mme Françoise Giraud, l’occu- 
pation de la préfecture de Bobi- 
gny et des studios de TPI et 
d’Europe 1 ; la participation des 
ouvrières A la journée d’action du 
10 juillet, et A de nombreuses au- 
tres manifestations : « C’est une 
guerre d’usure que nous avions 
entreprise, ont- Ils conclu, et nous 
Varxms menée jusqu'au bout. » 

' J. B. 


Addia-Abeba (4J\P0. — Fins de. 
vingt et un mflle personnes sont: 
menacées par la fnwin. quatre 
districts de U région administrative 
de Barres, dans le sud-est da pars, 
a-t-on appris, samedi 11 octobre, de 
source orflclelle, dans la capitale 
éthiopienne. 

L'administrateur local, qnl a déjà 
lancé plusieurs appels pour l’ache- 
minement de secours d’urgence, a 
déclaré que da milliers de paysans 
ont quitté leurs villages en quête 
de nourriture. 

Ces quatre districts, déjà éprou- 
vés la années précédentes; n’ont pu 
i*cu de ploie cet été et la récolte 
escomptée à la mi-septembre n’a 
pu eu lieu. 

Far aille ur^ la opérations mili- 
taires qui se sont déroulées la se- 
maine dernière dans le nord du pays 
(Erythrée, Tigré et Wollo) M sont 
soldées, selon da chlfiia officiels; 
par une centaine de’ morts du «été 
du rebelles. 


Enfin, le général Tcferi Ban te. pré- 
sident du Conseil militaire provisoire, 
a évoqué, le 22 octobre, dans ans 
Interview à l'agence yougoslave 
Tanyoug, une proposition éthio- 
pienne de former une « confédéra- 
tion » avec le Soudan, la Somalie 
et le Kenya. Cette proposition, a-t-Il 
dit, « s’inspire de l’existence de fac- 
teurs culturels, ethniques et écono- 
miques wm i m nMt g. 


En rejoignant 
les amis de N. Fabre 


Nominations d'ambassadeurs 


M. CAIESSOM 2 PROPOSE 
DE « PONDÉRER LA GAUCHE : 


Les 16 et 17 novembre 1974, 
M. Robert Fabre accueillait, dans’ 
un colloque, des radicaux valol- 
sless (MM. Ca tesson et Hovna- 
nian). un centriste (M. Pelle- 
tier. sénateur de l'Aisne) et des 
gaullistes d’opposition (MM Léo 
Hamcm et Charbannel, anciens 
ministres) d’accord pour consti- 
tuer avec le Mouvement des 
radicaux de gauche la troisième 
famille de l’union de la g» mchP- 

31 aura fallu onze mois de 
négociations pour que oe projet 
aboutisse et, A l’arrivée. Il se 
trouve vidé de r essentiel de sa 
substance. En effet, 

11 octobre, seuls MM. Catessan 
et Hovnanian avalent répandu 
présents au rendez- vous final et 
ont a nn oncé lacs d’une- conven- 
tion des radicaux de gaucbe leur 


Aux termes d'un décret publié 
par le Journal officiel du 14 oc- 
tobre, M Rémy Teissier du Cros 
est nommé ambassadeur en Corée 
du Sud, et M Jean-Marie Mé- 
rillon devient ambassadeur en 
Grèce. ‘ _ 


M. TEISSIER DU CROS A SÉOUL 


CNé la 5 décembre 1930. M. Trima er 
da Cros est licencié en droit, diplômé 
de l’Soale nationale da langues 
orientales et breveté de l’Ecole natio- 
nale de la France d'outre -mer. inté- 
gré en 1359 dans la cadre da secré- 
taires des affaires étrangères 
(Orient), 11 a été premier, secrétaire 
à Lamé (1960-1962). a travaillé à 
l’administration centrale (1983-1968),' 
a été envoyé en poste à Lagos en 
1968 et a rejoint le Quel d’Orsay en 
1968.] ■ ..- .• 


M. MÉRH10N A ATHÈNES 


[Né le 12 février 1928. M. MérUJon , 
est diplômé de l'Ecole au sciences 


est diplômé de l'Ecole Ou sciences 
politiques et ancien élève de l’ENA 


obtenus dans les entreprises qui - adhésion à la formation que pré- 
aUaient fermer sont dus à la M Robert Fabre. 


(promotion 1951). Nommé en 1953 ;à 
l’administration centrale . (Europe), 
chef adjoint du cabinet du (secré- 
taire d’Etat à la présidence du 


LIRE EGALEMENT 


RADIO- TELEVISION Cl) 
Annonça cl a ssée s (25 à 30) ; 


Aujourd’hui (21) : Carnet (24) : 
« Journal officiel » (21) ; Météo- 
rologie (ri.) ; Mots croisé» (ZL) ; 
Finança (37). 


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lutte des salariés. Si ta nôtre a 
duré huit mois, à qui la faute? 
C’est à M. d’Ornano précisément 
qvfü faut le demander. » 

Les dirigaant» cégétistes s’esti- 
ment satisfaits des 'c onditions de 
relance de l’usine. Ce succès, 
Be lo n eux, aura un retentisse- 
ment au-delà de l’entreprise, en 
particulier rirais le secteur de 
râecfcronlqofi. Selon eux, la lutte 
chez Grandin a fait reculer l’aus- 
térité et le chômage A Mon- 
treuil, localité parti culiè rement 
touchée par la restructuration du 
trust Thomson. « Seule la lutte, 
ont-ils ajouté, a permis le main- 
tien de cent cinquante - six 
emplois et la sblidartté active, 
autant morale que politique et 
financière, entre les traoaüLeurs, 
la population et les organisa- 
tions syndicales et politiques. » 
Les délégués ont souligné que 
le conflit a été suivi avec une 
grande attention per l'ensemble 


Au cours de son intervention, le 
député de l'Aveyron a affirmé 
que son mouvement « se porte 
bien » et qu’il c n 'existe pas de 
dissensions en son sein ». 

M Claude Catesson. conseiller 
municip al de un* , qui animait 
Jusqu’à présent au son du parti 
radical valobden la tpnf fn pp^ 
Combat radical socialiste, a 


conseil (Juillet 1954-Janvler 2335), 1 
de nouveau rattaché à l 'administra- I 
tion centrale jusqu'en 1936, U est, 
ensuite chargé da mission auprès du 
ministre da affaires étrangère». 
Premier secrétaire à Borne (1&57- 
1983), sous-directeur des affaires 
africaine* et malgache» 0962-1968), 
ambassadeur à Amman (1988-1973), 
U est nommé ambassadeur au Viet- 
nam du Sud an juin 1073. M. Mill- 
ion demeurera à son posta pendant 
la bataille de Saigon, en mal 1975.) 


ajouté : c Nous nous joignons à 
vous pour vous aider à pondérer • Le gro 
la gauche' en lui dormant à la américains 
fois du poids et de la mesure, otages le 11 
mais nous nous refusons à jeter commlssarti 
l’anathème sur ceux de nos amis pour les ré 
restés place de Valois et dont (le Monde 
beaucoup nous rejoindrons un est arrivé : 


• Le groupe de réfugiés laüno - , 
américains qui avait pris des 


jour_» 


otages le 10 octobre au siège du , 
co m missariat des Nations unies 
pour les réfugiés A Buenos-Aires 
(le Monde daté 12-13 octobre) < 
est arrivé samedi 21 octobre au I 
soir A Alger. 


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L’Iran achèterait d'importantes que 
d’uranium à F Afrique du Sud 


ç ^nr, le Washington Post, 
l’Iran négocierait avec l’Afrique 
du Sud l’achat étalé dans le 
temps de 35000. A 50000 tonnes 
d'uranium naturel au prix de 
10 dollars la livre d’oxyde. 


Téhéran a prévu de cons- 
truire, d’ici & l’an 2000. une 
vingtaine de centrales nucléaires 
qui requéreront environ 
100000 tonnes d'uranium naturel. 
Huit centrales devraient être 
livrées par les Etats-Unis, cinq 
par la France, et au moins 


En Equateur 


LE PROCES IKïENTt 
A DES OFFICIERS COMPLOTEURS 
ESI ANNULÉ 


Quito (A. P. P, B enter J. — 
Sur ordre du président Guillermo 
Rodriguez Lara, le procès en cour 
martiale intenté A vingt-sept offi- 
ciers accusés d’avoir fomenté la 
tentative du coup d’Etat du 31 
août dernier a été annulé. Le 
conseil de guerre, qui siégeait 
depuis une semaine sans pouvoir 
sortir des querelles de procédures, 
s’est dessaisi de l'affaire. 


cinq tuLihxLtm» parmi lesquels le 
général Julio Gonzales Oreilana, 
se sont réfugiés dans des ambas- 
sades A Quito. Le chef de la rébel- 
lion, le général Baal Gonzales i 
Alvear, se trouve au C hili. 


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( 


deux par l'Allemagne 
L'uranium naturel itf 
la fabrication du c- 
serait acheté en 

l'Afrique du Sud et 
A un autre pays 

Quant aux services 
sement, l'Iran s’est t 
Burodef. dont le capit 
10 dans ses mair 
L’Iran est. selon le I 
Post, aussi Intéressé 
d’enrichissement qu’t , 
construire l’Afrique d . 
Monde du 24-4-1975). 
plrant d’études faite 
magne de l’Ouest, eu 
cléalre de Karlsruhe, 
que Sud-Africaine étu 
cédé nouveau d’enrl 
et va. dans les deux . 
venir, essayer et mette 
des modules opération 
parution isotopique, 
dernier, elle a lancé 
à la coopération Int 
en prévision do la c 
d’une usine d'enr 
d’une capacité de. di 
d’unités de travail, qi 
environ 1,4 milliard 
1974. Pour r instant, u 
nalre étranger, sauf 
s'est officiellement- r 


U BAISSE DU I 
S'ACCENTUE : 438 


accoste ont été expulsés le diman- 
che 13 octobre vers Panama. Les 
autres Officiers MmpmmLit dm» 
ce mouvement de rébellion ont 
été remis en liberté, mais rayés 
des cadres de l’armée. 

Parmi les exilés figurent les 
généraux Alejandro Salis et Juan 
Aiattfo, dirigeants de la rébellion, 
les colonels Jorge Cevallos. Ar- 
nulfo Efendy Carlos 

Guerrexo et Luis Rodrigo Araque. 
Les. deux avocats touchés par 
cette mesure d’expulsion sont les 
généraux en retraite Victor Aules- 
tia et Galo Latoite. Cinq civils et 


Amorcée depuis lu M 
d’octobre, la baisse du 
po are ai rie et même aef 
matin sur la msxehft 
Internationaux, en UaL 
fléchissement continu d* 
térèt à court terme am 

La devise américaine, 
nue an voisinage de sa 
débat, septembre, a v 
4^823 F à Paris (coni 
vendredi), s’échangeant 
contre t» DM 1 Fia 
2,6559 francs suisses eont. 
suisses à Zurich. 

La livre sterling s’est 
fermle 2 , 00 ' dollar; 
2JM doDare. 


• A Lyon, le consei 
d’enseignement et de 
(U£Bj de phflœopb 
vers! té Je&n-Moulta 
» démissionné collectiv 
dredl 10 octobre 1975. 
solidarité arec son 
M François Dagog 
UJSJL est en désaect 
président de l*unlvezslt 
Roland. A propos d*u 
de répartition des lac 
philosophes s'estiment ‘ 
M. Dagognet, u s'agit s 
ter l’opinion sur ce q 
« les empiètements sur 
de njJSJt. et l’autoritas 
sont de la président 
façon générale, les phi 
sentent mal A I'aisa : 
l’université Jean-Mbuli 
suite- de la partition, t 
l'ancienne univexsité Le 
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